22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Un air d’européennes pour la fête de La Marseillaise à Avignon

Après son succès pour son retour l’an dernier, ‘la fête de La Marseillaise’ revient ce dimanche 19 mai 2024, à Avignon, au parc des Libertés de la Barthelasse. Au programme, de nombreux débats politiques sur les européennes mais aussi sur la sécurité et l’énergie. Deux concerts viendront clôturer cette journée.

Un an après la réédition de la fête de La Marseillaise qui avait célébré le retour du quotidien régional en Vaucluse, l’évènement organisé par La Marseillaise et la fédération PCF (Parti communiste français) de Vaucluse revient en cette année 2024 pour une nouvelle édition. Elle se déroulera durant toute la journée du dimanche 19 mai 2024, dans le même lieu que l’édition précédente, sur l’ile de la Barthelasse, au parc des Libertés de 10h à 23h.

Pour ce qui est des organisateurs, on retrouve également les mêmes protagonistes avec La Marseillaise et la fédération PCF de Vaucluse. La petite nouveauté de cette édition 2024 réside dans le fait de maintenir l’évènement à l’aune des européennes, ce qui n’a jamais été fait depuis la création de la fête de La Marseillaise en 1952.

En 2023, cette ‘fête’ politique et conviviale qui avait pour but de rassembler toutes celles et ceux qui luttent pour leur engagement politique, syndical ou associatif, avait réuni de nombreuses personnalités de gauche comme la maire d’Avignon Cécile Helle et le secrétaire national du PCF Fabien Roussel mais aussi quelques figures politiques de droite comme le sénateur Jean-Baptiste Blanc. 500 visiteurs s’étaient alors massés pour assister aux nombreux échanges et activités proposées.

Le programme de cette édition 2024 
Pour cette année 2024, on ne change pas une recette qui gagne. Des débats, des personnalités politiques, des activités ludiques et de la convivialité. Le premier débat aura lieu à 10h45 avec pour thème les enjeux des européennes en présence de certains candidats : Julien De Benito (liste Léon Deffontaines, Christian Lammens (les écologistes, liste Marie Toussaint), Laurent Theron (FI -France insoumise-, Liste Manon Aubry) et Pierre Jouvet (PS-Place publique, liste Parti socialiste de Raphael Glucksmann).

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, durant son intervention lors de la fête de la Marseillaise 2023 au parc des libertés. © Mohammed El Hamzaoui

La journée se poursuivra avec un second débat à 14h15 sur l’énergie, intitulé ‘Décarbonons l’économie’ animé par Laurent Brun, numéro 2 de la CGT et ex-secrétaire CGT cheminots, et Amar Bellal, qui a rédigé le plan climat du PCF. Ce débat laissera une large place au sujet du fret ferroviaire. Enfin le dernier débat aura lieu à 17h30, il sera organisé sur la tranquillité publique, avec Robin Salecroix, responsable de la commission nationale du PCF de cette thématique.

Deux concerts
Deux concerts rythmeront cette journée pour une note plus festive avec une représentation à 16h de Brassens à Alger et un duo de reprise Sam et Alex qui se produiront en fin de journée. Une quinzaine de stands associatifs seront également présents, plusieurs jeux d’enfants et des tours en calèche pour les plus aventuriers. Sans oublier plusieurs possibilités de restauration.

Infos pratiques : La fête de La Marseillaise. Dimanche 19 mai 2024, de 10h à 23h. Parc des Libertés, 4 682 route te de l’Islon. Avignon.


Un air d’européennes pour la fête de La Marseillaise à Avignon

Après la Provence c’est au tour de Vaucluse Matin de s’être mis en grève. Dans les deux cas, il s’agit de s’opposer aux plans d’économie qui visent à supprimer des emplois. Les salariés et journalistes concernés craignent des fermetures pures et simples. Le Vaucluse risque-t-il d’être un territoire sans quotidien d’information ? La question inquiète et mobilise.

Le phénomène n’est pas nouveau et pas spécifique à la presse quotidienne régionale. Pour faire face à la baisse de leurs lectorats et aussi par incidence à leurs revenus publicitaires, les journaux n’ont pas d’autre choix que de tailler à la serpe dans leurs dépenses. Une question de survie. Sauf que réduire les moyens pour produire de l’information rend ses journaux encore moins attractifs. Un vrai cercle vicieux. De plus, les revenus tirés du numérique ne compensent pas aujourd’hui le recul de ceux du papier. En tout cas pas encore. Un vrai casse-tête. Ces journaux sont-ils alors condamnés à n’être que les simples spectateurs de leurs chutes, avec pour seul espoir que les pertes de lecteurs s’arrêtent un jour ?

Comme remettre l’église au milieu du village

On a bien vu qu’avec l’avènement et le développement du numérique de nombreux secteurs économiques ont dû s’adapter pour ne pas disparaître. On ne peut pas dire que la presse quotidienne régionale se soit montrée dans cet exercice le plus offensif de tous les médias. Mais il ne saurait y avoir de fatalité, et nous avons la conviction que la proximité reste une valeur forte. Nous estimons même que l’information locale a encore un avenir devant elle. Le local est un contrepoint nécessaire à la globalisation de l’info et aux « machins » que sont devenus les réseaux sociaux, avec leurs approximations, leurs amalgames, et leurs fake news. La presse écrite peut être celle qui n’est justement pas dans l’émotion, la réaction. Il y a les chaînes d’info pour cela. Le local, loin d’un parisianisme parfois exaspérant, est un bon prisme pour voir le monde et ses tourments. Comme remettre l’église au milieu du village.

Un recul du pluralisme s’accompagne forcément d’un recul des pratiques démocratiques

La presse locale est également indispensable à la vie des territoires et à la démocratie tout simplement. Un recul du pluralisme s’accompagne forcément d’un recul des pratiques démocratiques.  Aux USA, sur les territoires où la presse locale a disparu, les participations aux élections se sont effondrées (elles n’étaient déjà pas importantes), les extrêmes ont pris le dessus et les rapports sociaux et communautaires se sont tendus.

Il est important de soutenir l’existence d’une presse locale et régionale forte, qu’elle soit quotidienne ou hebdomadaire, qu’elle soit papier ou numérique. Notre démocratie et nos territoires le méritent et le nécessitent. C’est une fois qu’elle aura disparu qu’on se rendra compte de son rôle… mais il sera alors trop tard.

Signez la pétition contre le démantèlement de Vaucluse Matin ICI



Un air d’européennes pour la fête de La Marseillaise à Avignon

Ce samedi 27 mai, la fédération PCF de Vaucluse et le journal La Marseillaise relancent la traditionnelle Fête de la Marseillaise absente depuis 2016. Elle aura lieu sur l’île de la Barthelasse, dans le parc des libertés à partir de 10h.

Cet évènement vise à rassembler toutes celles et ceux qui luttent pour leur engagement politique, syndical ou associatif. Les associations, syndicats ou partis politiques qui le souhaitent sont également incités à participer à l’évènement. Ils pourront monter un stand leur permettant de présenter et promouvoir leurs activités.

Plusieurs temps forts dans la journée
La Nupes du Vaucluse organisera une conférence débat à partir de 10h30 sur le sujet de l’écologie qui répondra à la question : ‘quelle transition écologique pour faire face au dérèglement climatique ?’. Florent de Corbier, journaliste à la Marseillaise dont l’édition vauclusienne est de retour dans le département depuis septembre 2022, animera le débat.

Florent de Corbier, journaliste à la Marseillaise animera une conférence-débat sur le thème de la transition écologique à partir de 10h30.

A suivre également une conférence-rencontre avec Philippe Pivion autour de son polar, La nuit se déchire à Tours, qui met en scène la vie d’un congressiste du PCF des années 1920 jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
L’après-midi se déroulera autour de plusieurs rendez-vous, notamment un retour sur le passé colonial de la France en Algérie, avec Raphaëlle Branche et Jacques Inrep, en partenariat avec la Ligue des droits de l’Homme.

Meeting de Fabien Roussel
Enfin, Fabien Roussel, député du Nord, secrétaire national du PCF et personnalité de gauche préférée des français participera également à cette fête avec un meeting qui débutera à 16h. La LFI sera quant à elle représentée par Martine Billard, ancienne secrétaire nationale à l’écologie du parti de gauche.
Au programme également, un discours sur la réforme des retraites quelques jours avant la journée de grèves et de manifestations à l’appel de l’intersyndicale.
Côté musique un DJ Set des Harlem Funk Trotters avant un concert de David Vincent, ancien du groupe Les amis de ta femme, animeront la soirée.

J.G.

Informations pratiques
Samedi 27 mai. 10h à 23h. Île de la Barthelasse. Parc des Libertés. Avignon.


Un air d’européennes pour la fête de La Marseillaise à Avignon

Après l’arrêt récent du mensuel d’enquête et de satire Le Ravi, le paysage du pluralisme de la presse régionale reprend un peu des couleurs avec le retour de l’actualité vauclusienne dans les colonnes du quotidien La Marseillaise.

Nos confrères du quotidien La Marseillaise sont de retour en Vaucluse à partir du 26 septembre. En effet, c’est à partir de lundi prochain que l’actualité départementale et avignonnaise sera à nouveau présente dans les colonnes de ce journal créé en décembre 1943 par des membres de la Résistance. A cette occasion, le média défendant des « valeurs humanistes, de justice sociale, de paix, de liberté et d’émancipation » va consacrer ses deux pages d’ouvertures à ce retour en terre vauclusienne au sein de son édition unique traitant déjà l’information dans les Bouches-du-Rhône et le Var.

« Une analyse plus poussée sur les luttes sociales. »

Un come-back déjà salué par de nombreux lecteurs dans les colonnes de ce média engagé.
« Avec son retour, nous aurons à nouveau des journalistes qui auront une analyse plus poussée sur les luttes sociales que les autres journaux », explique Frédéric Soula, militant communiste en Avignon dans un article de La Marseillaise consacré à ce retour.
Même constat pour Gilles Fournel, secrétaire du comité régional CGT Paca, pour qui cette présence en Vaucluse « est un point d’appui indéniable pour peser dans les rapports de force et peser dans la bataille des idées ».
« La Marseillaise donne un autre écho, un rayonnement supplémentaire sur le pourquoi du comment à propos des luttes », poursuit le syndicaliste.

La Marseillaise du jour, avant son retour en Vaucluse à partir du lundi 26 septembre. © La Marseillaise/DR

« On est absolument ravi que La Marseillaise ait un regain de vitalité très large, précise pour sa part Virginie de Crozé, directrice de la communication et des relations avec le public du Festival d’Avignon. Que le journal puisse aussi penser qu’Avignon est un territoire à couvrir toute l’année, avoir des relations de collaboration et d’information auprès des Avignonnais et, plus largement, du bassin régional c’est quelque chose de très important.
« Il y a besoin de mettre en lumière le sport, les associations, les bénévoles, la culture… Ce sont des gros vecteurs sociaux de diversité », insiste de son côté Amandine Dulon, entraîneuse de tennis à Avignon et récemment médaillée de bronze aux championnats du Monde de tennis en équipe de France 40 ans.

« Le retour de La Marseillaise est une très bonne nouvelle. »

Du côté des politiques « Le retour de La Marseillaise est une très bonne nouvelle, se félicite André Castelli, conseiller départemental PCF du Vaucluse. Nous avons été attristés de la fin du journal ici, puisque c’est un journal historique dans le département. Il portait la voix de ce qui faisait la transformation dans la société. Il s’est beaucoup appuyé sur le travail des militants du département. Voir le titre revenir, le renouveau et la renaissance du journal, c’est très positif ! Il faut lui redonner vie dans la sphère populaire, c’est très important. »

Toujours dans les colonnes de notre confrère, Jean-Baptiste Blanc, sénateur et conseiller départemental LR de Vaucluse estime que « la présence de La Marseillaise apportera au débat républicain. Dans mon département, il y a des élus et des militants communistes, c’est une tradition politique, un courant de pensée qui apporte au débat. Le retour de votre journal est positif à cet égard. »

L’aptésienne d’origine Élisabeth Guigou, ancienne ministre de la Justice puis de l’emploi dans le Gouvernement du socialiste Lionel Jospin, s’enthousiasme également pour ce retour : « Le pluralisme de la presse est un trésor à protéger, donc je suis heureuse que La Marseillaise revienne dans le Vaucluse, surtout dans ce département où on a besoin d’avoir plusieurs points de vue. Ce retour est d’autant plus important face à la puissance de l’extrême droite. »

« Un acteur important du débat démocratique et du pluralisme de la presse. »

Pour ce retour, La Marseillaise a dédié deux journalistes, Florent de Corbier et Alice Terrier, afin de couvrir l’actualité du Vaucluse. Ils ne disposeront pas cependant d’une agence comme c’était le cas jusqu’en 2018, avant que le quotidien ne tire le rideau de ses locaux situés rue Guillaume-Puy à Avignon. Une décision prise suite aux difficultés rencontrées par le journal qui avait alors mis notamment en place un plan de sauvegarde de l’emploi.
La situation s’étant depuis éclaircie, La Marseillaise se veut désormais plus offensif lors de cette rentrée afin d’élargir son audience et ses ressources.
Outre l’actualité vauclusienne, le titre de presse régional va ainsi aussi offrir Zébuline hebdo qui traite l’actualité culturelle, dans son numéro du mercredi 28 septembre. Ensuite, ‘La Marseillaise Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse’ offrira également son supplément week-end les samedi 1er et dimanche 2 octobre prochains. « Nouvelle maquette, nouvelles idées de sorties, rendez-vous scientifiques, littéraire, culturels, détente, loisirs… Le supplément week-end, détachable, sera un deuxième journal au service de vos envies » explique le média qui rappelle que « par son histoire et ses engagements, hier et aujourd’hui, La Marseillaise est un acteur important du débat démocratique, du pluralisme de la presse et de sa diffusion, indispensables au droit à l’information des citoyens. »

Contacts : Florent de Corbier fdecorbier@lamarseillaise.fr et Alice Terrier aterrier@lamarseillaise.fr
www.lamarseillaise.fr


Un air d’européennes pour la fête de La Marseillaise à Avignon

Alter Midi Mag ? Il vient juste de paraître. C’est un trimestriel papier (5€) disponible en kiosque et le prolongement naturel du site Internet altermidi.org créé, en 2019, par d’anciens journalistes de la Marseillaise, dont Christophe Coffinier, journaliste à l’agence d’Avignon désertée en 2019.

Mission ?

‘Poser’ une information de qualité, centrée sur l’humain et la réflexion à long terme, notamment sur la gestion des territoires des régions Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie. Leur crédo ? Faire du terrain. Et pour ce 1er numéro ? Parler de l’arrière-pays, du transport, de l’environnement, de la qualité de vie, des universités et, surtout, de l’Economie sociale et solidaire. Les rubriques ? l’Edito, les Régions, la Citoyenneté, les Universités, l’Economie, la Méditerranée, la Culture, 60 pages en tout.

L’idée ?

A terme elle sera d’essaimer pour parler des avancées et pratiques globales de tout ce qui se passe dans le pourtour Méditerranéen pour acquérir une vision d’ensemble, analyser l’efficience des politiques mises en place. Sa direction ? Échapper à l’affaiblissement du débat d’idées.

Décryptage

«Nous étions plusieurs journalistes de la Marseillaise réunis, en 2018, et faisions le constat que nous allions vers une liquidation, relate Christophe Coffinier, journalise à la Marseillaise, agence d’Avignon. Nous avons alors élaboré un projet de reprise de la société en Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Nous en avons été empêchés… puis licenciés. La Marseillaise passant de 208 salariés à 46. On avait ce projet et nous voulions en faire quelque chose. Cela a donné la création d’une association : ‘Les amis d’AlterMidi’ pour soutenir les parutions d’AlterMidiMag actuellement édité à 3 500 exemplaires. Auparavant et depuis 2019, nous écrivions sur le site altermidi.org.»

Changer de paradigme

«AlterMidiMag est un média régional conçu pour travailler autrement. Cela nous a demandé de changer nos pratiques journalistiques. Par exemple ? On a appris la liberté ce qui est une terrible contrainte parce qu’on peut faire ce que l’on veut mais que l’on ne sait pas où aller. Il a fallu trouver nos marques. Ce projet nous le réalisons alors que nous avons tous plus de 50 ans, il est donc voué à être transmis, à être interactif avec la société civile et les collectivités territoriales. Nous voulons participer à un renouveau du dialogue des politiques avec les citoyens ce qui implique de ‘remuer’ un peu nos élus. Nous nous ouvrons à la contribution éditoriale de personnes non-journalistes mais qui veulent participer à l’information. Pour nous, un journal est un projet politique, c’est aussi faire notre métier le mieux possible. Je m’explique : La démocratie sans presse indépendante n’est pas une démocratie !»

Le Mag

«Le Mag propose 14 signatures –et tout autant sur le site internet- dont des contributions et s’appuie sur des correspondants à Toulouse, Marseille, Montpellier, Madrid, Athènes, Béziers. A terme, nous voulons explorer les deux rives de la Méditerranée et être relayés un peu partout. Nous parlons de ce que nous voyons de façon locale mais en élargissant le sujet à des territoires plus vastes.»

Notre lectorat ?

«On ne le connait pas encore. Nous enregistrons sur le site 82 000 lecteurs uniques par mois. La Marseillaise n’a jamais été aussi lue ! Ce chiffre s’explique par le fait que nous soyons sur deux régions : Sud-Paca et l’Occitanie, que l’on s’intéresse au reste de la Méditerranée, et que nous utilisons nos propres réseaux sociaux personnels, issus de notre travail de terrain.»

Comment fait-on ?

«On se retrouve à faire tous les métiers du journaliste : investiguer, interviewer, écrire, concevoir la maquette, reprendre à zéro l’élaboration d’un journal, démarcher un imprimeur –MG Imprimerie de Pernes-les-Fontaines-. Cela nous a obligés à penser à la distribution avec un système D en louant un camion, en distribuant les exemplaires aux grossistes à Nîmes, Toulouse, Béziers, Montpellier, Marseille, Vitrolles pour être distribués dans le Vaucluse, le Gard, l’Hérault, jusqu’à Toulouse… Le projet étant toujours de gagner le pourtour méditerranéen.»

Le modèle économique ?

«Pour l’instant c’est l’association ‘Les amis d’AlterMidi’ qui porte le projet avant de viser la Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Les collectivités locales peuvent nous soutenir, pour aider à faire vivre un média de manière indépendante. Pour le moment ? Nous travaillons tous bénévolement depuis plus de 18 mois mais nous nous dirigeons vers le salariat et serons également sociétaires. A plus long terme ? Nous voulons faire travailler de jeunes journalistes. Cela peut paraître étrange mais l’on ne construit pas pour nous. On le fait parce qu’on croit en l’utilité sociale de la presse. Une presse qui appartienne aux journalistes et aux lecteurs, indépendante et avec laquelle les collectivités locales s’impliquent mais en rendant à la démocratie ses lettres de noblesse.»

La une du n°1 Juillet à septembre 2021 de AlterMidiMag, l’information des Suds actuellement disponible en kiosque 5€

https://echodumardi.com/tag/la-marseillaise/   1/1