22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Réseaux sociaux : les jeunes vauclusiens à l’heure des élections

Le rapport des jeunes à la politique évolue avec les réseaux sociaux, notamment avec Tiktok dont près de 40% des utilisateurs ont entre 18 et 24 ans. Nous avons interrogé une quarantaine de jeunes vauclusiens sur les élections à travers leur pratique des réseaux sociaux alors que les ados de Paca apparaissent comme les champions du civisme (voir en toute fin d’article).

Ces plateformes sont un outil de communication considérable à l’usage des campagnes électorales. Les hommes et femmes politiques se présentent sous un nouvel angle et font passer leurs idées à travers des vidéos courtes, des messages sur X, des posts et des stories sur Instagram et Facebook. C’est par ce mode de communication que les jeunes eux aussi réagissent.

Campagne numérique
Pour les législatives de 2024, le temps alloué à la campagne ayant été très limité, les réseaux sociaux se sont révélés être le moyen le plus efficace et rapide pour diffuser les programmes et convaincre les citoyens d’aller voter.
Les réseaux sociaux, véritables armes de communication auprès du public, ont un impact croissant sur les élections et la participation électorale. Les discours politiques y voient une opportunité de partage des idées concises et personnalisées. En s’appropriant ces espaces numériques, ils vont à la rencontre de leurs cibles comme les jeunes, élargissant leur influence.

Pourquoi sont-ils présents sur Tik Tok ?
Utiliser Tiktok, c’est s’assurer une bonne visibilité et proposer des contenus courts et dynamiques. Le nombre mensuel d’utilisateurs actifs sur Tiktok en France est de près de 15 millions contre 4 millions en 2019. Depuis sa création en 2016, ce réseau social chinois a connu une croissance fulgurante et sa capacité d’influence et de captation de l’attention est souvent considérée comme dangereuse.

© Sarah Ripert

En réalité, les réseaux sociaux sont aussi des liens, des communautés qui se rassemblent sans frontières géographiques facilitant la propagation de leurs idées. Cela fonctionne de la même manière avec la viralité de la communication politique.
Se filmer dans les isoloirs en train de voter, faire des montages vidéos sur leur candidat préféré ou tenir des discours concernant la politique est devenu le quotidien des jeunes, sur les plateformes, en période électorale.

Le monde de l’influence
Et on le voit, en 2024, après la victoire du Rassemblement National aux élections européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale, un véritable mouvement a pris de l’ampleur sur Tiktok, Instagram et X, en plus des manifestations physiques ou les personnes invitent à faire barrage à l’extrême droite.
Les influenceurs, les youtubeurs se joignent au mouvement, Squeezie et ses 8.8 millions d’abonnés a posté une lettre ouverte sur son compte Instagram dédiée aux jeunes et incitant à faire barrage à l’extrême droite. Ce post a fait près de 2 millions de ‘likes’ et des centaines de milliers de commentaires, le message du youtubeur n’est pas passé inaperçu puisqu’il a été relayé par de nombreuses autres personnalités publiques. Jordan Bardella a réagi à l’initiative de Squeezie en postant à son tour une lettre ouverte.
Il y a cependant une réelle effervescence des jeunes sur les plateformes qui produisent en masse du contenu liés aux élections. Ce qui devient de plus en plus commun, ce sont les édits (des clips avec des transitions sur une musique) pour mettre en avant un parti politique ou une personne en particulier.

La proximité des plateformes sociales
Les réseaux sociaux, c’est aussi un rapport entre électeurs et politiques qui changent, avec plus de proximité. Gabriel Attal publie sur son compte Tiktok des questions réponses où il prend les questions les plus likées et y répond en vidéo, il est aussi présent sur Bereal, application de partage de photos en direct.
Les politiques apportent un côté plus humain et proche des autres, se mettant au même niveau que les personnes visionnant leurs vidéos. C’est par ce moyen de communication qu’ils tentent d’augmenter leur capital sympathie. Communiquer à travers un écran, c’est ne pas se soumettre aux journalistes et à une analyse critique, c’est communiquer plus simplement sans réel échange derrière.
Ce qui est aussi impressionnant, c’est le nombre de personnes suivant les politiques sur les réseaux sociaux.

Influence néfaste des réseaux sociaux
De plus, nombreux sont les jeunes sous les commentaires d’une vidéo confirmant avoir voté pour une personne, en raison de sa bonne image sur les réseaux sociaux, de la qualité du contenu, de l’humour des vidéos postées, etc.
Le Rassemblement national est le parti politique le plus présent sur les réseaux sociaux, majoritairement porté par Jordan Bardella sur Tiktok, par des montages vidéos les individus mettent en lumière ce parti et il en est de même pour les autres partis politiques présents sur les plateformes. Les idées du RN ont été fortement médiatisées pendant les élections européennes.
Cependant, il n’y a pas réellement de chiffres prouvant que les réseaux sociaux ont un lien de corrélation avec les votes. Le vote étant plurifactoriel, il est impossible d’affirmer que l’influence d’une personnalité politique sur les réseaux sociaux a une incidence sur le nombre de votes qu’il recevra.

Une quarantaine d’étudiants témoignent
Selon une enquête* par formulaire menée sur 40 étudiants d’Avignon, la majorité exprime qu’en effet selon eux, les réseaux sociaux peuvent avoir un impact croissant sur les élections et sur la politique en général.
« Oui, les réseaux ont un impact sur les générations ou les jeunes votants non éclairés ni renseignés politiquement. explique l’un des étudiants. Les réseaux sociaux permettent de mettre en avant des candidats que les jeunes pourraient uniquement choisir selon leur popularité ou l’image qu’ils renvoient contrairement à la réalité et au fondement des idées du parti qu’ils représentent. »

Par ailleurs, plus de 56% des enquêtés affirment connaître une personne de leur entourage ayant voté pour un candidat uniquement par le biais de ce qu’elle avait vu sur les réseaux sociaux. Parmi les 40 étudiants, 52,25% d’entre eux estiment avoir été impactés par les réseaux sociaux pour ces élections, 65% ont découvert les programmes sur ces mêmes réseaux.
« Je pense que les réseaux sociaux sont des supports à bien maîtriser pour en tirer de bonnes idées, précise un autre étudiant. Selon moi, il est donc très important de s’informer via d’autres supports en plus des réseaux (radio, presse écrite, tv…). Les réseaux sociaux favorisent aussi la diffusion de fake news, qui peuvent davantage nuire aux élections et avoir une influence dévastatrice sur leurs résultats. »
Une présence sur les médias sociaux peut en effet provoquer des votes à l’aveugle, les personnes se basant uniquement sur le paraître du politique et ne lisant pas les programmes. C’est l’un des dangers principaux de plus en présent lors des futures élections.

Sarah Ripert

Les ados de Paca champions du civisme
Selon une étude de Pixpay, 88% des adolescents de la Région Sud iraient voter s’ils étaient en âge de le faire. Les jeunes de Paca se placent en 2e position des régions françaises en termes de civisme après celle des Pays de la Loire (89%). Arrivent ensuite Île-de-France (87%), Le Grand Est (86%) ainsi qu’Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes, ex-aequo avec 85%. Bon, dernier la Corse (74%) ferme la marche.
L’étude nationale, menée auprès de 4 000 adolescents, montre qu’environ 50% des jeunes déclarent un intérêt pour la politique. À l’âge de 10 ans, 24% se disent intéressés, contre près de 60% à 17 ans. De plus, 59% expriment des inquiétudes concernant les résultats des élections législatives à venir. Plus d’un adolescent sur quatre se dit très inquiet, avec une corrélation entre l’âge et le niveau d’inquiétude. Parmi ces jeunes, 85% affirment qu’ils voteraient au second tour s’ils en avaient la possibilité, un pourcentage qui atteint 90% chez les 16 ans et plus, pour qui le droit de vote est un sujet souvent discuté dans le débat politique.

*Enquête réalisée par Sarah Ripert étudiante en 3e année d’Infocom au sein d’Avignon université.


Réseaux sociaux : les jeunes vauclusiens à l’heure des élections

Le mois le plus sacré de l’islam, le Ramadan, a débuté ce lundi 11 mars en France, a annoncé la veille la Grande mosquée de Paris (GMP) dans un communiqué. Comme tous les ans, la date exacte n’est confirmée qu’à quelques jours de l’événement, lors de la « Nuit du doute. » La date de début du Ramadan n’est pas forcément unanime dans le monde et il arrive que des divergences voient le jour en fonction de l’observation de la Lune (à l’œil nu, à l’aide de la science astronomique, etc). La fin du Ramadan a, quant à elle, été fixée autour du mardi 9 avril.

Durant le Ramadan, manger, boire ou avoir des relations sexuelles ne sont pas permis pour les musulmans pratiquants entre le lever et le coucher du soleil. Si la pratique du jeûne quotidien peut s’avérer éprouvante en règle générale, elle peut l’être encore plus dans des pays nordiques comme la Norvège, où la durée du jour est particulièrement longue du printemps à l’été. À Oslo par exemple, il faudra attendre en moyenne plus de 15 heures entre le suhur (repas de l’aube) et l’iftar (repas de rupture du jeûne), selon les données du site Islamic Finder pour la date du 25 mars 2024, qui correspond environ à la moitié du ramadan. En comparaison, la durée du jeûne à cette date sera de 13 h 40 min à Paris, 13 h 30 min à La Mecque et 13 h 13 min à Jakarta en Indonésie.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Réseaux sociaux : les jeunes vauclusiens à l’heure des élections

Ce mercredi 8 décembre au Numéro 75 à Avignon, le Comité local des banques de Vaucluse ainsi que la Mission locale jeunes Grand Avignon ont abordé ensemble l’inclusion bancaire pour les personnes à fragilité financière. Julien Fraysse, sous-préfet à la Relance, a également présenté quelques chiffres en faveur du tissu économique vauclusien.

C’est à la suite de leur Assemblée générale que les membres du Comité local des banques de Vaucluse, sous la présidence d’Olivier Grégoire (Directeur centre affaires entreprises Crédit Mutuel), se sont réunis autour de la table. Julien Fraysse a rappelé la volonté des pouvoirs publics de soutenir les entreprises du territoire via le Plan de relance qui entre dans sa « phase d’ingénierie ». C’est ensuite le dispositif ‘un jeune, un compte’ présenté par Isabelle Gineste, directrice de la Mission locale jeunes Grand Avignon, qui a animé les échanges. Objectif ? Avancer main dans la main avec les établissements bancaires en vue de faciliter les ouvertures de compte aux jeunes en difficulté et in fine leur insertion dans la vie active.

« Un jeune, un compte »

Isabelle Gineste a ainsi fait part des difficultés des jeunes en insertion pour ouvrir un compte bancaire dans les établissements. Philippe Blanc, Directeur général adjoint du Crédit municipal Avignon, est pleinement mobilisé et souligne le cercle vicieux : « il est en effet difficile de monter un dossier car ils ne peuvent pas le faire sans posséder au préalable un compte. » Forte de 3,3 millions d’euros de budget, la Mission locale jeunes Grand Avignon œuvre au quotidien pour accompagner 5000 jeunes de 16 à 25 ans en sortie de système. « Nous sommes le volet cohésion sociale du Plan de relance », précise la directrice.

Depuis le Plan de pauvreté, davantage de fonds ont été mobilisés pour faciliter l’insertion durable, à travers la mobilité ou la formation. Les jeunes sont toutefois « confrontés à certaines difficultés au moment de déposer ces fonds en banque. » Pour pallier le problème, la Mission locale a noué un premier partenariat avec le Crédit municipal d’Avignon permettant de les alerter en cas de découvert ou autres irrégularités. « La Mission locale est alors garant et caution du lien », précise Isabelle Gineste. La Banque de France (Gilles Duquénois, directeur départemental Vaucluse) intervient également pour animer des ateliers sur la bonne gestion du budget.

Offre spécifique en cas de fragilité financière

Jérôme Cartenet, directeur de la Fédération bancaire française, rappelle qu’une offre spécifique existe en cas de fragilité financière. Elle permet de limiter les frais en cas d’incidents de paiement et d’irrégularités de fonctionnement de compte. Seulement, « nous rencontrons des difficultés à faire accepter ces solutions. L’absence de chéquier est un frein, mais c’est le moyen le plus risqué pour être à découvert. La carte de paiement à autorisation systématique est considérée comme limitative », explique-t-il. Il propose alors de prévoir dans le partenariat la mention du caractère sécurisant et surtout transitoire de l’offre.

En collaboration avec le Crédit Agricole, le Crédit Mutuel, la Banque Postale, les directeurs d’agence ont été sensibilisés à la problématique et des fiches navettes ont été instituées pour faciliter la communication et la prise en charge du jeune. « Nous sommes fiers de ce partenariat », souligne Isabelle Gineste, disposée à s’adapter aux contraintes des organismes bancaires : garantie, règlementation, secret professionnel. L’objectif est de déployer davantage de passerelles, instaurer une synergie entre les acteurs et jouer ce rôle d’articulation entre droit à l’inclusion et accompagnement. « Nous souhaitons que les jeunes prennent leur place dans l’économie », conclut-elle.

200M€ attribués en Vaucluse

Concernant l’économie vauclusienne à l’épreuve de la crise, Julien Fraysse ne souligne « pas de problématiques majeures de trésorerie mais quelques cas particuliers » sur lesquels la préfecture reste pleinement mobilisée. La CPME 84 a par ailleurs sollicité le sous-préfet à la Relance au regard de certaines entreprises qui attendent un nouveau report de la date de remboursement du PGE (Prêt garanti par l’État). 200M€ à minima ont été affectés en Vaucluse dans le cadre du Plan de relance à travers ses trois volets : l’écologie, la compétitivité et la cohésion sociale et territoriale. Les baisses d’impôts de production représentent 75M€, soit 1/3 du Plan de relance, devant les subventions classiques et le renforcement des fonds propres.

« Les industries commencent à sortir la tête de l’eau par rapport à la concurrence », rassure Julien Fraysse qui encourage à élaborer des dossiers dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA). L’objectif étant de contribuer au financement des investissements innovants : décarbonation, ville durable ou industries agroalimentaires (IAA), qui font la typicité du Vaucluse. Concernant les subventions, 180M€ à minima ont été attribués, 100M€ dédiés à renforcer la compétitivité de l’industrie en Vaucluse. Quasiment 25 entreprises ont été retenues sur cet appel à projets.

Entre 50.000 et 100.000 euros ont été investis en Vaucluse dans le cadre de la modernisation des machines. Pour ce qui est des services, 1400 commerces ont obtenu un chèque numérique d’un montant de 500 euros, 50 entreprises un chèque Relance export. Le sous-préfet s’en remet désormais au PIA qui prend le relai. « Je compte sur votre mobilisation pour le Plan investissement France 2030. N’hésitez pas à proposer aux belle entreprises l’offre des Obligations Relance ». Le dispositif est destiné aux entreprises qui souhaitent se développer et investir sans pour autant ouvrir leur capital à des actionnaires extérieurs.

Manque de foncier

Olivier Grégoire interpelle alors le sous-préfet au sujet de l’éternelle problématique du manque de foncier en Vaucluse. « Des entreprises sont facilement tentées de sortir du département pour aller en périphérie, dans la Drôme par exemple », s’inquiète-t-il. Julien Fraysse, qui entend parfaitement les enjeux de cette problématique, évoque le Plan de prévention des risques inondation (PPRI) destiné à réglementer le développement de l’urbanisation en zone inondable. Ce dernier ralentit voir stoppe bon nombre de projets, même si des digues RAR (résistantes à l’aléa de référence, ndlr.) sont construites « pour poursuivre l’activité. »

Autre enjeu majeur, le ‘zéro artificialisation’ à l’horizon 2030 et les ZAD (Zone à défendre) qui se multiplient en cas de projet sur une friche agricole. « C’est compliqué, mais nous allons vous accompagner au maximum avec l’Etat. Il faut mettre à contribution les promoteurs, aménageurs, qui doivent prendre leur rôle dans la densification de l’activité », appelle le sous-préfet. Dans le cadre de la reconversion des friches industrielles laissées à l’abandon, il rappelle que trois projets en Vaucluse ont été retenus.


Réseaux sociaux : les jeunes vauclusiens à l’heure des élections

Dès la rentrée prochaine, la Région Sud proposera Le ticket ‘ZOU ! Liberté Jeunes’, qui permettra aux 18-26 ans, résidant dans la région Sud, de se déplacer gratuitement sur tout le réseau régional pendant 4 mois.

Du 1er septembre au 31 décembre 2021, ils pourront emprunter les bus et trains régionaux en illimité* pour circuler sur tout le territoire régional, se rendant ainsi sur leur lieu de travail, de loisirs, d’activités ou de vacances gratuitement. La région compte 482 000 jeunes âgés de 18 à 26 ans, dont 205 000 en formation et 277 000 déjà engagés dans la vie professionnelle ou en voie d’insertion.

Mode d’emploi

Sur les TER : les bénéficiaires devront télécharger à chaque trajet un ticket gratuit sur l’application Assistant SNCF ou le site TER SUD. Sur les bus ZOU! : les bénéficiaires devront présenter au conducteur à chaque trajet une pièce d’identité avec une photo (CNI, passeport, permis de conduire ou titre de séjour). Sur la ligne de train ZOU ! Chemins de Fer de Provence : les bénéficiaires devront présenter au Chef de train à chaque trajet une pièce d’identité avec une photo (CNI, passeport, permis de conduire, titre de séjour).

Plus d’informations sur : https://zou.maregionsud.fr/

*Hors lignes de bus spécifiques aux transports scolaires.


Réseaux sociaux : les jeunes vauclusiens à l’heure des élections

Le ramadan débute ce mardi 13 avril en France, comme annoncé au début du mois par le Conseil français du culte musulman. Cette période de jeûne, de partage et de prière observée par les musulmans survient pour la seconde fois en plein confinement.

Tout comme son début, la date de fin du ramadan est estimée à partir de la trajectoire de la Lune dans le ciel et elle a pour le moment été fixée au 13 mai 2021. Durant le mois de jeûne, manger, boire ou avoir des relations sexuelles ne sont pas permis pour les croyants du lever au coucher du soleil. Cette pratique peut s’avérer éprouvante en temps normal, mais elle peut l’être encore plus dans des pays nordiques comme la Norvège, où la durée du jour est particulièrement longue en cette période. À Oslo, les croyants devront ainsi respecter plus de 18 heures de jeûne, selon les données du site Islamic Finder pour la date du 27 avril 2021, qui correspond environ à la moitié du ramadan. En comparaison, la durée du jeûne à cette date est de 15 heures 40 minutes à Paris, un peu plus de 14 heures à La Mecque et autour 12 heures à Melbourne, dans l’hémisphère sud.

Tristan Gaudiaut pour Statista

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