(Vidéo) APCC 6570 C’est maintenant pour s’inscrire au Train des lumières pour Lyon
Le train à vocation historique vous emmènera à la fête des lumières samedi 7 décembre.Le train partira d’Avignon-Centre et arrivera à Lyon Perrache, en plein centre-ville.C’est ainsi que l’APCC 6570 organise de nouveau ce train spécial ‘Fête des Lumières’ remorqué par les locomotives historiques BB 25500 préservées par l’association de préservation des locomotives ayant parcouru la Région Sud. Il partira de la gare d’Avignon-Centre et déposera ses passagers en plein centre-ville de Lyon, en gare Perrache.
Les trains spéciaux ‘Fête des Lumières’ organisés par l’association au départ d’Avignon en 2011, 2012, 2014, 2016 et 2018 avaient reçu un vif succès, à un point tel que, malheureusement, l’association avait dû parfois refuser des inscriptions, ainsi, il est prudent de réserver au plus vite.
La Fête des Lumières à Lyon est ancrée dans le temps depuis plus de 150 ans. Elle prend sa source lors de l’inauguration de la statue de la Vierge du clocher de Fourvière, le 8 décembre 1852. Cette fête a lieu chaque année durant le week-end le plus proche du 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception. A cette occasion, le centre ville de Lyon est illuminé de bougies et de lampions. De nombreux monuments, façades ou quais sont mis en valeur par des éclairages magnifiques et éphémères ainsi que des spectacles son et lumière.
Au commencement En 1643, la ville de Lyon est touchée par la peste, venue du sud de la France. Nombreux sont les habitants mortellement touchés par la maladie. Les édiles invoquent la Vierge et l’épidémie cesse après avoir touché la ville, successivement, en 1631,1637, 1639 et 1642. Le 8 septembre 1643, jour de la fête de la Nativité de la Vierge Marie, les notables, suivis par la population promettent de prier sur la colline de Fourvière et d’offrir, chaque année, un écu d’or ainsi qu’un cierge de 7 livres.
C’est le Vœu des Échevins, les magistrats municipaux Depuis ce jour, chaque année, un pèlerinage vers la Basilique Notre-Dame de Fourvière – édifiée à partir d’une souscription publique en 1870, pour le début de son édification en 1872 et sa consécration en 1896-, qui donnera naissance à la Fête des Lumières. La basilique –qui est la propriété privée de la Commission de Fourvière qui regroupe ses donateurs- reçoit, chaque année, dans le vieux Lyon, 2,5 millions de pèlerins et visiteurs. Le complexe basilical comprend l’édifice, la chapelle initiale de Saint-Thomas et la statue, ainsi que l’esplanade panoramique et le jardin du Rosaire.
APCC 6570 L’association APCC 6570 a pour objet de sauvegarder des locomotives historiques anciennement mises en service à la Sncf et de promouvoir le souvenir des grands trains rapides ayant circulé en Région Sud. Trois locomotives ont ainsi été sauvegardées par le soins de ses passionnés de trains et souvent anciens cheminots. A ce jour, les trois locomotives CC 6570, BB 25639 et 25660 sont entretenues par les membres de l’association.
Dans le détail A l’aller, le départ de la gare d’Avignon-Centre aura lieu en milieu de matinée. Au retour, le départ de Lyon-Perrache interviendra vers 23h30 pour profiter au maximum du ravissement offert par la Fête des Lumières. Les personnes qui envisagent de participer à ce train spécial sont invitées à cliquer ici
Les prix Le prix comprend : le trajet aller-retour en train privatif. Par adulte : 45€. Par enfant entre 3 et 12 ans : 18€. Gratuit pour les moins de 3 ans. Tarif préférentiel pour les groupes à partir de 10 personnes. Nombre de places limité. Inscription et paiement en ligne ici. Le billet sera envoyé une semaine environ avant la circulation du train. Il comportera les horaires précis de circulation du train.
(Vidéo) APCC 6570 C’est maintenant pour s’inscrire au Train des lumières pour Lyon
Le cabinet d’avocats lyonnais Lawréa également installé à Avignon, Biarritz et Annecy vient de nommer comme avocats associés : Elodie Badoil, Anne-Laure Rivat et Didier Thérond.
Elodie Badoil Avocate au barreau de Lyon depuis 2011, Élodie Badoil est nommée associée au sein du département fiscal dans lequel elle évolue depuis la création du Cabinet où elle accroît son expertise en matière de fiscalité patrimoniale nationale et internationale, tant en conseil qu’en contentieux, et accompagne les dirigeants et entreprises dans le cadre de leurs opérations de transmission et restructuration.
Anne-Laure Rivat Anne-Laure Rivat est nommée associée au sein du département droit des sociétés du cabinet qu’elle a rejoint depuis 1 an. Inscrite au Barreau de Lyon depuis 10 ans, Anne-Laure s’est formée auprès de cabinets d’affaires lyonnais tels que Delsol Avocats ; Lamy-Lexel Avocats Associés. Elle conseille dirigeants, entreprises : start-up, PME, ETI et groupes de sociétés, actionnaires et investisseurs. Elle intervient sur des opérations d’acquisition, de cession, de restructuration, d’investissement et, plus généralement, sur des problématiques de droit des sociétés et contrats commerciaux
Didier Thérond En complément de ses missions de conseils et contentieux fiscaux, pour lesquelles il opère depuis la création de Lawréa, Didier Thérond, coopté associé lui aussi au sein du département fiscal, anime des formations sur la fiscalité personnelle, professionnelle ou locale à destination d’un public professionnel intervenant dans les métiers du chiffre et du droit comme les experts-comptables, les dirigeants, les cadres d’entreprises ou avocats. Didier Thérond est également spécialiste de la TVA internationale et intervient régulièrement en session de formation, notamment à Avignon.
Maîtres Anne-Laure Rivat, Didier Thérond et Elodie Badoil, les trois nouveaux avocats associés de Lawréa
Luc Gil, un des trois fondateurs associés de Lawréa «Cette association est stratégique pour notre cabinet qui élargit ainsi sa palette de compétences afin d’apporter à nos clients des solutions innovantes, cousues mains et les sécurisant sur le plan juridique, social et fiscal,» relève Luc Gil, l’un des trois associés fondateurs de Lawréa.
Une nouvelle phase de développement Lawréa, implanté en Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Pyrénées orientales, conseille ses clients, personnes physiques, sociétés et chefs d’entreprises, à l’occasion d’investissements immobiliers, de restructurations, de transmissions de patrimoine, d’entreprises ou groupes de sociétés, de donations ou successions, tant en France qu’à l’international.
Les infos pratiques Lawréa, société d’avocats ; Immeuble le QG, 17 quai Joseph Gillet, 69004 Lyon. Etablissements secondaires du Sud-Est : 6A, passage de l’oratoire, 84 000 Avignon ; du Sud-ouest : 48, avenue Foch, 64 200 Biarritz et Alpes : 88, Avenue d’Aix-les-Bains, 76 600 Annecy-Seynod.
(Vidéo) APCC 6570 C’est maintenant pour s’inscrire au Train des lumières pour Lyon
Cet été, nous contribuons à votre album photos de vacances, en vous proposant de découvrir, pour de vrai, les lieux les plus instagrammables de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Que vous soyez selfies ou paysages mémorables, le décor saura vous séduire. Tout d’horizon de la région « dans l’œil d’Insta ».
Le chêne de Venon, l’arbre star des Alpes françaises
Sous la neige, avec ou sans son beau feuillage, à contre-jour en ombre chinoise… Les possibilités de magnifier le chêne de Venon semblent infinies pour les amateurs de photographie. Il faut dire qu’il attire les regards, perché tout en haut d’une colline et parfaitement isolé. On le distingue clairement à des kilomètres à la ronde, en particulier depuis l’A41 dans la vallée du Grésivaudan. Peu surprenant dans ces conditions, qu’il soit considéré comme la 8e merveille du Dauphiné et qu’il entretienne la réputation d’être l’arbre le plus photographié des Alpes françaises.
La 8e merveille du Dauphiné à préserver
Pour s’en approcher, il faut se rendre au lieu-dit Pressembois (à pied depuis Gières en Isère, cela fait une jolie balade) et traverser un pâturage privé tout en pente. Le chemin est indiqué par une pancarte et même naturellement balisé au sol. Un panneau met en garde les visiteurs : l’arbre en péril est à protéger. Autrement dit, les feux de bois sont interdits, de même que le fait de couper ou endommager une branche, de graver sur le tronc ou encore de grimper. Ce chêne, qui serait âgé entre 300 et 400 ans, a su résister à plusieurs épreuves, notamment une tempête en 1992 qui lui a arraché une branche maîtresse ou encore à la foudre à deux reprises dans les années 2000. En février 2017, en lien avec l’Office national des forêts (ONF) et la commune de Venon, l’entreprise Puro Fairtrade Coffee et l’association Arbres ont dispersé sous ses branches, quelque cinq tonnes de matières végétales fraîches pour aider le chêne à développer ses racines. En avril 2017, il a été classé Arbre remarquable de France.
Il est possible de venir à pied depuis Gières jusqu’au chêne de Venon en partant de la rue des Arènes. Le parcours emprunte un chemin à travers bois qui coupe la route départementale en lacets. Il se poursuit dans le village en passant d’abord par la Faurie, puis le Champ-Duret. Le panorama sur la vallée du Grésivaudan et le massif de Chartreuse y est spectaculaire. Puis, on passe par Les Grandes-Vignes et devant les barrières du « château » de Venon. Enfin, sur la gauche, prendre le chemin de Pressembois et l’accès à l’arbre se fera sur la gauche avant la ferme de Pressembois. Il faut compter environ une heure et demie pour arriver jusqu’à l’arbre.
L’escalier Mermet, quand le meilleur angle est celui d’en bas
Après les Alpes, cap sur Lyon. Au détour de la rue René Leynaud, dans les pentes de la Croix-Rousse, le passage Mermet s’est doté, en 2019, d’une fresque aux airs oniriques, réalisée par l’artiste Wenc et les habitants du quartier des pentes. Paré d’un dégradé bleu et blanc, l’escalier est rapidement devenu instagramable. Aujourd’hui encore, les touristes n’hésitent pas à venir découvrir l’œuvre, voire à grimper les 80 marches du passage. Caché, l’escalier est vêtu d’un manteau bleu. Cette fresque semble tout droit sortie d’un conte. Elle est aujourd’hui référencée comme un des lieux à voir lors d’une escapade lyonnaise.
« Un escalier qui était gris et glauque »
Si l’escalier est aujourd’hui une star des réseaux, il n’a pas toujours connu une telle attraction. « Au début c’était gris et un peu glauque, personne ne l’empruntait. Une fois qu’il a été peint, on a tout de suite vu que les gens se réappropriaient l’escalier. Puis ça a amené des touristes dans le quartier« , explique Caroline, ancienne présidente de l’association Quartier Capucins. Cette dernière, a fait appel à Superposition (l’association d’artistes a cessé ses activités en janvier 2022, Ndlr), et à Wenc en 2019. « Il est plus fade que sur les photos qu’on a pu voir mais même si on avait su, on serait venu, ça reste beau » souligne une famille venue de Niort, de passage à Lyon pour quelques jours. Un aspect moins éclatant déploré par les bénévoles, déçus que la Ville n’entretienne pas les contremarches. L’escalier demeure original et pour une fois, la récompense ne se trouve pas au sommet, mais bien en bas des marches.
En arpentant les pentes, d’autres marches se sont parées de couleurs. Les escaliers de la montée des Carmélites, avec ses contremarches fleuries et vives, se lient très bien avec la végétation qui l’encadre. Cette fresque orange, bleu et rose a été réalisée en septembre 2022 par l’artiste Bambi Bakbi, mais aussi par des habitants. Au bout de l’escalier, le plus ancien jardin de Lyon et son amphithéâtre des trois Gaules attendent les visiteurs avec la verdure, le calme et le repos comme récompense. En poursuivant, on peut se rendre rue Saint-Polycarpe, où se cache une micro-brasserie, la Beer Fabrique. « Ici, c’est comme un cours de cuisine mais on fait de la bière« , explique Lorris Martiningo, gérant et brasseur de l’établissement. Dans ces ateliers, les clients apprennent d’ailleurs des techniques de brassages qu’ils peuvent reproduire chez eux. Pour mieux aiguiser les papilles de ses visiteurs, la brasserie propose aussi des événements alliant cuisine et bière. Elle y a, par exemple, déjà décliné les thématiques de la gastronomie, du pâté en croûte ou des desserts.
Le château de la Bâtie d’Urfé digne des plus grands romans
Enfin, on peut terminer son escapade régionale par le Château de la Bâtie d’Urfé, à Saint-Etienne-le-Molard, dans la Loire. A l’origine, le domaine n’est qu’une grange monastique construite par des moines au XIe siècle. Après une reconversion en forteresse à partir du XIIIe siècle par les ancêtres de Claude d’Urfé, ce dernier fait appel à des artistes italiens pour transformer ce lieu dans le style de la Renaissance tel qu’il apparaît aujourd’hui. Fresque de coquillages, peintures murales, boiseries et tapisseries décorent l’intérieur et donnent au lieu un charme très particulier. En plus des décorations atypiques et soignées, le site se compose d’une grotte artificielle (la plus ancienne encore conservée en France), d’une chapelle et d’un sphynx. Cet ensemble offre aux photographes de multiples possibilités de réaliser des clichés remarquables.
Un joyau qui vient sublimer le lieu
En plus du bâtiment, le domaine de la Bâtie d’Urfé se distingue aussi par de magnifiques jardins qui bordent le château. D’inspiration française et italienne, ces jardins s’inscrivent directement dans l’air de la Renaissance. Aujourd’hui reconstitués tels qu’ils étaient à l’époque, les jardins sont entretenus et soignés au peigne fin. En été, la verdure du gazon et des buis contraste avec le blanc lumineux des murs du château. Au centre, une fontaine en marbre blanc équilibre et épure l’ensemble à la perfection. Là encore, la photographie se prête parfaitement au site, d’autant plus en été où la luminosité fait ressortir les couleurs.
Le site offre la possibilité de se rassasier au sein du restaurant installé sur le site même du château. Le restaurant L’Essentiel dispose d’une grande terrasse très adaptée pour la saison estivale avec vue sur les jardins et la bâtisse. A la carte : salades, planches et burgers cuisinés avec des produits locaux. Les clients ont aussi la possibilité de déguster un “menu forézien” à base de charcuterie et de cuisses de grenouilles. Le restaurant est ouvert du mercredi au dimanche midi et du vendredi soir et dimanche soir sur réservation. Les prix du repas varient entre 14 € et 25 €. Il existe également autour de la Bâtie d’Urfé de nombreux sentiers arpentant la plaine du Forez. Pour une petite sortie estivale, le “chemin d’Astrée” – en référence au roman d’Honoré d’Urfé – entre la bâtie d’Urfé et le pic de Montverdun, permet d’allier plaisir et découverte. Des panneaux expliquant le patrimoine forézien et le roman de l’Astrée sont disposés tout au long du chemin. Après avoir traversé le Lignon et arpenté des sentiers forestiers, la balade se termine au pic de Montverdun, offrant une vue à 360° sur la plaine du Forez et ses monts ainsi que sur les monts du Lyonnais. Pour relier les deux sites, il faut compter 45 min à pied.
Dossier réalisé par Thomas Richardson (Essor Loire), Mathilda Ruiz-Yeste (Tout Lyon), Arthur Chevalier (Essor Loire) pour Réso hebdo éco.
(Vidéo) APCC 6570 C’est maintenant pour s’inscrire au Train des lumières pour Lyon
La fédération des acteurs de la prévention organise un World Café sur le thème ‘en quoi nos émotions peuvent-elles influencer la prévention ?’, le 28 septembre à Lyon. Parmi les participants à cette édition 2022, trois sont vauclusiens.
En 2022, Préventica Lyon accueille à nouveau un challenge de 4h pour permettre à l’ensemble des acteurs de l’entreprise de croiser leur expérience et leurs idées pour creuser le sujet de la place des émotions dans la prévention.
Basé cette fois-ci sur le principe de world café, processus créatif qui vise à faciliter le dialogue constructif et le partage de connaissances et d’idées, la FAP réunira des acteurs venus d’horizons divers pour penser la question : en quoi nos émotions peuvent-elles influencer la prévention ?
Parmi les participants à cette édition 2022, trois Vauclusiens : Matthieu Petit, dirigeant d’EOSE à Carpentras, David Pesme, chargé de mission à l’Anact et Marion Nussbaumer, consultante relation d’aide et management.
Lancement d’un nouveau cycle d’apprentissage de la méditation Après 15 ans dédiés à l’accompagnement des entrepreneurs et au développement du territoire, Marion Nussbaumer crée une offre de service visant à améliorer la qualité de vie des personnes, que ce soient des particuliers, des professionnels ou des dirigeants.
Ainsi, à partir du 5 octobre, Marion Nussbaumer lance un nouveau cycle d’enseignement de méditation de pleine conscience en groupe, à la péniche Althéa.
Basé sur dix séances, ce cycle d’apprentissage comprend les enseignements nécessaires à la pratique de la méditation et parcourt les exercices proposés dans les protocoles MBSR (soulagement du stress) et MBCT (prévention de la rechute en dépression).
Informations pratiques Présentation du world café le 28 septembre lors du salon Préventica Lyon.
Début de nouveau cycle d’apprentissage de la médiation le 5 octobre, de 18h30 à 20h, à la péniche Althéa, chemin de l’Ile Piot. Inscription en ligne sur ce lien.