19 avril 2025 |

Ecrit par le 19 avril 2025

(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

C’est le 51ᵉ long-métrage tourné par le réalisateur qui a fêté ses 87 ans le 30 octobre dernier et qui est venu avec Kad Merad le présenter au Pontet, d’abord aux journalistes vauclusiens à l’Auberge de Cassagne, puis au public venu en foule au cinéma Capitole MyCinewest du Tronquet.

« Le cinéma, c’est mieux que la vie », martèle cette légende vivante du 7ᵉ art qui, depuis plus de 60 ans, observe, scrute le genre humain. « Il me fascine avec toutes ses contradictions, à la fois merveilleux et râleur », commente-t-il. Claude Lelouch qui a suivi à moto les coureurs du Tour de France en 1965, qui a décroché la Palme d’Or sur la Croisette à Cannes avec Un homme et une femme, qui a filmé les Jeux Olympiques de Grenoble en 1968 et les descentes victorieuses de Jean-Claude Killy, d’Annie Famose, des sœurs Goitschel, qui a réalisé les premiers clips (à l’époque on parlait de ‘Scopitone’) de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Claude François, Dalida et Sheila.

Pour Finalement, une fable musicale avec une partition composée par le trompettiste Abrahim Maalouf et des chansons de Didier Barbelivien. « La musique parle à notre cœur, le scénario à notre cœur », précise le réalisateur. Le pitch du film ? Un avocat, Lino (toute ressemblance avec Lino Ventura ne serait pas fortuite), campé par Kad Merad, plaque tout à la suite d’un problème de santé, une forme de dégénérescence. Il lâche les amarres, jette à l’eau son portable, empoigne sa trompette et part tout seul avec son sac à dos dans une itinérance qui l’amène de Paris au Mont Saint-Michel, aux plages du débarquement, au Mans, dans les environs de Béziers et dans la multitude bigarrée d’Avignon, en plein festival. C’est là, au rythme de ses déambulations qu’il redécouvre les vraies valeurs, l’amour, l’amitié.

DR

Au fil des séquences, Claude Lelouch fait une série d’allusions, de références, de clins d’yeux à ses anciens films, comme si, au terme d’une vie tout entière vouée au cinéma, la boucle était bouclée. « Je veux remercier le public qui me suit depuis si longtemps, a-t-il confié dans les salons feutrés de l’Auberge de Cassagne. À 87 ans, je vais bientôt franchir la ligne d’arrivée, mais je suis un boulimique de la vie, peut-être ferai-je un autre film, le 52ᵉ ? Mais ça prend de l’énergie, du temps d’imaginer une histoire, un sénario, de tout écrire, de réunir les fonds, de faire le casting, de repérer les lieux, de tourner, de monter, de trouver un compositeur, de mixer la musique et les images. Je filme comme je respire, je me définis davantage comme un ‘metteur en vie qu’un metteur en scène’. »

Kad Merad l’avoue : « Grâce à la caméra de Claude Lelouch, je me trouve presque beau dans ce film et l’aventure a débuté par hasard. Au lendemain de mon mariage, en Bourgogne, dans le train qui me ramenait à Paris, j’ai rencontré sa femme (l’écrivain Valérie Perrin) et je lui ai confié que mon rêve était de tourner avec lui. Elle l’a appelée et grâce à elle, mon souhait s’est réalisé. D’ailleurs, je porte la veste de Claude dans le film ». Il poursuit : « Tourner avec lui, c’est être sur le qui-vive en permanence. Il faut être disponible, à l’écoute, en fonction de la lumière, du soleil, de la couleur du ciel. C’est un bonheur, c’est spontané, on ne sent pas la fatigue, c’est la fête, on est comme des gamins dans la cour de récréation. »

Claude Lelouch qui « en a gros sur la patate », pousse une gueulante contre tous les interdits de notre société : « On ne peut plus fumer, boire, conduire. Du coup dans mon film Kad-Lino, qui n’en peut plus des contraintes, des obligations, il veut se faire plaisir, briser les barrières, les tabous, les frontières en tous genres, il rencontre son rêve. »

Une des scènes du film tournées à Avignon.

Et son voyage l’amène à quitter sa femme (Elsa Zylberstein), sa maman (Françoise Fabian), son ami d’enfance (Michel Boujenah), ses enfants pour tomber sur une fermière (Françoise Gillard de la Comédie Française), son mari (interprété par Firmin Gruss, le fils d’Alexis qui vit à Piolenc), à découvrir qu’il a une sœur (Sandrine Bonnaire). 

« Finalement, tout ce qui nous arrive, c’est pour notre bien, insiste Claude Lelouch. Le mal est l’inventeur du bien, le chaos est un fertilisateur, le phénix renaît de ses cendres. Mes héros, que ce soit Ventura, Belmondo, Brel ou Trintignant n’ont jamais eu peur de rien. »

Pourquoi Avignon ? « Au départ, je voulais tourner à Venise pendant le carnaval, mais les gens que j’ai rencontrés sur place étaient tellement prétentieux et exigeants, que j’ai laissé tomber les gondoles. En revanche, souvent, je suis venu voir jouer ma fille Salomé qui fait du théâtre, en juillet. J’ai vu et partagé cette ferveur pendant le festival d’Avignon. Quand tout le monde vibre pour cette passion des mots, cette folie des sentiments, cette créativité, cette chaleur au sens propre comme au sens figuré, cette joie de vivre. Les comédiens sont des athlètes et je me dois de filmer leur beauté. On n’est pas au cinéma, on est dans la vraie vie, Rue de la République, Place de l’Horloge comme sur la Bartelasse. »

Scène du film durant laquelle on peut apercevoir le Rhône et le Pont Saint-Bénezet.

« Dans la vie, il y a plus de héros anonymes que de gros dégueulasses, plus de résistants que de collaborateurs, plus de Jean Moulin que de Lacombe Lucien (film tourné en 1974 par Louis Malle dans le Lot et qui parle d’héroïsme et de lâcheté pendant l’occupation nazie) », conclut Claude Lelouch qui, à 87 ans, continue de croire en l’homme, son supplément d’âme et sa générosité.


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Les meilleurs athlètes de sports extrêmes vont envahir les écrans du cinéma Capitole MyCinewest ces vendredi 8 et dimanche 10 novembre à l’occasion de l’événement national La Nuit de la Glisse auquel plus de 250 cinémas participent.

Le programme comprend la diffusion de six courts-métrages dans le cadre du NDG Film Festival, la projection du film Human X Part II qui célèbre les exploits des athlètes de l’extrême, de l’immensité des Alpes à la beauté sauvage de la Polynésie française, une présentation virtuelle du film par son réalisateur Thierry Donard, ainsi que les coulisses du tournage.

Ski, snowboard, windsurf, VTT, longskate et bien d’autres sports seront à l’honneur lors de ces deux soirées, mais aussi les athlètes comme le snowboarder Zian Perrot-Couttet, les speedriders suisses Ueli Kestenholz et Dominik Wicki, ou la surfeuse de grosses vagues Laura Enever, qui repoussent leurs limites dans les environnements les plus extrêmes.

Billetterie en ligne ou sur place.
Vendredi 8 novembre à 20h30. Dimanche 10 novembre à 17h30. Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Liebig vient d’être désignée* marque préférée des Français dans la catégorie ‘marques de soupes’. Elle s’est hissée sur la 1re place du podium devant l’ensemble des marques de soupes vendues en GMS (rayons frais et ambiant), devant Knorr (n°2) et Royco (n°3). Liebig obtient notamment la première place dans les domaines du goût, de la confiance, de l’innovation et de la qualité.

En Vaucluse depuis 1962
Aujourd’hui leader du marché des soupes liquides au rayon ambiant avec 51,4% de parts de marché en valeur (+2,8 points par rapport à l’année dernière dans un marché évalué à 308M€), la marque reprise à Continental foods par le groupe espagnol GB Foods en 2019, produit ses soupes dans son usine du Pontet.
Le site vauclusien emploie actuellement 200 personnes. Il a vu le jour en 1962. L’usine a d’abord été spécialisée dans les soupes en conserve puis, en 1986, elle a été la première à produire des soupes en briques.

Des recettes élaborées par des chefs cuisiniers, directement produites ensuite sur site. Après la cuisson des légumes, les soupes sont chauffées à très haute température en quelques minutes pour permettre leur stérilisation, avant d’être mises en briques dans un environnement stérile. Cela permet d’éviter ainsi l’ajout de conservateur. Il s’agit d’une des plus importantes unités de production de soupe aseptique au monde.
« Liebig est aujourd’hui le leader de sa catégorie et continue de se développer, constate Charlotte Bizard, chef de produits chez Liebig. Obtenir la distinction ‘Marque Préférée des Français’ est un honneur, et indique la préférence des consommateurs. Cela vient couronner tout le travail fait par nos équipes depuis plusieurs années sur le goût et la naturalité de nos recettes. »

L’usine du Pontet est l’une des plus importantes unités de production de soupe aseptique au monde. Crédit : Liebig/DR

« Les consommateurs veulent acheter des soupes qu’ils ne pourraient pas faire eux-mêmes. »

Charlotte Bizard, chef de produits chez Liebig

 « En tant que leader de la catégorie, nous avons un rôle à jouer sur la transformation de cette catégorie », poursuit Charlotte Bizard. Dans cette logique, Liebig a ainsi entamé il y a 6 ans un gros chantier de rénovation de ses recettes, qui sont désormais cuisinées avec 100% d’ingrédient naturels, sans aucun ajout d’additifs.
Au fil des années, la marque vauclusienne a développé une gamme de plus de 60 recettes : Les Classiques, Les Bio, Les Familiales, Les Terroirs, Les Gourmandes …

« Les consommateurs veulent acheter des soupes qu’ils ne pourraient pas faire eux-mêmes, constate la chef de produit. C’est pourquoi Liebig a développé la gamme Les Exotiques avec des recettes comme ‘Voyage en Thaïlande’, ‘Voyage en Inde’, ‘Voyage en Chine’… Des soupes aussi savoureuses qu’originales, qui connaissent un fort succès auprès des consommateurs. »

46 000 tonnes de soupe
L’an dernier en volume, la marque qui est née en Allemagne en 1865 avant de s’implanter en France en 1919 puis dans le Vaucluse il y a 62 ans, a vendu 46 000 tonnes de soupe, sur un marché total de 100 600 tonnes qui se concentre sur l’hiver.
L’usine du Pontet affiche une capacité de production de l’ordre de 100 000 tonnes de soupe par an (60 000 tonnes de soupes liquide et l’équivalent de 40 000 tonnes de soupe déshydratée sous la marque Royco). Le site dispose également d’un centre de recherche et de développement international implanté depuis 2007. Depuis 2018, l’usine est également reliée au réseau vapeur de l’incinérateur de Vedène. De quoi réduire ses émissions de CO2 de l’ordre de 75%.

Le site de production du Pontet est implanté en Vaucluse depuis 1962.; il emploie 200 personnes. Crédit : Liebig/DR

Laurent Garcia

*Etude réalisée du 18 au 19 septembre 2024, sur le panel d’OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de 1061 personnes de la population française de 18 ans et plus.


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Les artistes ouvrent leurs ateliers samedi 16 et dimanche 17 novembre à Avignon, Barbentane, Le Pontet, Les Angles, Morières-lès-Avignon, Pujaut et Villeneuve-lès-Avignon.

Chaque année, le 3e week-end de novembre, les artistes ouvrent les portes de leurs ateliers au public, à Avignon, Villeneuve-lès-Avignon, Pujaut, Morières-lès-Avignon, Le Pontet, Les Angles…

Organisé depuis 2012,
cet événement très chaleureux est gratuit et accessible à tous, l’occasion exceptionnelle de rencontrer chaque artiste dans son lieu de création, de se promener, d’atelier en atelier, à pied, à vélo, seul, en famille, entre amis, pour découvrir peintures, sculptures, photographies, céramiques, graphismes, illustrations, calligraphies, art numérique, installations…

Cette année encore, pour la troisième année consécutive,
une attention particulière est portée à la question de la mobilité dans l’espace urbain, indispensable aux visites. Des circuits à vélo, toujours accompagnés par les bénévoles de l’association Roulons à Vélo, sont mis en place dans l’extra muros d’Avignon, à Villeneuve lès Avignon et à Barbentane. Les déplacements doux sont encouragés par une information accrue sur le réseau de bus et tram. Beaucoup des participants aux Ouvertures d’Ateliers d’Artistes sont présents sur le Portail des Arts Visuels. Leurs portraits ici.

Des animations sont proposées comme des performances,
des concerts, des lectures, des ateliers participatifs… Un guide des ateliers est mis à la disposition du public. Chaque année, plusieurs milliers de personnes participent à cette rencontre.  

Les infos pratiques
Visites dans les ateliers d’artistes samedi 16 et dimanche 17 novembre de 11h à 18h. Avignon Ateliers d’Artistes (AAA) ici.
MMH


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Débutés en mars dernier, les travaux de rénovation du pont surplombant la RD 907n entre Le Pontet et Sorgues viennent de s’achever. Cette très lourde intervention menée par le Conseil départemental de Vaucluse a notamment nécessité la limitation et même parfois l’interruption du trafic routier sur cette voie rapide parmi les plus fréquentée du département. Des fermetures réalisées plutôt le week-end et la nuit afin d’en minimiser au maximum l’impact sur cet axe desservant Avignon ainsi que la zone commerciale d’Auchan-Le Pontet.

L’opération, d’un coût total de 1,7M€, a notamment nécessité la surélévation temporaire de l’ouvrage construit en 1974. En effet, le tablier de la structure en béton présentait une fissure longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage.

1 317 ponts à gérer
En tout, le Département a en charge 1 317 ponts dont la moitié a une portée supérieure à 10 mètres. Environ 10 % présentent un problème sur la structure mais sans caractère d’urgence à l’exception du pont roman de Bédarrides (ex RD16) et du pont sur le Calavon sur la RD 900 à Saint-Martin-de-Castillon qui seront menés rénovés en 2025. Des études ont été aussi engagées pour connaître l’état du pont sur le canal de Donzère-Mondragon sur la RD 907 que la Département a récupéré des services de l’État (Dirmed).

Des murs, des tunnels et même des filets de protection
Le Département a également en charge la gestion de 1 302 murs de soutènement supérieurs à 2 mètres de hauteur (dont 3 % doivent faire l’objet de travaux d’urgence), 5 tunnels (dont celui du Barroux -24 mètres- est le plus long), 83 PPHM (Portiques, potences et hauts mâts) ainsi que 32 sites équipés de dispositifs de protection contre les chutes de pierre. Pour ces derniers, les sites les plus importants se trouvent sur la falaise Saint-Eucher à Beaumont-de-Pertuis (RD996) où 1 km de falaises sont équipés ainsi que le long du chemin piétonnier menant à la source de Fontaine de Vaucluse.


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Cette bastide blottie dans un havre de paix au Pontet fêtera ses 175 ans en 2025. A sa tête depuis 40 ans, un couple Sylvie et Philippe Boucher qui dédie entièrement sa vie à cette auberge 5 étoiles luxe et qui considère les clients comme les membres de sa propre famille. « On a eu les grands-parents pour leurs fiançailles, puis les enfants pour leur baptême et maintenant ce sont eux qui viennent en vacances avec leurs enfants, la 4ème génération » explique en douceur Sylvie Boucher qui accueille chacun comme un ami.

Les guides culinaires ne tarissent pas d’éloges sur cette maison bourgeoise de 1850 : « Elle perpétue la tradition dédiée aux plaisirs de la table, aux produits nobles où le classicisme côtoie l’innovation » ou « On se retrouve par magie, plongé au coeur d’une charmante oasis coupée du monde extérieur, où Philippe Boucher propose une belle cuisine à la fois luxueuse et provençale et s’appuie sur la jeune génération incarnée par Anthony Iorio (qui a travaillé à l’Epuisette à Marseille et à La Villa Madie à Cassis) pour rester au goût du jour ».

Maud POLI Cheffe Pâtissière – Philippe BOUCHER Maître Cuisinier de France Directeur – Anthony IORIO Chef de Cuisine ©Auberge de Cassagne

Philippe Boucher, « Maître Cuisinier de France » qui a fait ses classes chez Paul Bocuse et Michel Blanc et qui a décroché sa 1ère étoile Michelin en 1985, évoque d’abord ces dernières années de crise, de Covid, d’inflation : « On a tenu, malgré tout! En août 2020 on a cru que ce serait une année noire, la cata. Pas du tout, ils sont venus voire revenus et en nombre! ». Sylvie ajoute : « Cet été avec les Jeux Olympiques et Paralympiques, on a eu tous ceux qui voulaient éviter la cohue, la folie sportive et qui sont venus aux festivals ».

Piscine extérieure ©Auberge de Cassagne & Spa

Depuis quatre décennies, les Boucher font tout « Pour que les clients venus du monde entier se sentent ici chez eux, comme à la maison. Certains veulent la chambre sur la piscine, d’autres celle qui donnent sur le spa ou la tonnelle ». D’autres passent du temps à jouer à la pétanque au boulodrome ou à essayer d’imiter les champions, les frères Lebrun au ping-pong. L’art de vivre des Boucher, leur credo c’est savoir recevoir ceux qui franchissent la porte de cette bâtisse provençale aux volets verts.

Jardin ©Auberge de Cassagne

« Chaque année nous améliorons l’accueil, nous perfectionnons Cassagne. De 6 chambres en 1969, l’hôtel est passé à 43 chambres, dont 7 suites et pour avoir le classement Palace*****, il faut cocher 350 cases. Certaines sont obligatoires, d’autres optionnelles » précise Sylvie Boucher. « Pour les déchets, pour l’équipement technique, le numérique, pour respecter l’environnement, éviter le gaspillage, les emballages superflus. Nous invitons la clientèle à nous aider dans cette démarche et elle nous suit. D’ailleurs pour avoir le renouvellement de cette classification de prestige, nous avons démoli 4 chambres pour en faire 2 plus grandes ».

Robin GENET Directeur d’hôtel – Sylvie BOUCHER Directrice – Arlette JACQUET Chef de Réception ©Auberge de Cassagne

Toujours dans un souci d’amélioration, côté bien-être un spa de près de 900m2 a été construit, avec piscine intérieure chauffée, vagues à contre-courant, hammam, jacuzzi, sauna, mais aussi salle de fitness, lits hydromassants à bulles, voûte délicatement étoilée au-dessus. Et surtout Chantal et Catherine, qui ont fait des études de phytothérapie, réflexologie, shiatsu, qui massent en douceur pendant plus d’une heure et instillent détente et lâcher-prise.

Salle de Massage en duo SPA © Auberge de Cassagne

La cave, au-dessous de l’auberge, initiée par l’ancien associé du couple, André Trestour est désormais dirigée par le sommelier Christophe Fournier qui connaît chacune des 700 références de toutes les AOC du vignoble français et fait la part belle aux vins de la Vallée du Rhône. « Le Châteauneuf-du-Pape est connu partout sur la planète, des Russes, des Australiens, des Néo-Zéandais, des Américains mais au fur et à mesure, ils ont aussi découvert le Vacqueyras, le Baumes-de-Venise ou le Lirac. Et désormais, nous proposons aussi des vins aux verre. Et ceux qui commandent une bouteille de grand vin et ne la finissent, ils repartent avec » ajoute Philippe Boucher.

Christophe FOURNIER Directeur de Restaurant – Olivier GIUDICE Maître d’Hôtel – ©Auberge de Cassagne

Pour ses cartes qui changent en fonction des saisons et qui riment avec gastronomie, PhilippeBoucher fait appel aux meilleurs producteurs du coin. « Les oeufs bio viennent du Mas Ribelly d’Entraigues, l’agneau de Sisteron, le taureau de Camargue de chez Alazard & Roux à Tarascon, les truites de l’Isle-sur-La Sorgue, l’huile d’olive du Moulin Castelas aux Baux-de-Provence ».

Les menus sont déclinés à partir de 45€ avec des intitulés de mets qui donnent l’eau à la bouche : « Raviole de gambas, d’huître et perles de yuzu », « Noix de Saint-Jacques en coque aux aromates », « Moelleux de veau cuit en douceur et risotto d’orge perlé sur le thème de la châtaigne, du pain de Gênes et du Cassis », « Tartelette de nos sous-bois du moment et son oeuf bio parfait, nuage à la fève de Tonka », « Foie gras de canard mariné et cuit à l’auberge, quelques coings en infusion d’hibiscus », « Filet de loup en tataki et douce aïoli », « Mousseline de homard, morilles, Dieppoise de crustacées et cocos ».

Comme Philippe Boucher sait s’entourer, il a aussi à ses côtés une cheffe pâtissière Maud Poli qui a fait son apprentissage, ici, à l’Auberge, a passé son CAP, son Brevet de maîtrise, a fait ses classes à Villeneuve-les-Avignon puis est revenue depuis 20 ans à Cassagne. Et elle propose un chariot de desserts délicats : « Douceur de poires au safran et vanille de Madagascar », « Rhubarbe à la framboise, mousse opalys (chocolat blanc) et croustillante brioche » qui font saliver épicuriens et épicurieux.

Le prochain temps fort, ce sera évidemment Noël. « Il y a un monde fou, aussi bien le soir du réveillon, que le 25 décembre, précise Philippe Boucher. Nous avons la décoration, les bougies, les guirlandes, le grand sapin, la crèche, les 13 desserts, la bûche, bref, toute la tradition provençale! En plus nos salariés ont le même esprit que nous, ils y mettent tout leur coeur. Ils reçoivent les clients comme leurs propres invités avec chaleur et empathie. Certains sont là depuis longtemps, comme notre chef de la réception, Arlette, depuis 1999 ».

Piscine intérieure SPA ©Auberge de Cassagne.

Cette maison familiale qui affiche une centaine de couverts par jour et reste ouverte toute la semaine prendra des vacances annuelles entre le 5 et le 31 janvier. Mais elles ne seront pas chômées puisque le couple Boucher va supreviser travaux d’entretien des 43 chambres et suites étoilées ainsi que la refonte totale de 4 salles de bains. Pour accueillir encore mieux la clientèle dès le 1er février dans un cadre raffiné, chic, élégant où sont déjà passés en toute discrétion Mireille Mathieu, sa maman Marcelle et tous ses frères et soeurs, Daniel Auteuil, Jacques Weber mais aussi la semaine dernière Kad Merad et Claude Lelouch venus présenter « Finalement ». Le 51ème film du réalisateur de « Un homme et une femme » qui sortira le 13 novembre au cinéma.

www.aubergedecassagne.com


(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

Les gendarmes de Vaucluse viennent de réaliser un exercice de grande ampleur au multiplexe Capitole My Cinewest situé dans la zone commerciale du Pontet. Mené sur le thème d’une tuerie de masse avec prise d’otage, cet exercice grandeur nature s’est tenu ce jeudi 17 octobre en début de matinée avant l’ouverture du cinéma.

L’opération a mobilisé une centaine d’hommes, dont notamment ceux du PSIG (Peloton de surveillance et d’intervention de la Gendarmerie) d’Avignon ainsi que ceux de l’antenne du GIGN (Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale) d’Orange.

« Les missions travaillées lors de cet exercice étaient multiples, explique la gendarmerie de Vaucluse : la réaction des militaires primo-arrivants, la montée en puissance du dispositif, l’articulation entre les forces d’intervention, la réaction face à une prise d’otages et la coordination avec les secours notamment lors de la phase d’évacuation des victimes. »

Crédit : Gendarmerie de Vaucluse/DR

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Après avoir été complètement fermés à la circulation du samedi 28 au lundi 30 septembre, la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) et le pont de la RD907n qui l’enjambe subiront de nouveau une fermeture, cette fois-ci plus courte, ce week-end, du dimanche 6 octobre dans la soirée au lundi 7 octobre dans la matinée.

Le pont de la RD907n (route de Sorgues), situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) subit des travaux de réparation depuis le mois de mars à cause d’une fissuration longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage. Les travaux devraient s’achever à la fin du mois d’octobre.

Afin de remplacer les appareils d’appui du tablier du pont, qui permettent la dilatation du tablier et d’amortir les mouvements de l’ouvrage dus au trafic routier, le pont doit être soulevé durant quelques heures. Pour réaliser au mieux et sans risque cette grosse opération, le pont et une partie de la voie rapide qu’il enjambe seront fermés ce dimanche 6 octobre à partir de 18h, jusqu’au lundi 7 octobre à 6h. Durant cette période, la circulation sur le pont et sur une partie de la voie rapide d’Avignon Nord, dans les deux sens, sera interdite à tous les véhicules. Les usagers devront emprunter les itinéraires de déviation qui seront mis en place.

©Département de Vaucluse

Le pont et la voie rapide ont déjà subi une fermeture similaire le week-end dernier, durant laquelle le pont a été surélevé de 10 cm pour remplacer 30 appareils d’appui. En tout, 50 personnes sont intervenues sur le chantier et devraient intervenir ce week-end. Il est donc recommandé d’éviter la zone autour de la voie rapide ce dimanche en fin d’après-midi, car il risque d’y avoir des embouteillages.




(Vidéo) ‘Finalement’, le dernier film de Claude Lelouch sort le 13 novembre

La RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) et le pont de la RD907n qui l’enjambe seront fermés complètement à la circulation à partir du samedi 28 septembre en fin de journée, jusqu’au lundi 30 septembre dans la matinée.

Le pont de la RD907n (route de Sorgues), situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) subit des travaux de réparation depuis le 11 mars à cause d’une fissuration longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage. Les travaux devraient s’achever fin octobre.

Afin de remplacer les appareils d’appui du tablier du pont, qui permettent la dilatation du tablier et d’amortir les mouvements de l’ouvrage dus au trafic routier, le pont doit être soulevé durant quelques heures. Pour réaliser au mieux et sans risque cette grosse opération, le pont et une partie de la voie rapide qu’il enjambe seront fermés dès ce samedi 28 septembre à 19h, jusqu’au lundi 30 septembre à 6h. Durant cette période, la circulation sur le pont et sur une partie de la voie rapide d’Avignon Nord, dans les deux sens, sera interdite à tous les véhicules. Les usagers devront emprunter les itinéraires de déviation qui seront mis en place.

©Département de Vaucluse

Le pont et la voie rapide vont également subir une fermeture complète les dimanche 6 et lundi 7 octobre.

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