22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Un projet d’utilité sociale et environnementale ? Camina vous accompagne

Camina, incubateur d’entrepreneuriat social porté par Initiative Terres de Vaucluse, lance un appel à candidatures du 26 avril au 19 juillet 2021. 10 projets seront sélectionnés, pour débuter leur accompagnement à partir de la mi-septembre et jusqu’à la mi-janvier 2022.

Camina accompagne dans l’expérimentation du projet (création d’entreprise ou d’association) et soutient la volonté d’innovation sociale. « Vos projets sont porteurs de sens et de liens, ils bénéficient au territoire et peuvent être générateurs d’emplois locaux et durables. » L’incubateur soutient les projets d’utilité sociale et environnementale autour de différentes thématiques : la réduction et valorisation des déchets, les énergies renouvelables, les économies d’eau, la mobilité, l’économie circulaire, le digital et environnement.

Eventail d’actions

Camina propose ainsi un travail collaboratif, une professionnalisation mais également une rencontre avec les acteurs publics et privés partageant l’entreprenariat social. L’accompagnement repose sur des ateliers avec des experts associés en création d’entreprise et en innovation sociale ; une méthodologie individuelle et collective et l’accès au réseau d’Initiative Terres de Vaucluse. Lors de cette 3e édition, l’incubateur a accompagné le tiers-lieu culturel ‘L’Eveilleur’, le projet ‘Azur’ pour l’organisation de collectes de déchets en méditerranée, ‘Caumino’ pour la création de cabanes en bois destinées aux personnes aidants/aidés ou la création d’un verre à bascule pour personnes malvoyantes.

En chiffres

1er incubateur d’entrepreneuriat social, Camina est porté par Initiative Terres de Vaucluse en partenariat avec la Région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur, la Communauté d’Agglomération du Grand Avignon et Véolia. Depuis 2018, ce sont :

  • 46 dossiers reçus ;
  • 26 porteurs de projets accompagnés ;
  • 15 partenaires ;
  • 9 projets lancés.

Pour candidater : télécharger le dossier d’inscription sur www.initiativeterresdevaucluse.fr ou par email à florence.levasseur@initiativeterresdevaucluse.fr

L.M.


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Le Boston Consulting Group vient de dévoiler son classement des 50 entreprises les plus innovantes du monde. Les géants américains de la tech monopolisent toujours les premières places : Apple, numéro un depuis plus de quinze ans, est suivi par Alphabet, Amazon, Microsoft et Tesla. Avec le contexte de pandémie, plusieurs entreprises du secteur pharmaceutique figurent dans le classement cette année. Le laboratoire américain Pfizer, qui a mis au point un vaccin et annoncé le lancement de deux médicaments contre le Covid-19, fait notamment son entrée dans le top 10.

Le secteur de la technologie et des télécommunications est de loin le plus représenté parmi les champions de l’innovation, et ce depuis la première publication de ce classement en 2005. Alors que des acteurs historiques de la tech, comme Apple, IBM ou Microsoft, continuent de se maintenir en tête de liste, de nouveaux poids lourds se sont imposés à la pointe de l’innovation au cours des dernières décennies, comme Google/Alphabet, Amazon, et plus récemment Huawei.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Un projet d’utilité sociale et environnementale ? Camina vous accompagne

Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et également président des Régions de France, a négocié les contours du futur partenariat avec la Commission européenne: 117M€ ont été validés pour la Région Sud.

La validation de la stratégie du Plan de relance européen (React-EU) fait de la Région la première de France à pouvoir lancer des appels à projets sur des Fonds européens. 117M€ à consommer d’ici 2023 sont ainsi mis à la disposition des acteurs régionaux pour financer des projets de transition écologique et numérique, le fonds de roulement des PME (Petites et moyennes entreprises) et sa politique de santé.

La réunion de travail, regroupant la Commissaire européenne en charge de la Cohésion et des réformes, Elisa Ferreira, la ministre en charge de la Cohésion des territoires et des collectivités territoriales, Jacqueline Gourault, et le Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, Clément Beaune, a déterminé les montants et les critères d’éligibilités sur la programmation 2021-2027.

Le Feder en appui à la recherche

Les conditions d’intervention du Feder (Fonds européen de développement régional) en faveur des projets de recherche étaient également à l’ordre du jour, évoquant la nécessité de « renouveler le soutien à des projets innovants et structurants pour le territoire régional, comme les projets de production d’hydrogène vert, d’éolien flottant, ou de réseaux de chaleur utilisant des énergies renouvelables. »

Pour le programme 2014-2020, les Fonds européens gérés par la Région représentaient alors 431M€, dont 126,2M€ dédiés à la recherche et l’innovation ; 43,6M€ aux services numériques ; 84,4M€ à la transition énergétique ; 20,2M€ à l’inclusion sociale et 141,5M€ à l’éducation et la formation.

Mobilité douce et numérisation

Notamment au centre des échanges: l’éligibilité des projets de mobilité durable en zone urbaine, notamment pour atteindre les objectifs de l’Union européenne en matière de transition énergétique et climatique. « Ces objectifs, fixés par la Commission dans le Pacte Vert, ne pourront se faire sans accompagner les principaux émetteurs de Co2 dans leur transition écologique, déclare Renaud Muselier. Des premiers appels à projets, lancés en mars, pour financer des projets de mobilité douce et le développement du numérique dans les communes seront suivis d’appels au mois de mai en faveur de la numérisation dans les collèges et les lycées et le soutien aux PME régionales. »

14 projets financés en Vaucluse

Dans le cadre du Contrat-Région 2021-2027, la région Paca engage par ailleurs 130M€ pour 14 projets en Vaucluse. Parmi ces derniers figurent notamment la mise en œuvre du Grand site de Fontaine de Vaucluse ou la construction du Pôle de recherche et de conservation du patrimoine vauclusien.

Concernant le ‘Sommet des Villes et des Régions européennes’ ayant lieu début 2022, sa tenue a été confirmée à Marseille. L’événement phare réunira plus de 15 000 élus locaux en provenance de toute l’Europe.


Un projet d’utilité sociale et environnementale ? Camina vous accompagne

Mis en place depuis 3 ans, le programme ‘FemmesEntrepreneuses’ est destiné à booster l’entrepreneuriat féminin. Pour soutenir cette 3e saison, Orange s’est engagée à soutenir 10 startups dans la région du grand sud est.

Le groupe Orange accompagne les porteurs de projet locaux par des mentors, dans le cadre d’un programme constitué de thématiques actuelles : l’Intelligence artificiel, la cybersécurité, le ‘média training’ ou des ateliers de vente et marketing. Les ‘start-uppeuses’ sélectionnées, bénéficient d’un suivi personnalisé pour répondre à leurs problématiques, des ateliers de partage avec des experts d’Orange, ainsi que des temps d’échange avec le réseau Orange et celui des #FemmesEntrepreneuses.

Basée à l’Isle-sur-la-Sorgue, c’est Mélanie Pin, CEO et co-fondatrice de ‘Getinshoot‘ qui a souhaité participer à cette aventure. L’application (IOS, Android) automatise à la vitesse de l’éclair la collecte des médias de tous les participants au cours d’un événement : l’organisateur du projet n’a plus qu’à créer sa vidéo compilation directement depuis l’application. « Tout s’est enchainé très vite, nous avons constitué l’équipe et commencé à travailler en août 2019. Tout est encore à inventer et à imaginer, c’est pourquoi nous avions besoin de conseils d’experts dans le domaine du numérique et digital. C’est une réelle opportunité pour nous, de faire partie de la saison 3 et de bénéficier du savoir-faire d’Orange. » témoigne Mélanie.

Pour Fabienne Dulac, directrice exécutive d’Orange France, « la révolution numérique n’est pas qu’une révolution technologique : elle est surtout une révolution culturelle qui rend toujours plus sensible les impératifs d’égalité professionnelle et de diversité. » La direction accompagne 100 femmes dans leur aventure entrepreneuriale, en mettant du savoir-faire au service du succès de leur projet.


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Selon les données récemment publiées par l’Office européen des brevets (OEB), les entreprises et instituts de recherche français ont déposé plus de demandes de brevets en 2020 qu’en 2019. Comme le rapporte Les Échos, les technologies médicales, la pharmacie et les biotechnologies sont les domaines dans lesquels les inventeurs français ont été les plus actifs l’année dernière, avec des acteurs comme l’Inserm et Sanofi parmi les plus prolifiques. Comme le montre notre graphique, l’organisme public et l’entreprise tricolore font partie des acteurs ayant déposé le plus de brevets européens dans le domaine de la pharmacie et des biotechnologies, avec respectivement 190 et 134 demandes enregistrées en 2020. Les autres leaders de l’innovation dans ce secteur en Europe sont les groupes suisses Hoffmann-La Roche (263 brevets) et Novartis (144).

D’un point de vue plus global, la France est toujours le deuxième pays européen pourvoyeur de demandes de brevets (10 554), après l’Allemagne (25 954) et devant la Suisse (8 112). Mais comme en témoigne l’activité des acteurs américains en la matière, avec par exemple Johnson & Johnson ou Merck & Co. dans le secteur pharmaceutique et biotechnologique, les États-Unis restent les plus grands demandeurs de brevets européens (44 293 dépôts en 2020). Les pays asiatiques sont également des pourvoyeurs importants, avec des pays comme le Japon, la Chine et la Corée du Sud particulièrement prolifiques dans les domaines de l’électronique et de l’informatique.

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Tristan Gaudiaut pour Statista


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Pendant 5 mois, 19 équipes ont expérimenté la création d’entreprise dans le cadre du programme ‘Les Entrep’ 100% digitalisé’. Découvrez les projets novateurs récompensés à l’issue de cette 7e édition.

lls testent l’entrepreneuriat depuis novembre, ils innovent et développent de nouvelles compétences, rien ne semble freiner la créativité des jeunes étudiants et diplômés. Véronique Coppin, coach d’entreprise et coordinatrice de l’association avait virtuellement convié les 81 étudiants et jeunes diplômés de la session 2020/2021, les 22 experts et les 47 coaches bénévoles, entrepreneurs issus notamment du Réseau Entreprendre Rhône Durance, du Centre de jeunes dirigeants 84 (CJD) et du réseau Force cadres pour la remise des trophées.

Les inventeurs d’aujourd’hui font les génies de demain

Le défi : s’entraîner dans la vraie vie à monter une entreprise. Présidée par Serge Edmond, président Les Entrep’ Vaucluse, la soirée a récompensé 7 équipes dont les idées se sont transformées en véritables opportunités d’affaires.

  • Le prix ‘communication’ pour l’équipe “No Waste, All sold”, une plateforme mettant en lien commerçants, producteurs et consommateurs.
  • Le prix ‘entreprendre autrement’ pour l’équipe “Déam’bulle”,  un déambulateur aquatique permettant aux personnes à mobilité réduite d’accéder à la mer/piscine en autonomie.
  • Le prix ‘dream team’ pour l’équipe “Horse Sport Rescue”, une gamme d’équipements recyclés et biosourcés pour l’équitation.
  • Le prix ‘parcours entreprendre’ pour l’équipe “Epi”, un restaurant proposant une cuisine de terroir, 100% locale et raisonnée.
  • Le prix ‘clip vidéo’ pour l’équipe des “Disciples de Thétys”, une gourde proposant un nouveau mode de consommation plus sain et éco-responsable.
  • Le prix ‘innovation’ pour l’équipe “Mix ton Frig”, une application pour étudiants qui génère des recettes en fonction de ce qu’il y a dans le frigo et les placards.
  • Le prix ‘coup de cœur’ pour l’équipe “Mélior”, un concept store éthique proposant plusieurs offres : salon de thé et restaurant gastronomique, le tout dans un lieu verdoyant.

L’équipe “Brunü” représentera le Vaucluse à la finale nationale

Clou du spectacle, le trophée Entrep a été décroché par l’équipe “Brunü”, qui représentera le Vaucluse à la finale nationale le 27 mai prochain. L’équipe passera le grand oral aux côtés de 15 autres équipes régionales et auront 3 minutes pour convaincre lors du e-Trophée France Les Entrep’.

©Les Entrep’Vaucluse

Brünü est une entreprise de collecte et de valorisation de drêches, issus du brassage du malt des brasseries. Le projet entend lutter contre le gaspillage alimentaire et devenir l’intermédiaire clé dans la valorisation des drêches bio pour l’alimentation humaine. Objectif ? Créer du lien social entre les brasseries bio locales et industrielles transformatrices de farines (boulangers, pastiers, etc.).

Brice Levasseur et Mélisande Nardy, tous deux étudiants ingénieur en agronomie, Joy Repos, étudiante en management d’entreprise, et Mazzy Djezzar, étudiant en mathématiques, forment cette équipe d’innovateurs de choc.

11 équipes nominées

« La motivation, l’enthousiasme, la bienveillance, la fantaisie, le travail des 19 équipes soutenues par l’ensemble des acteurs de la Promo 2021 ont donné naissance à des projets d’une qualité jusque-là inégalée. Merci de votre confiance renouvelée depuis 5 ans, encore bravo aux 8 Équipes Lauréates et aux 11 Équipes Nominées ! », déclare Véronique Coppin à l’issue de la cérémonie.

©Les Entrep’Vaucluse

À propos du programme Les Entrep’ Vaucluse

Depuis 2014, l’Association Les Entrep’ Vaucluse encourage tout jeune post-bac Vauclusien à devenir intrapreneur ou entrepreneur demain. Le programme d’entraînement terrain innovant et gratuit pour tous les jeunes, est accompagné par de nombreux bénévoles, chefs d’Entreprise, experts et par une équipe Les Entrep’. Conçu par l’Association nationale ‘Les Entrepreneuriales’, le programme est activement soutenu par Réseau Entreprendre Rhône Durance et le CJD Vaucluse, co-fondateurs de l’antenne Vauclusienne. Antoine Morvan, Société Ikone, est le parrain de la promo 2021.


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Selon les diverses estimations, il y aurait actuellement entre 30 et 80 milliards d’objets connectés dans le monde. Télévisions, montres, enceintes intelligentes, électroménager et autres trackers, l’Internet des objets a envahi le quotidien de nombreux Français ces dernières années. En 2019, près de 40 % possédaient déjà au moins un appareil connecté et la taille du marché national était de plus de 1,6 milliard d’euros, selon les derniers chiffres de GfK.

Et avec l’engouement des Français pour l’équipement électronique en 2020, il ne fait presque aucun doute que le marché de l’IoT grand public a pu poursuivre sa croissance l’an dernier. La catégorie « Smart Home », c’est à dire l’équipement domotique connecté, représente un peu plus de la moitié du chiffre d’affaires de ce marché, suivi des wearables – les montres, bracelets et autres accessoires connectés – qui apportent près du tiers des revenus.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


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Le déploiement des réseaux de fibre optique (FTTH) constitue un enjeu clé du développement numérique des territoires, visant notamment à généraliser l’accès de tous – particuliers comme entreprises – aux usages liés au très haut débit. Comme le montrent les données publiées par l’OCDE, le déploiement de cette technologie reste très inégal entre les pays membres de l’organisation économique.

La Corée du Sud et le Japon sont actuellement les mieux équipés, puisque la fibre optique représente plus de 80 % des connexions Internet fixe haut débit dans ces deux pays asiatiques. Le continent européen est également plutôt bien avancé dans le déploiement de ce nouveau réseau. La Suède et l’Espagne se classent, entre autres, parmi les pays d’Europe où la part de la fibre est la plus élevée : autour de 70 % des connexions haut débit (c’est la Lituanie qui est en tête avec 75 %).

Quant à la France, notre graphique montre qu’elle a su rattraper son retard ces dernières années. Bien que le déploiement reste disparate dans l’Hexagone, ce dernier n’en est pas moins rapide : la part de la fibre dans les connexions haut débit est ainsi passée d’environ 4 % en 2015 à près de 28 % en 2020. La France se situe désormais juste en dessous de la moyenne des 37 pays de l’OCDE (29 %). À l’opposé de l’échelle, l’Allemagne (moins de 5 %) et le Royaume-Uni (environ 4 %) font partie des pays qui sont les plus à la traîne dans le développement de cette technologie.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


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De Pertuis au sol martien, l’entreprise Winlight System participe à l’aventure de la sonde Perseverance qui vient de se poser avec succès sur la surface de la planète rouge. Objectif : trouver des traces de vie.

Un petit bout de Vaucluse a donc atterri sur Mars hier soir à 21h 55 GMT au terme d’un voyage de plus de 470 millions de kilomètres. Un périple interplanétaire qui a débuté le 30 juillet 2020 sur la base de la Nasa (National aeronautics and space administration) à Cap Canaveral en Floride.
Désormais posé sur le cratère Jezero, le rover motorisé Perseverance va ainsi pouvoir entamer sa mission d’environ 687 jours visant à collecter, conditionner et stocker des échantillons du sol et des roches, afin d’en analyser la composition chimique et minéralogique. Ces prélèvements permettront d’étudier la diversité géologique sur Mars pour y déceler des traces de vie microbiennes actives, dormantes ou passées, une fois renvoyés sur Terre à l’horizon 2030.

Première collaboration avec la Nasa en 2012
Winlight System est une pépite de 48 salariés, composée pour une moitié d’ingénieurs et pour l’autre d’artisans d’excellence qui polissent des miroirs high-tech). Elle est spécialisée en systèmes optiques à haute performance comme des instruments scientifiques pour le site Iter aux confins du Vaucluse et des Alpes-de-Haute-Provence, pour des grands télescopes installés au Chili ou encore pour des fours solaires.

«C’est carrément ‘l’œil du robot’.»

« Nous avions déjà participé à une 1re mission pour un robot de la Nasa en 2012. Cette fois, nos équipes ont mis au point, conçu et réalisé pour le rover Perseverance un miroir de 140mm de diamètre ‘asphérique’, c’est à dire à surface courbe et aplatie » explique Franck Fervel, directeur général adjoint de la PME de Pertuis fondée en 2001 (7M€ de chiffre d’affaires en 2020) et aujourd’hui filiale depuis 2017 de Bertin Technologies appartenant pour sa part au groupe CNIM (Constructions navales et industrielles de la Méditerranée).

De la taille d’une voiture, ce rover nouvelle-génération à six roues est équipé d’outils de forage, de caméras, de microphones, ainsi que de nombreux instruments d’analyse dont ‘Supercam’ destiné à déceler des traces de vie microbienne. rouge. Supercam est le fruit d’un partenariat franco-américain entre LANL (Los Alamos national laboratory aux Etats-Unis) et un consortium de laboratoires français sous la direction scientifique de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap). Composée d’un laser, de trois spectromètres et de capteurs acoustiques, cette caméra haute-résolution compte deux miroirs en aluminium conçus par Winlight System.

Trouver des traces de vie
« Ce miroir est installé au-dessus des 6 roues de l’engin, c’est carrément ‘l’œil du robot’. Il permet, en focalisant au maximum les rayons lumineux sur la roche rouge de Mars, d’analyser la lumière et de savoir s’il y a des traces de vie », poursuit-il. D’après les scientifiques, le cratère de Jezero où a atterri la sonde hier soir était un lac de 50km de circonférence il y a 3,5 milliards d’années. « Le but de la mission est donc de trouver des fossiles et de déceler des éléments biologiques microscopiques pour décrypter ce qui s’est passé sur cette terre » ajoute Franck Fervel.

Retrouvez ci-dessous l’atterrissage de Perseverance (à partir de 2h16)

https://echodumardi.com/tag/innovation/page/9/   1/1