Le 2 août dernier, le Cavaillonnais Sylvain André a réalisé une performance exceptionnelle lors de la finale de BMX Racing aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et est reparti avec la médaille d’argent. Avec Joris Daudet, qui a remporté l’or, et Romain Mahieu, qui est licencié au BMX Club Sarrians et a remporté la médaille de bronze, ils ont réalisé un triplé historique qui a fait vibré toute la France. Cela faisait 100 ans que trois français n’avait pas occupé les trois marches du podium aux Jeux Olympiques d’été.
Après être revenu sur la piste de son club dans le Vaucluse pour se remettre en selle et rencontrer ses fans à la fin du mois d’août, c’est avec tous les Cavaillonnais que Sylvain André va célébrer cette médaille d’argent le mercredi 11 septembre. Le pilote vous donne rendez-vous sous la verrière de l’Hôtel de Ville en fin de journée.
Mercredi 11 septembre. 17h30. Hôtel de Ville
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
Entre les 24,4 millions de téléspectateurs pour la cérémonie d’ouverture sur la Seine le vendredi 26 juillet et les 17,1 millions ce dimanche 11 août pour la clôture au Stade de France, l’ordonnancement de cet évènement mondial concocté par le metteur en scène Thomas Jolly est aussi le fruit de l’imagination et du travail d’une l’ancienne élève du Lycée Mistral à Avignon, Emmanuelle Favre.
Bon sang ne saurait mentir. Avec un arrière-grand-père clown, un papa violoniste qui a notamment joué dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes en 1958 aux côtés de l’iconique Gérard Philipe, Emmanuelle Favre a continué à creuser le sillon de l’art et de la créativité.
Après l’École supérieure des Arts et Techniques, en architecture d’intérieur puis en scénographie, cette passionnée d’opéra travaille notamment aux côtés du timide et talentueux Dominique Lebourges, patron d’Artefact à Courthézon. Cet atelier en pleine campagne, spécialisé dans la conception de décors, s’est fait un nom dans le monde du théâtre, des concerts de stars planétaires, de la danse et de l’opéra. Il a collaboré maintes fois aux Chorégies d’Orange, à la Scala de Milan, au Théâtre des Champs-Élysées, au Ballet de Maurice Béjart et aux tournées de Mylène Farmer ou de Johnny Hallyday. Et Emmanuelle Favre était là aussi pour Matt Pokora, Booba, Calogero, Gad Elmaleh, Julien Clerc ou Dutronc, père et fils.
Quand Thomas Jolly est venu à Avignon en 2018 grâce à Olivier Py, alors directeur du Festival In, c’était pour mettre en scène la tragédie du philosophe stoïcien Sénèque Thyeste. Un moment, une rencontre qui, pour Emmanuelle, débouchera sur une collaboration avec lui pour la comédie musicale Starmania pour laquelle l’avignonnaise a décroché le Molière de la création visuelle et sonore en 2023. Mais elle a aussi souvent participé aux mises en scènes opératiques à Saint-Pétersbourg, à Tokyo, à Séoul, à Marseille avec Charles Roubaud et Katya Duflot et surtout à Orange, à l’époque de Raymond Duffaut, où on l’a vue en coulisses à maintes reprises pour Tosca, Aïda, La Bohème, Carmen, Madame Butterfly ou Rigoletto.
Et dimanche 11 août, pour la fin de cette mémorable Olympiade 2024 de liesse, de folie, d’engouement, de réjouissance, de partage, d’inclusion, de fraternité et de solidarité avec tous les sportifs, tous les bénévoles et tous les spectateurs, Emmanuelle Favre, aux côtés de Thomas Jolly et de toute son équipe, a apporté son talent, son supplément d’âme, son sens de la scénographie dans l’immense Stade de France avec danseurs, acrobates et… Tom Cruise. « Mon travail, c’est de traduire en volume, en 3D, les idées du metteur en scène », dit-elle modestement. Bravo l’artiste !
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
Le jeudi 18 juillet, quelque 1 200 personnes se sont réunies autour de la piste de BMX de Sarrians, où l’équipe de France a effectué son dernier entraînement avant les Jeux Olympiques de Paris 2024, qui débuteront ce vendredi 26 juillet.
Le BMX se décline sous deux formes aux Jeux Olympiques : le BMX freestyle et le BMX racing. Ce premier est devenu une épreuve des Jeux Olympiques en 2021 à Tokyo, tandis que le second est au programme depuis les Jeux de Pékin en 2008. Cette année, les riders seront en compétition le 29 juillet pour le freestyle et le 1ᵉʳ août pour le BMX race. Les épreuves médaillées auront lieu les lendemains de ces journées de compétition.
L’équipe de France pourra alors mettre en pratique le fruit de plusieurs mois, et même plusieurs années, de travail. Son dernier entraînement, auquel le public a pu assister, a eu lieu le jeudi 18 juillet sur la piste de Sarrians, labellisée Centre de préparation aux Jeux. De quoi booster les coureurs pour la compétition. « Si un ‘petit village du Vaucluse’ est devenu la base arrière de notre belle équipe de France, nous le devons à l’Agence nationale du Sport et à la bienveillance de Yann Cucherat (manager de la préparation des Jeux), Renaud Muselier (président de la Région Sud), Dominique Santoni (présidente du Département de Vaucluse), Michel Callot (président de la Fédération Française de Cyclisme), David Lappartient (président de l’Union Cycliste Internationale), Christelle Jablonsky-Castanier(vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse en charge des sports), Hervé Liberman (président Commission Sport à la Région Sud) et aux entreprises qui dans l’ombre ont œuvré pour réaliser les travaux en 2024″, a déclaré Stéphane Garcia, président du BMX Club de Sarrians.
Yann Cucherat (manager de la préparation des Jeux), Christelle Jablonsky-Castanier(vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse en charge des sports), Florian Rousseau (directeur du programme olympique à la Fédération française de Cyclisme), Stéphane Garcia, (président du BMX Club de Sarrians), Anne-marie Bardet ( Maire de Sarrians) et Marie Thomas de Maleville (conseilère départementale du canton de Carpentras)
Comme à l’entraînement, les riders entameront la course en haut d’une bute de 8m et devront traverser la piste de 400m, composée de bosses et de virages serrés, le plus rapidement possible. Les compétiteurs devront mélanger vitesse et agilité lors de la course. Si les riders sont prêts pour la compétition, leurs supporters, eux, le sont tout autant.
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
Ce jeudi 18 juillet, Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christophe Allain, directeur de la Police Nationale Sud et Cédric Esson, directeur interdépartemental de la Police Nationale, ont inauguré les deux vedettes maritimes au Vieux-Port de Marseille. Ces vedettes assureront la sécurité pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
Les Jeux Olympiques de Paris auront lieu du 26 juillet au 11 août, et les Jeux Paralympiques du 28 août au 8 septembre prochains. La France voit déjà sa sécurité renforcée pour l’occasion. Ce jeudi 18 juillet, deux vedettes maritimes qui participeront à cette sécurité ont été inaugurées par la Région Sud et la Direction zonale de la police nationale Sud à Marseille.
Les deux vedettes maritimes permettront, dans un premier temps, d’assurer la sécurité des épreuves de voiles à Marseille pendant les Jeux, puis seront, dans un second temps, déployées le long des côtes pour assurer la sécurité des touristes, des plaisanciers et des habitants.
Elles seront affectées aux brigades nautiques départementales de la Direction interdépartementale de la Police nationale (DIPN) des Bouches-du-Rhône et la DIPN du Var. Ces deux outils représentent un financement de 757 000€ de la part de la Région Sud qui a investi plus de 20M€ depuis 2021 pour les polices municipales et aux forces de l’ordre nationales, gendarmerie et police.
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
À deux semaines du début des JO de Paris 2024, la capitale française se prépare à recevoir un afflux de visiteurs du monde entier. Outre les 10 500 athlètes, les 20 000 journalistes accrédités et les 45 000 bénévoles, des millions de spectateurs viendront à Paris dans les semaines à venir pour assister aux épreuves de la compétition. Le 11 juillet, le président du Comité d’organisation des JO de Paris a annoncé à l’AFP que 8,6 millions de billets avaient déjà trouvé preneur. L’olympiade parisienne a ainsi battu le record du nombre de billets vendus pour des Jeux, détenu jusqu’alors par les JO d’Atlanta (1996), qui en avait vendu 8,3 millions selon le Comité international olympique.
Il reste maintenant à voir si Paris 2024 parviendra à réaliser ce que ni Rio, Londres, Pékin ou Atlanta n’avaient réussi à faire : écouler tous les billets mis en vente pour l’évènement. Avec 97 % des billets disponibles vendus, Londres 2012 a été l’édition la plus proche de se dérouler à guichet fermé au cours des quatre dernières décennies, juste devant Pékin 2008 (96 %), tandis qu’Athènes 2004 a eu le plus grand mal à remplir ses stades et ses salles, avec seulement 71 % des billets vendus. À l’heure actuelle, 86 % des billets mis en vente pour les JO de Paris (hors Jeux paralympiques) ont trouvé preneur, mais les organisateurs restent confiants de pouvoir écouler la totalité des billets, soit 10 millions, d’ici la fin de l’évènement.
Quels billets coûtent le plus cher aux JO de Paris ?
Les Jeux olympiques de Paris 2024 vont débuter dans deux semaines. Si les épreuves de marathon natation et de triathlon, à l’origine prévues dans la Seine, pourraient être déplacées vers d’autres sites en raison de la pollution du fleuve, la compétition va malgré tout se dérouler avec la capitale française en toile de fond. Qu’il s’agisse des épreuves équestres organisées dans les jardins du Château de Versailles, du stade de beach-volley installé aux pieds de la Tour Eiffel ou des sports urbains récemment ajoutés (basket-ball 3×3, BMX, breaking et skateboard) accueillis dans un site temporaire sur la place de la Concorde, les spectateurs sportifs pourront admirer la beauté de la ville lumière. À condition d’avoir eu la chance d’obtenir des billets ou de pouvoir se les offrir.
La disponibilité de billets abordables a en effet fait l’objet de nombreuses discussions. Bien que des billets à 24 euros aient été disponibles pour chaque sport, ils étaient souvent limités aux premiers stades de la compétition et les fans ont dû dépenser beaucoup plus à l’approche de la cérémonie de remise des médailles pour la plupart des événements.
Les billets les plus chers pour les finales d’athlétisme, de natation et de basket-ball coûtent ainsi jusqu’à 980 euros, soit plus de 40 fois le prix des billets les moins chers disponibles pour chaque sport. À l’autre bout de l’échelle, certains événements ne coûtent que 24 euros, ce qui s’applique principalement aux événements en plein air que l’on peut également regarder gratuitement sur la voie publique, le long de la Seine ou, pour les spectateurs se trouvant à Tahiti, au célèbre spot de surf de Teahupo’o.
Si les prix mirobolants de certains événements ont suscité des critiques, il est important de noter que ces billets onéreux rendent possible le prix de départ très bas des billets. Selon le comité d’organisation, un million de billets ont été vendus à 24 euros, tandis que près de la moitié des 10 millions de billets disponibles ont été vendus à 50 euros ou moins.
De Tristan Gaudiaut et Valentine Fourreau pour Statista
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
À deux semaines du coup d’envoi des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui débuteront le vendredi 26 juillet, la Chocolaterie Castelain crée un produit chocolaté sur le thème pour l’occasion.
Si les sportifs olympiques vont remporter des médailles en or, argent et bronze ces prochaines semaines, la Chocolaterie Castelain crée ses propres médailles en chocolat à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024. Ces médailles, décorées d’une Tour Eiffel régaleront les papilles des sportifs, mais pas que. « Un cadeau idéal ou une petite récompense personnelle pour vivre pleinement les JO », affirme la chocolaterie vauclusienne.
Cette nouvelle création est disponible en édition limitée dans les trois boutiques à Châteauneuf-du-Pape, Coustellet et Althen-des-Paluds. Elle vient s’ajouter aux sucettes Tour Eiffel, créées par la Chocolaterie en mai dernier à l’occasion également des JO 2024, qui sont encore disponibles en boutique et sur le site.
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
La cérémonie des Trophées du sport vauclusien, qui a eu lieu le 16 mai à l’Auditorium du Thor, est destinée à valoriser les athlètes, entraîneurs, dirigeants, bénévoles et associations les plus méritants et les plus investis. Treize trophées ont été attribués.
La pratique sportive représente l’un des axes forts du Conseil départemental de Vaucluse qui met un point d’honneur à ce que chacun ait accès au sport et aux équipements de façon équitable, que le sport soit un vecteur d’intégration et de mixité, du mieux vivre ensemble et de la qualité de vie, que les activités de pleine nature soient valorisées, et que le sport soit promu dans tout le département. Ce positionnement prend d’autant plus sens cette année avec les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Comme chaque année, le Département met en avant les athlètes, entraîneurs, dirigeants, bénévoles et associations les plus méritants et les plus investis de Vaucluse avec les Trophées du sport vauclusien. Cette année, treize récompenses ont été distribuées.
Les lauréats
Trois sportifs ont été récompensés dans la catégorie ‘Performances individuelles’ : Romain Mahieu (BMX race) du BMX Club Sarrians, Sébastien Raichon (ultra trail) de 400 Team, et Sophie Giely (tir) du Club de tir de Valréas Enclave.
Dans la catégorie ‘Performances collectives’, Lucie Gaudion et Anton Wenzel (raid) de 400 Team ont reçu un trophée, ainsi que Geoffrey Arnaudo et Wilfrid Hortelano (moto endurance) de Moto club de Gordes Comité motocycliste de Vaucluse.
Les ‘Espoirs’ de 2024 sont Lise Revol (VTT XCO, CX, route) de Gordes Vélo Évasion, Clara Entresangle (athlétisme) d’Athlétic Sport Cavaillon, et Nathan Maserati (BMX race) du BMX Club Cavaillon.
Dans la catégorie ‘Entraîneurs’, c’est Renaud Guigue (rugby à XIII) du SOA XIII qui a été mis à l’honneur.
L’AS Camaret (football) a reçu le trophée ‘Sports et écoresponsabilité’ pour son engagement ‘repas zéro déchet’, qui vise à sensibiliser les stagiaires sur la quantité de déchets produite en les invitant à venir avec des repas dans des emballages réutilisables.
La mairie de Cavaillon et l’Agglomération Luberon Monts de Vaucluse ont été récompensés dans la catégorie ‘Sport/Santé’ pour l’intégration d’une heure d’activité obligatoire pour les personnels ‘Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles et ménage’ dans leur temps de travail.
L’association sportive du collège Jean Giono à Orange a reçu le trophée ‘Terre de Jeux 2024’ pour l’organisation d’une semaine olympique et paralympique qui a mobilisé 1 800 élèves et toute l’équipe éducative.
Enfin, Cédric Castel (Para Canoë Kayak Adapté) du Comité départemental de sport adapté a été mis en lumière dans la catégorie ‘Sport et handicaps’.
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
Le Département de Vaucluse vient de dévoiler les différents parcours précis de la flamme olympique, qui traversera le Vaucluse le mercredi 19 juin.
Le mercredi 19 juin prochain, la flamme olympique traversera le Vaucluse. Le département sera une étape dans le parcours de la flamme qui débutera le 8 mai à Marseille et se terminera le 26 juillet à Paris, et qui lancera le début des Jeux Olympiques 2024. Si jusqu’à maintenant, on connaissait les lieux vauclusiennes par lesquels la flamme va passer et à quels horaires, les détails du parcours restaient vagues.
Le parcours, qui sera discontinu, se composera de sept séquences qui vont rythmer la journée du 19 juin dans différents points du département : Rustrel, Apt, L’Isle-sur-la-Sorgue, le Mont Ventoux, Orange, Sorgues et Avignon. Chacune de ces séquences a un parcours plus ou moins long (cf cartes ci-dessous) avec en tout 100 porteurs de la flamme. Le site des Ocres de Rustrel sera la seule étape du parcours fermée au public. Pour les Vauclusiens, le parcours débutera donc à 9h à Apt, et s’achèvera à 19h20 à Avignon.
Sylvain André célèbre sa victoire aux JO 2024 avec les Cavaillonnais
Les noms des premiers porteurs de la flamme olympique pour les JO de Paris viennent d’être dévoilés. L’escrimeuse Laura Flessel et le nageur Camille Lacourt feront ainsi partie des capitaines en charge des relais qui sillonneront le pays entre le 8 mai et le 26 juillet. L’organisation des Jeux Olympiques de Paris a cependant connu de nombreux revers et suscité de vives polémiques : annulation de la compétition de natation en eau libre prévue dans la Seine en raison de la pollution du fleuve, doutes quant à la capacité des transports en commun de la capitale de transporter efficacement un nombre bien plus élevé de passagers, réquisition de certains logements étudiants, ou encore l’épineuse question du budget, passé d’un montant estimé à 6,6 milliards d’euros en 2017, à 8,8 milliards en 2022.
En effet, si accueillir les Jeux Olympiques est un honneur pour les pays organisateurs et offre des perspectives de retombées économiques, les coûts liés à l’organisation de l’événement sont eux beaucoup moins réjouissants. Les précédentes éditions des JO ont montré qu’un dépassement du budget prévu initialement est presque inévitable et est quasiment devenu la norme pour les villes hôtes.
Dans le cas de Tokyo, on estime que le report des Jeux d’un an en raison de la pandémie a coûté au Japon 2,8 milliards de dollars, dont les deux tiers ont été payés par des fonds publics. Cela s’ajoute à un projet dont le budget avait déjà été largement dépassé.