20 avril 2025 |

Ecrit par le 20 avril 2025

Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Créé en avril 2023 au Théâtre du Balcon, joué à guichet fermé pendant le festival Off, le Fossé, premier texte de Jean-Baptiste Barbuscia, mis en scène par Serge Barbuscia joue les prolongations hors les murs

C’est ainsi que pendant le mois d’octobre des représentations seront données au Château de Fargues dans le cadre de la saison culturelle de la ville du Pontet. L’association des Amis du Théâtre Populaire (ATP) – dont l’objet est de fidéliser toute l’année un public curieux et ouvert au plaisir d’un théâtre populaire et exigeant – a été également séduite par cette fable contemporaine grinçante à souhait. Le Fossé sera présenté en soirée mais également à un public scolaire car ce spectacle ne peut que séduire une génération qui se cherche et qui ne demande peut-être qu’à creuser….ou pas.

Le Fossé, une fable contemporaine qui fait mouche à chaque réplique.
Ils sont 5 sur scène et tout à la fois : le colon, l’émigré, la prostituée, la mère, la sœur, le joueur de claquettes, dieu dans un environnement peuplé de bouc, lion ou papillon. Il y a du Godot, il y a du Becket mais il y a surtout la plume acerbe de Jean-Baptiste Barbuscia dont c’est le premier texte et la mise en scène alerte de son metteur en scène de père, Serge Barbuscia. Ainsi ce lien intergénérationnel se prolonge sur scène avec humour et gravité à la fois.Les différents niveaux de lecture et de points de vue permettent à chacun de nous d’explorer le monde et ses profondeurs.

Mardi 10 Octobre.14h30 et 20h30. 6 à 14€. Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet. Mercredi 18 Octobre.20h. Jeudi 19 Octobre .10h et 14h30. Dans le cadre des Amis du Théâtre Populaire ( ATP). Théâtre Benoît XII,  12 rue de Teinturiers, Avignon. Pour toutes les séances, les réservations se font auprès du Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80. contact@theatredubalcon.org


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

La radio RCF 84 et Cinéma Capitole myCinewest proposent la rediffusion du ‘Huitième jour’ du réalisateur Jaco van Dormael avec les comédiens Daniel Auteuil et Pascal Duquenne. A l’issue de la projection, RCF entamera le débat sur ‘La différence est-elle acceptable en société ?’ avec Emilie Bourdellot directrice de la Radio RCF Vaucluse et Marc Chabaud. Exclusion, marginalité, culture et handicaps, où en sommes-nous dans notre société ? L’Echo du mardi, partenaire de cet événement propose, pour l’occasion, de donner la parole à des parents et des accompagnants de personnes en situation de handicap. Que vivent-ils ? Qu’est-ce qui a changé en 28 ans ?

Le Huitième jour est sorti en salle il y a 28 ans.
Depuis notre regard sur la différence et le handicap a-t-il vraiment changé ? La société est-elle vraiment devenue inclusive ? Des témoignages de professionnels et de familles émailleront les réflexions sur vers quoi la société tend, avec quels moyens, ce que vivent la personne en situation de handicap et les accompagnants.

«Je voulais raconter le choc entre deux mondes,
celui qui est considéré comme ‘normal’ et celui qui ne l’est pas, confiait, il y a 28 ans Jaco van Dormael, le réalisateur du Huitième jour’. Filmer la grâce dans ce qui semble ordinaire. Témoigner d’une autre façon d’appréhender le monde et la vie, d’une autre conscience de l’univers, riche, multiple, qui nous révèle à nous-mêmes notre capacité à aimer.»

Synopsis
Harry est un type normal. Très normal. Il trouve, sur la route, Georges. ‘Moi Mongol’ dit Georges. Harry veut le ramener chez lui. Il n’arrive plus à s’en débarrasser. Il s’y attache. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables. Plus rien ne sera comme avant. Tant mieux pour Harry.

Pourquoi ce film ?
«C’est en faisant des courts-métrages avec eux que j’ai rencontrés ces personnes en situation de handicap –trisomie 21-.Je crois que si je m’y intéresse c’est que, tout simplement, je me sens bien avec eux. Ils donnent énormément. Ils ont un talent de vivre, d’aimer la vie, la minute présente, qui nous fait souvent défaut. C’est l’amour sur terre. C’est un monde qui vit juste à côté de nous et dont nous n’avons pas connaissance. Tous les pays ont été explorés, toute la surface de la terre a été visitée. Il reste, pourtant, des univers inconnus ici même, si nous prenons le temps de les voir. Pour moi, ils symbolisent la différence, une autre façon de voir le monde.»

Et puis…
«Le Cinéma permet de réveiller des émotions enfouies… fait partager une expérience, une rencontre qui seraient improbables dans la vie. Il réveille l’intérêt pour les autres. Dans mes films, je cherche à ce que le spectateur se sente bien, quand le film est fini, qu’il soit content d’être en vie, qu’il s’intéresse aux autres êtres humains. »
Extrait de l’entretien du dossier de presse du Huitième jour

Les infos pratiques
Dimanche 15 octobre. En salle à partir de 15h30. 6€. Projection du film à 16h. Débat de 18h à 19h sur les thèmes du handicap et de la différence avec la salle et de grands témoins. Cinéma Capitole MyCinewest 161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Sous l’impulsion de sa nouvelle directrice générale Barbara Martin Coppola, transfuge d’Ikea, le groupe nordiste Décathlon souhaite désormais se débarrasser de ses magasins les moins rentables selon nos confrères de Capital.
Une démarche déjà entreprise avec la fermeture, le 2 septembre dernier, du site de Villefranche-de-Rouergue dans l’Aveyron. Un peu plus tôt dans l’été, c’est le magasin de Nantes-Treillières qui a baissé définitivement le rideau fin juillet dernier alors que, début 2023, c’est ceux de Limoges-Le Vigen et de Strasbourg-Hautepierre qui ont arrêté leur activité.
Plus loin dans le temps, on peut considérer que ce mouvement avait déjà été initié avec les fermetures des Décathlon de Nanterre en juillet 2021, de la Trinité, à côté de Nice, en septembre 2020 ainsi que celui de Malakoff en décembre 2019.

Quid des magasins vauclusiens ?
En Vaucluse, l’enseigne est historiquement présente au Pontet, dans la zone d’Avignon-Nord, avec un magasin de 8 200 m2 de surface de vente inauguré en 2002 avant d’être agrandi en 2011. Ce magasin étant autrefois situé à Sorgues dans un bâtiment plus petit abritant Cultura aujourd’hui.
Dans le département, Décathlon est aussi installé dans la zone d’Avignon-Sud, à côté de Mistral 7, dans un magasin 3 000 m2 après avoir quitté la galerie du centre commercial en 2003. L’enseigne est encore présente avec les magasins de Cavaillon, Orange et Bollène.
Actuellement, le groupe fondé en 1976 compte 1 751 magasins (pour près de 105 000 salariés et un chiffre d’affaires de 15,4 milliards d’euros en 2022), dont 325 en France. Outre la fermeture des points de vente les moins rentables, il privilégie désormais l’ouverture de nouveaux espaces de vente plus petits ou bien la réduction de certains des magasins actuels.
A ce jour cependant, la direction du groupe, longtemps enseigne préférée des consommateurs français avant d’être détrônée par Action cette année, n’a pas communiqué dans le détail sur l’avenir des magasins éventuellement concernés par des fermetures ou des réaménagements.

Objectif : plus de numérique et moins de marques propres
La nouvelle dirigeante de l’enseigne souhaite également développer les ventes sur le net (18,8% en 2022 contre 20,8% en 2021). Le spécialiste du sport veut aussi réduire le nombre de ses marques propres. Aujourd’hui, Décathlon propose près d’une cinquantaine de marques propres (Kipsa, Tribord, Quechua, Domyos, Kalenji parmi les plus connues). Barbara Martin Coppola voudrait n’en conserver qu’une quinzaine.
Objectif : relancer des ventes qui n’ont progressé que de 2% lors du 1er semestre 2023 contre 9% prévus et faire face à la concurrence d’Intersport qui a récemment pris le contrôle de 72 magasins Go Sport.

L.G.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

L’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) organise une opération portes ouvertes dans tous ses centres de formation de Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont celui du Pontet le jeudi 7 septembre.

Lors de la matinée portes ouvertes le jeudi 7 septembre, les visiteurs en quête de qualification, d’un nouveau projet professionnel, d’un contrat en alternance, auront l’opportunité d’échanger avec des stagiaires et des formateurs, et d’obtenir toutes les informations pratiques pour bénéficier d’une formation avec un emploi à la clé.

La matinée sera rythmée par des visites des espaces de l’Afpa du Pontet, et la découverte des formations aux métiers qui recrutent, tels que plombier-chauffagiste, photovoltaïque, maintenance des bâtiments, électricité, mécanique automobile, service à la personne, insertion professionnelle, commerce et distribution, logistique, secrétariat, médico-social, comptabilité, paye, accueil, ou encore tourisme. Les visiteurs pourront également en apprendre plus sur les services de l’Afpa comme l’accompagnement au projet alternance, le compte personnel de formation, le financement des formations, la ‘prépa-compétences’, ou encore la validation des acquis de l’expérience.

Les visiteurs auront également le droit à des conseils personnalisés, ainsi qu’à la présentation de la Promo 1618, qui accompagne les jeunes de 16 jusqu’à 18 ans ayant quitté l’école sans solution durant treize semaines.

Jeudi 7 septembre. De 9h à 13h. 56 Avenue Emile Zola. Le Pontet.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Ce vendredi 28 juillet, le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, a inauguré la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet. L’objectif de ce lieu est double : désengorger les prisons et préparer la réinsertion des détenus.

Construite à côté du centre pénitentiaire du Pontet, la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet dispose d’une capacité de 120 places pour accueillir, sous le régime de la semi-liberté, des détenus qui purgent de courtes peines ou à qui il reste moins de deux ans de détention. L’objectif du lieu est d’améliorer la réinsertion des détenus, mais l’établissement n’est pas réservé aux seules personnes avec un projet professionnel. Les détenus en fin de droits sociaux ou ayant des problèmes d’addiction à l’alcool ou la drogue peuvent aussi être orientés vers cette structure.

Le centre pénitentiaire du Comtat Venaissin ouvrira en 2026

L’objectif est de mieux accompagner la sortie, mais aussi de désencombrer les prisons. Conçu pour accueillir 650 personnes, le centre pénitentiaire du Pontet héberge actuellement plus de 800 détenues. Ces derniers mois, via leurs syndicats, les agents de la pénitentiaire n’ont cessé d’alerter sur cette surpopulation carcérale et sur les violences à répétition commises entre détenus, mais aussi envers les agents. La création du futur centre pénitentiaire du Comtat Venaissin, à Entraigues-sur-la-Sorgue, devrait également permettre de soulager la prison du Pontet. D’une capacité de 400 places, l’établissement devrait être opérationnel début 2026.

Le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, inaugure la structure d’accompagnement vers la sortie d’Avignon-Le Pontet © Jérôme Renaud
Discours d’inauguration de la SAS d’Avignon-Le Pontet par le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti © Jérôme Renaud 
Session de questions-réponses avec le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti © Jérôme Renaud

Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Mardi 11 juillet, le Groupe Adezio organise un rassemblement pour communiquer sur les actions et les premiers résultats du groupe concernant sa démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Pour rappel, la RSE est une démarche qui vise à intégrer les enjeux sociaux, environnementaux et économiques dans la stratégie d’une entreprise.

Mardi 11 juillet à 18h au Cabinet Adezio du Pontet, 44 avenue Charles de Gaulle, le Pontet. Inscription en cliquant ici.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Le film sera projeté en avant-première, ce jeudi 1er juin au cinéma Capitole-My cinewest du Pontet, en présence du réalisateur,

La trame de ce documentaire de 95 minutes est basée sur une histoire vraie. Au printemps 2020, la France est confinée, paralysée. Libero Mazzone, chef d’entreprise des bords du Bassin d’Arcachon a dû mettre entre parenthèses sa société. A la TV, à la radio, on parle de manque de masques pour protéger la population du Covid. Un ami, adjoint à la mairie de Bordeaux, lui demande s’il connaît une usine qui en fabrique, il a besoin de 800 000 masques. Libero Mazzone cherche, il n’en trouve pas. « Mais chaque problème a sa solution » martèle cet homme pragmatique. Il imagine alors d’en faire lui-même pour les agents qui travaillent dans les hôpitaux, dans les services publics de l’agglomération bordelaise. « Je ne suis pas couturier, je ne sais pas où on trouve des mètres de tissus, d’élastiques » confie-t-il.

Il fonce sur Lyon, pour acheter du tissu, il achète une cinquantaine de machines à coudre, rentre dans la nuit à La Teste-de-Buch, poste une annonce sur les réseaux sociaux pour recruter des « petites mains ». En quelques heures, la machine est lancée, l’aventure humaine aussi. L’entrepreneur voit les choses en grand. Il loue le parc des expositions, installe les premières machines à coudre, il obtient des centaines de réponses sur internet, avec Pôle-Emploi, plus de 250 personnes sont recrutées et formées en quelques heures. « Des retraités, des SDF, des personnes en recherche d’emplois, des commerçants, des comptables, surtout des femmes » commente-t-il.

De fil en aiguille, la maison Singer, touchée par ce projet hors du commun lui offre une centaine de machines supplémentaires pour faire face à la demande. « C’était fou, une telle motivation, une telle envie d’être utiles, solidaires pour sauver des vies, elles étaient tellement investies dans cette mission, toutes ces femmes, de vraies lionnes, des combattantes » commente-t-il, enthousiaste.

Cette force, cet esprit d’équipe, c’est le fil d’Ariane du film réalisé par Florent Lacaze qui met en valeur ces ‘lionnes’ qui pour une fois sont visibles, mises en lumière. « En tout, elles ont été 473 exactement à participer à ce moment unique, 1,2 million de masques ont été confectionnées et j’ai versé 2,3M€ de salaires. Mais le plus important, ce sont surtout les liens qui ont été tissés entre elles, comme avec les gars de l’équipe de rugby qui nous ont aidés à emballer les masques pour les expédier » conclut Libero Mazzone.

Il sera jeudi soir 1er juin à 19h 30 au cinéma Capitole – My Cinewest du Pontet avec le réalisateur pour échanger avec les spectateurs, répondre à leurs questions et leur faire vivre ce moment rare d’émotion, de solidarité et de partage pendant le confinement de 20.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Le film « Les Vengeances de Maître Poutifard » réalisé par Pierre-François Martin-Laval, plus connu sous le nom de Pef, sera diffusé en avant-première au Capitole Studios, en présence de l’équipe du film, ce dimanche 28 mai à 16h15, quelques semaines avant la sortie officielle prévue le 28 juin. Pour assister à cet évènement, il faut réserver sa place à la caisse ou sur internet.

Synopsis : « Instituteur à la retraite, Robert Poutifard n’a plus qu’une idée en tête : se venger de ses anciens élèves qui ont gâché sa vie ! Pour l’aider à mettre en place son plan diabolique, il a la meilleure des complices à ses côtés… sa maman. Ensemble, ils vont leur en faire voir de toutes les couleurs ! la vengeance est un plat qui se mange froid et Robert Poutifard leur prépare une vraie surprise du chef. »

« Les Vengeances de Maître Poutifard » réalisé par Pef, avec Christian Clavier, Isabelle Nanty et Eric Soriano. 

Avant-première le dimanche 28 mai à 16h15– Capitole Studios, 161 Avenue de Saint-Tronquet, Le Pontet – Billetterie disponible en caisse ou sur internet.

J.R.


Le Fossé, dernière création du théâtre du Balcon n’en finit pas de creuser son succès

Les gendarmes de gendarmes de Vaucluse viennent de procéder à une vaste opération de contrôle sur les routes du département. L’initiative visait tout particulièrement « à réprimer tous types d’infractions liées à la sécurité routière a été menée hier en fin d’après-midi sur les communes de Sorgues et Le Pontet.

En 2 heures de présence, les 15 militaires de la compagnie d’Avignon et les 15 motocyclistes de l’escadron départemental de sécurité routière de Vaucluse ont relevé pas moins de 56 infractions.

Parmi celles-ci :

  • 1 excès de vitesse supérieur à 40km/h (retrait de permis),
  • 4 détentions de stupéfiants,
  • 1 conduite sous l’emprise de stupéfiants,
  • 15 conduites avec téléphone, –
  • 2 franchissements de ligne blanche auxquels s’ajoutent de nombreuses conduites sans permis, sans assurance ou bien encore sans contrôle technique….
Trente gendarmes de Vaucluse étaient mobilisés pour cette opération de contrôle entre Le Pontet et Sorgues.© Gendarmerie de Vaucluse-Facebook

L.G.

https://echodumardi.com/tag/le-pontet/page/9/   1/1