Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Ce vendredi 15 septembre, la commune de Gordes va accueillir un spectacle mêlant sons et lumières intitulé ‘La déesse de Gordes’ retraçant l’histoire de la commune du Luberon grâce à un vidéomapping projeté sur le Château. Initié par la mairie de Gordes, cet événement fera également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes diffusée sur France 3.
Le collectif Luminagora, qui a pour objectif la valorisation du patrimoine en projection monumentale et par le spectacle vivant, va illuminer le Château de Gordes avec le spectacle ‘La Déesse de Gordes’ ce vendredi 15 septembre à 22h. Trois vidéo projecteurs et deux projecteurs laser seront installés pour mettre en lumière une des façades du Château.
Le spectacle retracera 2000 ans de la commune avec l’animation d’archives (tableaux, fresques, documents anciens), couplée à la création de visuels autour des celtes, des romains, des rois, des barons, des marquis et autres comtes de Provence, des temps modernes et du protestantisme, mais aussi des artistes qui sont passés par Gordes. L’eau et la nature, deux thématiques importantes en Provence et pour la commune, seront aussi évoqués, sans oublier les valeurs de la Provence, sa langue, son folklore, et son artisanat. La création de ce spectacle a pu être possible grâce aux financements de la mairie de Gordes, à Luminagora, mais aussi grâce à la participation des associations, historiens, ou encore artistes de Gordes, ainsi que celle des acteurs du tourisme locaux comme Destination Luberon. Un événement organisé dans le cadre de la 2e édition de la fête annuelle de l’Amitié créé par la municipalité.
Cet événement va également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes, consacrée au patrimoine, à l’histoire et à la connaissance, et diffusée sur France 3, la chaîne télévisée souhaitant réaliser un reportage sur un village autour de la mise en place d’un spectacle historique qui met en valeur le patrimoine.
Vendredi 15 septembre. 22h. Château de Gordes.
V.A.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Pour anticiper la période de fin d’année, la Poste recrute 50 facteurs et factrices dans la Vaucluse.
La Poste recrute et forme 50 facteurs et factrices dans le Vaucluse sur les secteurs de Pernes les Fontaines, Cavaillon, Vedène, Apt, Gordes, Valréas et Pertuis pour anticiper le rush de fin d’année.
Pour postuler, il faut avoir plus de 18 ans et le permis B. Aucun diplôme n’est requis.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Le sur-tourisme, c’est la nouvelle expression crée pour désigner les situations où trop de touristes se trouvent au même endroit au même moment. Ce phénomène est mondial. Il est également observable sur plusieurs sites du Vaucluse. Faudra-t-il bientôt aussi réguler les flux de visiteurs et limiter l’accès de quelques-unes de nos pépites touristiques ?
« On est plus chez soi », c’est la première réaction des autochtones qui se sentent envahis, comme dépossédés. Ce sont les premières victimes de ces zones sur fréquentées. L’idée de vivre au cœur d’un parc d’attraction et de faire partie intégrante des curiosités à y découvrir n’est pas forcément réjouissant. Reconnaissons que le quotidien de ces indigènes peut vite devenir compliqué et pénible. Ensuite, ces flux de population, pas toujours très disciplinés, que certains n’hésiteront pas à qualifier de hordes touristiques, peuvent provoquer des dégradations des lieux ou de leur environnement. Ça c’est cadeau !
Dans le Luberon, Gordes est, en été, dans une situation de sur fréquentation qui n’est pas sans poser beaucoup de difficultés pour un village pas vraiment conçu pour recevoir tous ces visiteurs. Surtout que ces derniers ont la fâcheuse tendance à vouloir tous faire les mêmes choses. Les « toutouristes » comme les appellent, dans leur jargon les professionnels du tourisme. Beaucoup d’entre eux ont fait des milliers de kilomètres pour découvrir ce site remarquable, qu’ils en soient d’abord remercié. C’est aussi une liberté qui leur est offerte de venir et il est essentiel, à mon sens de la préserver.
Mais papatra, le magazine américain Travel + Leisure a élu, en ce début d’été, Gordes « le plus beau village du monde » (lire ici). Pas moins que cela. On imagine les compteurs de la fréquentation qui s’affolent et montent en régime. D’ici que notre village ressemble au Mont Saint-Michel avec ses 2,8 millions de visiteurs annuels, il n’y a pas loin. Mis à part que la mer est assez éloignée de Gordes, les deux sites présentent quelques similitudes intéressantes. Ainsi, la mère Poulard pourrait venir s’y installer et proposer des omelettes au pistou.
Bien sûr le tourisme est essentiel à l’activité économique du département. Ce secteur est un pourvoyeur important d’emplois, même si, aujourd’hui l’offre est supérieure à la demande. On ne va quand même pas cracher dans la soupe au pistou. Mais, doit-on pour autant réguler l’accès à certains sites comme le réclame certains professionnels conscients que le sur-tourisme peut nuire au tourisme. De leur côté les élus sont pris entre deux logiques avec d’un côté des retombées économiques indispensables et de l’autre la protection des lieux et de la tranquillité de ceux qui y vivent. Alors plutôt que réguler l’accès ne pourrait-on pas inviter tous ces touristes à venir à d’autres moments de l’année et surtout ne pas se concentrer sur les mêmes lieux (les richesses sont nombreuses) ? Pourquoi toujours contraindre plutôt qu’inciter ?
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Le club Rotary de Gordes organise un concert avec la soprano Aurélie Jarjaye ce vendredi 21 juillet au Théâtre des Terrasses à Gordes, dont les bénéfices seront reversés à l’association Vaincre la maladie des os de verre.
Pour l’occasion, la chanteuse lyrique, originaire d’Orange, sortira de son répertoire habituelle et proposera une interprétation des chansons de Barbara. Elle sera accompagnée au piano par Mathieu Picard, professeur au Conservatoire de Paris.
Lors de cette soirée, le public pourra non seulement profiter d’une vue imprenables sur les plaines de Gordes, mais aussi découvrir la musique d’une autre manière grâce à l’intervention d’Etienne Kippelen, musicologue et maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille.
Les profits de cet événement seront reversés à l’association Vaincre la maladie des os de verre qui a pour projet de former des kinésithérapeutes à la prise en charge des patients atteints de cette maladie rare. La place est au prix de 20€ et est en vente à l’office de tourisme de Gordes ou sur le site de Destination Luberon.
V.A.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Ce vendredi 7 juillet, Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf, devait animer la conférence ‘Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ?’ à l’espace Simiane à Gordes à 18h30.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
De nombreux évènements vont ponctuer le mois de juillet à Gordes.
[CONFÉRENCE ANNULÉE]Vendredi 7 juillet – Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ? Conférence culturelle organisée par la commune de Gordes avec Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf. 18h30 à l’Espace Simiane (entrée libre).
Mercredi 12 juillet – Une heure de philosophie avec un mec qui ne sait pas grand-chose… Spectacle d’humour tout public qui vulgarise la philosophie dans le cadre du festival Off les murs. 21h30 au Théâtre des Terrasses (billetterie sur place chèque/espèces).
Jeudi 13 juillet – La princesse au petit pois Spectacle de la compagnie Les Croqueurs dans le cadre du festival Off les murs. 18h30 à la salle des fêtes (billetterie sur place).
Vendredi 14 juillet – Bal du 14 juillet avec le groupe Millenium 21h30 sur la place du château.
Vendredi 21 juillet – Concert Barbara Concert caritatif au profit de l’association Vmov (vaincre la maladie des os de verre) d’Aurélie Jarjaye, chanteuse soprano, accompagnée de Mathieu Picard, pianiste et d’Etienne Kippelen, musicologue. 21h au Théâtre des Terrasses (entrée 20€ – réservation au 07 84 65 86 97).
Mercredi 26 juillet – La Perruche La troupe de théâtre du Foyer rural de Gordes présente « La Perruche », une pièce d’Audrey Schebat, mise en scène par Sylvie Gaulis. 20h au Théâtre des Terrasses (entrée 10€ – gratuit pour les moins de 18 ans).
Jeudi 27 juillet – Minuit 57 Le Foyer rural de Gordes présente une pièce écrite et mise en scène par la Compagnie JAAJ. 20h30 au Théâtre des Terrasses (entrée 8€ – gratuit pour les moins de 18 ans).
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
En 2018, Vélo Loisir Provence a lancé un projet ambitieux visant à étudier une nouvelle offre d’itinéraire autour de Gordes venant compléter le maillage existant sur la destination ‘Luberon à vélo’. L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ voit enfin le jour, grâce au programme de financement Espaces Valléens.
Porté par la Communauté de Communes Pays d’Apt Luberon, en partenariat avec l’office de tourisme intercommunal Destination Luberon, l’itinéraire ‘Gordes à vélo’ vient s’ajouter aux sept itinéraires structurants de ‘Luberon à vélo’ : ‘Les Ocres à vélo’, ‘Autour de l’Isle sur la Sorgue’, ‘Forcalquier – Lure à vélo’, ‘Le Pays d’Aigues à vélo’, ‘Autour du Luberon à vélo’, la Véloroute du Calavon’, et ‘La Méditerranée à vélo’.
Ce nouvel itinéraire vous emmène sur de petites routes de campagne, entre lavandes et vergers en fleurs à la rencontre de paysages et villages de caractère. Au détour des murs de pierres sèches et des moulins, il permet la découverte du patrimoine provençal.
12 communes
L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ permet la traversée et la découverte de 12 communes du Nord-Ouest du Luberon : Saint-Pantaléon, Joucas, Murs, Gordes (par l’Abbaye de Sénanque), Cabrières d’Avignon, Lagnes, Robion, Maubec, Oppède le Vieux, Ménerbes, Les Beaumettes et Goult. ‘Gordes à vélo’ rejoint l’itinéraire ‘Les Ocres à vélo’, qui a fait l’objet d’une refonte récemment, mais aussi la Véloroute du Calavon, ‘La Méditerranée à vélo’ et la Via Venaissia.
L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ est balisé dans les deux sens et porte le numéro 33. L’itinéraire propose un parcours entre 14 km et 69 km, à savoir entre 1h15 et 6h30, avec 1100 m de dénivelé.
Près de 700 km d’itinéraires
En additionnant tous les itinéraires proposés par Vélo Loisir Provence, ce sont près de 700 km d’itinéraires qui sont balisés, ce qui permet une autonomie totale pour découvrir le Luberon. L’association conseille de choisir un vélo VTC pour les itinéraires sur route.
En plus de l’itinéraire ‘Gordes à vélo’, il y a également ‘Les Ocres à vélo’ qui fait 15 km à 68 km, soit entre 2h et 5h, ‘Autour de l’Isle sur la Sorgue’ qui fait 16 km à 76 km, soit entre 1h30 et 7h, ‘Forcalquier – Lure à vélo’ qui fait 38 km à 94km, soit entre 4h et 8h, ‘Le Pays d’Aigues à vélo’ qui fait 41 km à 91 km, soit entre 3h et 7h, et l’itinéraire ‘Autour du Luberon à vélo’ qui lui fait 240 km, et qui prend 2 à 7 jours.
V.A.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
La Poste met le département de Vaucluse à l’honneur avec une collection de timbres représentant le patrimoine du territoire. Le Parc naturel régional du Mont-Ventoux se dote donc d’un collector de huit timbres. Mais ce n’est pas le seul. L’Abbaye de Sénanque, elle aussi, a le droit à un timbre à son effigie. De quoi ravir les collectionneurs, et les amoureux du Vaucluse.
Depuis le 26 juin, La Poste propose un timbre de la série touristique sur l’abbaye Notre-Dame de Sénanque. Dessus, on y aperçoit l’édifice, entouré de son célèbre champ de lavandes. C’est le premier timbre dédié à ce monument historique. Sa particularité, c’est son odeur, puisqu’il est parfumé à la lavande. Rien qu’en le regardant et en le sentant, on se croirait presque physique à Gordes, devant l’Abbaye.
Le visuel du timbre a été créé par Stéphane Levallois et mise en page par Emmanuel Vedrenne, d’après-photo de Pierre-Yves Rinquin. Il est au prix de 1,16€ et est vendu sur le site de La Poste, dans certains bureaux de poste, et dans la boutique Le Carré d’Encre à Paris.
Plus au Nord du Vaucluse, le Mont Ventoux, lui aussi est représenté sur un timbre, aux côtés d’autres lieux emblématiques du département tels que le Pont Saint Bénézet, la vallée du Toulourenc, ou encore les champs de lavandes de Sault. Créé à l’initiative du Parc naturel régional du Mont-Ventoux par La Poste, le collector composé de huit timbres est édité à 5000 exemplaires et est vendu depuis le 26 juin ans les bureaux de poste et les ‘Espaces Clients Pro’ de Vaucluse pour le prix de 13€.
Les photographies sur les timbres sont issues du travail de photographes locaux, Pascal Arvicus, Michèle Bertier, Christophe Constant, Alain Hocquel, et Vincent Thomann, mais aussi d’une photographe belge, Marie-Pascale Vandewalle.
V.A.
Le collectif Luminagora va illuminer le patrimoine de Gordes
Avant lui, son grand-père Joseph, architecte à Marseille, fait construire une maison de famille dans le village perché de Gordes, refuge des peintres Chagall et Vasarely. Puis son père, notaire, Christian-Jacques y crée la 1ère agence immobilière. Et en 2008 Jean-Christophe Rosier et son frère Jean-Marc reprennent le flambeau.
Avant d’en arriver là, Jean-Christophe, grandit dans le Vaucluse, va au lycée de Carpentras, puis décroche un diplôme de l’Ecole de commerce d’Aix-en-Provence, un « B.A. » (Bachelor of Arts) en Grande Bretagne et s’envole pour l’Amérique. Il travaille pour le prêt à porter (Guess) en Californie puis se tourne vers le métier de diamataire à New-York, « la capitale du monde » dit-il avec un large sourire.
Entre les attentats des tours jumelles du World Trade Center à Manhattan le 11 septembre 2001 et les affaires de bio-terrorisme à l’anthrax, des enveloppes contaminées au bacille de charbon, ses parents prennent peur et demandent à Jean-Christophe de rentrer en France. Après quelques années passés aux côtés de son père, il prend les commandes (avec son frère Jean-Marc comme associé) et l’agence « Gordes Immobilier », au pied du château, devient sobrement « Rosier ». Sous-titre : Immobilier de qualité depuis 1970 dans le Luberon, le Ventoux, les Alpilles, le Grand Avignon et le Pays d’Aix.
« Rosier, c’est d’abord une histoire d’amour entre une famille et une région » dit Jean-Christophe Rosier. « Après plus de 6 ans passés aux Etats-Unis, avec en poche un master en marketing et commerce international de l’Université de New-York, je suis rentré chez moi. Notre richesse, ici, c’est notre patrimoine provençal, le climat, la lumière, les villages perchés, les restanques de pierre sèche, la lavande, les vergers et les vignobles, les forêts de cèdres, les chênes truffiers et l’huile d’olive. »
Sa 1ère vente : en février 2002, une petite maison à Murs, puis un mas à Gordes (2M€). « Mais la transaction dont je suis le plus fier, c’est « La Bastide de Gordes », devenue un palace 5 étoiles, avec 34 chambres et 6 suites, spa, espace bien-être, terrasses et jardins suspendus ». Les biens qu’il a dans son porte-feuille se retrouvent régulièrement à la une de revues de déco internationales sur papier glacé et dans Côté Sud. Lui qui, au départ voulait devenir pilote de course a gardé cet esprit de compétition, cette rage de vaincre, cette envie de foncer.
Des biens de rêve sont entre ses mains, bastides, châteaux, demeures de prestige, maisons de maîtres, fermes rénovées, bâtisses historiques. A Bonnieux, Ménerbes, Lacoste, Goult, Roussillon, Lourmarin et bien sûr Gordes, élu « plus beau village du monde » par un journal américain, ce qui attire des centaines de milliers de touristes supplémentaires au pays des bories.
« Depuis la crise sanitaire et les confinements, les clients ont changé. Ils sont descendus dans le sud, à la campagne, pour respirer l’air frais, ils se sont rués sur les biens dont le prix a grimpé en flêche. Fini l’achat plaisir, c’est plutôt la financiérisation qui s’est imposée, la spéculation malsaine » regrette Jean-Christophe Rosier. « Les prix aussi, on a les mêmes chiffres, mais avant c’étaient des francs, maintenant ce sont des euros ».
ll poursuit : « En 2019, j’avais 585 biens à la vente, cette année, une centaine en portefeuille. On est passé de l’euphorie, de la frénésie au normal, tout cela est une question de cycles. En 1973, sous Giscard, on a eu la crise du pétrole, en 1981 l’arrivée de la gauche au pouvoir avec Mitterrand, en 91 la Guerre du Golfe, en 2001, les tours jumelles de New-York qui s’effondrent, en 2007 les subprimes et la chute de la banque Lehmann Brothers. Chaque fois, un monde disparaît, un autre naît, l’approche est différente » commente Jean-Christophe Rosier, on d’adapte.
Dans son agence, figure en ce moment un bien hors du commun, une propriété emblématique : une Commanderie des Templiers du XIIème siècle au-dessus de Joucas. Entièrement rénovée au terme de 4 années de travaux pharaoniques, avec 650m2 sur 3 niveaux, ascenseur, air-conditionné, 8 chambres en suites, chapelle, cave, piscine chauffée à débordement (15 x 5m), vision à 360° sur la vallée sans vis-à-vis, entourée de 5 000m2 de végétation arborée. Prix : 12 750 000€.
« Mon slogan c’est ‘L’art de vivre’ avec des annonces sèrieuses, fiables, un immobilier de qualité au coeur du Luberon qui rayonne sur plus d’une centaine de km alentour. J’ai tissé un réseau international aux USA, en Suisse, au Benelux. Après 2 années de folie où nous avons doublé notre chiffre d’affaires, retour au calme et à la normale avec des biens à partir de 500 000 euros ».
Avec son frère et associé, Jean-Christophe Rosier met un point d’honneur à rester indépendant. « Nous avons grandi ici, nous sommes allés à l’école communale de Gordes, notre ancrage local est irremplaçable dans une entreprise familiale avec une équipe soudée et à taille humaine ».