Une dizaine de producteurs et artisans vous accueilleront et vous feront découvrir leurs produits. Pois-chiches, petit épeautre, ou encore lavande, ce sera l’occasion de (re)découvrir des produits du terroir, mais aussi des métiers et savoir-faire.
Samedi 8 juillet. De 10h à 19h. 1458 Le Grand Campredon. Velorgues. Isle-sur-la-Sorgue.
V.A.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
Présenté au public en 2021, le spectacle équestre Sueño revient avec une version revisitée. Du 6 au 22 juillet, Magali Delgado, Frédéric Pignon, ainsi que leurs chevaux se donneront en spectacle lors de douze représentations à l’Isle-sur-la-Sorgue.
Après les immenses succès de leurs spectacles à domicile ces deux dernières années, les artistes équestres Magali Delgado et Frédéric Pignon accueillent de nouveau le public chez eux, à l’Isle-sur-la-Sorgue, pour redécouvrir le spectacle ‘Sueño’, qui a été revisité. Un événement estival incontournable pour les amateurs et passionnés du monde équestre, une découverte surprenante pour les novices.
Une vingtaine de chevaux animeront le spectacle aux côtés du couple, ainsi que des musiciens et chanteurs qui joueront et chanteront en live. Pour cette édition 2023 du spectacle, six artistes circassiens venus d’Ukraine et la troupe Inshi, se joindront au groupe pour le spectacle Sueño, qui tient son nom d’un des chevaux emblématiques de Magali et Frédéric.
Les représentations auront lieu les soirs à partir de 21h30 du jeudi 6 au dimanche 9 juillet, du jeudi 13 au dimanche 16 juillet, et du mercredi 19 au samedi 22 juillet. L’accueil du public se fera dès 19h30, il y aura une petite restauration et une buvette sur place. Il est recommandé d’apporter un coussin pour assister confortablement au spectacle de 2h30. Il est possible de réserver son billet, au tarif de 39€ (26€ pour les enfants de moins de 12 ans), sur le site de Isle sur la Sorgue Tourisme, ou directement à l’office de tourisme.
V.A.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
Le Festival de la Sorgue revient pour la 46ᵉ édition durant le mois de juillet. Au programme : cinq concerts uniques dans cinq communes différentes.
Le Festival de la Sorgue est une célébration musicale à travers les communes que représente Isle sur la Sorgue Tourisme : Fontaine-de-Vaucluse, Saumane-de-Vaucluse, l’Isle-sur-la-Sorgue, Le Thor et Châteauneuf-de-Gadagne. Chaque commune accueille un concert différent.
Musique acoustique, chants provençaux, chants celtiques ou encore musiques gitanes, il y en aura pour tous les goûts. La Sorgue va vibrer durant tout le mois de juillet aux sons de différentes régions.
Le programme
Le samedi 1ᵉʳ juillet à 19h, le festival débutera avec un Balèti, proche de nos traditions, dans une ambiance guinguette, proposé par Manuson au cœur du village de Saumane-de-Vaucluse, sur la place de la mairie. La municipalité offrira un apéritif dînatoire.
Le samedi 8 juillet à 21h30, le groupe corse Pop Cor’s proposera un concert acoustique au Jardin de la Treille à Châteauneuf-de-Gadagne.
Le jeudi 13 juillet à 21h30, vous pourrez danser au son de la musique provençal avec Le Condor, dirigé par Jean-François Gérold, ambassadeur du galoubet tambourin, sur la Place du Chasselas au Thor.
Le vendredi 21 juillet à 21h30, direction la Bretagne avec un bal breton, des chants celtiques et des chants de marins, avec Anacrouse, au Parc Gautier à l’Isle-sur-la-Sorgue.
Le samedi 29 juillet 2023 à 21h30, le groupe avignonnais Gipsy Mariano Los Cortes clôturera le festival avec des musiques gitanes sur la Place de la Colonne à Fontaine-de-Vaucluse.
V.A.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
La gendarmerie de Vaucluse lance un appel à témoin suite à la mise en examen d’une sexagénaire à qui il est reprochée d’avoir administré, depuis au moins 2017 des substances médicamenteuses nuisibles à plusieurs personnes afin de faciliter le vol de différents effets à leurs dépens. Ces substances étaient manifestement introduites dans des solutions alimentaires, solides ou liquides, proposées aux victimes. Ces administrations ont entraîné des nausées ou des pertes de connaissance voire des comas ayant nécessité des hospitalisations. La personne mise en examen travaillait au ‘village des antiquaires’ à l’Isle-sur-la-Sorgue en tant que femme d’entretien, mais fréquentait également nombre de résidents âgés de la commune. Dans ce cadre, les gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie d’Avignon en charge de l’affaire lancent donc un appel à témoins. Alors, si vous pensez avoir été victime ou témoin des agissements de cette personne, contactez le service d’enquête au 04 90 80 50 47 ou 04 90 80 51 31.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
Labellisée Terre de Jeux 2024, la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue s’investit pour promouvoir le sport sur son territoire. La commune organise ce mardi 13 juin une journée qui allie sport, gastronomie et patrimoine.
L’événement, porté par le Pôle Enfance Famille et par la Direction du Patrimoine, est destiné aux élèves des écoles élémentaires de la ville. L’objectif est de promouvoir le sport et d’initier les élèves à certaines pratiques sportives dans des lieux atypiques, historiques et emblématiques de la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.
Ainsi, huit classes de CM2 de cinq écoles élémentaires, soit 185 élèves, pourront découvrir divers sports à travers des ateliers animés par les éducateurs sportifs de la Ville tels que l’escrime dans le jardin de la Caisse d’Épargne avec l’association Le Fleuret d’Argent, la perche dans la cour de Campredon art & image, la gymnastique et l’acrosport au Grenier Numérique, ainsi que le ping-pong et le vortex au jardin de la Congrégation.
V.A.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
La ville de l’Isle-sur-la-Sorgue déplore une nouvelle occupation illicite de caravanes de gens du voyage. Le maire leur demande de se rendre sur l’aire de grand passage spécialement conçu.
Cette installation sur le stade de rugby du quartier des Névons, depuis le dimanche 4 juin, fait suite au départ, la veille, d’un autre groupe de gens du voyage du centre de loisirs St-Jean où les caravanes étaient installées sans autorisation depuis plusieurs jours. Une situation qui se répète d’année en année, selon les élus de la commune.
A chaque installation, le constat est le même pour le maire de la ville Pierre Gonzalvez : détériorations, branchements aux réseaux d’eau et d’électricité, dégradations de pelouse, problèmes de salubrité, empêchement des activités associatives sur des équipements qui leur sont réservés, etc. En 2022, l’installation des gens du voyage sur les stades St-Gervais et St-Jean a induit près de 65 000 € de charges pour la ville.
Cette situation est d’autant plus déplorable selon le maire puisqu’une aire de grand passage, spécialement pensée pour ce type d’installations massives et éphémères, existe désormais à Bonpas. Les gens du voyage refusent cependant de s’y rendre car il manque selon eux des toilettes et de l’eau.
A l’instar des installations précédentes, le maire Pierre Gonzalvez saisit de nouveau la Préfecture de Vaucluse pour procéder à une évacuation dans les meilleurs délais. Pour rappel, Violaine Démaret, préfète et Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental du Vaucluse ont présidé deux commissions consultatives à ce sujet cette année. L’objectif : prendre en compte les besoins de cette communauté et les impliquer dans le suivi des politiques publiques les concernant, notamment en matière de stationnement.
Pour l’heure, les gens du voyage de l’Isle-sur-la-Sorgue ont indiqué quitter les lieux ce dimanche.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
À l’occasion de la deuxième de la journée des terrasses qui s’est tenue cette semaine, France Boissons a publié un baromètre qui témoigne de l’attachement des Français aux terrasses et a révélé des chiffres régionaux inédits. Les natifs du Sud-Est sont ainsi ceux qui vantent le plus le mérite de leurs terrasses, ces lieux de vie incontournables.
Ce mercredi 24 mai il s’est tenu la deuxième édition de la Journée des Terrasses. À cette occasion, France Boissons, leader de la distribution de boissons au sein du marché de la CHD (Consommation hors domicile), a dévoilé les résultats de sa nouvelle étude Ifop sur l’attachement des Français à leurs terrasses. Historiquement ancrées dans le patrimoine culturel et économique français, les terrasses sont un incontournable du quotidien. Elles occupent le top 5 des espaces essentiels pour la sociabilité des villes et des quartiers. 94% des Français pensent que les terrasses sont clés pour l’activité économique locale. D’ailleurs, la fréquentation des terrasses ne cesse d’augmenter en France (+3pts par rapport à 2022).
Des vecteurs clefs pour le dynamisme local et le lien social Les cafés, hôtels et restaurants sont des vecteurs clés de dynamisme économique et de lien social pour les communes françaises. Les terrasses ont connu un engouement certain dès la fin de la pandémie du Covid-19. Pour autant, sur le long terme, et malgré l’attachement des Français, le nombre de bistrot est passé de près de 500 000 dans les années 1900, à moins de 40 000 en 2016, soit une baisse de 2,8% chaque année.
C’est pourquoi, à l’occasion de la Journée des Terrasses, France Boissons, appuyé par les associations APVF et Centre-ville en Mouvement a souhaité mettre à l’honneur ces lieux emblématiques de l’art de vivre à la Française qui animent chaque jour les quartiers, les villages et les villes de l’Hexagone. Cette étude a vocation à rappeler l’intérêt si particulier des Français à ces espaces extérieurs. « La défense de nos centres-villes est notre raison d’être, explique Philippe Laurent, président de l’association d’élus centre-ville en mouvement et maire de Sceaux. S’associer et faire connaître la Journée des Terrasses est donc pour nous un engagement naturel. Les terrasses font partie intégrante du quotidien des Français, mais elles doivent être soutenues. Elles participent au cercle vertueux de l’attractivité économique de nos centres-villes et centres-bourgs. »
Un attachement qui ne cesse de progresser Ils sont aujourd’hui plus de 9 Français sur 10 à déclarer se rendre en terrasse en 2023 (contre 87% en mai 2022). Les amateurs de terrasses en profitent avant tout pour passer du temps avec leurs proches (pour 61% d’entre eux, soit 3 points de plus qu’en mai 2022), s’échapper de leur environnement quotidien (pour 43%, soit 2 points de plus qu’en mai 2022) ou encore profiter du cadre extérieur et de l’ambiance (36%). Les Français semblent donc chercher davantage de sociabilité et de pause dans leur quotidien. Paradoxalement, malgré un besoin d’évasion avéré, 95% d’entre eux estiment que la terrasse idéale prend place à l’improviste dans un lieu abrité des regards. Le moment privilégié pour s’y rendre varie selon l’âge des répondants : les plus jeunes s’y retrouvent en fin de journée, souvent en afterwork, tandis que leurs aînés s’y rendent plus tôt mais restent plus longtemps. Enfin, la météo reste un frein majeur pour profiter des terrasses, ainsi que le manque de moyens financiers notamment marqué par l’inflation.
Les terrasses : le reflet des diversités régionales Emblème de la culture française, il existe autant de manières de vivre un moment en terrasse qu’il existe de personnes. Parce que les terrasses sont omniprésentes au sein du paysage français, l’édition 2023 du sondage Ifop valorise la richesse de nos régions. Si les habitants de la région Nord-Ouest reconnaissent l’intérêt des terrasses ensoleillées du Sud de la France, ils défendent avec fierté les leurs. Ils sont ainsi 60% à estimer que c’est leur région qui se rend le plus en terrasse parmi les autres régions de France, juste derrière le Sud de la France. Le Nord-Ouest est la seule région de l’hexagone à revendiquer les terrasses comme incarnation du patrimoine culturel local, devant le patrimoine régional ou national. Au total, 22% des Français interrogés estiment même que la Bretagne possède les plus belles terrasses de France. Les natifs du Sud-Est et du Sud-Ouest sont ceux qui vantent le plus le mérite de leurs terrasses : 82% d’entre eux estiment qu’elles les rendent fiers de leur région, contre 77% en moyenne.
De leur côté, les franciliens fréquentent plus régulièrement les terrasses (29% affirment s’y rendre au moins une fois par semaine, contre 25% en moyenne) après le travail ou pour visionner un événement sportif. Ils sont toujours en recherche de lieux inédits, souvent dans d’autres régions. Enfin, les habitants du Nord-Est s’accordent sur l’intérêt des terrasses ensoleillées du Sud de la France. Ils soutiennent tout de même l’attractivité de leurs régions respectives pour 38% d’entre eux, montrant à nouveau leur fierté régionale pour l’ambiance et l’histoire que possèdent leurs terrasses.
« En tissant du lien avec leurs habitants, les terrasses de nos communes sont des lieux essentiels de nos territoires, évoque Christophe Bouillon, président de l’Association des Petites Villes de France.. Chaque ville et village de France, possède sa fierté locale, son ambiance et sa spécificité. En se ralliant à la Journée des Terrasses, ce sont nos villes et nos régions qui ont l’occasion de remettre en avant le regain d’attrait économique et social que celles-ci représentent. »
Une journée de mobilisation unique « Nous sommes fiers de soutenir les terrasses, véritables espaces de rencontre et de convivialité qui contribuent au vivre-ensemble des Français, rappelle Laurent Théodore, président de France Boissons. Les terrasses participent également à un écosystème local vertueux, aussi bien pour les professionnels de ce domaine, que pour l’ensemble des commerces avoisinants qui bénéficient de cette vitalité. Partenaire des Cafés, Hotels, Bars, Restaurants depuis près de 60 ans, il nous tient à cœur, à France Boissons, de mettre à l’honneur et de remercier tous les professionnels du secteur qui s’engagent au quotidien pour faire battre le cœur de nos territoires et préserver ces lieux qui sont les poumons de nos villes. » Un appel qui résonne pour 87% des Français, considérant que les terrasses sont des lieux de vie déterminants pour le lien social.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
La Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue et la Fondation du Patrimoine viennent de signer une convention de collecte de dons afin de restaurer l’escalier de l’immeuble Beaucaire.
L’immeuble, construit au milieu du XVIIIᵉ siècle, est l’un des derniers témoignages de l’architecture civile de l’ancien quartier juif de l’Isle-sur-la-Sorgue. Il est reconnaissable par sa forme en ‘U’, qui permettait de favoriser l’entrée de la lumière dans les appartements depuis le ghetto, puisque les règles restrictives interdisaient aux Juifs de percer des ouvertures sur l’extérieur de leur quartier.
État actuel de l’immeuble
Aujourd’hui, l’ensemble de l’escalier de l’immeuble est en péril. Il a fait l’objet récemment d’un étaiement provisoire. La façade, elle aussi, nécessite une entière restauration. Mis à part la porte d’entrée, les menuiseries ont disparu mais le modèle est réplicable puisque conservé dans la parcelle voisine. Le sol dallé du rez-de-chaussée est partiellement démonté et le premier niveau de l’escalier est totalement ruiné.
Aux étages, la structure en bois montre des signes de faiblesse et le revêtement de plâtre est lacunaire en de multiples endroits. Les revêtements de sol en terre cuite des marches et paliers, ainsi que sur le barreaudage de la rambarde présentent également des lacunes. La totalité de la toiture doit également être refaite.
Les travaux prévus
Grâce aux dons qui permettront les travaux, l’escalier Beaucaire va retrouver sa fonction initiale de desserte des étages pour un projet de logements associant un propriétaire occupant et trois logements sociaux. Le dernier étage, quant à lui, servira de petit centre d’interprétation du patrimoine juif de la Ville. Les travaux de restauration se dérouleront en deux tranches. Une première entre novembre prochain et janvier 2024, et une seconde entre février 2024 et septembre 2024.
Le rez-de-chaussée sera reconstruit à l’identique. Aux étages, la structure de l’escalier sera maintenue par un système de suspentes alliant consoles métalliques et câbles métalliques connectés à des poutrelles placées au-dessus du plafond en gypserie. Ce système va permettre de maintenir l’escalier dans sa position actuelle avec ses légers défauts tout en conservant l’intégralité des bois d’origine. Le plafond, les enduits, la rambarde et les sols de terre cuite seront intégralement restaurés. La façade, quant à elle, retrouvera son aspect du XVIIIᵉ siècle.
Comment faire un don ?
Comme pour le parc Gautier, le monument Salviati et, plus récemment, Campredon art & image, la Ville ouvre une campagne de souscription, en association avec la Fondation du Patrimoine. Il est donc possible de faire un don sur le site de cette dernière depuis le 15 mai, et ce, jusqu’au 15 novembre 2024.
Le montant à atteindre s’élève à 103 538€. Pour faire un don ou suivre l’évolution de la campagne, cliquez ici.
V.A.
Isle-sur-la-Sorgue : la ferme Les Fruits du Campredon fait son marché
À partir du 3 juillet prochain et désormais durant chaque période estivale, le stationnement sur les parkings du partage des eaux et ‘Camin di Gaffo’, qui était jusqu’à présent gratuit, sera payant. Cette mesure a été décidée pour éviter la surfréquentation du site, qui a obtenu des taux records les trois précédentes années. L’objectif est d’apaiser et de fluidifier cet espace public que se partagent les riverains, les visiteurs, les promeneurs et les pêcheurs.
Le parking du partage des eaux
Accessible par l’avenue Voltaire Garcin et doté de 40 places, le parking du partage des eaux est actuellement en train de subir des travaux de réaménagement afin d’être transformé en parking fermé pour les périodes estivales. Des barrière d’entrée et sortie, des bordures, des passages pour piétons, une borne de paiement et des caméras de lecture de plaques d’immatriculation seront installés. Les travaux, qui ont débuté le 2 mai dernier, devraient durer trois semaines. En attendant, il est inaccessible, mis à part la poche de stationnement située au fond du parking, quelques mètres avant le début de l’avenue du partage des eaux.
Les caméras de lecture de plaques d’immatriculation vont permettre un paiement dématérialisé. Aucun ticket ne sera délivré à l’entrée du parking. Avant de le quitter, il faudra inscrire votre plaque d’immatriculation à la borne de paiement afin de procéder au règlement. La barrière se lèvera automatiquement après lecture de votre plaque d’immatriculation une fois le paiement effectué. Le parking sera gratuit de 6h à 10h, il coûtera 0,70€ les 15 minutes de 10h à 12h, 1€ de 12h à 14h30, 0,70€ les 15 minutes 14h30 à 19h30, 1€ de 19h à 22h30, et 0,70€ les 15 minutes 22h à 6h.
Le parking ‘Camin di Gaffo’
Situé entre l’avenue Voltaire Garcin et l’avenue du partage des eaux, le parking ‘Camin di Gaffo’ aura quant à lui un système d’horodateur et l’application du forfait post-stationnement en cas de non-paiement ou de dépassement. Vous devrez donc anticiper votre durée de stationnement afin de l’indiquer, avec votre plaque d’immatriculation, sur l’horodateur et de le régler dès votre arrivée au parking. Il est également possible de gérer et payer son stationnement via l’application mobile Flowbird qui géolocalise votre véhicule. Il est possible de payer un complément sur l’horodateur ou sur l’application si vous souhaitez stationner plus longtemps.
Les tarifs de stationnement seront les mêmes que pour le parking du partage des eaux. Pour les automobilistes ayant stationné sans payer ou ayant dépassé le temps imparti, le forfait de post-stationnement s’élèvera à 40€.