Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
L’entreprise Nicollin a repris le 1ᵉʳ novembre dernier la prestation de collecte des déchets dans six communes du Grand Avignon, pour les six prochaines années. Dès ce lundi 2 décembre, les jours de ramassages vont changer pour les communes de Vedène, Le Pontet, Sauveterre, Jonquerettes et Velleron.
Le ramassage des déchets à Jonquerettes, Le Pontet, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Sauveterre, Vedène et Velleron, est effectué par l’entreprise Nicollin qui a repris cette prestation suite à la défaillance de l’entreprise Eco-déchets. Cette dernière effectuait certaines collectes l’après-midi, mais le ramassage étant plus avantageux tôt dans la matinée pour éviter la circulation aux heures de pointe ou pour ne pas laisser les conteneurs remplis trop longtemps sur l’espace public, le programme de collecte va être réorganisé à partir de ce lundi 2 décembre pour certaines communes du Grand Avignon.
Les communes de Jonquerettes, Le Pontet, Sauveterre, Vedène et Velleron sont concernés par ces changements. Le programme de ramassage pour la commune de Saint-Saturnin-lès-Avignon, lui, reste inchangé. Si les fréquences des tournées restent les mêmes, les jours de collecte, eux, vont être modifiés. Afin d’éviter les confusions, les habitants concernés ont reçu un flyer et un calendrier de collecte dans leur boîte aux lettres.
Les changements à compter du 2 décembre
La collecte des ordures ménagères :
Le mardi matin pour Jonquerettes.
Le vendredi matin pour Velleron.
Le mercredi matin pour le secteur 1 de Vedène, le mardi matin pour le secteur 2, et le lundi matin pour les secteurs 3, 4 et 5.
Le lundi matin pour les secteurs 1, 2, 3 et 7 du Pontet, et le mardi matin pour les secteurs 4, 5 et 6.
Le mercredi matin pour Sauveterre.
La collecte du tri :
Le mercredi matin pour Jonquerettes.
Le vendredi matin pour Velleron.
Le jeudi matin pour Vedène.
Le mercredi matin pour les secteurs 1, 2 et 3 du Pontet, et le vendredi matin pour les secteurs 4, 5, 6 et 7.
Le jeudi matin pour Sauveterre.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Pour sa 11e édition, l’exposition d’automates de Noël revient enchanter le château de Fargues au Pontet sur le thème féérique du ‘Train de Noël et la clairière enchantée’ dès le 2 décembre et jusqu’au 3 janvier. Le rendez-vous attire chaque année plus de 12 000 visiteurs, curieux de découvrir les décors magiques et les automates soigneusement renouvelés.
Embarquez dans un monde enchanté L’exposition invite les visiteurs à embarquer à bord du train de Noël, une locomotive aux accents féériques, pour un voyage unique. Celui-ci traverse des paysages fantastiques jusqu’à une clairière enchantée, peuplée de créatures magiques. Entre fascinants animaux, espiègles lutins espiègles et casse-noisettes, le public est plongé dans l’univers merveilleux de Noël.
Une touche provençale pour cette édition spéciale Grande nouveauté cette année : l’association Parlaren Lou Pountet installera sa crèche provençale dans les travées du château ainsi que la table des 13 desserts. Cela apporte une dimension authentique et locale à l’exposition, mêlant la féerie des automates à la tradition de Noël provençale.
Infos pratiques et événements L’inauguration officielle aura lieu le 3 décembre à 18h30avec une déambulation d’ours polaires, et l’exposition restera ouverte du 2 décembre au 3 janvier, avec une ouverture en semaine de 9h à 18h. Pour les week-ends, des ouvertures exceptionnelles sont prévues les dimanches 8 et 15 décembre, de 14h à 18h avec un food-truck sucré pour des gourmandises ainsi que pendant le marché de Noël les 20, 21 et 22 décembre. L’entrée est gratuite. Château de Fargues, avenue Pierre de Coubertin au Pontet. MMH
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Le film Les boules de Noël sort le 27 novembre, un réveillon de ‘dinde’ avec Kad Merad et Valérie Bonneton.
Une comédie de saison à un mois du 25 décembre, réalisée par Alexandra Leclère avec Kad Merad et Valérie Bonneton. L’actrice popularisée par « Fais pas ci, fais pas ça » la série de France TV depuis 2007, remarquée dans « Les petits mouchoirs » et césarisée en 2019 pour son rôle dans « Nous ne finirons pas ensemble » était mardi à La Mirande à Avignon, avec la réalisatrice avant une présentation publique au CinéWest Capitole du Pontet.
« Ce film n’est pas une prise de tête » affirme la réalisatrice d’entrée de jeu, « Il est plutôt drôle, singulier et cruel ». Le pitch du long- métrage : chaque repas de Noël finit en catastrophe, en drame, en cauchemar pour la famille de Nathalie et Antonin qui en parlent à leur psy. Et il leur conseille de ne plus fêter Noël en famille, mais…
« J’y suis allée à fond »
Valérie Bonneton
Après les grands classiques du genre, « Le Père Noël est une ordure » ou « La bûche », cet opus de saison fait la part belle aux quiproquos, aux ressentiments, aux vengeances intra-familiales. « J’y suis allée à fond » affirme avec force Valérie Bonneton, « C’est léger, joyeux, cocasse, j’assume! Je suis désinhibée, décomplexée, la famille en prend plein la tête, mais c’est comme ça! ».
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Grandeur et décadence. Chef-d’œuvre en péril. Implanté au cœur d’un écrin vert de 125 hectares, cet hippodrome créé par les frères Thomas, des industriels du XIXᵉ siècle amateurs de pur-sangs, a ouvert en 1868. Il a même accueilli les réunions des Alpes-Maritimes avant que ne soit construit l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer.
Classé en 1972 au titre des Sites naturels en ‘zone verte’ et comme Monument historique en 1993, ce qui le rend inconstructible, cet espace a longtemps appartenu à la famille d’Edmonde Charles-Roux-Defferre. Son descendant, le Prince Rodolfo Del Drago, qui l’a porté à bout de bras pendant des années avec le château éponyme, l’a mis en vente. En 2014, un groupe d’investisseurs l’a acquis pour réhabiliter le château et ses dépendances, mais pas le champ de courses et les 58 hectares de prés et de bois qui l’entourent ainsi que les parkings attenants. Un projet de création d’ »École de Trot du Sud-Est » a même été évoqué, soutenu par la Fédération et Le Cheval Français. Avec à la clé des emplois de selliers, palefreniers, entraîneurs, fournisseurs de fourrage, soigneurs et maréchaux-ferrants.
Ce feuilleton dure depuis des années et pendant ce temps-là les tribunes en bois se délitent, les haras se détériorent, la piste est envahie de hautes herbes et le mistral fait tomber nombre de branches de platanes centenaires malades. Même si les bénévoles de la Société Hippique d’Avignon se décarcassent, ce sont tous des retraités qui ne roulent pas sur l’or et qui n’ont ni la force ni les moyens d’entretenir ce site patrimonial et cette piste enherbée de 1500 mètres.
Quel avenir pour l’hippodrome Roberty ?
Une réunion — à laquelle la presse n’était pas conviée — s’est tenue lundi 18 novembre pour évoquer l’avenir de Roberty. Selon nos informations, plusieurs sujets ont été abordés. À commencer par la convention qui liait la Société Hippique aux propriétaires, mais qui n’a pas été signée depuis des mois. Sans parler des lieux qui sont insécures, voire dangereux et qu’aucun assureur ne veut prendre en charge tant que tout ne se sera pas aux normes pour accueillir du public. Ce qui coûterait une fortune.
Autres interrogations, pourquoi des investisseurs ont-ils acheté ce site en 2014, n’y ont encore rien entrepris depuis et ne l’entretiennent pas ? Pour défiscaliser ? Pour spéculer en le revendant plus cher ? Pour attendre qu’il devienne constructible et y édifier une résidence immobilière de luxe au cœur de cet écrin naturel ?
Certains proposent que la valeur de Roberty et de ses dépendances soit expertisée par la SAFER pour le vendre au prix de 2€ le m² agricole, et que la Ville du Pontet d’un côté et la Fédération du Sud-Est avec la Société de Trot de l’autre, l’achètent moitié-moitié. La commune en disposant tout au long de l’année pour les enfants des écoles et les clubs sportifs et la Fédération y organisant cinq réunions hippiques par an avec le PMU.
Apparemment, un accord a été trouvé pour qu’une nouvelle convention de trois ans soit rédigée par la Société Hippique d’Avignon et signée par les propriétaires. Mais cela ne préjuge en rien des travaux de sécurisation absolument nécessaires à tout accès du public dans les lieux. Du coup, la mairie qui va célébrer le 17 janvier 2025 les 100 ans de la commune du Pontet (qui jusqu’en 1924 était un quartier d’Avignon et qui a souhaité davantage d’autonomie, devenant ainsi la 151ᵉ et plus jeune commune de Vaucluse) avait l’intention d’organiser un ‘Grand Prix Hippique du Centenaire’ pour Pentecôte à Roberty. Mais rien n’est moins sûr.
Avis aux généreux mécènes et donateurs : si vous voulez sauver ce site remarquable de Vaucluse, ce poumon vert du Grand Avignon avant que la tribune de bois ne tombe en ruines, c’est-à-dire en sciure, foncez ! Mais en ces temps de crise, d’inflation, de déficit abyssal des comptes publics et de drastique coup de rabot sur les finances des collectivités locales, on ne va pas forcément trouver l’argent nécessaire à la remise en état de Roberty sous le sabot d’un cheval.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
À l’occasion du 30ᵉ anniversaire de la carrière du ténor italien Andrea Bocelli, un film de son concert donné dans sa ville natale, au Teatro del Silenzio à Lajatico (en Toscane), sera diffusé au cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, ce dimanche 17 novembre et le jeudi 21 novembre.
Con te partirò, Vivo per lei, Besame Mucho, Por ti volaré, ou encore Ave Maria. De nombreux titres ont marqué la carrière de l’un des plus célèbres ténors du monde, Andrea Bocelli. En 30 ans de carrière, le chanteur a été récompensé à de multiples reprises, du Grammy Awards à son étoile sur le Walk of Fame à Hollywood, en passant par le Golden Globe, le Classic Brit Award, ou encore le World Music Award.
Pour fêter cet anniversaire spécial, un documentaire autour d’un de ses concerts donnés sur sa terre natale sera diffusé au cinéma Capitole MyCinewest. Ce film de 2h30 mettra en lumière le vaste répertoire d’Andrea Bocelli, avec l’apparition de nombreuses célébrités mondiales telles qu’Ed Sheeran, Shania Twain, Jon Batiste, Sofia Carson, Lauren Daigle, ou encore Eros Ramazzotti.
Billetterie en ligne ou sur place. Dimanche 17 novembre à 17h. Jeudi 21 novembre à 20h. Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
C’est le 51ᵉ long-métrage tourné par le réalisateur qui a fêté ses 87 ans le 30 octobre dernier et qui est venu avec Kad Merad le présenter au Pontet, d’abord aux journalistes vauclusiens à l’Auberge de Cassagne, puis au public venu en foule au cinéma Capitole MyCinewest du Tronquet.
« Le cinéma, c’est mieux que la vie », martèle cette légende vivante du 7ᵉ art qui, depuis plus de 60 ans, observe, scrute le genre humain. « Il me fascine avec toutes ses contradictions, à la fois merveilleux et râleur », commente-t-il. Claude Lelouch qui a suivi à moto les coureurs du Tour de France en 1965, qui a décroché la Palme d’Or sur la Croisette à Cannes avec Un homme et une femme, qui a filmé les Jeux Olympiques de Grenoble en 1968 et les descentes victorieuses de Jean-Claude Killy, d’Annie Famose, des sœurs Goitschel, qui a réalisé les premiers clips (à l’époque on parlait de ‘Scopitone’) de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Claude François, Dalida et Sheila.
Pour Finalement, une fable musicale avec une partition composée par le trompettiste Abrahim Maalouf et des chansons de Didier Barbelivien. « La musique parle à notre cœur, le scénario à notre cœur », précise le réalisateur. Le pitch du film ? Un avocat, Lino (toute ressemblance avec Lino Ventura ne serait pas fortuite), campé par Kad Merad, plaque tout à la suite d’un problème de santé, une forme de dégénérescence. Il lâche les amarres, jette à l’eau son portable, empoigne sa trompette et part tout seul avec son sac à dos dans une itinérance qui l’amène de Paris au Mont Saint-Michel, aux plages du débarquement, au Mans, dans les environs de Béziers et dans la multitude bigarrée d’Avignon, en plein festival. C’est là, au rythme de ses déambulations qu’il redécouvre les vraies valeurs, l’amour, l’amitié.
Au fil des séquences, Claude Lelouch fait une série d’allusions, de références, de clins d’yeux à ses anciens films, comme si, au terme d’une vie tout entière vouée au cinéma, la boucle était bouclée. « Je veux remercier le public qui me suit depuis si longtemps, a-t-il confié dans les salons feutrés de l’Auberge de Cassagne. À 87 ans, je vais bientôt franchir la ligne d’arrivée, mais je suis un boulimique de la vie, peut-être ferai-je un autre film, le 52ᵉ ? Mais ça prend de l’énergie, du temps d’imaginer une histoire, un sénario, de tout écrire, de réunir les fonds, de faire le casting, de repérer les lieux, de tourner, de monter, de trouver un compositeur, de mixer la musique et les images. Je filme comme je respire, je me définis davantage comme un ‘metteur en vie qu’un metteur en scène’. »
Kad Merad l’avoue : « Grâce à la caméra de Claude Lelouch, je me trouve presque beau dans ce film et l’aventure a débuté par hasard. Au lendemain de mon mariage, en Bourgogne, dans le train qui me ramenait à Paris, j’ai rencontré sa femme (l’écrivain Valérie Perrin) et je lui ai confié que mon rêve était de tourner avec lui. Elle l’a appelée et grâce à elle, mon souhait s’est réalisé. D’ailleurs, je porte la veste de Claude dans le film ». Il poursuit : « Tourner avec lui, c’est être sur le qui-vive en permanence. Il faut être disponible, à l’écoute, en fonction de la lumière, du soleil, de la couleur du ciel. C’est un bonheur, c’est spontané, on ne sent pas la fatigue, c’est la fête, on est comme des gamins dans la cour de récréation. »
Claude Lelouch qui « en a gros sur la patate », pousse une gueulante contre tous les interdits de notre société : « On ne peut plus fumer, boire, conduire. Du coup dans mon film Kad-Lino, qui n’en peut plus des contraintes, des obligations, il veut se faire plaisir, briser les barrières, les tabous, les frontières en tous genres, il rencontre son rêve. »
Et son voyage l’amène à quitter sa femme (Elsa Zylberstein), sa maman (Françoise Fabian), son ami d’enfance (Michel Boujenah), ses enfants pour tomber sur une fermière (Françoise Gillard de la Comédie Française), son mari (interprété par Firmin Gruss, le fils d’Alexis qui vit à Piolenc), à découvrir qu’il a une sœur (Sandrine Bonnaire).
« Finalement, tout ce qui nous arrive, c’est pour notre bien, insiste Claude Lelouch. Le mal est l’inventeur du bien, le chaos est un fertilisateur, le phénix renaît de ses cendres. Mes héros, que ce soit Ventura, Belmondo, Brel ou Trintignant n’ont jamais eu peur de rien. »
Pourquoi Avignon ? « Au départ, je voulais tourner à Venise pendant le carnaval, mais les gens que j’ai rencontrés sur place étaient tellement prétentieux et exigeants, que j’ai laissé tomber les gondoles. En revanche, souvent, je suis venu voir jouer ma fille Salomé qui fait du théâtre, en juillet. J’ai vu et partagé cette ferveur pendant le festival d’Avignon. Quand tout le monde vibre pour cette passion des mots, cette folie des sentiments, cette créativité, cette chaleur au sens propre comme au sens figuré, cette joie de vivre. Les comédiens sont des athlètes et je me dois de filmer leur beauté. On n’est pas au cinéma, on est dans la vraie vie, Rue de la République, Place de l’Horloge comme sur la Bartelasse. »
« Dans la vie, il y a plus de héros anonymes que de gros dégueulasses, plus de résistants que de collaborateurs, plus de Jean Moulin que de Lacombe Lucien (film tourné en 1974 par Louis Malle dans le Lot et qui parle d’héroïsme et de lâcheté pendant l’occupation nazie) », conclut Claude Lelouch qui, à 87 ans, continue de croire en l’homme, son supplément d’âme et sa générosité.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Les meilleurs athlètes de sports extrêmes vont envahir les écrans du cinéma Capitole MyCinewest ces vendredi 8 et dimanche 10 novembre à l’occasion de l’événement national La Nuit de la Glisse auquel plus de 250 cinémas participent.
Le programme comprend la diffusion de six courts-métrages dans le cadre du NDG Film Festival, la projection du film Human X Part II qui célèbre les exploits des athlètes de l’extrême, de l’immensité des Alpes à la beauté sauvage de la Polynésie française, une présentation virtuelle du film par son réalisateur Thierry Donard, ainsi que les coulisses du tournage.
Ski, snowboard, windsurf, VTT, longskate et bien d’autres sports seront à l’honneur lors de ces deux soirées, mais aussi les athlètes comme le snowboarder Zian Perrot-Couttet, les speedriders suisses Ueli Kestenholz et Dominik Wicki, ou la surfeuse de grosses vagues Laura Enever, qui repoussent leurs limites dans les environnements les plus extrêmes.
Billetterie en ligne ou sur place. Vendredi 8 novembre à 20h30. Dimanche 10 novembre à 17h30. Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Liebig vient d’être désignée* marque préférée des Français dans la catégorie ‘marques de soupes’. Elle s’est hissée sur la 1re place du podium devant l’ensemble des marques de soupes vendues en GMS (rayons frais et ambiant), devant Knorr (n°2) et Royco (n°3). Liebig obtient notamment la première place dans les domaines du goût, de la confiance, de l’innovation et de la qualité.
En Vaucluse depuis 1962 Aujourd’hui leader du marché des soupes liquides au rayon ambiant avec 51,4% de parts de marché en valeur (+2,8 points par rapport à l’année dernière dans un marché évalué à 308M€), la marque reprise à Continental foods par le groupe espagnol GB Foods en 2019, produit ses soupes dans son usine du Pontet. Le site vauclusien emploie actuellement 200 personnes. Il a vu le jour en 1962. L’usine a d’abord été spécialisée dans les soupes en conserve puis, en 1986, elle a été la première à produire des soupes en briques.
Des recettes élaborées par des chefs cuisiniers, directement produites ensuite sur site. Après la cuisson des légumes, les soupes sont chauffées à très haute température en quelques minutes pour permettre leur stérilisation, avant d’être mises en briques dans un environnement stérile. Cela permet d’éviter ainsi l’ajout de conservateur. Il s’agit d’une des plus importantes unités de production de soupe aseptique au monde. « Liebig est aujourd’hui le leader de sa catégorie et continue de se développer, constate Charlotte Bizard, chef de produits chez Liebig. Obtenir la distinction ‘Marque Préférée des Français’ est un honneur, et indique la préférence des consommateurs. Cela vient couronner tout le travail fait par nos équipes depuis plusieurs années sur le goût et la naturalité de nos recettes. »
« Les consommateurs veulent acheter des soupes qu’ils ne pourraient pas faire eux-mêmes. »
« En tant que leader de la catégorie, nous avons un rôle à jouer sur la transformation de cette catégorie », poursuit Charlotte Bizard. Dans cette logique, Liebig a ainsi entamé il y a 6 ans un gros chantier de rénovation de ses recettes, qui sont désormais cuisinées avec 100% d’ingrédient naturels, sans aucun ajout d’additifs. Au fil des années, la marque vauclusienne a développé une gamme de plus de 60 recettes : Les Classiques, Les Bio, Les Familiales, Les Terroirs, Les Gourmandes …
« Les consommateurs veulent acheter des soupes qu’ils ne pourraient pas faire eux-mêmes, constate la chef de produit. C’est pourquoi Liebig a développé la gamme Les Exotiques avec des recettes comme ‘Voyage en Thaïlande’, ‘Voyage en Inde’, ‘Voyage en Chine’… Des soupes aussi savoureuses qu’originales, qui connaissent un fort succès auprès des consommateurs. »
46 000 tonnes de soupe L’an dernier en volume, la marque qui est née en Allemagne en 1865 avant de s’implanter en France en 1919 puis dans le Vaucluse il y a 62 ans, a vendu 46 000 tonnes de soupe, sur un marché total de 100 600 tonnes qui se concentre sur l’hiver. L’usine du Pontet affiche une capacité de production de l’ordre de 100 000 tonnes de soupe par an (60 000 tonnes de soupes liquide et l’équivalent de 40 000 tonnes de soupe déshydratée sous la marque Royco). Le site dispose également d’un centre de recherche et de développement international implanté depuis 2007. Depuis 2018, l’usine est également reliée au réseau vapeur de l’incinérateur de Vedène. De quoi réduire ses émissions de CO2 de l’ordre de 75%.
Laurent Garcia
*Etude réalisée du 18 au 19 septembre 2024, sur le panel d’OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de 1061 personnes de la population française de 18 ans et plus.
Changement des jours de collecte des déchets pour 5 communes du Grand Avignon
Les artistes ouvrent leurs ateliers samedi 16 et dimanche 17 novembre à Avignon, Barbentane, Le Pontet, Les Angles, Morières-lès-Avignon, Pujaut et Villeneuve-lès-Avignon.
Chaque année, le 3e week-end de novembre, les artistes ouvrent les portes de leurs ateliers au public, à Avignon, Villeneuve-lès-Avignon, Pujaut, Morières-lès-Avignon, Le Pontet, Les Angles…
Organisé depuis 2012, cet événement très chaleureux est gratuit et accessible à tous, l’occasion exceptionnelle de rencontrer chaque artiste dans son lieu de création, de se promener, d’atelier en atelier, à pied, à vélo, seul, en famille, entre amis, pour découvrir peintures, sculptures, photographies, céramiques, graphismes, illustrations, calligraphies, art numérique, installations…
Cette année encore, pour la troisième année consécutive, une attention particulière est portée à la question de la mobilité dans l’espace urbain, indispensable aux visites. Des circuits à vélo, toujours accompagnés par les bénévoles de l’association Roulons à Vélo, sont mis en place dans l’extra muros d’Avignon, à Villeneuve lès Avignon et à Barbentane. Les déplacements doux sont encouragés par une information accrue sur le réseau de bus et tram. Beaucoup des participants aux Ouvertures d’Ateliers d’Artistes sont présents sur le Portail des Arts Visuels. Leurs portraits ici.
Des animations sont proposées comme des performances, des concerts, des lectures, des ateliers participatifs… Un guide des ateliers est mis à la disposition du public. Chaque année, plusieurs milliers de personnes participent à cette rencontre.
Les infos pratiques Visites dans les ateliers d’artistes samedi 16 et dimanche 17 novembre de 11h à 18h. Avignon Ateliers d’Artistes (AAA) ici. MMH