4 décembre 2024 |

Ecrit par le 4 décembre 2024

Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Héritier d’un savoir-faire dans la chaudronnerie plus que centenaire, Théus Industries, s’est spécialisée dans la fabrication de cheminées d’exception. Dessinées par l’artiste Dominique Imbert, ses créations, sont mondialement connues. Théus Industries est aujourd’hui labellisée « Entreprise du Patrimoine Vivant » une reconnaissance que l’entreprise cavaillonnaise escompte bien mettre à profit pour développer ses activités.

Il y a des objets qui sont iconiques et indémodables. Les cheminées Focus et en particulier la fameuse Gyrofocus (cheminée suspendue pivotante en forme de galet), appartient au club très limité des objets faisant partie de l’histoire du design. Crée par Dominique Imbert en 1968, la Gyrofocus a eu les honneurs du musée Guggenheim de New-York. Depuis de nombreux autres modèles ont été créé. Chaque année, Théus Industries fabrique 2 500 cheminées, dont 70 % pour l’export (Europe principalement). Fabriquées à la main par des artisans chaudronniers passionnés, les cheminées Focus ont su rester depuis plus de 50 ans, à la pointe du design et de la technologie. Elles ont su notamment s’adapter aux dernières règles européennes : obligation de fermeture des foyers, nouveaux critères de performance énergétiques…

Aujourd’hui ce travail est distingué par l’obtention du très convoité label Entreprise du Patrimoine Vivant. En France, seul un millier d’entreprises bénéficient de cette distinction. « Ce label c’est la reconnaissance de notre volonté d’excellence » souligne Mathieu Gritti, l’un des dirigeants. Mais l’obtention de cette distinction n’a pas été un chemin facile, le dossier était en attente du côté de la préfecture depuis presque 2 ans et c’est l’intervention de Gérard Daudet, le maire de Cavaillon qui a permis de faire avancer les choses.

« L’humain en premier »

Cette distinction ne récompense pas seulement la créativité et l’excellence des produits de l’entreprise. Les dirigeants y voient aussi la reconnaissance du travail accompli dans le domaine des ressources humaines. A son arrivée à la tête de l’entreprise, Mathieu Gritti, cet ancien diplômé de l’école des Mines d’Alès, a totalement revu l’organisation de la production en privilégiant l’humain. Tous les postes de travail et leur ergonomie ont été pensé avec ceux qui les utilisent. Ici, pas de travail à la chaîne ou de cadences à tenir, dictés par un « process informatisé ». L’humain en premier. La qualité d’exécution et le confort de travail y sont privilégiés. Résultats de cette politique : une quasi absence de turn-over, une production de haute qualité et des salariés satisfaits de leurs conditions de travail.

Remise du label « Entreprise du Patrimoine Vivant »

« Cette labélisation c’est aussi une fierté pour l’entreprise et ses collaborateurs » précise Sophie Kirnidis la directrice du site de Cavaillon. « C’est aussi un moyen de développer l’attractivité de l’entreprise notamment dans la recherche de nouveaux talents ou la formation d’apprentis » ajoute-t-elle. Cette labélisation a ainsi permis de créer des liens avec les Compagnons du Devoir, une autre école de l’excellence.

« Nous nous devons de compenser ce que nous prélevons et nous nous devons de limiter nos impacts sur l’environnement »

L’entreprise qui par ses produits s’est installée dans une démarche d’économie de l’énergie se devait aussi d’être vertueuse pour elle-même et en particulier dans sa propre consommation d’énergie. « Rapidement nous avons pris conscience de l’importance de cette question » précise Mathieu Gritti. « Nous nous devons de compenser ce que nous prélevons sur le réseau électrique, et nous nous devons de limiter nos impacts sur l’environnement » ajoute-t-il. Ainsi, l’été dernier, Théus Industries s’est équipé de panneaux photovoltaïques.

Le site de Cavaillon

Avec 700 panneaux sur une surface de 2 400 M2 l’entreprise couvre aujourd’hui en moyenne annuelle 64 % de ses besoins. Une belle performance. L’investissement de 400 K€ sera remboursé en moins de 5 ans. Il a été financé pour part essentielle par un emprunt bancaire avec l’apport d’une subvention de 51 932 € de la région PACA dans le cadre du programme Solaire Ready. Cet apport a permis le financement des travaux de consolidation de la toiture du bâtiment d’accueil des panneaux. « Notre banque nous a suivi assez facilement car l’investissement est immédiatement rentable » complète Sophie Kirnidis.

« Nous ne pouvions pas nous en remettre qu’aux seuls vendeurs de solutions techniques »

Ce projet a été rendu possible grâce au soutien du réseau des entreprises LSE (Luberon Sorgues Entreprendre). Et tout a commencé lors d’une réunion de ce réseau où était évoqué le sujet de l’énergie et en particulier du possible manque d’électricité en amont de l’hiver 2022. Ce fût le début d’une prise de conscience reconnaît Mathieu Gritti. « Et une panne d’un transformateur électrique d’Enedis, privant l’entreprise d’énergie pendant 48 heures, a fini par convaincre d’avancer sur des solutions alternatives » précise-t-il. Sous l’égide du réseau LSE, 6 entreprises, dont Théus Industries, ont travaillé ensemble sur l’installation de moyens de productions électriques qui leur soient propres. Ils ont pu partager leurs projets et l’intervention d’un consultant extérieur. « Nous ne pouvions pas nous en remettre qu’aux seuls vendeurs de solutions techniques » confie Mathieu Gritti. Un référant énergie a été nommé dans l’entreprise il a assuré toutes les phases de la mise en œuvre du projet. « On y a gagné en temps et en sérénité » avoue Sophie Kirnidis.

L’équipe de Theus Industrie

Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

En France, l’industrie est responsable de 18 % des émissions des gaz à effet de serre. Consciente de l’enjeu, l’association Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE), regroupant 200 entreprises du Luberon, des Monts de Vaucluse et du Pays des Sorgues, en a fait son sujet numéro un. Et pas uniquement pour des motifs écologiques ou climatiques…

Le 8 novembre dernier, une trentaine d’entrepreneurs étaient réunis, au siège de la société Mayoly à L’Isle-sur-la-Sorgue, pour une matinée de travail. Cette réunion, organisée à l’initiative du réseau Luberon & Sorgues Entreprendre et animée par sa coordinatrice Catherine Bézard, pourrait être considérée comme le point départ de nombreux projets d’envergure qui engageront l’avenir des entreprises du réseau. L’enjeu est de taille, il s’agit d’accompagner et d’aider des entreprises volontaires sur la voie de la décarbonation. Dans ce domaine le partage d’expériences est essentiel. Mais pas que… Il s’agissait également pour les entreprises du réseau de pouvoir être intégrées au « Pacte industrie / décarbonation », financé par l’ADEME. Ce programme, fort d’une dotation de 49 M€, court jusqu’en 2026. Il a pour ambition d’apporter du conseil et des financements aux entreprises qui souhaitent s’engager dans la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre. Les entreprises du réseau ont jusqu’au 15 décembre pour répondre à cet appel à projets lancé par l’agence nationale.

La décarbonation n’est pas encore une contrainte réglementaire, faisons-en une opportunité, Laura Dos Santos

La décarbonation n’est pas encore une contrainte réglementaire faisons-en une opportunité résumait Laura Dos Santos, Directrice de Mayoly, une des pilotes du projet décarbonation, lors de son intervention. « La décarbonation, c’est bon pour la rentabilité et la compétitivité de l’entreprise » a-t-elle ajoutée. Produire tout au partie de sa propre électricité permet de faire des économies substantielles et de renforcer son indépendance. Un exemple : Theus Industries, une entreprise de chaudronnerie qui fabrique des cheminées haut de gamme, a investi dans des panneaux photovoltaïques. Elle a réduit de 2/3 sa facture d’électricité et son investissement (400 K€) sera amorti en 4 ans. Cela sans compter avec les augmentations attendues des coûts de l’énergie carbonée. Si décarbonation peut rimer avec des baisses de factures énergétiques c’est aussi un vecteur d’image positif pour l’entreprise, que ce soit auprès de ses clients ou de ses futurs collaborateurs.

Le premier retour d’expérience de l’entreprise Mayoli dans la décarbonation

L’entreprise est spécialisée dans la gastroentérologie et en dermo-cosmétique, elle fournit des terres thérapeutiques à l’industrie pharmaceutique (dont le célèbre SMECTA)
Première étape : établissement du bilan carbone, celui de l’entreprise correspond à celui d’une ville de 10 000 habitants sur une année. L’expérience a montré que les entreprises les plus petites n’étaient pas forcément les moins polluantes.
Pour l’entreprise la production d’eau chaude et de vapeur et le traitement de l’air.
Deuxième étape : définition d’objectifs : moins 50 % d’émissions de CO2 en 2030 et 55 % au-delà avec les intrants
Troisième étape : valider la démarche et les moyens
Quatrième étape : s’engager
Dans cette phase une trentaine de pistes ont été dégagés et plusieurs actions ont d’ores et dejà été mises en œuvre : recours à l’électricité verte, utilisation du fret ferroviaire pour la liaison Avignon / Paris (90 % d’émissions de CO2 en moins), utilisation du gaz pour produire de la chaleur

La décarbonation cocherait ainsi toutes les cases, ou presque…

Mais la décarbonation ne serait pas uniquement une bonne affaire pour l’entreprise elle-même, ce serait également la possibilité de dégager des moyens pour revaloriser les rémunérations des salariés. « C’est un juste retour des efforts demandés aux collaborateurs » affirme Laura Dos Santos, Directrice de Mayoly. Pour rester sur ce volet social certaines entreprises réfléchissent à mettre gracieusement à disposition de leurs salariés les surplus d’électricité produits grâce à leurs propres installations.

La décarbonation cocherait ainsi toutes les cases, ou presque… C’est bon pour la planète, c’est bon pour l’entreprise et ses salariés. Mais alors qu’est-ce qu’on attend, serait-on tenté de dire ? Surtout qu’aujourd’hui outre l’ADEME, de nombreuses collectivités apportent leurs soutiens à la transition énergétique des entreprises. « Entre les économies dégagées et les subventions obtenues on peut presque financer nos projets » reconnaît un chef d’entreprise.

La force d’un réseau

C’est également sans compter avec l’apport du réseau des entreprises Luberon & Sorgues Entreprendre. « Le partage de nos expériences et nos réalisations, c’est notre meilleure veille technologique » précise Catherine Bézard, coordinatrice du réseau LSE. Dans ce domaine le retour d’expériences est essentiel. Ainsi, tous les membres du réseau suivent avec beaucoup d’intérêt la prochaine installation d’un concentrateur solaire par l’entreprise le Coq Noir, fabricant de condiments et sauces. Cette entreprise, également installée à L’Isle-sur-la-Sorgue, a besoin de produire de la chaleur dans la confection et la préparation de ses produits. Des visites et des échanges sont au programme du réseau pour suivre la mise en œuvre de ce projet.

Cette idée d’économie circulaire peut également fonctionner entre les entreprises elles-mêmes. Ainsi au sein du réseau un projet de partage d’énergie est également à l’étude. Exemple : dans certains de ses processus de fabrication Mayoly utilise de puissants sécheurs dont la chaleur n’est pas récupérée, alors que certaines entreprises en ont besoin. Un réseau de chaleur pourrait ainsi être constitué associant plusieurs producteurs et consommateurs. Un exemple parmi d’autres qui illustre la pertinence du « faire ensemble ».

Le réseau Luberon & Sorgues Entreprendre

Fort d’une expérience d’une vingtaine d’années et née de la fusion de deux réseaux, Luberon Sorgues Entreprendre est une association présidée par Christopher Baudrier (GECO-IT) et Laura Dos Santos (MAYOLY), vice-présidente et Hélène Felix (HEFEJE HOLDING), vice-présidente.

Le réseau regroupe 200 entreprises du Luberon des Monts de Vaucluse et du Pays des Sorgues. Il est animé par Catherine Bézard.

Cette association se fixe pour mission :
➢ D’encourager la coopération interentreprises pour accompagner les transitions écologique, numérique, sociétale et faciliter la prospective
➢ De favoriser les échanges entre entrepreneurs et les soutenir dans leurs problématiques
➢ De participer au développement économique durable du territoire
➢ De porter la voix des entreprises et défendre leurs intérêts communs auprès des institutions et des pouvoirs publics
➢ De s’impliquer dans les projets de développement économique menés par les acteurs publics et apporter la vision des entrepreneurs
➢ De faciliter la relation avec les institutionnels

Contacts :
https://luberonetsorguesentreprendre.fr/
06 84 03 52 52
info@luberonetsorguesentreprendre.fr


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Le mardi 11 juin dernier, l’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) a organisé la 8ᵉ saison de Parlons Ca$h, un rendez-vous économique devenu incontournable dans le Vaucluse, qui a eu lieu à l’ESAT L’Arche Le Moulin de l’Auro à L’Isle-sur-la-Sorgue.

Plus de 200 chefs d’entreprises et acteurs économiques étaient présents le mardi 11 juin pour la 8ᵉ édition de Parlons Ca$h qui était sur le thème ‘Intuition : Mythe ou Réalité ou Comment muscler nos compétences intuitives pour l’entreprise !’.

Durant cette soirée à l’ambiance chaleureuse, les participants ont pu écouter les témoignages de Josette Balzan, agent immobilier et expert agréé, et Jean-Louis Brun, dirigeant de la manufacture Brun de Vian Tiran à L’Isle sur la Sorgue. Ensemble, ils ont partagé leurs expériences sur le monde de l’entreprise lors d’une première table ronde. A suivi une conférence menée par Victoria Pellé Reimers, conférencière auteure et spécialiste de l’intuition.

L’objectif de cet événement est d’évoquer des sujets sérieux, parfois ardus, avec pédagogie et décontraction pour permettre aux participants de bénéficier d’informations essentielles dans le domaine des ressources humaines, de l’innovation, l’économie et la recherche de financements, le tout avec bonne humeur et efficacité. « Énergies indispensables pour réussir à réussir », conclut LSE.


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

La Communauté d’agglomération Les Sorgues du Comtat vient d’organiser la première édition de ‘Parlons éco’ à Sorgues. Placé cette fois-ci sous le thème de l’industrie, ce rendez-vous économique a pour but de favoriser la création de synergie au sein du territoire entre les entrepreneurs et les techniciens de l’agglomération.

La toute première édition du rendez-vous « Parlons éco » a eu lieu ce lundi 29 avril 2024 au sein du Confidentiel, à Sorgues. Une initiative impulsée par les Sorgues-du-Comtat pour permettre aux industries et entreprises de son territoire de se sentir accompagnées « L’idée c’est d’amorcer un temps privilégié et exclusif entre notre intercommunalité et les entreprises de notre territoire afin de se connaitre, d’accompagner, d’échanger, de partager autour d’un sujet d’actualité » a commencé par annoncer Christian Gros, maire de Monteux et président des Sorgues-du-Comtat (Althen-des-Paluds, Bédarrides, Monteux, Pernes-les-Fontaines et Sorgues).

Près d’une trentaine vingtaine d’entreprises des cinq communes étaient ainsi réunies autour du dispositif « territoires d’industrie ». Ce programme lancé fin 2018 par l’Etat consiste à renforcer l’attractivité des TPE/PME ou des grands groupes industriels dans des zones géographiques reconnues comme centre d’activités industrielle « « les entreprises de ce secteur ont à relever des enjeux communs avec les autres secteurs mais aussi des enjeux spécifiques pour maintenir leur développement et renforcer leur compétitivité. C’est l’objectif phase 2 qui va se dérouler jusqu’en 2027 » affirme Thierry Lagneau, vice-président de la communauté d’agglomération Les Sorgues-du-Comtat.

« Territoires d’industrie » un bond économique
Déjà partie intégrante de « territoires d’industrie » en 2018, les Sorgues du Comtat ont ré-obtenu le label en septembre 2023 pour une période 2023-2027 aux cotés de trois autres intercommunalités du Vaucluse (la Communauté de Communes Pays des Sorgues Monts de Vaucluse, le Grand Avignon et Luberon Monts de Vaucluse) « nous avons travaillé ensemble avec les quatre collectivités pour présenter un dossier solide et complet à l’appel à projets porté par l’Agence nationale de cohésion de territoires » a souligné Thierry Lagneau, également maire de Sorgues.

« Le développement économique est la première de nos compétences, a détaillé Christian Gros. C’est grâce à lui qu’on crée de l’emploi et de la richesse sur le territoire, c’est primordial surtout dans un département comme le Vaucluse qui est l’un des plus pauvres mais avec un potentiel industriel très important ».

 « Le développement économique est la première de nos compétences. »

Christian Gros, président de l’agglomération des Sorgues du Comtat

Les territoires d’industrie en France. © ANCT 2024

4 axes pour mener la réindustrialisation
Le programme « Territoire d’industrie » a pour objectif de promouvoir une zone reconnue par l’Etat en tant que centre d’activités industrielles notamment en travaillant autour de 4 axes « le premier but de ce dispositif est de renforcer l’attractivité des entreprises industrielles en identifiant les compétences manquantes que ce soit en terme de formation, d’outils innovants d’apprentissage ou sur le développement des liens entre les entreprises, les écoles et les métiers » a souligné Christian Gros.

Le deuxième axe s’articule autour d’une thématique essentielle : la transition écologique. Le dispositif a été pensé pour accompagner les structures d’industries dans une décarbonation des usages et l’utilisation des énergies renouvelables à travers les mobilités, les déchets, l’économie circulaire mais aussi la coopération « le type d’action qui pourrait avoir lieu serait par exemple le déploiement d’une solution de co-voiturage mutualisé pour les trajets du quotidien. La transition écologique est une composante importante du développement économique, les deux ne sont pas antinomiques » a ajouté Christian Gros.

Le troisième axe s’apparente à faire de l’innovation un moteur des transitions en soutenant les écosystèmes d’innovation avec par exemple l’idée d’accompagner la structuration et la construction de certaines filières originales comme celle de proximité blé-farine-pain de La grange des Roues « c’est en accompagnant et soutenant ce genre de projets que nous parviendrons à créer des liens entre les entreprises et les établissements supérieurs et de recherche » Enchérit Christian Gros. 

Le dernier point se concentre sur la thématique du foncier. La préoccupation première sera de mobiliser un foncier adapté aux enjeux et besoins industriels en qualifiant et labellisant les zones d’activités et en élaborant une stratégie foncière à l’échelle du « Territoire d’industrie » « c’est un point fondamental qui va prendre de plus en plus d’importance. Pour faire du développement économique, il faut de l’aménagement et donc du foncier avec des contraintes de plus en plus drastiques, il va falloir diviser par deux tous les dix ans la consommation de l’espace agricole afin de viser un objectif zéro industrialisation en 2050. On est donc face à des véritables défis mais on a des idées comme récupérer des friches ou élaborer une stratégie foncière dans la continuité des inventaires des ZAE » explique Christian Gros.

Une convention avec Luberon & Sorgues Entreprendre pour accompagner les entreprises
Avec « Territoires d’industrie », le territoire bénéficie d’un soutien national. Les entreprises peuvent ainsi profiter de plusieurs possibilités. Concrètement ce programme offre aux bénéficiaires un accès à un Fonds vert à hauteur de 100M€ ainsi qu’un pouvoir de mobilisation des crédits d’Etat gérés par la Banque des Territoires. Un accès à une expertise sur les thématiques industrielles spécifiques est également possible avec pour objectif de créer une synergie entre entreprises sur des problématiques communes. 

De gauche à droite : Michel Terrisse, maire d’Althen-des-Paluds et vice-président des Sorgues du Comtat, Thierry Lagneau, maire de Sorgues, vice-président des Sorgues du Comtat, Christian Gros, président de l’agglomération des Sorgues du Comtat, et Christophe Baudrier, président de l’association Luberon & Sorgues Entreprendre.

L’agglomération Sorgues du Comtat se tient donc à la disposition des entreprises afin d’identifier leurs projets de développement, les accompagner dans leur implantation où qu’elles se trouvent sur le territoire et quelle que soit leur activité. C’est dans cette optique que la communauté d’agglomération s’est engagé avec l’association Luberon & Sorgues Entreprendre qui lutte pour apporter de la cohérence territoriale sur un même bassin économique, à savoir le Luberon-Monts de Vaucluse-Pays des Sorgues.

Cet engagement s’est traduit par la signature d’une convention de partenariat programmée de 2024 à 2027 afin d’accompagner les entreprises industrielles dans leur transition écologique, numérique, énergétique et solidaire par la coopération inter-entreprises et suivre les grands projets en cours « on est très heureux que Sorgues du Comtat nous rejoigne dans notre projet de mutualisation des problématiques, des solutions et des études. Les entreprises doivent échanger pour trouver des solutions diverses et variées » a explicité Christophe Baudrier, le président de l’association.


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Les 11e Rencontres conviviales des Entreprises du Luberon et du Pays des Sorgues ont réuni près de 200 personnes au Domaine de la Citadelle à Ménerbes, à l’initiative de LES (Luberon & Sorgues Entreprendre). L’occasion pour la structure de remettre, lors de cette 5e édition, les trophées aux entreprises de l’ensemble du territoire Luberon Pays des Sorgues.

C’est ainsi que l’association d’entrepreneurs ‘LSE’ a plébiscité 5 dirigeants pour leur qualité de visionnaire et de développement de leur activité, particulièrement au chapitre de la Responsabilité Sociale et Environnementale –RSE- au service de l’attractivité du territoire. L’événement avait aussi pour but d’inviter les chefs d’entreprise à développer leur réseau en échangeant leurs cartes de visite.

Des dirigeants remarquables
C’est ainsi que Fleur Masson, dirigeante de La Biscuiterie solidaire ‘Le beau geste’ a reçu le trophée Jeune pousse ; Emilie et Vincent Avias de FDSPro, le trophée de l’audace ; Jérémie Marcuccilli de Kookabarra, le trophée de l’Engagement dans la vie locale ; Tandis que le Coup de cœur était décerné à Emilie Hédiard, du Camping de la Sorguette et qu’une distinction mettait également en valeur le groupe Mayoly, pour son unité de L’Isle-sur-la-Sorgue.

Fleur Masson entourée par Christine Hacques et Yves Bayon de Noyer

En savoir plus
Fleur Masson, ingénieure en agroalimentaire pour ‘La biscuiterie le beau geste’
Au tout début, Fleur Masson accompagnait les entreprises de l’agroalimentaire dans leur développement au sein de la fédération des entreprises agroalimentaires de la région Sud, avant de créer sa propre entreprise. C’est là qu’elle prend conscience des difficultés à faire se rencontrer entreprises et candidats motivés, sur fonds de fort taux de chômage, de faible niveau de formation des habitants actifs et une pauvreté prégnante. Avec sa maman, qui œuvre pour l’insertion professionnelle, Fleur bâtit son projet : créer une entreprise agroalimentaire et contribuer à insérer durablement, dans l’emploi, des publics fragilisés. Elle optera pour la fabrication de biscuits salés et sucrés bio réalisés à base de farines de légumineuses.

Emilie et Vincent Avias entourés de Yves-Bayon de Noyer et Christine Hacques

Emilie et Vincent Avias pour FDSPro
France Détection Services est grossiste expert depuis plus de 30 ans sur le marché des matériels et outillages spécialisés eau et assainissement. L’entreprise vient d’élargir sa gamme et est maintenant la référence en matériels et outillages spécialisés dévolus aux réseaux enterrés. Cela concerne l’eau potable et l’assainissement, le gaz, les réseaux de télécommunications souterrains, le blindage pour tranchées et fouilles. La société a été remarquée pour ses valeurs environnementales, pour son travail sur le tri et la diminution des déchets, le bien-être au travail, l’accès à la culture, les moments de convivialités, le développement des compétences et les actions solidaires.

Jérémie Marcuccilli entouré de Patrick Sintes et Christine Hacques

Jérémie Marcuccilli pour Kookabarra
L’histoire commence en 2002 en Australie quand Jérémie Marcuccilli, alors étudiant en MBA, découvre les bars à jus. Ce concept séduit le sportif de haut niveau qui étudie les possibilités d’exporter le procédé en France. Pour le futur dirigeant, le bien-être et l’équilibre, l’hygiène de vie, l’activité physique et mentale sont indissociables d’une alimentation saine et vitaminée. Après la création de gammes de jus de fruits, détox et Smoothie, Kookabarra lance les boissons du monde comme le gazpacho, le lait végétal à base de riz de Camargue et travaille –pour les professionnels de la restauration- sur la préparation de purées de fruits. Jérémie Marcuccilli bâtit son activité sur l’éthique, collabore avec des producteurs locaux, promeut un cadre de travail agréable ainsi que le bien-être au travail et le co-voiturage. Sa société met à disposition des collaborateurs des vélos électriques, l’accompagnement des jeunes et des associations culturelles et sportives, s’engage dans les réseaux et au respect de la planète.

Emilie Hédiard entourée de Pierre Gonzalvez et Christine Hacques

Emilie Hédiard pour le Camping La Sorguette
Situé à l’Isle-sur-la-Sorgue, le Camping La Sorguette créé en 1979 est tenu par la famille Hédiard depuis 1983 (40 ans). Au fur et mesure des années, le camping s’est largement orienté vers un tourisme vert et durable. D’une superficie de 2,5 hectares, avec 164 emplacements de 100 m² arborés, répartis autour de trois sanitaires, l’hôtellerie de plein air de La Sorguette accueille du 15 mars au 15 octobre, près de 40 000 visiteurs par an. De plus, l’installation propose 30 mobil homes récents et 13 hébergements insolites en location. C’est un camping municipal puisque la Mairie est propriétaire du terrain et des bâtiments en dur qui est géré par délégation de service public. Emilie Hédiard promeut le Camping autrement, un tourisme vert qui préserve le milieu naturel en interaction avec les acteurs du tourisme et producteurs locaux. La cheffe d’entreprise choisit des hébergements pour minimiser l’empreinte environnementale, procède au tri sélectif, au compostage, à l’entretien écologique des espaces, utilise des véhicules électriques, promeut la charte du campeur écolo, propose des navettes gratuites les jours de marché, fidélise ses équipes et travaille sur l’innovation.

28 candidatures
Vingt-huit candidatures avaient été déposées pour ravir l’un des quatre trophées et la distinction proposés par l’association LES (Luberon et Sorgues Entreprendre) qui a délégué à un Comité de sélection, le soin d’étudier les propositions et d’attribuer les distinctions.

Les membres du jury
Le jury était composé de la CCPSMV, Communauté de communes Pays des Sorgues et Monts de Vaucluse ; de la CALMV, Communauté d’Agglomération Luberon Monts de Vaucluse ; de la CMAR (Chambre des métiers et de l’artisanat de Provence-Alpes-Côte d’Azur) ; du Réseau Entreprendre ; d’Initiative Terre de Vaucluse ; du Lycée Alphonse Benoît ; du Greta (Groupement d’établissements publics locaux d’enseignements), d’anciens lauréats et d’une journaliste.

Les lauréats et partenaires

Le groupe Mayoly distingué pour son attrait à l’Ecologie industrielle et territoriale
Laura dos Santos, la directrice de Mayoly –dont l’un des produits phares est l’argile Smecta- et également vice-présidente de LES – a été mise à l’honneur pour sa qualité de manager de groupe industriel et, particulièrement, pour son investissement au cœur du territoire où elle invite ses collaborateurs à s’impliquer dans des pratiques vertueuses en matière d’environnement, de biodiversité et de coopération inter-industries. La distinction a été fabriquée par le souffleur de l’AS Verre de l’Isle-sur-la-Sorgue.

Dans le détail
Le groupe Mayoly a été distingué comme entreprise exemplaire pour l’investissement de l’équipe dirigeante dans les travaux des institutions comme le Plan de protection de l’atmosphère de la Dréal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) ; Pour son implication sur le terrain quant à l’animation de la communauté des industries et être à l’initiative de mutualisations ; Pour sa participation aux actions mutualisées ; A la création d’une communauté technique au sein du groupe Industries animée par un cadre de Mayoly ; L’engagement du groupe à réduire son empreinte carbone sur le territoire afin de préserver la biodiversité ; La conception d’un plan de sobriété et de développement durable pour aller au-delà des objectifs France 2030.

Laura Dos Santos dirigeante de l’unité Mayoly de l’Isle-sur-la-Sorgue

D’Ipsen à Mayoly
Pour mémoire, le Groupe pharmaceutique Ipsen a cédé son activité historique de santé familiale (Consumer Healthcare – CHC), à l’origine de sa création en 1929, au groupe pharmaceutique indépendant spécialisé dans la gastro-entérologie et la dermocosmétique Mayoly Spindler, en juillet 2022. Cette absorption de la médication familiale Ipsen valorisée à 350M€ pour un chiffre d’affaires annuel de 225M€ devrait permettre à Mayoly de doubler son chiffre d’affaires. Le portefeuille ainsi acquis regroupe les marques distribuées dans plus de 100 pays à travers le monde, telles que Smecta, Forlax, Fortrans et Tanakan.

La démarche Ecologie Industrielle et Territoriale (EIT)
Il s’agit d’une démarche fondée sur la coopération inter-entreprises associant acteurs publics et privés travaillant sur les principes de l’économie circulaire. La Région Sud et l’Adème sont les grands contributeurs et les soutiens de cette démarche.  En finançant les actions des porteurs de projet et en animant le réseau EIT. Sa mission ? Travailler sur la sobriété énergétique, la réduction de la consommation en eau, le réemploi de matériaux, la mobilité dans le bassin du Luberon et du pays-des-Sorgues, mutualiser les études, les formations et échanger sur les bonnes pratiques.

Les partenaires de la soirée
Les partenaires de la soirée présents étaient Christine Hacques, sous-préfète de l’arrondissement d’Apt pour la Préfecture de Vaucluse ; la Région Sud- Paca avec un entretien filmé de Bénédicte Martin, vice-présidente ; Pierre Gonzalvez Président et maire de l’Isle-sur-la-Sorgue et maire de l’Isle-sur-la-Sorgue ; Yves Bayon de Noyer, vice-président Développement économique et maire du Thor ; La Communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse représentée par Patrick Sintes, vice-président Développement économique et maire de Robion.

Les réseaux présents
Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance, Carpensud et Initiatives Terre de Vaucluse, la Chambre de Commerce et d’industrie de Vaucluse et la Chambre des métiers de Paca. Près de 200 personnes étaient présentes.

Près de 200 personnes ont assisté aux 11e rencontres conviviales des Entreprises du Luberon et du pays des Sorgues


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Le Parc naturel régional du Luberon, Luberon & Sorgues Entreprendre et le Grec-Sud (Groupe régional d’experts sur le climat) organisent le séminaire ‘Changement climatique : comment adapter mon entreprise ? Des solutions existent !‘ à destination des entreprises du Luberon le mardi 14 novembre à la Gare de Coustellet.

La rencontre ‘Changement climatique : comment adapter mon entreprise ? Des solutions existent !’ est organisée en partenariat avec la Gare de Coustellet, la Communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse, la Communauté de communes Pays d’Apt Luberon et Cotelub dans le cadre de leurs PCAET (Plan climat air énergie territorial).

Ce séminaire vise à apporter un éclairage sur l’impact du changement climatique au niveau local et à donner des pistes d’action et des outils concrets aux entrepreneurs du Luberon pour mieux anticiper, atténuer et s’adapter aux conséquences du changement climatique.

Le programme

Philippe Rossello, géographe et coordinateur du Grec-Sud, évoquera les enjeux du changement climatique et les risques associés de l’échelle globale à locale. Il fera un point sur les connaissances scientifiques les plus récentes, avec un focus sur la ressource en eau, l’énergie, la mobilité et la biodiversité.

Plusieurs entreprises du territoire qui sont engagées dans l’adaptation au changement climatique témoigneront telles que Kookabarra à Cavaillon, Florette à L’Isle-sur-la-Sorgue, et l’Atelier Ostraka à Robion.

Mardi 14 novembre. 18h. Inscription obligatoire en ligne. Gare de Coustellet. 105 quai des entreprises. Maubec.

V.A.


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Le mardi 6 juin dernier, l’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) a organisé la 7ᵉ édition de l’événement Parlons Ca$h au sein de l’entreprise CERIP à Robion. Plus de 300 chefs d’entreprises, acteurs économiques, étudiants et lycéens ont participé à cette soirée sur le thème ‘Nouveaux rapports au travail : je t’aime moi non plus ?! Quelles (r)évolutions pour l’entreprise ?’.

« Une édition de très haut vol. Ça fait du bien d’aborder ces sujets essentiels dans notre quotidien, en entreprise et pas que… », ont témoigné des personnes présentes. De nombreux intervenants ont pris la parole et partagé leur expérience au cours de la soirée tels que : Edwige Duchesne, DRH chez Aroma Zone à Cabrières d’Avignon, Nina Lausecker, co-fondatrice de Lokki Kombucha à Cavaillon, Elodie Sarfati, créatrice de People In à Avignon, Théo Rey, apprenti boucher au CFA d’Avignon, Laura Agrinier, étudiante en communication à l’université
d’Avignon, Thomas Moussaoui, gérant de Multi Diag Immo à Cheval-Blanc, mais aussi Benoît Serre, vice-Président de l’ANDRH et DRH L’Oréal France.

Les intervenants et animateurs de la soirée. DR

V.A.


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

L’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) organise une nouvelle édition de l’événement Parlons Ca$h le mardi 6 juin à chez CERIP à Robion sur le thème ‘Nouveaux rapports au travail : je t’aime moi non plus ?! Quelles (r)évolutions pour l’entreprise ?’.

Télétravail, co-working, mode projet… l’entreprise et son fonctionnement sont en pleine mutation de nos jours. C’est le thème que va aborder la 7ᵉ édition de Parlons Ca$h le mardi 6 juin. L’événement évoquera la pandémie et l’expérience des confinements qui ont précipité
des évolutions émergentes et favorisé de nouvelles pratiques de management ainsi qu’une autre façon de concilier vie de famille et vie professionnelle, mais aussi les nouvelles aspirations portées par la jeune génération.

Cette année, près de 300 chefs d’entreprises, entrepreneurs locaux et jeunes arrivant sur le marché du travail bénéficieront d’informations essentielles pour leur activité et leur projet professionnel, de manière efficiente, pragmatique et sympathique. Lydia Biskri, animatrice du podcast ‘Ambition’ depuis juillet 2021, animera la soirée. Elle mènera également une équipe de jeunes lycéens qui animera les débats et les tables rondes de la soirée.

Le programme

L’événement sera marqué par deux temps forts. Dans un premier temps, il y aura des tables rondes au cours desquelles étudiants, alternants, recruteurs, et dirigeants partageront leur expérience. Deux thèmes seront abordés : les aspirations et ambitions des jeunes au travail, ainsi que le pouvoir d’attraction des entreprises et leur sens de l’adaptation.

Dans un second temps, il y aura le grand témoignage de Benoît Serre, vice-président délégué de l’ANDRH & DRH L’Oréal France, qui dévoilera son expertise et son approche concrète sur les évolutions du monde du travail. Ce retour d’expérience sera suivi d’un séance questions/réponses.

D’autres représentants d’entreprises prendront la parole durant la soirée tels que ceux de People In à Avignon, Aroma Zone à Cabrières d’Avignon, ou encore Lokki Kombucha à Cavaillon.

Informations pratiques

Il est encore temps de réserver son billet en ligne pour le prix de 42€ tarif plein, ou 10€ pour les étudiants. Les adhérents LSE doivent se tourner vers l’association d’entrepreneurs afin d’obtenir un code réduction avant de s’inscrire.

V.A.


Théus Industries rejoint le club très fermé des entreprises du patrimoine vivant

Après une 6ᵉ édition qui a réuni près de 200 personnes l’année dernière chez l’entreprise Naturalys à l’Isle-sur-la-Sorgue, l’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) réitère l’opération et organise une nouvelle édition de l’événement Parlons Ca$h.

Le mardi 6 juin prochain, entrepreneurs, étudiants, et autres acteurs de l’économie vauclusienne se réuniront chez CERIP, entreprise spécialiste des systèmes de convoyage, à Robion pour une nouvelle soirée Parlons Ca$h.

Comme pour chaque édition, la soirée sera rythmée par plusieurs temps forts partagés entre témoignages, tables rondes, échanges et débats. Cette 7ᵉ édition abordera le thème des nouveaux rapports au travail.

Il est d’ores et déjà possible de s’inscrire et d’acheter son billet en ligne pour le prix de 42€, ou 10€ pour les étudiants. Les adhérents à LSE sont invités à s’adresser à l’association avant de prendre leur billet afin d’obtenir un code de réduction, ils paieront 36€.

V.A.

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