Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Au cours du mois de décembre, le club Rotary de Gordes a remis un don de 10 000 € à l’association Vaincre la maladie des os de verre. Ce don a pu être réalisé grâce aux gains d’un concert organisé le 21 juillet dernier par le club Rotary de Gordes au Théâtre des Terrasses, durant lequel le public a pu écouter la soprano Aurélie Jarjaye interpréter des chansons de Barbara.
L’association Vaincre la maladie des os de verre fondée et présidée par Anne Morand, a pour projet de former des kinésithérapeutes à la prise en charge des patients atteints de cette maladie génétique rare, l’ostéogenèse, qui touche 6 à 8 000 personnes.
V.A.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
C’est dans le cadre des artistes qu’il promeut que François Cance, président d’Artothèque m’emmène dans la campagne luberonnaise. On y tâtonne, cherchant quelques repères dans une garrigue habitée de discrètes demeures. Dans cet endroit, la meilleure façon d’y trouver une improbable adresse est de s’y perdre.C’est là que nous rencontrons Patrick di Meglio, homme de presse devenu homme de plume. Tout un symbole.
Car sa carrière commence, véritablement, aux côtés de Jean-François Kahn, alors qu’il fonde l’Evènement du jeudi (1984). Ça tombe bien car Patrick di Meglio est un œil –terme utilisé pour évoquer une vraie sensibilité à l’univers graphique, à l’équilibre entre le texte et l’image, aux formes et aux couleurs-. Il sera co-fondateur de l’hebdomadaire et son directeur artistique durant 10 ans. Il dirige aussi ‘Paroles et musique’ et ‘Sciences et technologies’… Avant de rejoindre Christine Ockrent à l’Express, puis part pour de nouvelles aventures avec son toujours complice Jean-François Kahn, alors en pleine création de ‘Marianne’ en 1996.
Patrick di Meglio travaille la plume ‘un condensé d’ingénierie aéronautique d’une grande solidité et d’un graphisme absolu’ Copyright Mireille Hurlin
Ce que veut dire di Meglio, en Italien ? « Le meilleur ou celui du milieu. Je ne suis ni l’un ni l’autre ». « Cependant, une plume pour la presse ? Cela interpelle, comment a commencé l’aventure ? » « J’avais arrêté la presse, alors je me suis remémoré mes désirs d’adolescent. J’étais attiré par les arts graphiques qui m’avaient mené à la presse, et avais laissé de côté les arts de la table, qui m’avaient ému. Durant un an, j’ai donc suivi cette seconde formation : cuisine, pâtisserie et œnologie. Objectif ? Racheter un hameau abandonné datant de 1 800, à Viels, où absolument tout était à refaire. Domaine que nous avons transformé, mon épouse Valérie et moi, en hôtel 3 étoiles et restaurant. C’était vraiment un lieu atypique. Ça a été une année de travail et de bonheur, de rénovation et de restauration.»
«Nous avons revendu l’affaire et nous sommes installés à Nantes, au moment où la ville explosait, sur le plan culturel et architectural. C’est là que j’ai été approché par NCN Informations qui dirigeait une centaine de journaux en France. Il s’agissait de presse territoriale : Communes, Régions, Départements. J’ai travaillé à la conception de nouveaux journaux, conçu des maquettes, de nouvelles mises en page et voyagé au gré des rédactions. Mon métier restait le même, traduire graphiquement le texte, savoir de quoi l’on parlait et à qui l’on s’adressait. C’était à la fois technique et artistique. L’aventure s’est étendue sur 10 ans. Puis j’ai décidé de changer de vie. Nous avons quitté Nantes pour vivre à Albi où nous avons acquis une bastide de 100 m2 dans laquelle régnait une lumière incroyable. Nous étions face à la cathédrale.»
Les rachis de plume, une matière légère, entrelacée, que la lumière fait se mouvoir Copyright Mireille Hurlin
«Désormais nous vivons à Gordes. Où je me laisse aller à ce que je suis vraiment, un artiste, car on ne devient par artiste, on naît artiste. Mes parents étaient droguistes. Je me souviens avoir été happé au fond du magasin où étaient stockés des futs de poudre de toutes les couleurs que l’on mélangeait à la chaux pour faire des enduits. Mes parents tremblaient d’y découvrir mes mélanges qui rendaient impropres à la vente les fûts que mes mains avaient visité. Je me rappelle aussi des sons produits par les bouteilles de gaz vides sur lesquelles je frappais avec une baguette pour en extraire d’étonnantes mélodies. J’ai toujours été attiré par le milieu artistique : musique, danse… Je trainais dans les coulisses de théâtre. J’aurais adorer devenir décorateur de théâtre… La vie est trop courte pour tout explorer.»
Comment l’on passe à la plume ? «Je ramasse les miennes sur la plage et mes amis font de même. Je travaille sur de longs rachis (partie centrale et solide de la plume) –le plus long est celui du paon ou de certains faisans- et les dégarnis de leur barbes et duvets, pour ne conserver que l’arête centrale, le rachis.
Patrick di Meglio a foré 150 trous pour cette plaque d’ardoise traversée de plumes. A chaque fois qu’il entamait les derniers trous, la plaque d’ardoise cédait, irrémédiablement fissurée puis brisée. Il a dû répéter ce travail titanesque plusieurs fois avant d’y parvenir enfin. Copyright Mireille Hurlin
«Comment en suis-je venu là ? J’aime les accumulations. C’est une collègue de l’événement du Jeudi qui, venant d’acheter une maison en région parisienne me demandait des idées de déco. Or, une malle de l’ancien propriétaire était restée dans un appentis au fond du jardin. Elle m’indique d’y aller et j’y découvre des centaines de fagots de plumes d’ailes calibrées et ficelées en parfait état de deux oiseaux : des cigognes et des buses. Je n’ai pas su –je cherche depuis 30 ans- à quoi pouvait servir ce travail si méticuleux et précieux.»
«Puis j’ai oublié la caisse, et un jour, en la rouvrant, dans notre cave à Nantes, je me suis aperçu que les plumes avaient étaient rongées par les mites. J’ai enlevé les bardes, poncé les rachis, -dont je retrouvais la ligne graphique magnifique- puis les ai assemblés les uns aux autres pour en faire des formes, ensuite reliées par des fils, ce qui constitue un mouvement, sur un fond d’où la lumière pénètre et rend vivante la forme. Je me suis mis à envisager inconsciemment des figures, souvent proches du cercle, d’une nuée. Je ne sais pas ce que cela veut dire.»
Patrick di Meglio mime l’arrachage de clous d’une très ancienne poutre devant cette toile tendue qu’il a réalisée avec la rouille de clous forgés. L’ensemble semble former une écriture que l’on aurait pu imaginer hébraïque Copyright Mireille Hurlin
«Ce que cela représente pour moi ? Il faut trouver les plumes, retirer les barbes, poncer, couper. Cela représente beaucoup de sérénité, c’est comme un travail méditatif. Je me sens bien. Pour la création, c’est la plume qui me dirige. Je travaille à plat pour ensuite présenter le travail verticalement. C’est là que je me rends compte du rythme et de l’émotion présente. Si je n’ai pas approché le mouvement voulu, je dois tout recommencer. C’est aussi là que mon épouse, Valérie, intervient. Elle a l’ œil absolu et décrypte en un rien de temps ce qui fonctionne de ce qui n’opère pas. Parfois il faut ajuster un ou deux éléments, parfois il faut tout défaire et refaire.»
«En arrivant dans la bastide d’Albi je me suis mis à beaucoup bricoler. J’ai, ainsi, retiré, au pied de biche, les clous forgés d’une très belle poutre sur laquelle reposait un plancher. J’ai déposé un à un les clous sur la toile, en les vaporisant de vinaigre blanc afin que la rouille s’y dépose. Au bout d’un mois, l’œuvre s’était dessinée seule. J’ai conservé tous ces clous forgés un à un par un forgeron de temps très anciens.»
Quand le hasard se fait art. C’est en allant à la déchetterie que Patrick di Miglio a trouvé cette œuvre, qu’il n’a pas retouchée. Copyright Mireille Hurlin
«Comment me fais-je connaître ? par le circuit classique : exposition, émissions, articles. Je suis le plus heureux des hommes lorsque je réussis à me faire connaître, à vendre, mais il n’y a pas cet enjeu financier d’un artiste qui a investi et tremble de vivre de son travail, même si je suis en même temps très fier et respectueux lorsque cela se produit.»
Patrick di Meglio, artiste plasticien sera présent lors de l’assemblée générale d’Artothèque qui a lieu ce jeudi 26 octobre à partir de 17h pour une visite de la collection de la Fondation Blachère puis l’Assemblée générale à 18h30 au café de la gare à Bonnieux. Le courriel de l’artiste : dimeglio44@orange.fr
Patrick di Meglio et François Cance dans le mas de l’artiste plasticien à Gordes, Copyright Mireille Hurlin
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Hier, lundi 25 septembre, les services de déminage de la préfecture de Vaucluse sont intervenus sur la commune de Gordes. Appuyés par les gendarmes de la compagnie de Pertuis, dont un militaire formé Reco Nedex (Reconnaissance neutralisation, enlèvement, destruction des explosifs), les démineurs ont opéré chez un ancien artificier travaillant dans les BTP. Ce dernier avait entreposé plus de 1000 détonateurs et une cinquantaine de pains d’explosifs de nitrate d’ammonium.
« La destruction des explosifs a pu être entendue à plusieurs kilomètres. »
« Si ces matériaux étaient stockés en sécurité, séparant détonateurs des charges explosives, et en raison de leur ancienneté, ils devaient être détruits, explique la gendarmerie de Vaucluse. Devant la quantité importante de détonateurs, une destruction sur place s’est révélée nécessaire. Les démineurs ont donc procédé à la mise à feu en sécurité des détonateurs, qui a pu être entendue à plusieurs kilomètres. Les explosifs ont, eux, été incinérés comme le veut la procédure. »
L.G.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Ce vendredi 15 septembre, la commune de Gordes va accueillir un spectacle mêlant sons et lumières intitulé ‘La déesse de Gordes’ retraçant l’histoire de la commune du Luberon grâce à un vidéomapping projeté sur le Château. Initié par la mairie de Gordes, cet événement fera également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes diffusée sur France 3.
Le collectif Luminagora, qui a pour objectif la valorisation du patrimoine en projection monumentale et par le spectacle vivant, va illuminer le Château de Gordes avec le spectacle ‘La Déesse de Gordes’ ce vendredi 15 septembre à 22h. Trois vidéo projecteurs et deux projecteurs laser seront installés pour mettre en lumière une des façades du Château.
Le spectacle retracera 2000 ans de la commune avec l’animation d’archives (tableaux, fresques, documents anciens), couplée à la création de visuels autour des celtes, des romains, des rois, des barons, des marquis et autres comtes de Provence, des temps modernes et du protestantisme, mais aussi des artistes qui sont passés par Gordes. L’eau et la nature, deux thématiques importantes en Provence et pour la commune, seront aussi évoqués, sans oublier les valeurs de la Provence, sa langue, son folklore, et son artisanat. La création de ce spectacle a pu être possible grâce aux financements de la mairie de Gordes, à Luminagora, mais aussi grâce à la participation des associations, historiens, ou encore artistes de Gordes, ainsi que celle des acteurs du tourisme locaux comme Destination Luberon. Un événement organisé dans le cadre de la 2e édition de la fête annuelle de l’Amitié créé par la municipalité.
Cet événement va également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes, consacrée au patrimoine, à l’histoire et à la connaissance, et diffusée sur France 3, la chaîne télévisée souhaitant réaliser un reportage sur un village autour de la mise en place d’un spectacle historique qui met en valeur le patrimoine.
Le spectacle débutera à 22h et non 21h30.
Vendredi 15 septembre. 22h. Château de Gordes.
Exemple de ce que fait Luminagora.
V.A.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Pour anticiper la période de fin d’année, la Poste recrute 50 facteurs et factrices dans la Vaucluse.
La Poste recrute et forme 50 facteurs et factrices dans le Vaucluse sur les secteurs de Pernes les Fontaines, Cavaillon, Vedène, Apt, Gordes, Valréas et Pertuis pour anticiper le rush de fin d’année.
Pour postuler, il faut avoir plus de 18 ans et le permis B. Aucun diplôme n’est requis.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Le sur-tourisme, c’est la nouvelle expression crée pour désigner les situations où trop de touristes se trouvent au même endroit au même moment. Ce phénomène est mondial. Il est également observable sur plusieurs sites du Vaucluse. Faudra-t-il bientôt aussi réguler les flux de visiteurs et limiter l’accès de quelques-unes de nos pépites touristiques ?
« On est plus chez soi », c’est la première réaction des autochtones qui se sentent envahis, comme dépossédés. Ce sont les premières victimes de ces zones sur fréquentées. L’idée de vivre au cœur d’un parc d’attraction et de faire partie intégrante des curiosités à y découvrir n’est pas forcément réjouissant. Reconnaissons que le quotidien de ces indigènes peut vite devenir compliqué et pénible. Ensuite, ces flux de population, pas toujours très disciplinés, que certains n’hésiteront pas à qualifier de hordes touristiques, peuvent provoquer des dégradations des lieux ou de leur environnement. Ça c’est cadeau !
Les « toutouristes » comme les appellent, dans leur jargon les professionnels du tourisme.
Dans le Luberon, Gordes est, en été, dans une situation de sur fréquentation qui n’est pas sans poser beaucoup de difficultés pour un village pas vraiment conçu pour recevoir tous ces visiteurs. Surtout que ces derniers ont la fâcheuse tendance à vouloir tous faire les mêmes choses. Les « toutouristes » comme les appellent, dans leur jargon les professionnels du tourisme. Beaucoup d’entre eux ont fait des milliers de kilomètres pour découvrir ce site remarquable, qu’ils en soient d’abord remercié. C’est aussi une liberté qui leur est offerte de venir et il est essentiel, à mon sens de la préserver.
La mère Poulard viendrait s’installer à Gordes et proposerait des omelettes au pistou.
Mais papatra, le magazine américain Travel + Leisure a élu, en ce début d’été, Gordes « le plus beau village du monde » (lire ici). Pas moins que cela. On imagine les compteurs de la fréquentation qui s’affolent et montent en régime. D’ici que notre village ressemble au Mont Saint-Michel avec ses 2,8 millions de visiteurs annuels, il n’y a pas loin. Mis à part que la mer est assez éloignée de Gordes, les deux sites présentent quelques similitudes intéressantes. Ainsi, la mère Poulard pourrait venir s’y installer et proposer des omelettes au pistou.
Pourquoi toujours contraindre plutôt qu’inciter ?
Bien sûr le tourisme est essentiel à l’activité économique du département. Ce secteur est un pourvoyeur important d’emplois, même si, aujourd’hui l’offre est supérieure à la demande. On ne va quand même pas cracher dans la soupe au pistou. Mais, doit-on pour autant réguler l’accès à certains sites comme le réclame certains professionnels conscients que le sur-tourisme peut nuire au tourisme. De leur côté les élus sont pris entre deux logiques avec d’un côté des retombées économiques indispensables et de l’autre la protection des lieux et de la tranquillité de ceux qui y vivent. Alors plutôt que réguler l’accès ne pourrait-on pas inviter tous ces touristes à venir à d’autres moments de l’année et surtout ne pas se concentrer sur les mêmes lieux (les richesses sont nombreuses) ? Pourquoi toujours contraindre plutôt qu’inciter ?
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Le club Rotary de Gordes organise un concert avec la soprano Aurélie Jarjaye ce vendredi 21 juillet au Théâtre des Terrasses à Gordes, dont les bénéfices seront reversés à l’association Vaincre la maladie des os de verre.
Pour l’occasion, la chanteuse lyrique, originaire d’Orange, sortira de son répertoire habituelle et proposera une interprétation des chansons de Barbara. Elle sera accompagnée au piano par Mathieu Picard, professeur au Conservatoire de Paris.
Lors de cette soirée, le public pourra non seulement profiter d’une vue imprenables sur les plaines de Gordes, mais aussi découvrir la musique d’une autre manière grâce à l’intervention d’Etienne Kippelen, musicologue et maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille.
Les profits de cet événement seront reversés à l’association Vaincre la maladie des os de verre qui a pour projet de former des kinésithérapeutes à la prise en charge des patients atteints de cette maladie rare. La place est au prix de 20€ et est en vente à l’office de tourisme de Gordes ou sur le site de Destination Luberon.
V.A.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
Ce vendredi 7 juillet, Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf, devait animer la conférence ‘Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ?’ à l’espace Simiane à Gordes à 18h30.
Le Rotary club de Gordes fait un don à l’association ‘Vaincre la maladie des os de verre’
De nombreux évènements vont ponctuer le mois de juillet à Gordes.
[CONFÉRENCE ANNULÉE]Vendredi 7 juillet – Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ? Conférence culturelle organisée par la commune de Gordes avec Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf. 18h30 à l’Espace Simiane (entrée libre).
Mercredi 12 juillet – Une heure de philosophie avec un mec qui ne sait pas grand-chose… Spectacle d’humour tout public qui vulgarise la philosophie dans le cadre du festival Off les murs. 21h30 au Théâtre des Terrasses (billetterie sur place chèque/espèces).
Jeudi 13 juillet – La princesse au petit pois Spectacle de la compagnie Les Croqueurs dans le cadre du festival Off les murs. 18h30 à la salle des fêtes (billetterie sur place).
Vendredi 14 juillet – Bal du 14 juillet avec le groupe Millenium 21h30 sur la place du château.
Vendredi 21 juillet – Concert Barbara Concert caritatif au profit de l’association Vmov (vaincre la maladie des os de verre) d’Aurélie Jarjaye, chanteuse soprano, accompagnée de Mathieu Picard, pianiste et d’Etienne Kippelen, musicologue. 21h au Théâtre des Terrasses (entrée 20€ – réservation au 07 84 65 86 97).
Mercredi 26 juillet – La Perruche La troupe de théâtre du Foyer rural de Gordes présente « La Perruche », une pièce d’Audrey Schebat, mise en scène par Sylvie Gaulis. 20h au Théâtre des Terrasses (entrée 10€ – gratuit pour les moins de 18 ans).
Jeudi 27 juillet – Minuit 57 Le Foyer rural de Gordes présente une pièce écrite et mise en scène par la Compagnie JAAJ. 20h30 au Théâtre des Terrasses (entrée 8€ – gratuit pour les moins de 18 ans).