Vaucluse Provence Attractivité réédite son guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’
Vaucluse Provence Attractivité (VPA), agence départementale du développement, du tourisme et des territoires, et les éditions Héliopoles viennent de sortir une nouvelle version du guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’, suite au grand succès rencontré par la première édition.
« Il y a ceux qui rêvent du Sud et il y a ceux qui envoient leur CV ! » Telle est l’une des devises de VPA qui vient d’éditer une version actualisée de son guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’. Publié en septembre 2021, ce guide, qui vise les potentiels futurs talents du Vaucluse, est de nouveau disponible après avoir subi quelques ajustements et ajouts.
Disponible en librairie depuis le 12 septembre, le guide est organisé en neuf chapitres : Découvrir, Vivre, Se loger, S’intégrer, Sortir, Consommer, Grandir, Étudier et Travailler. Cela permet donc au lecteur d’avoir une vision plus précise et concrète du territoire. Différentes problématiques auxquelles un nouvel arrivant dans le département pourrait être confronté sont abordées au fil des pages comme trouver un logement, choisir un établissement scolaire pour ses enfants, prévoir ses loisirs, accéder aux soins de santé, etc.
Ce guide a été créé grâce à la participation notamment des développeurs économiques et touristiques en charge de l’attractivité du territoire, à savoir ceux qui connaissent le mieux le Vaucluse.
Vaucluse Provence Attractivité réédite son guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’
Les Éditions Afnor publient le format poche du livre Établir mes documents ISO 9001, un guide pratique qui propose des modèles à suivre pour mettre en place efficacement l’ISO 9001.
Destiné à tout professionnel concerné par la qualité et les systèmes de management, cet ouvrage évoque les documents à utiliser pour accompagner la démarche qualité, sous quelle forme les présenter, et comment alléger au maximum la documentation nécessaire.
Ce livre a été coécrit par Frédéric Paris, qui a intégré le Groupe Afnor en tant que formateur et auditeur ICA et responsable de l’antenne Pays de Savoie, et Jean-Marc Gandy, formateur et consultant dans les domaines de l’organisation commerciale et du management d’équipe. Il développe une approche pédagogique originale en partant de la documentation qualité, pour rendre accessible à tous la logique des systèmes de management de la qualité. Il propose également au lecteur de nombreuses méthodes tirées de l’expérience des auteurs et de nombreux supports, modèles et exemples de documents, dont l’entreprise pourra directement s’inspirer.
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Les Editions Gereso viennent de publier un livre de Damien Péan intitulé ‘Comprendre les comptes annuels’. Il s’agit de la 6e édition de ce guide pratique qui ambitionne d’être un outil de gestion d’entreprise pour les non-financiers.
Bilan, résultat, taux de rentabilité, besoin en fonds de roulement…Quel responsable ou manager n’a jamais été confronté à des données financières ? Du business plan aux bilans et comptes de résultat, en passant par la gestion de la trésorerie, toute la vie de l’entreprise est dépendante de ces chiffres. À chacune de ces étapes, le manager se retrouve en première ligne, confronté à des éléments financiers qu’il doit comprendre et interpréter pour bien les présenter et ainsi prendre les meilleures décisions.
Mener une analyse financière pertinente C’est à ces nombreuses questions que la 6e édition du guide ‘Comprendre les comptes annuels’ ambitionne de répondre en proposant un outil de gestion d’entreprise pour non-financiers (Dirigeants, managers, cadres, responsables, actionnaires…). Illustré de nombreux exemples, cet ouvrage décrypte toutes ces notions financières par une explication pratique à la portée de tous. Le guide, qui intègre le contexte de la crise sanitaire et du mouvement inflationniste qui a suivi l’invasion de l’Ukraine, évoque la manière de mener une analyse financière pertinente dans ces contextes.
« Quelles que soient les qualités du manager et ses intuitions, il devra, tôt ou tard, confronter ses idées et mesurer ses performances par des chiffres. »
« Toute entreprise et tout organisme économique en général aspirent à assurer leur pérennité, voire leur développement, » explique l’auteur, Damien Péan, titulaire d’un DESCF en comptabilité et finances.
Ce consultant et formateur qui intervient dans les domaines de la comptabilité, du contrôle de gestion, de la fiscalité et de l’analyse financière auprès d’un public d’étudiants et de professionnels d’entreprise poursuit : « c’est l’objectif de tout manager de guider son organisation à travers une offre commerciale et une stratégie pertinente, à la recherche d’efficacité. Mener à bien cette ambition va nécessiter, pour créer ou développer l’organisation, de formaliser son projet, d’avoir les bonnes idées, ainsi que le sens de la gestion et des relations humaines. Mais, quelles que soient les qualités du manager et ses intuitions, il devra, tôt ou tard, confronter ses idées et mesurer ses performances par des chiffres ! Des termes flous pour tout non-initié commencent alors à faire leur apparition : bilan, résultat, taux de rentabilité, besoin en fonds de roulement, etc. Ces termes, ces chiffres peuvent sembler réservés à des comptables, des financiers. Après tout, comprendre et maîtriser ces chiffres n’est pas le métier du manager. Il a d’ores et déjà d’innombrables tâches annexes à exécuter et à gérer. Pourtant, toute la vie de l’entreprise est décrite par ces chiffres. »
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C’est le créateur de cette maison d’édition, le sociologue Jean Viard, qui depuis un demi-siècle scrute nos us et coutumes, décrypte et dissèque nos dérives, qui préface ce livre et propose sa « Politique du voyage – Une menace – Des solutions ». Il le fait en une trentaine de pages, en amont de l’étude de Linda Lainé, rédactrice-en-chef du magazine L’Echo touristique.
Il commence par une provocation : « Il n’y a pas assez de touristes », quand les Vauclusiens patientent derrière des mobil-homes qui roulent à 20km/h dans la montée du Ventoux ou quand ils font la queue pendant de longues minutes, à Avignon, sur les bords du Rhône, au feu tricolore qui permet d’accéder au parking du Palais des Papes mais ne laissent passer que trois voitures à la fois sous un soleil de plomb pendant le ‘In’ ou le ‘Off’.
Jean Viard, poursuit : « Un milliard de frères Terriens seulement, franchissent une frontière chaque année. Ils étaient 60 millions en 1968. Je rêve qu’ils deviennent 3 milliards. Cette ouverture peut sembler à contre-emploi, pourtant, avant de débattre des impacts écologiques, culturels et sociaux des voyages, il faut rappeler que le voyage, dans nos sociétés moderne est ce qui fait de nous des citoyens de France. Auparavant, les sociétés et les nations se réunissaient par mondes religieux ou par empires, et on pouvait vivre des siècles sans connaître l’existence de l’Amérique ou de l’Afrique. »
Il poursuit : « Le voyage, la découverte de l’autre, de la diversité des cultures et des écosystèmes, c’est ce qui nous intègre à la société et au monde. Or c’est parce qu’on fera humanité commune qu’on gagnera la guerre climatique ». Il revient sur l’épisode pandémie de 2019. « 5 milliards d’hommes se sont battus ensemble pour vaincre le Covid. Chacun a modifié son comportement, moins voyagé, réorganisé des circuits économiques et on a pris conscience qu’on pouvait ensemble gagner une bataille planétaire. »
Parmi les conséquences du confinement, il cite quelques exemples : « On a enlevé un milliard d’enfants des écoles, 48% des Américains ont quitté leur emploi, 10% des Chinois ont divorcé, en France un million de couples se sont séparés, 25% des salariés sont passés ou télé-travail. D’innombrables urbains ont quitté la ville ou séjournent plus longtemps dans leur résidence secondaire et les Airbnb. » Bref, la pandémie a modifié notre regard, notre vie, notre façon de considérer le monde, la société a évolué.
Plus de tourisme mais moins de surtourisme
C’est à ce momen-là que Jean Viard explique sa démonstration , en soupesant le pourcentage entre risques et bénéfices. « Il nous faut plus de touristes si on veut créer une société unie, rassembler les groupes différents (d’origine, de culture, de revenus, de régions), il faut aider ceux qui ne peuvent pas partir en vacances. Or, 30 à 40% des Français ne voyagent pas, surtout les jeunes des ‘quartiers’ qui vivent cette astreinte à résidence comme une exclusion des valeurs communes ».
Mais pour éviter le surtourisme, la foule et les embouteillages quand on va à St-Tropez le matin et qu’on quitte la Madrague, le Musée de la Gendarmerie cher à Louis de Funès ou la Place des Lices dans la soirée, il faut ré-gu-ler, martèle-t-il. « Il faut diviser les flux par le numérique comme dans les Calanques où on retient son entrée sur internet pour visiter Sugiton à Marseille ou Sormiou à Cassis. Avant, 2 000 touristes venaient piétiner la flore chaque jour pour contempler l’imposant Cap Canaille, un massacre pour l’écosystème. Quel est le charme? On a limité à 400 personnes. Les gens sont heureux d’avoir accès gratuitement à un luxe et apprécier d’être peu nombreux à cet endroit de rêve. » Il faut étaler les vacances dans l’année, sur les quatre saisons.
« Le travail des professionnels du tourisme, c’est d’enrichir en culture, de créer la possibilité de rencontres avec l’art, la musique. Amener la culture dans des lieux de pratique populaire est un enjeu majeur. Les 7 millions de Français qui assistent aux festivals l’été ne sont pas toujours des gens qui vont au spectacle pendant l’année. » Non sans humour, Jean Viard cite un de ses confrères, Jean-Didier Urbain, le sociologue spécialiste du tourisme : « Il y a deux endroits de grande densité sur la planète : les cimetières et les plages. »
Dans sa préface, Jean Viard conclut : « La question qui nous est posée aujourd’hui est celle de notre capacité à construire un commun suffisamment fort pour gagner la bataille du bas carbone de l’industrie du vivant et de l’économie de la réutilisation. Un tourisme à réguler mais à protéger dans une civilisation du voyage et de la découverte. »
Un tourisme plus raisonné
C’est alors que Linda Lainé entame sa démonstration : « Ils ont longtemps été désirés et choyés pour la manne qu’ils représentent, mais les touristes en rangs trop serrés ne sont plus accueillis à bras ouverts. Venise, New-York, Barcelone ou Dubrovnik s’interrogent et règlementent. Les populations locales se sentent asphyxiées. »
Alors que le 80ème Anniversaire du Débarquement de 1944 en Normandie, Le Tour de France cycliste, les Jeux Olympiques et Paralympiques et les festivals sont des temps forts du tourisme cet été, que la France va attirer plus de 100 millions de visiteurs, le Vaucluse plus de 4 millions, la rédactrice-en-chef de L’Echo touristique, Linda Lainé, recommande d’être des « voyage-acteurs ». De participer à la préservation de l’environnement, à l’amélioration de la vie locale, à des années-lumière du tourisme prédateur. Quant à un tourisme « réparateur » laissant le lieu visité dans un meilleur état qu’à son arrivée, il pourrait prendre racine à son tour. « Nous avons tant de plaies à soigner sur notre splendide planète. Voyageons en pleine conscience. »
Voyage au pays du surtourisme – Editions de l’Aube – 17€ 331 Rue Amédée Giniès. La Tour d’Aigues. 04 90 07 46 60.
Vaucluse Provence Attractivité réédite son guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’
« Paul Auster et Actes-Sud, c’était un long compagnonnage, une amitié sans failles depuis des décennies » explique Françoise Nyssen, ancienne Ministre de la Culture et fille d’Hubert Nyssen qui a fondé cette maison d’édition en 1978, près du Rhône. « Mon père était fou de littérature américaine, il avait fait connaissance de Paul Auster à New-York, à Brooklyn où il était né et il trouvait qu’il renouvelait le genre littéraire, du coup, il n’a eu de cesse de le faire traduire et de le publier en français ».
Une œuvre qui a fait grandir Actes Sud « Paul Auster n’est pas, dans le catalogue d’Actes Sud, un auteur parmi d’autres, confirme Bertrand Py directeur éditorial des éditions Actes Sud. Sa rencontre avec nos éditions – à l’époque presque aussi inconnues qu’il l’était lui-même dans son propre pays – date d’un voyage d’Hubert Nyssen à New York, au milieu des années quatre-vingts. Dès que fut traduit (par Pierre Furlan) Cité de verre, Paul Auster vint à Paris où la modeste maison arlésienne avait organisé, dans l’enthousiasme, comme s’il s’était agi du nouveau prix Nobel, une ‘conférence de presse’ ! C’est qu’immense était alors en France le désir de lectures neuves, l’appétit de traduction. Et rapidement, la subtilité narrative et les chausse-trappes existentielles de la Trilogie new-yorkaise, portées par le charisme, la poésie et l’érudition francophile de Paul Auster, allaient s’imprimer – le mot dit bien la chose – dans l’identité littéraire de toute une génération. Être son éditeur – ou son éditrice, en l’occurrence Marie-Catherine Vacher – était une chance, et devint pour Actes Sud une carte de visite circulant amplement dans le cercle toujours plus large des amis de Paul Auster… Son œuvre n’en était qu’à ses débuts – mais déjà nous faisait grandir. Et quand ici ou là sont cités les noms des fondateurs d’Actes Sud, il faudrait ajouter qu’assurément, la confiance que Paul Auster leur a accordée fut aussi bienfaisante que déterminante dans leur histoire. »
Une quarantaine d’œuvre publiée En tout, une quarantaine d’œuvres sont sorties de chez Actes Sud, dès 1987 avec « La cité de verre », premier volume de la fameuse trilogie new-yorkaise, puis « Le voyage d’Anna Blume », « Moon palace », « Leviathan », qui a reçu le Prix Medicis étranger, « Mr Vertigo », « Le livre des illusions », « Brooklyn Follies », « Sunset Park ». Francophone et francophile, il était régulièrement invité d’honneur des émissions de Bernard Pivot ou François Busnel à la télévition qui ont contribué à le faire connaître au grand public.
Son dernier roman « Baumgartner » vient tout juste de sortir chez Actes-Sud, il y est question de la puissance de l’amour et des méandres du deuil. Paul Auster avait 77 ans et il avait perdu son fils, victime d’une overdose, en 2022.
Bibliographie Trilogie new-yorkaise ; Babel no 32 : – Vol. 1 : Cité de verre, 1987 ; – Vol. 2 : Revenants, 1988 ; – Vol. 3 : La Chambre dérobée, 1988. L’Invention de la solitude, 1988 ; Babel no 41. Le Voyage d’Anna Blume, 1989 ; rééd. Sous le titre Au pays des choses dernières, Babel no 60. Moon Palace, 1990 ; Babel no 68. La Musique du hasard, 1991 ; Babel no 83. L’Art de la faim, 1992.Le Carnet rouge, 1993. Le Carnet rouge / L’Art de la faim, Babel no 133. Léviathan, 1993 (prix Médicis étranger) ; Babel no 106. Disparitions (en coédition avec les éditions Unes), 1994 ; Babel no 870. Mr Vertigo, 1994 ; Babel no 163. Smoke / Brooklyn Boogie, 1995 ; Babel no 255. Le Diable par la queue, 1996 ; Babel no 379. La Solitude du labyrinthe (entretien avec Gérard de Cortanze), 1997 ; Babel no 662, édition augmentée. Lulu on the bridge, 1998 ; Babel no 753. Le Noël d’Auggie Wren, Actes Sud Junior, 1998. Tombouctou, 1999 ; Babel no 460. Laurel et Hardy vont au paradis suivi de Black-Out et Cache-Cache, Actes Sud-Papiers, 2000. Je pensais que mon père était Dieu, 2001 ; Babel no 556. Le Livre des illusions, 2002 ; Babel no 591. Constat d’accident, 2003 ; Babel no 630. Histoire de ma machine à écrire (avec Sam Messer), 2003. La Nuit de l’oracle, 2004 ; Babel no 720. Brooklyn Follies, 2005 ; Babel no 785. Dans le scriptorium, 2007 ; Babel no 900. La Vie intérieure de Martin Frost, 2007 ; Babel no 935. Seul dans le noir, 2009 ; Babel no 1063. Invisible, 2010 ; Babel no 1114. Sunset Park, 2011 ; Babel no 1177. Chronique d’hiver, 2013 ; Babel no 1274. Ici & maintenant. Correspondance 2008-2011 (avec J. M. Coetzee), 2013. Excursions dans la zone intérieure, 2014 ; Babel no 1384. La Pipe d’Oppen, 2016 ; Babel no 1490. 4 3 2 1, 2018 (Prix du Livre Inter étranger) ; Babel no 1660. Une vie dans les mots. Conversations avec I. B. Siegumfeldt, 2020 ; Babel no 1774. Burning Boy. Vie et œuvre de Stephen Crane, 2021. Pays de sang. Une histoire de la violence par arme à feu aux États-Unis (avec Spencer Ostrander), 2023. Baumgartner, 2024. Dans la collection “Thesaurus” : Œuvres romanesques, t. I, 1996. Œuvres romanesques et autres textes, t. II, 1999. Œuvres romanesques, t. III, 2011.
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Né dans le Gard et résidant à Avignon, Alain Glasberg vient de publier son roman Un Indien sans réserve aux éditions Baudelaire. Dans cette œuvre, il raconte la vie de Serge Tremblay-Manigouche, rythmée par les femmes, la boxe et la justice, qu’il a rencontré en 1978 à Chicoutimi, au Québec.
Alain Glasberg est un producteur, réalisateur et scénariste. Au cours de sa carrière, il a réalisé plusieurs projets novateurs et a produit de nombreux films et programmes pour la télévision, ainsi que des documentaires. Depuis 2019, il préside l’IMCA, un centre de formation audiovisuelle et cinéma à Sorgues, près d’Avignon. En ce début 2024, il publie son roman Un Indien sans réserve aux éditions Baudelaire.
Au cours de 208 pages, le lecteur en apprend plus sur la vie de Serge Tremblay-Manigouche, un Indien Montagnais qui a été enlevé à sa mère, qu’il a retrouvé à l’âge de 25 ans, par des curés à la naissance, puis adopté par un couple de blancs : les Tremblay. Après ses études supérieures, il est devenu champion de boxe du Québec en catégorie amateur, et est devenu le premier avocat indien du Québec en 1980. À travers Un Indien sans réserve, Alain Glasberg raconte l’histoire de ce défenseur des peuples autochtones du Québec. Un homme au destin peu ordinaire qu’il a rencontré dans les années 1970 et qui n’a jamais quitté son esprit.
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L’ouvrage Rando-vin dans les Côtes du Rhône, sous-titré ‘Belles balades et domaines viticoles de qualité‘, vient de paraître aux éditions du Chemin des crêtes. Les amateurs de vins et de plein air pourront (re)découvrir le vignoble des Côtes du Rhône et Côtes du Rhône Villages autrement pour le prix de 24€.
Cet ouvrage de 208 pages, une sélection de 38 domaines viticoles est présentée à travers les départements du Rhône, de la Drôme, de l’Ardèche, du Vaucluse et du Gard. Ainsi, 38 itinéraires de randonnées de niveau accessible et cartographiés sont proposés.
L’amour des vignerons pour la terre et leurs pratiques pour préserver la biodiversité seront mises en avant dans ce guide, divisé en trois parties : la cave dégustation, la cave découverte et la cave expérience.
Les 38 destinations suivent la démarche du label ‘Rendez-vous Terroirs’, mis en place par Inter Rhône, qui assure aux visiteurs une prestation de qualité dans les maisons et domaines, ambassadeurs de leur territoire, à travers leur patrimoine architectural, qui est porteur des valeurs de partage et de convivialité des vignobles des Côtes du Rhône, et invite à la découverte.
Vaucluse Provence Attractivité réédite son guide ‘S’installer dans le Vaucluse Provence’
Le livre Dans la tête de Glenn Viel, qui retrace les dernières années du chef de L’Oustau de Baumanière, aux Baux-de-Provence, depuis son arrivée en Provence en 2015, a remporté le prix de ‘Best Chef Book in the World 2023’ au concours Gourmand Awards.
Dans la tête de Glenn Viel n’a pas été écrit par le chef étoilé de L’Oustau de Baumanière. Ce n’est pas non plus un ouvrage dans lequel on trouve ses recettes fétiches. Anne Garabédian, journaliste, et Jean-Philippe Garabédian, photographe, ont suivi et écouté Glenn Viel pendant plusieurs années raconter l’évolution de sa réflexion culinaire. Depuis huit ans, ils sont les témoins de tous les tests qu’il fait dans sa cuisine.
Publié aux éditions Le Cœur des Chefs en novembre 2022, le livre a obtenu le prix international du Meilleur livre de chef au monde 2023. Parmi les ouvrages sélectionnés dans 205 pays, Dans la tête de Glenn Viel s’est démarqué grâce à son côté atypique, voire audacieux. « Ce livre est vraiment surprenant : il ne ressemble à aucun autre, a révélé Edouard Cointreau, fondateur des Prix Gourmand, lors de la cérémonie de remise des prix. Loin des livres de chefs classiques, on peut vraiment ici entrer dans la tête du chef, qui explique sa réflexion en confiance, jour après jour, avec ses tests, ses succès et ses erreurs. »
V.A.
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Dessinateur attitré de l’Echo du mardi, l’illustrateur humoristique avignonnais Wingz sort deux nouveaux albums. L’un sur le trail et l’autre sur le vélo. Des ouvrages qu’il est possible de commander en ligne dans le cadre d’une souscription qui vient d’être prolongée d’une semaine.
Le dessinateur Wingz édite deux nouveaux albums. Le premier est consacré au ‘trail’ (course à pied sur sentier en pleine nature). Il s’agit d’une récidive puisque l’illustrateur avignonnais avait déjà édité un premier ‘Dingues de trail’ en 2019. Pour ce nouvel opus baptisé, ‘Dingues de trail 2’, Wingz propose plus de 90 illustrations inédites sur cette pratique sportive. De la difficile période de confinement lié au Covid jusqu’à la reprise des courses, ses sources d’inspiration se sont multipliées. Le matériel, l’entraînement, la nutrition, les blessures, les grandes courses, la vie de famille… tout y passe !
Wingz s’attaque aussi au Vélo Après le trail, l’artiste vauclusien s’attaque aussi à la petite reine avec l’ouvrage ‘Dingues de vélo’. Un album de plus de 45 dessins, illustrant avec humour le monde du cyclisme à travers l’entraînement, le matériel, les courses et les cols mythiques… Il faut dire que Wingz connaît bien les deux disciplines puisqu’il collabore avec les magazines Nature Trail et Cyclist depuis leur lancement, respectivement en 2014 et 2016.
« Une illustration originale en lien avec l’actualité, la saison ou la pratique sportive se glisse dans chaque numéro, explique Turbulences Presse et Éditions, l’éditeur auvergnat qui accompagne le projet. Les lecteurs affectionnent particulièrement ce billet ou ce rayon d’humour qu’ils attendent et lisent toujours en premier. Wingz s’amuse à croquer l’univers du vélo avec un regard expérimenté et une drôlerie incroyable. Ancien cycliste amateur et triathlète, il adore caricaturer les travers des passionnés. Il s’inspire au quotidien de l’expérience de pratiquants qu’il suit via les courriers des lecteurs et les réseaux sociaux. Chaque page est un sourire assuré… de la bonne humeur en barre ! » Les deux ouvrages sont disponibles dans le cadre d’une souscription qui vient d’être prolongée jusqu’au mercredi 15 novembre prochain (voir détail en fin d’article).
Dessinateur de presse spécialisé dans les sujets politiques, Wingz dessine des caricatures pour la presse papier, internet, la télévision et l’édition. Fan de sport, le dessinateur n’a pas toujours caricaturé, du moins pas professionnellement. Après un diplôme d’ingénieur spécialisé dans la conception de produits, il travaille 15 ans comme chef de projets en entreprise, à concevoir des capots de voiture, des vélos pour l’enseigne Décathlon notamment, puis du matériel de piscine. En 2006, il décide de se mettre à son compte et réalise alors de nombreux dessins de presse d’actualité ou d’humour. Outre Nature Trail et Cyclist, il dessine, entre autres, pour Metronews, 60 millions de consommateurs, l’Almanach des grosses têtes, l’almanach Vermot, Siné mensuel et Le bouche à Oreille. Wingz accompagne également les entreprises dans leur communication grâce au dessin d’humour.
Humour ‘très con’ pour l’Echo du mardi depuis 2014 Celui qui aime « l’humour très con » est également le dessinateur attitré de l’Echo du mardi depuis près de 10 ans maintenant. Il a réalisé près de 500 dessins pour notre publication. En 2017, Wingz, de son vrai nom Benjamin Roussé, a notamment remporté le prix du public au festival du dessin de presse Fidep (Festival international du dessin de presse, de la caricature et de la satire) de l’Estaque à Marseille. Auparavant, il a été aussi lauréat 2016 du trophée Presse-Citron dans la catégorie ‘L’enfant terrible de l’année’ du concours organisé par la BNF (Bibliothèque nationale de France) et l’école Estienne (ndlr : l’école supérieure des arts et industries graphiques de Paris). Un prix attribué par un jury de professionnels, parmi plus de 120 dessinateurs de presse professionnels nationale pour un dessin publié dans l’Echo du mardi. Un dessin, Wingz met entre une et quatre heures à le réaliser « Ça dépend si l’inspiration vient rapidement ou non… ».Des heures de travail pour des milliers de sourire volés.
L.G.
‘Dingue de trail 2’. 96 pages en quadrichromie. 1 dessin par page. Format 24 x 16 cm. couverture cartonnée. Prix : 19,90€
‘Dingue de vélo’. 48 pages en quadrichromie. 1 dessin par page. Format 21 x 28 cm. couverture cartonnée. Prix : 18,90€