19 avril 2025 |

Ecrit par le 19 avril 2025

Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

La ville de Carpentras se distingue cette année encore au sein du ​palmarès du 23e label national ‘Territoires, villes et villages internet’.

Ce label est une marque territoriale matérialisée par un panneau de @ à @@@@@ à afficher en entrée de ville et dans les supports de communication. Une auto-évaluation du projet numérique local confirmée par un jury d’universitaires et revendiquée par plus de 2100 villes françaises.

La Ville maintient ainsi ses ‘4@’ sur 5, qui témoignent du développement de l’internet citoyen et du dynamisme de la politique numérique sur son territoire. Par ailleurs, la Ville à également reçu la mention spéciale « Démocratie locale’. « Cette reconnaissance nationale qui ne concerne que 5 communes en France, vient ainsi récompenser les outils mis en place dans le cadre du ‘Big bang’ de la démocratie locale à Carpentras », précise la municipalité.

Qu’est-ce que le ‘Big bang’ ? Tout simplement l’occasion pour les carpentrassiens de participer activement à la vie citoyenne de la Ville. Ce dispositif permet non seulement de donner la parole aux habitants, mais leur offre surtout la possibilité de s’approprier les projets de la Ville. Le Big bang est un programme qui repose sur quatre outils participatifs permettant à chacun d’agir pour co-construire l’avenir de Carpentras.

L.M.


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

Selon l’étude « Digital Quality of Life Index » publiée chaque année par Surfshark, la France fait partie des dix pays qui offrent la meilleure qualité de vie numérique à leurs citoyens. Réalisée dans une centaine de pays, cette analyse se base sur plusieurs critères comme les performances du réseau Internet, la cybersécurité, le développement des infrastructures et des services en ligne, mais aussi l’accessibilité pour la population en matière de prix.

Comme le révèle notre graphique, le coût d’un abonnement à Internet fixe haut débit peut peser très lourd dans les finances personnelles, notamment en Afrique. Au Mali, si l’on se base sur le salaire net moyen, il faut presque une semaine complète de travail (plus de 33 heures) pour pouvoir s’offrir l’abonnement le plus abordable. Et qui dit cher ne veut pas forcément dire de bonne qualité, les infrastructures numériques du pays obtenant l’un des scores les plus faibles de l’étude. L’accès à Internet fixe est également relativement coûteux dans certains pays d’Asie du Sud et d’Amérique latine. Il faut par exemple plus de 10 heures de travail (au salaire moyen) pour se payer l’abonnement le moins cher en Indonésie et en Colombie.

À l’opposé de l’échelle, c’est en Israël que l’accessibilité financière est la meilleure : seules 20 minutes de travail sont en moyenne nécessaires pour couvrir les frais d’Internet. La Chine et la Japon font également partie des bons élève en la matière. En Europe, on observe de grandes disparités entre les pays : s’abonner à Internet haut débit revient à plus de 2h de labeur en Espagne et en Belgique, alors que ce chiffre descend à une heure en France, et même autour d’une demi-heure en Finlande et en Lituanie. L’Hexagone se classe habituellement parmi les bons élèves en matière d’accès à Internet sur le plan financier, les Français figurant également parmi les mieux lotis concernant les coûts de l’Internet mobile.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

60 secondes sur Internet, ce n’est pas bien long et pourtant… Pendant ce court laps de temps, une quantité gigantesque de données se crée et s’échange sur la toile. Les chiffres publiés par le site AllAccess, se basant sur les recherches de Lori Lewis, en constituent une bonne illustration.

En 2021, il est par exemple estimé qu’une seule petite minute suffise pour que 500 heures de contenus soient mises en ligne sur YouTube, 69 millions de messages soient envoyés sur Whatsapp et Facebook Messenger et plus d’un 1,3 million d’euros soient dépensés en ligne. Ces chiffres donnent le tournis et ne s’arrêtent pas là, comme le révèle notre infographie, qui offre un aperçu de l’activité sur une sélection de plateformes et d’applications phares, tels que Twitch, Netflix ou encore Instagram.

De Claire Jenik pour Statista


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

Un récent rapport Sailpoint effectué auprès d’employés de tout horizon dans plusieurs pays révèle leurs habitudes en matière de cyber-sécurité.

La récente étude* de Sailpoint, spécialiste de la sécurisation des échanges internet pour les entreprises, dans plusieurs pays met en exergue les bonnes mais aussi les mauvaises habitudes des employés en matière de cyber-sécurité à travers le monde. Les cyberattaques ont augmenté au cours de l’année dernière et nombreux sont ceux qui en prennent conscience. Plus d’un tiers (36 %) des Français interrogés ont été informées d’une violation de données susceptible d’exposer leurs informations au cours de la dernière année écoulée.

Les enjeux de la cybersécurité mieux compris
Les bonnes pratiques s’installent au sein des entreprises. En France, 87% des employés interrogés font désormais régulièrement une pause pour s’interroger sur la validité d’un e-mail avant de l’ouvrir, de peur qu’il s’agisse d’une tentative de ‘phishing’. Et 27% d’entre eux ont reçu une formation sur le phishing au cours de l’année écoulée. Sur ce point, les Français ont pourtant encore une marge de progression conséquente. Nos cousins britanniques sont formés à hauteur de 50% et à 65% chez les Américains interrogés.

Un dangereux mélange entre vie personnelle et professionnelle
Pourtant, cela ne suffit pas à contrer les mauvaises habitudes. Beaucoup d’employés continuent tristement d’adopter un comportement risqué sur Internet. Près de la moitié (42%) des employés français ont déclaré qu’ils utilisaient leur adresse électronique professionnelle à des fins personnelles. Et ce chiffre monte jusqu’à 75% chez les Français de 18 à 24 ans. Que ce soit pour se connecter sur les réseaux sociaux ou à des publications d’actualités, recevoir des newsletters ou encore faire des achats en ligne, ces employés inconscients créent ainsi, sans le savoir, des lacunes de visibilité et des ouvrent les portes de l’infrastructure de leur entreprise aux cyber-malveillances.

Des réactions inappropriées face aux tentatives de phishing
Selon cette étude, 86% des Français interrogés sont confiants ou très confiants dans leur capacité à détecter un message de phishing. Pourtant, ils réagissent encore majoritairement mal aux messages de phishing. Moins d’un Français sur 5 sait comment réagir de manière appropriée à un message de phishing, soit en le transférant au service informatique.
Les Anglais et les Américains sont une fois de plus les meilleurs élèves puisque 29% d’entre eux les transfèrent au service de traitement informatique. Les travailleurs Japonais sont les moins bien formés à ce sujet puisqu’ils ne sont que 15% à avoir adopté cette bonne pratique.
Cette disparité entre la confiance en soi en matière de cyber sécurité et l’usage des bonnes pratiques est un réel danger pour les entreprises. Leurs employés sont persuadés de bien agir tout en mettant en péril la sécurité de l’entreprise. Augmenter le nombre de formations aux bons gestes et aux enjeux de la cyber sécurité en entreprise devient fondamental et devrait être une priorité.

*Enquête auprès de 3 000 répondants travaillant dans des entreprises de plus de 2 500 salariés. Étude réalisée dans les pays suivants : États-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Australie et Japon.


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

Chaque année, Google dévoile les recherches les plus populaires qui sont effectuées sur sa plateforme. Et si le Covid-19 a continué de susciter une part importante du trafic en 2021, le classement comprend également des mots-clés sur les séries tendance, ainsi que d’autres recherches plus surprenantes. Voici un aperçu des termes les plus recherchés par les internautes français dans une sélection de catégories.

Le top 5 des tendances générales mêle des événements sportifs (Euro 2021, Ligue 1 et Roland Garros) ainsi que des recherches liées à la crise sanitaire, comme l’ »attestation couvre-feu », qui n’est plus utile depuis juin en métropole mais toujours nécessaire dans certains territoires d’Outre-Mer, et « vite ma dose », le site permettant de trouver rapidement des créneaux de vaccination.

La définition la plus recherchée est également dans l’ère du temps : « survivaliste », alors que la mise en place de la « demi-jauge » dans les écoles et que le « wokisme » ont aussi suscité la curiosité d’un grand nombre d’internautes. La catégorie des « pourquoi… » est peut être la plus surprenante, même si on retrouve des interrogations liées à certains événements, comme le passage en début d’année d’un nuage issu des tempêtes de sable du Sahara (pourquoi le ciel est jaune ?), ou plus récemment la panne mondiale des applications de Facebook.

Concernant les productions audiovisuelles, ce sont deux séries diffusées sur Netflix qui arrivent en tête. Phénomène de l’année 2021, la fiction sud-coréenne Squid Game est sans surprise celle qui a suscité le plus d’intérêt, suivie par la série française Lupin. Enfin, côté cuisine, la cote du plus médiatique des chefs français, Cyril Lignac, reste intacte. La recette de sa « galette des rois » a été la plus recherchée sur Google, devant les traditionnels « bœuf bourguignon » et « tarte tatin », ou d’autres tendances plus exotiques, comme les « mochi », des pâtisseries japonaises à base de riz gluant.

Consulter le classement de l’année dernière.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, nouvelle plateforme accessible en ligne, destinée à dématérialiser toutes les démarches juridiques des entreprises concernant les registres légaux et les assemblées générales.

Afin de simplifier et sécuriser les démarches juridiques des entreprises, Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, un nouveau service de dématérialisation des registres légaux et des assemblées générales. Cette nouvelle plateforme accessible en ligne, reliée aux greffes des tribunaux de commerce, est destinée aux dirigeants d’entreprise et aux professions du droit et du chiffre, aux formalistes et aux directions juridiques.

Elle propose plusieurs fonctionnalités :

– la dématérialisation des registres obligatoires,
– la dématérialisation complète de tout type d’assemblées en ligne,
– un coffre-fort numérique, collaboratif et sécurisé hébergé sur un ‘cloud’ souverain,
– la signature électronique avancée, pour tous les documents.

Cette plateforme, en synchronisation avec les services d’Infogreffe, offre un espace simple d’accès et sécurisé, permettant de sécuriser au maximum les données des utilisateurs, en accord avec le cadre légal actuel.
MonJuridique.Infogreffe s’appuie ainsi sur la signature électronique EIDAS, un coffre-fort CCFN, des envois recommandés électroniques opposables ou encore un ‘cloud’ souverain et un système de ‘blockchain’ privé et sécurisé. Un véritable coffre-fort numérique à disposition des entrepreneurs.

Remarque : les étapes de dématérialisation se font en application des décrets n° 2018-1226 du 24 décembre 2018 (dématérialisation des titres), n° 2019-1118 du 31 octobre 2019 (dématérialisation des registres et PV) et de l’ordonnance n° 2020-321 du 25 mars 2020 (tenue des assemblées en ligne).

Éditions Législatives – www.elnet.fr
Article extrait du Bulletin d’actualité des greffiers des tribunaux de commerce n° 157, novembre 2021 :
www.cngtc.fr


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

De nouvelles données récemment publiées par l’Union internationale des télécommunications (UIT) révèlent que près de 3 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à Internet dans le monde et restent donc coupées de ce qui représente aujourd’hui un canal majeur d’information et de communication.

Selon les dernières estimations de l’UIT, 4,9 milliards de personnes sont désormais connectées à Internet, contre 4,1 milliards en 2019. Cette augmentation particulièrement forte du nombre d’internautes est attribuée, du moins en partie, au « boost de la connectivité lié au Covid ». Selon l’organisation, « les confinements généralisés et les fermetures d’écoles, combinés au besoin d’accéder aux actualités, aux services gouvernementaux, au commerce électronique et aux services bancaires en ligne » ont entraîné cette flambée de l’utilisation d’Internet.

« Si près des deux tiers de la population mondiale est désormais en ligne, il reste encore beaucoup à faire pour que tout le monde soit connecté à Internet », a déclaré dans un communiqué Houlin Zhao, secrétaire général de l’UIT. Le manque d’accès à Internet est le plus répandu dans les pays en développement, où vit 96 % de la population non connectée dans le monde. La fracture numérique persiste également entre les zones rurales et urbaines, les citadins étant deux fois plus susceptibles d’être connectés que les personnes vivant dans les zones rurales (76 % contre 39 %).

Si l’accès à Internet semble désormais une évidence dans les régions développées, il est important de noter qu’il est loin d’être un acquis dans de nombreuses autres parties du globe. En fait, comme le montre notre graphique, les utilisateurs d’Internet étaient encore minoritaires dans le monde aussi récemment qu’en 2018. À l’époque, 3,7 milliards de personnes naviguaient sur la toile, tandis que 3,9 milliards n’y avaient pas accès.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

Le monde passe en moyenne près de 7 heures par jour connecté à Internet. En ce moment même, une quantité énorme de données, souvent de nature privée, transite sur la toile, et le nombre de personnes préoccupées par la sécurité de leurs données personnelles ne cesse d’augmenter.

Selon les données d’Eurostat, un citoyen européen sur quatre a déclaré avoir évité de fournir des informations personnelles sur les réseaux sociaux ou professionnels en 2019 pour des raisons de sécurité. Comme dans un certain nombre d‘autres domaines, ce sont les Français qui se montrent les plus méfiants. 40 % des personnes interrogées en France ont préféré ne pas fournir de données personnelles sur une plateforme par crainte de sécurité, soit le pourcentage le plus élevé de l’étude. Parmi les plus inquiets à ce sujet, on retrouve ensuite les Pays-Bas (39 %), la Finlande (37 %), ainsi que la Slovaquie et la Suède (36 % chacun).

En revanche, la question des données personnelles semble moins préoccupante dans les pays d’Europe de l’Est, où un pourcentage beaucoup plus faible de la population déclare s’être abstenu de fournir de telles informations : 9 % en Croatie et Roumanie, 8 % en Bulgarie et Hongrie, 6 % en Lituanie.

Sur le même sujet : vous pouvez consulter notre graphique sur les applications qui partagent le plus de données avec des tiers.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Carpentras conserve son label ‘Ville internet 2022’

L’opérateur Orange a dernièrement activé son réseau 5G dans la commune d’Orange. Ce qui porte à six le nombre de communes ouvertes en 5G : Le Pontet, Villeneuve-lès-Avignon, Sorgues, Avignon et Orange et les Angles.

En contribuant à la digitalisation des entreprises, la 5G se révèle être un levier de compétitivité grâce, entre autres, aux objets connectés et à l’intelligence artificielle. La 5G, déployée sur des bandes de fréquence 3,5 GHz, permet un confort de navigation, une latence réduite et une vitesse de téléchargement quasi-instantanée, même en mobilité.

« La 5G va répondre à des usages de plus en plus exigeants que nous utilisons au quotidien : travailler, télétravailler, se former, produire, communiquer, se divertir… », déclare Philippe Daumas, délégué régional Rhône Durance chez Orange. A terme, la 5G offrira des débits jusqu’à 10 fois supérieurs à la 4G. Par exemple, il sera possible de télécharger un film de 4 Go en HD en 2 à 3 minutes en 5G. La 5G est une technologie plus performance, qui va permettre à la fois de désaturer le réseau 4G mais également de créer de nouveaux usages.

Orange a choisi de déployer un réseau 5G principalement sur la bande de fréquence 3,5 GHz, « ce qui permet aujourd’hui de consolider le réseau mobile et de maintenir la qualité du réseau 4G déjà fortement sollicité », ponctue Philippe Daumas.

Vidéo : opérateur Orange

L.M.

https://echodumardi.com/tag/internet/page/6/   1/1