12 avril 2025 |

Ecrit par le 12 avril 2025

(Vidéo) Le groupe Raja lance 4 innovations écoresponsables pour l’expédition

Le Groupe Raja, leader européen de la distribution d’emballages, de fournitures de bureau et d’équipements industriels, qui possède un entrepôt à Sorgues de 12 000m2 et une capacité de stockage de 15 000 palettes, renforce son offre de produits écoresponsables en lançant quatre nouveautés pour les expéditions plus respectueuses de l’environnement. Ces solutions alternatives aux emballages plastiques, 100% recyclables.

«L’éco-responsabilité est devenue une priorité pour de nombreux e-commerçants, industriels et prestataires logistiques qui souhaitent répondre aux attentes des consommateurs et des entreprises de plus en plus sensibles aux enjeux environnementaux», confirme Danièle Kapel-Marcovici, fondatrice de la Villa Datris à l’Isle-sur-la-Sorgue et grande amatrice d’art cinétique. Le Groupe Raja s’est engagé depuis plusieurs années à proposer des solutions d’emballage plus respectueuses de l’environnement, fabriquées à partir de matières naturelles, faciles à recycler et réutilisables et ainsi aider ses clients à utiliser des emballages biosourcés en alternative aux plastiques.

Le papier étirable de palettisation
Le papier étirable manuel est fabriqué à partir de kraft naturel certifié PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes, Programme de Reconnaissance des Certifications Forestières). Il est idéal pour le conditionnement des palettes standards homogènes et légères jusqu’à 200kg. Il assure un excellent maintien des marchandises durant le transport et le stockage en entrepôt, tout en les protégeant des salissures et de la poussière.
Entièrement recyclable, le papier étirable est une alternative écologique au film étirable manuel en plastique habituellement utilisé pour filmer les palettes.

Papier étirable

Le papier bulle recyclé
Le papier bulle recyclé est une réelle innovation écologique qui permet de protéger les produits lors du transport et de l’expédition. Grâce à sa technologie exclusive, l’air est capturé entre deux couches de papier, ce qui confère à cet emballage d’excellentes propriétés d’absorption des chocs et d’amortissement. Léger, il permet de réduire les coûts de transports. Fabriqué en papier 100% recyclé et recyclable, facile à découper et à mettre en forme, le papier bulle est une alternative écologique au film bulle plastique. Le papier bulle a d’ailleurs reçu l’Oscar de l’Emballage 2021 pour son caractère innovant au bénéfice de l’environnement.

Papier bulle recyclé

Le feuillard papier
Fabriqué avec 95% de papier recyclable et 5% de colle végétale, le feuillard papier kraft permet de fermer tous types de caisses et de colis, de créer des lots ou de lier des documents. Véritable alternative écologique au feuillard traditionnel en polypropylène, le feuillard papier kraft est 100% recyclable. Il peut s’utiliser de manière mécanisée sur une machine automatique ou semi-automatique ou de manière manuelle avec des boucles plastiques réutilisables.

Feuillard papier

La pochette matelassée alvéolaire en papier
Innovation majeure en matière d’écoresponsabilité, cette pochette matelassée en papier protège les produits des chocs grâce à son papier alvéolé «nid d’abeille». Sa légèreté lui permet de réduire les coûts postaux au maximum. Son grand avantage repose dans son caractère totalement recyclable. Composée d’un matelas en papier recouvert de 2 couches de papier kraft recyclé, cette pochette est idéale pour l’expédition de tous types de produits. Elle assure ainsi une protection maximale contre les chocs et les déchirures. Cette pochette est disponible en 5 formats, pour répondre à tous les besoins d’expédition des entreprises souhaitant trouver des alternatives aux pochettes en plastique, et sera lancée début mars 2022 en France, puis progressivement dans toute l’Europe.

Pochette matelassée alvéolaire

En savoir plus
Raja
C’est le fournisseur N°1 Européen des emballages d’équipements et de fournitures pour les entreprises. Ça va des caisses aux cartons en passant par les boîtes, les emballages alimentaires et bien plus encore. Localement ? C’est aussi une filiale d’entreposage et de stockage de Raja nommée LogiSorgues, un entrepôt de 12 000m2 d’une capacité de 15 000 palettes, situé avenue Marcel Dassault et, comme son nom l’indique situé à Sorgues. Autres articles sur cette entreprise ici et ici
MH


(Vidéo) Le groupe Raja lance 4 innovations écoresponsables pour l’expédition

Denis Brihat, le photographe de la ‘nature intime’ dédicace et signe la nouvelle édition des Métamorphoses de l’argentique ce jeudi 16 décembre à 17h à la galerie Retour de voyage, 6 rue Rose Goudard à l’Isle-sur-la-Sorgue.  

Avec plus de 120 photographies réalisées depuis la fin des années 1960, ce très beau livre décrit la démarche de l’artiste. Il permet une immersion dans un univers de recherches qui donne à Denis Brihat une place rare dans l’histoire de la photographie. Pour la signature de son livre, Denis sera entouré de quelques-unes de ses plus belles photos, tirées par ses soins, exposées sur les murs de La Maison Sur La Sorgue à l’Isle-sur-la-Sorgue.

Le parking du centre-ville étant très utilisé, n’hésitez pas à utiliser ceux se trouvant en périphéries, car vos achat pourront être livrés à votre voiture. Pour ceux qui auraient du mal à se déplacer, appeler le 06 87 32 58 68, les organisateurs réserveront quelques places à proximité.
MH


(Vidéo) Le groupe Raja lance 4 innovations écoresponsables pour l’expédition

L’Isle-sur-la-Sorgue et l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) collaborent depuis 2016 à développer, ensemble, des diagnostics et des fouilles préventives, des collaborations scientifiques, le recueil et l’adjonction de documentations, la formation et la valorisation de leurs savoirs et travaux.

Dans ce cadre, les structures organisent le 5e séminaire scientifique et technique, en partenariat avec la Direction du Patrimoine de la ville. Il sera consacré à la pratique de l’archéologie sur le bâti dans le cadre des opérations d’archéologie préventive.

Le séminaire

Lors de ce séminaire, l’Inrap fera le point sur les compétences spécifiques requises, le montage des opérations, leur déroulement, l’évolution des protocoles de terrain, ainsi que les actions de sensibilisation ou de formation à entreprendre et la nécessité de diffuser les résultats. Enfin, ces rencontres seront l’occasion d’aborder la multiplicité des approches méthodologiques : études du lapidaire, des matériaux de constructions et de l’architecture antique, méthodes de relevés et de datations, photogrammétrie.

L’analyse archéologique

Développée dans les années 1980, en lien avec le déploiement de l’archéologie préventive en France, l’analyse archéologique du bâti peut concerner tous les types de constructions, quelles que soient leur période, nature ou fonction. L’application de la méthode d’analyse stratigraphique sur les éléments de la construction, permet de distinguer l’état initial du bâtiment et ce qui découle de ses transformations et d’affiner l’histoire de l’édifice.

Informations pratiques

Jeudi 28 octobre (9h15-17h15) et vendredi 29 octobre (9h00-16h25). Amphithéâtre Belambra Clubs ‘Le Domaine de Mousquety’ – Chemin de Mousquety à L’Isle-sur-la-Sorgue. Libre inscription auprès de l’Inrap (carine.carpentier@inrap.fr). Pass sanitaire et port du masque obligatoires.

L’Inrap

L’Institut national de recherches archéologiques préventives est un établissement public placé sous la tutelle des ministères de la Culture et de la Recherche. Il assure la détection et l’étude du patrimoine archéologique en amont des travaux d’aménagement du territoire et réalise chaque année quelque 1 800 diagnostics archéologiques et plus de 200 fouilles pour le compte des aménageurs privés et publics, en France métropolitaine et outre-mer. Ses missions s’étendent à l’analyse et à l’interprétation scientifiques des données de fouille ainsi qu’à la diffusion de la connaissance archéologique. Ses 2 200 agents, répartis dans 8 directions régionales et interrégionales, 42 centres de recherche et un siège à Paris, en font le plus grand opérateur de recherche archéologique européen.
MH


(Vidéo) Le groupe Raja lance 4 innovations écoresponsables pour l’expédition

Cette expo intitulée ‘J’aime les arbres’ est une invitation à l’évasion où ‘Retour de voyage’ propose ‘un arbre… comme une respiration’, à travers le regard de 6 artistes. Le photographe Denis Brihat montre la beauté d’une forêt ou la force d’un arbre à travers ses tirages photographiques et sa technique si pure de la représentation de la nature ; Hans Silvester nous fait observer, grâce à son œil magique, ce que sans lui nous aurions manqué dans la grandeur et la beauté des arbres ; Gabriela Morawetz nous envoûte avec ses créations oniriques, magnifiques tableaux photographiques ; Jephan de Villiers crée de petites créatures de la terre, gracieuses sculptures ; Marc Nucera sculpte avec chaleur et puissance – à la tronçonneuse – les troncs abattus et donne une seconde vie aux arbres en leur vouant un amour inconditionnel ; Ndary Lo réalise avec des matériaux de récupération – des fers à béton soudés – de petits arbres aux branches qui se terminent par des mains qui s’élèvent vers le ciel ; quant à Patricia Dupuy et Bernard Soria pour les éditions ‘Le Renard Pâle’, ils marient les textes des auteurs avec les œuvres des artistes pour réaliser d’incroyables livres d’artistes.
Vernissage de l’exposition ce mercredi 30 juin à partir de 18h.

Retour de voyage

Retour de voyage est la galerie d’art et le concept store du Boutique-hôtel La maison sur la Sorgue, point de ralliement d’artistes et de collectionneurs du monde entier où œuvres d’art, créations et artisanat se mêlent en un lieu, témoins de voyages et de contrées très lointaines.

Infos pratiques

Exposition J’aime les arbres. Inauguration mercredi 30 juin de 18h à 21h. Jusqu’au 31 juillet. 80 œuvres signées accueillies dans la galerie Retour de voyage et les salons de la Maison sur la Sorgue. Six artistes exposants. Morawetz – Denis Brihat – Marc Nucera, Hans Silvester, Ndary Lo, Jephan de Villiers et les éditions Le Renard Pâle. La Maison sur la Sorgue. Galerie, Boutique, Hôtel 6, rue Rose Goudard à l’Isle-sur-la-Sorgue. 0687 32 58 68.
M.H.

Photo de Hans Sylvester

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Le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue, Pierre Gonzalvez, a rédigé une charte à destination des opérateurs de téléphonie mobile afin de rationaliser l’implantation des antennes relais. Mission ? Minorer le nombre d’antennes disgracieuses à proximité des sites patrimoniaux, dans le paysage et mesurer leur rayonnement magnétique.

Difficile pour un maire de faire entendre la voix de ses administrés et même la sienne lorsqu’il s’agit de l’Etat. La chose se révèle encore plus ardue lorsque le maire doit résister à la déferlante étatique d’une 5G vouée à l’expansion de la téléphonie. Point de recours juridiques aux champs électromagnétiques, ni d’opposition possible à l’implantation des antennes-relais. Seul choix ? Accompagner les opérateurs pour rationaliser leur offre, éviter la multiplication du nombre d’antennes, la réduction de leur surélévation et vérifier que la santé des administrés n’en pâtisse pas.

Dans les faits ?

Le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue a eu quelques sueurs froides. D’un côté le développement de la 5G pour répondre aux besoins de la téléphonie. De l’autre ? Une réglementation très assouplie permettant l’implantation d’antennes relais hautes de 12m où cela se révèle nécessaire et tant pis pour les sites classés et le paysage… Et le rayonnement sur la santé ? Les agences pour la santé n’ont rien relevé ! Passez votre chemin, on n’arrête pas le progrès, surtout lorsqu’il est question de satisfaire à téléphonie mobile.

Ben oui mais non…

Sauf que Pierre Gonzalvez défend ses prérogatives de maire et veut encadrer la déferlante technologique qui promeut, tout de même, l’élévation de 11 nouvelles antennes. Là, monsieur le maire manque de s’étouffer. Molo-molo, le territoire accueille déjà 6 antennes Orange 4G, 1 antenne SFR 5G, 1 antenne mutualisée Free / Bouygues 5G et 1 antenne mutualisée Free 4G et Bouygues 5G.

Doucement

«Début janvier, les quatre opérateurs principaux que sont Orange, Free, SFR et Bouygues étaient, chacun, à la recherche d’un terrain d’implantation de leur propre antenne dans un rayon de 300 mètres à l’est de la ville, soit 4 antennes sur cet espace réduit. Free, avait d’ores-et-déjà contractualisé avec un propriétaire privé en milieu résidentiel sur le chemin de la Muscadelle. C’est au moment de la demande préalable de travaux que les services de la Ville ont décidé de réagir en bloquant cette installation et en réunissant les quatre opérateurs pour envisager une solution moins proche des habitations et moins disgracieuse en entrée de ville,» précise Pierre Gonzalvez, proposant, en retour, un terrain communal aux opérateurs Free et Orange.»

Tenir la position

Et pour tenir la position, le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue brandit une charte pour cadrer le dispositif –même si elle ne s’applique pas à l’implantation d’une antenne sur un terrain privé-, histoire de circonscrire… le progrès. Le document permettrait l’implantation de nouvelles stations de base et de modifier les existantes en s’appuyant surtout sur  ‘le respect de l’information, de la concertation et de la transparence.’ La charte demandera aussi l’analyse des champs magnétiques ‘auxquels sont tenus les opérateurs avec communication systématique des projets aux habitants du secteur concerné par la nouvelle implantation d’antenne’.

Complément d’infos

Pour faciliter le déploiement du réseau 5G, en novembre 2018, le Parlement a assoupli via la Loi Elan, la règlementation au regard de la Protection des paysage, du Plan local d’urbanisme, des sites patrimoniaux remarquables … Ce qui fait que, désormais, le cadre règlementaire est d’implantation des antennes de téléphonie est uniquement fixé par l’Etat.

Ce qui se fait aujourd’hui

«Pour toute demande d’implantation d’une antenne d’une hauteur supérieure à 12 mètres, l’opérateur dépose simplement un Dossier d’Information et une Demande d’Autorisation Préalable que la Mairie et n’a d’autre choix que de délivrer, précise-ton à l’Isle-sur-la-Sorgue. Dès lors, le Maire se trouve dans l’incapacité juridique de réglementer les antennes-relais. Il n’est pas appelé non plus à se prononcer en matière d’exposition des personnes aux champs électromagnétiques, qui est du ressort de l’Agence Nationale des FRéquences (ANFR). Si les réglementations nationales et européennes sont respectées, la Ville ne dispose d’aucun recours juridique.» Quant à l’expansion du réseau 5G à grande vitesse ? «Elle a déjà rapporté 2,7 milliards d’euros à l’Etat via les opérateurs français Orange, SFR, Free et Bouygues.» Le ballon est dans le camp des opérateurs, sur le terrain, suivront-ils les nouvelles règles du jeu ?


(Vidéo) Le groupe Raja lance 4 innovations écoresponsables pour l’expédition

La Direction du patrimoine de la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue a accueilli 4 étudiants-stagiaires en architecture et design dans le cadre de leur professionnalisation. Objectif : mettre en pratique leur connaissance sur le terrain et apporter leur vision, particulièrement sur la réhabilitation de la chapelle de Velorgues, l’îlot de la Tour d’argent et les halles SNCF pour en déterminer la faisabilité.

Qui sont-ils ?

Parmi ces étudiants il y a Peter Zoltan Volgyesi, architecte issu de l’Université des Sciences techniques et économiques de Budapest en Hongrie qui connaît déjà l’Isle-sur-la-Sorgue pour avoir participé à un workshop lors de l’été 2019 sur la réhabilitation de la Chapelle Saint-Andéol de Velorgues. Il a également travaillé sur la valorisation de l’ancienne juiverie de la ville. Il revient pour un an dans le cadre d’Erasmus, programme d’échange d’étudiants et d’enseignants entre les universités.

Grands professionnels de demain

Laurianne Cluzel est, elle architecte depuis 2014 et poursuit une formation au sein de la prestigieuse école de Chaillot. Elle intègre, pour quelques mois, le service du patrimoine en participant à des projets transversaux et appréhender l’archéologie du bâti. Quentin le Guyader, étudiant en Master patrimoine et cultures numériques à l’université d’Avignon, lui, participera aux opérations archéologiques en cours ainsi qu’à la réhabilitation de l’îlot de la Tour d’argent. Enfin, Habsatou Abass Mado Abari, wedesigner en licence professionnelle ‘création pour le web’ à l’Institut universitaire de technologie à Arles, apportera ses connaissances en matière de webdesign, infographie et développement du site internet de la direction du Patrimoine.

Chapelle Saint-Andéol de Velorgues

La chapelle romane de Velorgues, non protégée au titre des Monuments historiques, avait été mise en vente par un particulier et préemptée par la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue en 2013. Le projet : la restaurer et en faire un lieu d’activités. Depuis, elle fait l’objet d’une campagne de fouille s’étalant sur plusieurs années. Celles-ci sont conduites par la Direction du patrimoine de la Ville en partenariat avec le laboratoire d’anthropologie d’Aix-Marseille avec le Département d’histoire de l’Université d’Avignon et d’Aix-Marseille. Les recherches font état de la possible existence d’un habitat néolithique moyen, d’un domaine gallo-romain ayant subsisté jusqu’au Moyen-Âge, d’une villa détenue par l’aristocratie autour de l’an Mil et d’une église privée donnée à l’abbaye de Montmajour et reconstruite au XIe siècle, à la création d’un castrum (camp romain) au XIIe siècle puis à son abandon au XIVe siècle. Enfin, l’édification de chapelle romane aurait débuté au XIe siècle.

L’ancienne juiverie

La direction du Patrimoine de la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue s’est tout d’abord intéressée au cimetière juif qui a fait l’objet d’une étude historique, archéologique, épigraphique et d’une numérisation 3D. Une quarantaine de tombes ont ainsi été dégagées. La ville s’est aussi porté acquéreur de l’immeuble Beaucaire du XVIIIe siècle, rare exemple d’habitation des anciennes juiveries comtadines et bâtiment construit, en partie, sur l’emplacement de l’ancienne synagogue détruite au milieu du XIXe siècle. Mission : sauvegarder, restaurer et mettre en valeur les derniers témoignages de l’histoire singulière de l’ancien quartier juif.

L’îlot de la Tour d’argent

L’îlot de la Tour d’argent est un ensemble de constructions dont l’élément majeur est une tour construite par des consuls de la ville à la fin du XIIe siècle et couverte d’une coupole romane classée au titre des Monuments historiques en 2012. D’autres constructions aristocratiques médiévales (tours, maisons fortes, logis, etc.) ont été identifiées sur ce site. Parmi les éléments les plus notables situés aux abords de la tour figurent un bâtiment résidentiel des XIVe et XVe siècles, un plafond décoré en plâtre daté du XVe siècle (inscrit au titre des Monuments Historiques en 2012), des corps de bâtiment d’un hôtel particulier gothique (hôtel de Brancas-Villars) et plusieurs constructions du XVIIIe siècle (hôtel d’Oiselay). Au XVIIe siècle, une auberge, dite de « La Tour d’Argent », s’installe dans une partie de ces bâtiments.

https://echodumardi.com/tag/isle-sur-la-sorgue-2/page/4/   1/1