Chaque année, Enedis mise sur le recrutement, et notamment sur celui des alternants. L’entreprise vient donc d’ouvrir les portes de ses sites à 75 lycéens afin de leur faire découvrir ses différents métiers.
En 2022, 131 nouveaux collaborateurs, dont 54 en alternance, rejoignaient les équipes d’Enedis en Provence Alpes du Sud. Cette année, 150 recrutements devraient à nouveau se concrétiser sur les départements du Vaucluse, des Bouches-du-Rhône, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes.
« Pour trouver les talents de demain, Enedis mise sur l’alternance et fait découvrir tout au long de l’année ses métiers techniques », explique Sébastien Quiminal, directeur Enedis Vaucluse. Ainsi, 75 lycées avignonnais et islois ont pu découvrir les sites d’Enedis et leurs métiers tels que technicien réseau, chargé de projets, ou encore technicien poste source. À travers divers ateliers, les jeunes ont également pu assister à des démonstrations d’engins, ou encore de drone pour la surveillance du réseau.
V.A.
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
Plus de 600 invités au Palais des Congrès d’Arles ce 30 janvier, des patrons de petites ou moyennes entreprises, des maires et deux spécialistes de l’économie, François Lenglet, journaliste et Philippe Dessertine, professeur à la Sorbonne et directeur de l’Institut de Haute Finance, qui étaient invités par le président de la CCI, Stéphane Paglia.
En ouvrant la soirée, il s’est exclamé : « Quel plaisir de vous retrouver » et a enchaîné « Après le Covid, en 2022 on a assisté à une augmentation des créations d’entreprises, +6,4%, bravo! Les femmes porteuses de projets représentent 36%, ce n’est pas encore la parité, mais on progresse. » Il a fait le tour de tous les dispositifs engagés sous sa mandature : « 13 local », les chèques-cadeaux lancés avec la CCI d’Aix-Marseille, 500 000€ mis en circulation dans l’économie locale, qui favorisent l’attractivité, le développement, le dynamisme et la préservation du territoire du Pays d’Arles.
“Nous sommes tous ici pour développer le Grand Marché de Provence à Châteaurenard qui se déploie sur 35 hectares.“
Stéphane Paglia, Président de la CCI du Pays d’Arles
Stéphane Paglia a poursuivi : « Nous sommes tous ici pour promouvoir nos métiers, donner l’envie aux jeunes de devenir chefs d’entreprises, aménager notre territoire avec le contournement d’Arles et la requalification de la RN 113 (qui traverse les 13km du centre ville avec un trafic quotidien de 80 000 véhicules et qui deviendrait un boulevard urbain moins polluant pour les riverains), développer le Grand Marché de Provence (à Châteaurenard qui se déploie sur 35 hectares), investir 6M€ pour le multi-modal, aménager la future tranche de la LEO qui désenclaverait le nord du département, installer des hôtels d’entreprises au coeur d’Arles, Tarascon ou Saint-Rémy pour les dynamiser, amplifier l’opération « Esprit clients » en aidant les commerçants à refaire leur vitrine, être plus attractifs, améliorer leur chiffre d’affaires, verdir l’environnement, en enlevant des camions de la route et favoriser le transport fluvial sur le Rhône et encore développer les filières d’hydrogène et de biomasse et ainsi conforter la transition écologique ».
“Nous sommes tous ici pour aménager la future tranche de la LEO qui désenclaverait le nord du département.“
Stéphane Paglia, Président de la CCI du Pays d’Arles
Le dynamique président de la CCI a rappelé son projet de mandature en 10 points : « Créer des emplois, apporter des formations d’excellence, booster le territoire, déployer le programme du port, stucturer la filière agroalimentaire (qui représente 60% de l’agriculture des Bouches du Rhône), renforcer l’incubateur de l’entrepreneuriat au féminin, ouvrir ici une école de commerce qui attirerait les jeunes et empêcherait leur exode vers Aix, Marseille, Nîmes ou Montpellier. A terme, ils seraient 130 à vivre ici et monter leur propre entreprise, inciter à saisir toutes les opportunités numériques, commerciales, artisanales et industrielles et développer l’aménagement du Pays d’Arles qui inclut La Camargue, les Alpilles, la Plaine de Crau et attire 1,5 million de touristes par an ».
Il continue d’égrener les atouts culturels et historiques de ce territoire béni des dieux : « 200 000 entrées dans nos monuments patrimoniaux, 120 000 pour la fondation LUMA dédiée au soutien de la création artistique, les Rencontres de la Photo, créées en 1970 par Lucien Clergue et Michel Tournier qui attirent le monde entier chaque été (127 000 visiteurs), La Fondation Van Gogh, les vestiges romains à l’abri du Musée Arles Antique, le Musée ethnographique d’Arlaten, les 60 000 croisiéristes sur le Rhône et les 12M€ de retombées économiques induites par les Feria de Pâques et du Riz en septembre. »
Stéphane Paglia accueille ensuite le 1er expert de cette « Soirée des Entreprises » François Lenglet, journaliste, chef du service économie TF1 – LCI qui prend la parole. « Ca fait plaisir de vous voir aussi nombreux, le bonheur d’entreprendre n’est pas si fréquent. Mon ordre de mission, ce soir, c’est parler du devenir de l’inflation. Je vous préviens, elle est là pour longtemps, nous sommes entrés dans un nouveau monde, un cycle différent. Jusqu’à présent, les Etats-Unis étaient les maîtres du monde, ils sécurisaient les transactions, ils définissaient les règles du commerce international, l’OMC suivait ses préconisations, le dollar était roi, et nous, nous baignions dans l’insouciance. Désormais, la bête américiaine est blessée, l’économie en déclin. Nous devons donc changer notre fusil d’épaule, à commencer par produire chez nous les médicaments, les semi-conducteurs, l’énergie, l’agro-alimentaire et rompre avec les illusions de la mondialisation ».
Je vous préviens, l’inflation est là pour longtemps, nous sommes entrés dans un nouveau monde, un cycle différent.
François Lenglet
« Un sujet majeur cristallise notre avenir : la démographie » explique François Lenglet. « La population active commence à diminuer, des centaines de millions de paysans chinois ont quitté leur ferme et sont arrivés en ville où ils s’entassent dans d’immenses ateliers, des usines gigantesques. C’est un afflux considérable de bras, de salaires nos qualifiés, de production à bas, très bas coûts. Chaque année la population active baisse. En Chine, justement, on recense 7 millions de personnes en moins, le vieillissement s’accélère. En Italie on a dénombré 400 000 citoyens en moins, la France est pour l’instant relativement épargnée, mais il est de plus en plus difficle de trouver du personnel, les ressources humaines se raréfient. Pour un patron, recruter relève d’une véritable compétition, le rapport employeur / employé s’inverse, désormais c’est le salarié qui choisit son patron et l’entreprise où il a envie de travailler ».
Autre préoccupation : la transition énergétique. « Produire propre coûte plus cher qu’en polluant l’environnement. Décarboner, réduire les émissions de dioxyde de carbone a un prix, ce qui renchérit la valeur des marchandises. Or, les banques centrales sont en train de faire remonter le taux pour éradiquer l’hydre de l’inflation. Après la chute du Mur de Berlin, la fin de la Guerre froide, la Chine s’est ouverte, le prix du travail a notablement baissé, les frontières ont reculé, on a pu circuler sans trop de contraintes. Mais ce monde-là c’est fini avec l’entrée en guerre de la Russie en Ukraine, une parenthèse se referme. L’hyper-puissance des USA a dégringolé, Vladimir Poutine a sans doute perçu son déclin et il a estimé qu’il avait une fenêtre de tir – au sens propre – pour envahir l’Ukraine. Il nous faut donc réorganiser l’économie mondiale suivant l’axe Chine- USA, mais est-ce si grave? »
“L’inflation n’est pas le monstre, le diable qu’on nous présente. Elle inverse le rapport de force entre travail et capital.“
François Lenglet
A cette question, François Lenglet se montre plutôt rassurant. « A la sortie de la guerre, les baby-boomers, mes parents, ont pu se constituer un patrimoine, acheter leur maison grâce à l’enflation, si, si! Elle avait progressé de 10 à 15%, mais les salaires aussi. Du coup le poids du remboursement s’est allégé, c’est l’ardoise magique. Aujourd’hui, c’est pareil. Le rapport s’est inversé, on a indexé les salaires, le SMIC, les retraites, les impôts avec de nouveaux barèmes, ce n’est pas la fin du monde. » Il conclut avec optimisme : « L’inflation n’est pas le monstre, le diable qu’on nous présente. Elle inverse le rapport de force entre travail et capital. Le monde qui pointe est plein de promesses, fécond, sans doute va-t-il gommer les inégalités, c’est tout ce que je nous, je vous souhaite! » Tonnerre d’applaudissements dans la salle comble du Palais des Congrès d’Arles.
Place au 2ème expert de la soirée, l’économiste Philippe Dessertine. « La mission que m’a confiée le président de la CCI est simple et complexe à la fois, être positif, avoir l’esprit « feria ». Je vais commencer par l’évènement majeur de notre monde actuel : le dérèglement climatique. 8 milliards d’humains sur terre nous obligent à changer de modèle économique. Le nôtre datait de 150 ans, il ne fonctionne plus, il est urgent d’en changer, ce n’est plus une option mais une obligation ». Tout a changé, une forme de révolution a frappé le monde des mathématiques, de la science, de l’astro-physique, de nos connaissances. Les algorithmes développent des informations qu’on n’avait pas, avant. Certains affirment par exemple que dans 20 ans le cancer sera vaincu. On peut désormais cumuler croissance et développement durable, ils ne sont plus antinomiques ».
“Pour oser, pour innover, il faut être petit. C’est la grande force des territoires décentralisés comme le Pays d’Arles.“
Philippe Dessertine
Comment adapter ce raisonnement au Pays d’Arles et à ses entrepreneurs? Grâce à un mot, la décentralisation. On ne dépend plus de Paris, un président a été élu sans parti politique. New-York, la ville des gratte-ciel, est morte, c’est Los Angeles qui gagne, cette ville horizontale, cette juxtaposition, cette mosaïque de communautés, reliées entre elles, connectées par le digital. Ici, la Crau, la Camargue, la Montagnette, les Baux, les Alpilles, ses parcs naturels, ses 29 communes, c’est un véritable pays de cocagne! Vous avez les paysages, le patrimoine, la culture, les bons produits du terroir, vous savez ce qu’est la déconcentration, vous avez déjà ce nouveau monde sous vos yeux, entre vos mains. Et la CCI c’est elle qui les relie, les irrigue, tous ces réseaux de grandes, moyennes, petites entreprises, qui promeut la synergie et propose cet autre mode de fonctionnement. Des entités à taille humaine où on peut innover. Comme l’agriculture qui s’équipe de drones. Dans les grosses structures, on n’y arrive plus ».
Philippe Dessertine cite alors l’exemple du business-man Mark Zuckerberg. « Il a créé Facebook, payait cher ses salariés, mais ils n’arrivaient plus à innover, à se réinventer, ils étaient trop nombreux, la structure trop lourde. Facebook dégringole, pour enrayer cette chute, il acquiert Instagram. Même scénario. Il ne faut pas oublier que le but d’un bureaucrate c’est de garder son boulot, pas de travailler dans l’intérêt de l’entreprise. Pour oser, pour innover, il faut être petit. Regardez pour les grands laboratoires pharmaceutiques avec le Covid. Ni Sanofi, ni Pasteur n’ont trouvé le vaccin, les dinosaures ont un grand corps mais une petite tête. C’est Moderna, une équipe plus réduite de biotechnologies qui l’a mis au point ».
“C’est avec le trio innovation-croissance-développement durable que vous allez gagner la bataille de demain, celle des talents.“
Philippe Dessertine
Il ajoute : ‘Ici, nous avons, vous avez un tissu de petites entreprises, une infinité de dynamismes, d’envies, d’énergies où le délai de prise de décision est immédiat, pragmatique. Votre nouveau PIB, c’est le trio innovation-croissance-développement durable. Grâce à tous ces humains, ces cerveaux, ces bras, ces jeunes que vous allez retenir sur le territoire, vous allez gagner la bataille de demain, celle des talents. Et moi, j’ai un double regret, ne plus avoir 20 ans et ne pas habiter le Pays d’Arles ».
La manifestation se conclura sur une phrase projetée sur le grand écran du Palais des Congrès d’Arles : « Notre territoire est inspirant, performant, novateur. Nous sommes les acteurs de la réussite de demain ».
Andrée Brunetti
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
Demain, le mardi 13 décembre, l’association ‘Un sourire pour tous’ organise la première édition de son Forum de l’orientation pour les jeunes à Avignon. Mis en place en collaboration avec la Mission locale et la Cité de l’emploi, ce rendez-vous permettra aux jeunes de rencontrer des organismes de formation et de découvrir des métiers qui recrutent.
Les visiteurs pourront profiter des conseils et renseignements de 20 partenaires qui tiendront chacun un stand. Différents domaines professionnels seront représentés tels que les transports, l’agroalimentaire, le bâtiment ou encore la sécurité.
Mardi 13 décembre. De 14h à 19h. Entrée libre. Salle de la Cabrière. 2 rue Noel Hermite. Avignon.
Cette journée a plusieurs objectifs : permettre aux jeunes de faire des dépistages (visuels, audios, dentaires, VIH, etc) ; informer les jeunes sur leurs droits à travers divers ateliers ; mobiliser des professionnels des champs associatif et institutionnel ; favoriser l’interconnaissance entre les jeunes, les associations et les institutions.
Parmi les ateliers ludiques auxquels les visiteurs pourront participer, il y aura un jeu de vie affective sexuelle organisé par le Centre de planification de Carpentras, un atelier ‘Vélo à smoothie’ animé par la diététicienne Coralie Martinez, ainsi qu’un atelier du Codes 84 pour identifier les polluants de notre environnement à la maison et pour fabriquer des cosmétiques soi-même.
Divers sujets seront abordés sur les stands d’informations. L’association Rhéso informera le public sur les violences au sein du couple, l’association Manoléta sur l’endométriose. La Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), l’Espace départemental des solidarités (Edes), la Mission locale jeunes du Comtat Venaissin et la Maison de protection des familles informeront sur l’accès aux droits, aux soins et aux numériques, ainsi que sur le fonds d’aide aux jeunes. L’Étape 84 tiendra un stand sur les addictions et les consultations en tabacologie.
Pour participer à cet événement, l’inscription est obligatoire au 06 66 28 01 59 ou par mail à l’adresse jeunesse@carpentras.fr. Les jeunes doivent apporter leur carnet de santé avec eux.
Jeudi 20 octobre. De 9h à 12h et de 13h30 à 16h30. Château de la Roseraie. 11 Allée des tilleuls. Carpentras.
V.A.
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
Pour pallier les difficultés d’embauche du côté des entreprises, et de recherche d’emploi du côté des jeunes, la Région Sud met en place le dispositif ‘Adoptez un jeune’.
Ce dispositif, qui permet d’accompagner les entreprises et auto-entrepreneurs de moins de 10 salariés, les associations caritatives sous contrat avec la Région ou encore les ligues et comités régionaux adhérents à des fédérations sportives, se compose de trois aides différentes :
les entreprises ou associations qui recrutent des étudiants boursiers peuvent bénéficier d’une aide allant de 600€ pour les contrats inférieurs à 2 mois jusqu’à 1 300€.
une aide de 200 € par mois de stage directement attribuée à l’entreprise.
2 000 € d’aide par contrat de 6 mois minimum destinés à des jeune de moins de 30 ans.
« Trouver un stage, avoir un job étudiant pour financer ses études, décrocher son premier emploi, sont des étapes essentielles pour que nos jeunes entrent dans la vie active, explique Renaud Muselier, président de la Région. La Région Sud fait de la bataille pour l’emploi une priorité absolue. » Ainsi, le dispositif ‘Adoptez un jeune’ profite aux jeunes qui peinent à s’inscrire dans le monde professionnel, et incite les entreprises à leur faire confiance pour une insertion professionnelle pérenne.
V.A.
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
La communauté des communes Vaison Ventoux vient de renouveler son partenariat avec la société Visiocom qui met à disposition des navettes gratuites pour les collectivités. Dans le cas de l’intercommunalité Vaison Ventoux, le minibus permet le déplacement des jeunes vers de nombreux lieux d’activité. Une méthode de transport qui a déjà prouvé son efficacité et son côté pratique.
Le minibus de neuf places est notamment utilisé par le centre de loisirs La courte échelle, situé à Vaison-la-Romaine, qui accueille des enfants de 3 à 14 ans les mercredi, pendant les vacances scolaires mais également pendant l’été. Ce service est également au Club jeunes, qui lui accueille des adolescents entre 11 et 17 ans. Ainsi, ces jeunes peuvent être transportés depuis leur centre jusqu’au lieu d’une des activités extrascolaires proposées par l’intercommunalité.
Ce service de transport est entièrement financé par les publicités qui le recouvrent. Alu Vaison, Arnaud assainissement, Bazarland, Couleur céramique, Garage Come Auto, Granulés vaisonnais, Guillaume TP, King Jouet, La Saur, Mac Donalds, Rodari Charles et Fils recouvrent donc la carrosserie du minibus.
Ainsi, Manon Pennaneach, élève du CFA d’Avignon, et Maelyne Mourey du lycée Ferdinand Revoul de Valréas représenteront toutes les deux le Vaucluse lors de la finale de ce concours. Elles devront pâtisser 12 croissants chacune puis une viennoiserie revisitée, en 12 exemplaires également, selon un thème imposé. Le jury, présidé par le chef pâtissier Maxime Frédéric, sera composé de professionnels reconnus de la boulangerie, de Meilleurs ouvriers de France, d’organisateurs du concours et de représentants de la Coopérative Isigny Sainte-Mère.
V.A.
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
La Mission locale jeunes Grand Avignon organise l’événement ‘Cap sur l’alternance’ le mardi 22 mars au Marché d’intérêt national (MIN) d’Avignon pour faire découvrir des métiers mais aussi ce qu’est l’alternance.
Afin de mettre en avant le monde de l’alternance, la Mission locale jeune Grand Avignon invite toute personne intéressée à participer au forum ‘Cap sur l’alternance’. Organisé le mardi 22 mars entre 10h et 17h au Min d’Avignon en association avec des entreprises, les centres de formation d’apprentis (CFA), des organismes de formation, et des acteurs de l’insertion et de l’emploi, cet événement permettra la rencontre avec des professionnels, des chefs d’entreprise, mais aussi des apprentis.
Douze secteurs d’activité seront présentés comme l’esthétique, la construction, la restauration, et bien d’autres. Les CFA et les organismes de formation seront présents pour répondre à toutes les interrogations liées aux études et aux contrats d’apprentissage. Un pôle ‘information’ sera également mis en place pour répondre aux questions sur la mobilité, les logements, etc. Cécile Helle, maire d’Avignon, sera aussi présente à partir de 14h pour discuter de la place de l’apprentissage dans la formation des jeunes.
Plus d’informations au 04 90 81 13 00 ou par mail à mla@missionlocale-avignon.asso.fr
Mardi 22 mars. De 10h à 17h. Min d’Avignon. 135 Avenue Pierre Sémard
V.A.
Enedis présente ses métiers à 75 lycéens
Le premier tour des élections présidentielles en France approche à grands pas. Pourtant, à un mois du 10 avril, seuls 48 % des jeunes de 18 à 30 sont certains d’aller voter, d’après le baromètre #MoiJeune OpinionWay-20Minutes-Ouest-France-Journaux de Loire.
Si la campagne intéresse 62 % des 18-30 ans, ce chiffre est toutefois en baisse d’un point par rapport à février, et ce à un moment où d’habitude on observe un intérêt grandissant pour les élections.
Le début de la guerre en Ukraine explique en partie ce désintérêt. Pour Bruno Jeanbart, vice-président d’OpinionWay, la désaffection pour la campagne tient à « la question de l’utilité du vote ». Son observation est qu’ »après deux ans de Covid-19, on se rend compte que nous vivons dans un monde où ce qui nous arrive ne dépend pas de la personne qui nous dirige. »
Un autre constat qui ressort de ce baromètre: les jeunes ne placent que peu d’espoir dans cette élection. A la question « Penses-tu que ta situation personnelle s’améliorera si ton candidat favori est élu ? », les réponses sont bien partagées : 51 % répondent par l’affirmative alors que 49 % pensent le contraire.