21 novembre 2024 |

Ecrit par le 21 novembre 2024

Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

A l’occasion de la nouvelle année, la Direction générale des Finances publiques (DDFIP), la Direction générale des Douanes et Droits indirects et l’Urssaf (Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales) rappellent aux entreprises les possibilités qu’offrent son portail internet destiné aux professionnels.

Portailpro.gouv.fr, site développé par la Direction générale des Finances publiques, les Urssaf et la Direction générale des douanes et droits indirects, vous offre :

    • la possibilité de déclarer et payer vos impôts et cotisations depuis un même site ;
    • la vision synthétique de vos obligations fiscales, sociales et douanières grâce à un tableau de bord unique et un échéancier personnalisé ;
    • un dialogue simple et sécurisé avec les services des impôts, des Urssaf et de la douane au moyen d’une messagerie unique ;
    • un parcours usager simplifié, grâce à un nouvel espace donnant accès à tous les services impots.gouv.fr, urssaf.fr, douane.gouv.fr, et net-entreprises.fr.

Nouvel accès pour le solde CFE-IFER
« Comme près de 275 000 utilisateurs, connectez-vous dès maintenant à portailpro.gouv.fr, et si vous ne l’avez pas encore fait, créez votre compte et regroupez vos espaces professionnels des sites partenaires, poursuivent les trois administrations. Vous bénéficiez, par exemple, d’un nouvel accès pour régler le solde de CFE-IFER. Nous espérons que ce portail simplifiera la vie de votre entreprise. »

L.G.


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

La fin de l’année est la période propice aux rétrospectives. Tous les ans, Google dévoile la liste des requêtes les plus populaires sur son moteur de recherche. Il s’agit plus précisément d’une analyse des tendances qui se base sur la hausse des requêtes pour un sujet donné, d’une année sur l’autre. Notre infographie donne un aperçu des sujets ayant connu la plus forte hausse d’intérêt en France en 2023, dans une sélection de catégories.

En haut des tendances liées à l’actualité, on trouve sans surprise la guerre Israël-Hamas, qui occupe le devant de la scène médiatique depuis octobre, mais aussi ChatGPT, le chatbot utilisant l’IA lancé en fin d’année dernière par OpenAI, ou encore la tempête Ciarán, qui a gravement touché certaines régions de France et d’Europe cet automne.

Parmi les personnalités publiques les plus recherchées par les internautes, deux sportifs sortent du lot : le footballeur Kylian Mbappé, dont le transfert avorté a provoqué un feuilleton médiatique cet été, et Antoine Dupont, le demi de mêlée du XV de France et quart-de-finaliste malheureux de la Coupe du monde de rugby en septembre.

Comme le révèle l’analyse des questions (où ? c’est quoi ?), trouver un restaurant pour manger sain et de l’essence pour sa voiture ont également suscité un intérêt particulier cette année, tout comme la définition du 49.3, l’article de la Constitution utilisé à de nombreuses reprises par le gouvernement.

Concernant le cinéma, les films les plus populaires cette année sont sans surprise Oppenheimer et Barbie, deux films aux antipodes l’un de l’autre mais sortis en même temps en juillet et qui ont pulvérisé les records en salle.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

Selon l’étude « Digital Quality of Life Index » publiée chaque année par Surfshark, la France est le pays qui offre la meilleure qualité de vie numérique à ses citoyens en 2023. Couvrant plus d’une centaine de pays, cette analyse se base sur plusieurs critères comme les performances du réseau Internet, la cybersécurité, le développement des infrastructures et services en ligne, mais aussi l’accessibilité pour la population en matière de prix.

Comme le révèle notre graphique, le coût d’un abonnement à Internet fixe haut débit peut peser très lourd dans le budget des ménages, en particulier en Afrique. Au Mali, si l’on se base sur le salaire net moyen, il faut une semaine entière de travail (40 heures) pour pouvoir se payer l’abonnement le plus abordable. Et qui dit cher ne veut pas forcément dire de bonne qualité, les infrastructures numériques du pays obtenant l’un des pires scores de l’étude.

L’accès à Internet haut débit est également relativement coûteux dans certains pays d’Amérique latine et d’Asie du Sud. Il faut par exemple plus de 10 heures de travail au salaire moyen pour se payer l’abonnement le moins cher au Salvador et aux Philippines.

À l’opposé de l’échelle, c’est en Roumanie que l’accessibilité financière est la meilleure : seules 18 minutes de travail au salaire moyen sont nécessaires pour couvrir les frais d’une connexion fixe dans ce pays. Le Japon (26 minutes) et l’Allemagne (35 minutes) font également partie des bons élèves en la matière.

On observe de grandes disparités entre les pays européens. S’abonner à Internet haut débit revient par exemple à plus de 3 heures de labeur en Grèce, près de 2 heures en Belgique (1 heures 46 minutes) et un peu moins d’une heure en France (54 minutes).

Tristan Gaudiaut pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

Le débat sur la réglementation (ou non) d’Internet et des réseaux sociaux est un sujet d’actualité brûlant et controversé. En août 2023, une enquête a été menée dans dix pays d’Europe pour connaître les opinions de la population sur la réglementation du Web dans le cadre de l’étude European Tech Insights de l’université IE. Les données recueillies auprès de plus de 3 000 adultes offrent un aperçu de l’avis des citoyens européens à ce sujet.

Les résultats de l’enquête révèlent une nette préférence dans la plupart des pays étudiés pour un Internet mondial et ouvert, mais encadré par une réglementation internationale. Les pays les plus enclins à cette approche sont l’Espagne, l’Italie et la Pologne, où plus de 70 % des répondants approuvent cette option. Par ailleurs, on trouve un pourcentage élevé de répondants favorables à l’instauration de règles nationales au Royaume-Uni, en France et en Suède.

En France en particulier, 60 % des personnes interrogées préconisent un cadre réglementaire international, tandis que 36 % préfèrent que chaque pays établisse ses propres règles. Seule une minorité de Français (4 %) estiment qu’Internet ne devrait pas être réglementé.

Tristan Gaudiaut pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

En 2022, un tiers de tous les sites internet signalés à l’ONG Internet Watch Foundation (IWF) pour leur contenu pédocriminel étaient hébergés sur des serveurs situés aux Pays-Bas. C’est en tout cas ce que révèle le plus récent rapport de l’organisation de surveillance du net basée au Royaume-Uni. L’année dernière, 375 230 signalements ont été évalués par l’IWF, et 255 588 ont été confirmés comme contenant des images d’abus sexuels sur des enfants, ayant des liens vers ces images, ou en faisant la publicité. Après avoir évalué si une image ou une vidéo ne respecte pas la loi, l’IWF retrace l’URL jusqu’à l’emplacement du serveur physique sur lequel le contenu est hébergé. L’ONG contacte ensuite le gouvernement et les services de police du pays, et collaborent également avec des organisations internationales telles qu’Europol et Interpol, afin de faire supprimer les contenus criminels.

Selon le rapport, en 2022, près de trois URL sur cinq (59 %) signalés comme contenant des image d’abus sexuels sur enfants étaient hébergés dans les États membres de l’UE. Si les Pays-Bas et les États-Unis ont tous deux enregistré un nombre élevé de signalements l’année dernière, les deux pays ont tout de même constaté une diminution de la proportion d’URL qu’ils hébergeaient par rapport à l’année précédente (de 41 % en 2021 à 32 % en 2022 aux Pays-Bas, et de 21 % en 2021 à 15 % en 2022 aux États-Unis).

Valentine Fourreau pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

En 2023, la France est le pays qui offre la meilleure qualité de vie numérique à ses citoyens. C’est ce qui ressort de l’étude annuelle de la société de services VPN Surfshark, qui place l’Hexagone au premier rang de l’indice de qualité de vie numérique sur 110 pays analysés en 2023. Ce classement mondial se base sur plusieurs critères comme l’accessibilité financière et la qualité du réseau Internet, le développement des infrastructures, le niveau d’administration électronique, ou encore la cybersécurité. La France progresse ainsi de six places par rapport au classement de 2021, passant d’un score de 0,71 à 0,79 points.

Dans le détail, les principaux points forts de la France dans le domaine numérique restent l’accessibilité financière d’Internet, les lois sur la protection des données et la vitesse du haut-débit. L’Hexagone se situe dans la moyenne des pays développés concernant le développement de ses infrastructures numériques, mais obtient en revanche un score médiocre en matière de stabilité des connexions Internet (36ème sur 110).

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Valentine Fourreau, Statista.


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

Depuis 2015, 62 pays ont bloqué l’accès à des réseaux sociaux ou des applications de messagerie (voix sur IP, messageries instantanées). Si l’on comptabilise les coupures et autres restrictions d’accès à Internet, ce chiffre grimpe à 77. C’est ce qui ressort d’une étude couvrant 196 pays réalisée par la société Surfshark, spécialisée dans la protection de la vie privée et la sécurité des données en ligne.

Ces restrictions sont principalement le fait de gouvernements non démocratiques. Comme le montre notre carte, la grande majorité des pays ayant bloqué l’accès à des réseaux sociaux ou messageries ces dernières années sont situés en Afrique et en Asie. Dans la plupart des cas, les restrictions sont temporaires et visent à limiter ou contrôler les flux d’informations lors de troubles et d’événements politiques (élections, manifestations, guerres, conflits, coups d’État, etc.). Parmi les cas les plus récents, on peut citer le Sénégal, où des coupures de plusieurs plateformes, dont Facebook, Twitter, Instagram, WhatsApp et Telegram, ont été rapportées le mois dernier lors des protestations contre la condamnation du leader de l’opposition Ousmane Sonko. L’accès à depuis été rétabli.

Selon Surfshark, des restrictions sont actuellement toujours en vigueur dans une vingtaine de pays (au 4 juillet 2023). En Chine, en Russie, en Corée du Nord, en Iran, au Myanmar et au Turkménistan, ce sont principalement les réseaux sociaux étrangers qui ont été bannis par les autorités, comme Twitter, Facebook et Instagram. Il convient de noter que la Chine a en parallèle développé son propre écosystème national d’applications, avec par exemple WeChat, Weibo et QQ. Quant aux pays de la péninsule Arabique – Émirats arabes unis, Qatar, Oman, Yemen – ils restreignent l’utilisation de WhatsApp, Telegram et plus généralement des appels passés via Internet (voix sur IP).

En réponse aux violences urbaines qui ont enflammé les banlieues françaises fin juin, le président Emmanuel Macron a évoqué de potentielles mesures visant à bloquer l’accès aux réseaux sociaux en cas d’épisode de crise dans le pays. Ce genre de mesures, si elles venaient à être mises en place, constitueraient une première au sein des démocraties occidentales.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

Plus de 30 millions de personnes se sont inscrites sur Threads en moins de 24 heures. L’alternative à Twitter lancée par le groupe Meta a réussi à franchir la barre du million d’utilisateurs en l’espace d’une heure seulement. L’application de microblogging a ainsi littéralement pulvérisé le record récemment établi par ChatGPT, comme le montre notre graphique.

L’année dernière, l’application d’intelligence artificielle était parvenue à atteindre le cap du million d’utilisateurs en cinq jours. La croissance explosive de Threads peut également être mise en parallèle avec celle de son principal concurrent, Twitter. Le réseau social fondé en 2006 avait mis deux ans à attirer autant de personnes. Pour la plateforme de Meta qui a la plus grande portée mondiale, Facebook, il avait fallu dix mois. Et pour Instagram, lancé en 2010, 2 mois et demi.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les formalités des entreprises sur portailpro.gouv.fr

Le déploiement des réseaux de fibre optique représente un enjeu clé du développement numérique des territoires, visant à généraliser l’accès à Internet très haut débit au plus grand nombre, particuliers comme entreprises. Comme le montrent les données publiées par l’OCDE, le déploiement de cette technologie reste très inégal entre les États membres de l’organisation économique.

La Corée du Sud, le Japon et l’Espagne sont actuellement les plus avancés en la matière, puisque la fibre optique représentait déjà entre 80 % et 90 % des connexions Internet haut débit fixe dans ces trois pays l’année dernière. L’Europe est globalement plutôt bien positionnée dans le déploiement de cette technologie. Après l’Espagne, la Suède et la Lituanie sont les pays étudiés où la part de la fibre est la plus élevée : environ 79 % des connexions haut débit en 2022.

Quant à la France, le graphique ci-dessus montre qu’elle a réalisé de gros progrès dans ce domaine ces dernières années. Bien que le déploiement de la fibre optique reste disparate dans l’Hexagone, il n’en est pas moins rapide. La part de la fibre dans les connexions Internet haut débit a ainsi presque doublé en deux ans, passant d’environ 28 % en 2020 à 51 % en 2022. La France dépasse désormais nettement la moyenne des 37 pays de l’OCDE (35 %). À l’opposé de l’échelle, l’Allemagne et le Royaume-Uni (8 à 9 % chacun) ainsi que la Belgique (environ 4 %) font partie des pays les plus à la traîne dans le développement de cette technologie.

Tristan Gaudiaut, statista.

https://echodumardi.com/tag/internet/page/2/   1/1