22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

Les forces de l’Ordre sont intervenues aujourd’hui -mercredi 10 août- de 15h30 à 17h30 au carrefour de l’avenue de Cabrières et de la Rocade Charles-de-Gaulle à Avignon, sous le commandement de Jean-Philippe Sannac, commandant fonctionnel, adjoint au chef de service Voie publique d’Avignon et en présence de Christian Guyard, secrétaire général de la Préfecture de Vaucluse. Mission ? Lutter contre le rodéo urbain.

Le bilan
Au bilan de ces deux heures de contrôles ? 76 personnes ont été contrôlées dont 72 véhicules légers et 4 deux-roues. 24 amendes ont été dressées concernant les assurances, permis et plaques, 2 interpellations pour défaut de permis et d’assurance et 2 véhicules mis en fourrière. Le dispositif regroupait 11 policiers, dont deux motards, sous le commandement de Jean-Philippe Sannac qui regroupe toutes les patrouilles civiles et sérigraphiées, c’est-à-dire l’ensemble des policiers de la voie publique. Il est l’adjoint de la commissaire et dirige 184 agents.

Le commandant fonctionnel Voie publique Jean-Philippe Sannac et Christian Guyard, secrétaire général de la Préfecture lors de l’opération Rodéo urbain à la Rocade d’Avignon Copyright Mireille Hurlin

Force publique
Christian Guyard, secrétaire général de la préfecture de Vaucluse a fait le déplacement pour soutenir les policiers : «Plusieurs opérations sont actuellement menées en zones Police et Gendarmerie, sur le Vaucluse, à l’initiative du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, pour lutter contre ce phénomène de rodéo urbain, en écho au drame qui s’est produit en région parisienne. Cependant de nombreuses opérations avaient déjà eu lieu antérieurement.»   

Rodéo à Pontoise, deux enfants de 10 et 11 ans percutés de plein fouet
Deux enfants, une petite fille de 10 et un petit garçon de 11 ans ont été renversés pendant un rodéo urbain vendredi 5 août à 21h30. L’homme de 18 ans en défaut de permis et d’assurance avait pris la fuite avant de se rendre, le lendemain, avec son avocat au commissariat de Cergy-Pontoise. Il habitait le même quartiers que les petites victimes.

Ce qui s’est passé ?
Les deux enfants ont été percutés alors qu’ils jouaient au chat et à la souris dans une cour du quartier des Hautes de Marcouville à Pontoise. Le petit garçon de 11 ans, tout d’abord pris en charge dans un état grave s’en tirera finalement avec une fracture ouverte du tibia-péroné et une amnésie traumatique. Son pronostic vital qui avait été engagé est actuellement stabilisé. La petite fille de 10 ans souffre, elle, d’un important traumatisme crânien opéré samedi dernier et a été placée en coma induit. Son pronostic vital reste engagé. Quant au suspect il a été mis en examen, a été placé en garde à vue puis en détention.

Copyright Mireille Hurlin

Sur place à Avignon
«En Vaucluse et en juillet 82 opérations de contrôles ont eu lieu sur les routes du département, dont 36 spécifiquement sur les deux-roues, a souligné Christian Guyard. Nous allons accentuer ces contrôles sur tout le territoire, pour lutter contre ce phénomène et rassurer nos concitoyens car nous sommes là pour les protéger. Le rodéo urbain doit absolument cesser car il est inadmissible. Les conséquences peuvent être graves pour les personnes qui se prêtent à ce type d’exercices et celles qui se trouvent à proximité.»  

Le rodéo à Avignon ?
«Le rodéo urbain existe sur Avignon et ailleurs, concède Christian Guyard. La Police nationale doit être présente le plus souvent possible avec le soutien de la Police municipale et de la Gendarmerie pour éviter ce phénomène comme sur cet axe : la Rocade Charles-de-Gaulle propice à ce type d’activité. Les villes de Sorgues, Carpentras, Cavaillon et Orange peuvent être potentiellement victimes de ce type de pratique. Nous ne déplorons pas d’accident grave comme ce qui est advenu en région parisienne. Nous sommes là pour que cela ne se produise pas ici.»

Quels recours ?
«En cas de rodéo urbain nous pouvons saisir les véhicules de personnes interpelées. Elles risquent jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende. Actuellement il n’y a pas eu flagrant délit.»

Quelle actualité ?
«Pour le moment le Vaucluse est préservé des feux de forêt, constate Christian Guyard, nous serons très présents lors du festival Insane d’Apt –festival techno, rap, chanson française, électro, trance, hard music- qui accueillera plus de 30 000 personnes. Nous sommes là en zone Gendarmerie qui sera très fortement mobilisée et appuyée par les Forces mobiles. Le maintien de l’ordre public dans une ville comme Apt n’est pas neutre.»

Le briefing pour la mise en place du dispositif Copyright Mireille Hurlin

Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

À compter d’aujourd’hui, le lundi 1er août, le Colonel Cédric Garence succède au Colonel Jean-Christophe Le Neindre en tant que commandant du groupement de gendarmerie départementale de Vaucluse.

Jusqu’alors commandant militaire de l’hôtel de Matignon, le Colonel Cédric Garence est désormais à la tête de 700 militaires d’active et près de 400 réservistes en Vaucluse. À savoir que la gendarmerie nationale assume la responsabilité de la sécurité publique sur 146 des 150 communes de Vaucluse, ce qui représente 82% de la superficie du département et 66% de la population vauclusienne. 

Ce n’est pas la première fois que le Colonel Garence met les pieds en Vaucluse. « Je connais, pour avoir été 4 années commandant en second de la compagnie d’Orange, la qualité des hommes et des femmes qui servent dans ce département, explique-t-il dans sa lettre de présentation. J’ai pu appréhender, au niveau qui était le mien de 2007 à 2011, quelques-uns des enjeux de ce territoire complexe. » Le Varois d’origine prend donc ses nouvelles fonctions dès aujourd’hui et succède au Colonel Jean-Christophe Le Neindre qui était en poste depuis juillet 2019.

V.A.


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

Vendredi dernier, le lycée Alphonse-Benoît de l’Isle-sur-la-Sorgue a été le théâtre d’un exercice de sécurité civile grandeur nature simulant une tuerie de masse dans un établissement scolaire. Organisé à l’initiative de la préfecture de Vaucluse il a mobilisé les acteurs de la sécurité intérieure (gendarmerie, police judiciaire), des services de secours (Sdis, Samu, Cump-Cellules d’urgence médico-psychologique), du parquet du Tribunal judiciaire d’Avignon, des services de l’État (Dasen-Directeur académique des services de l’Éducation nationale-, ARS-Agence régionale de santé) ainsi que des agents de la municipalité de l’Isle-sur-la-Sorgue, de la région Sud ainsi que des personnels et élèves majeurs volontaires de la section des métiers de la sécurité du lycée Alphonse Benoît.

Près de 200 participants
En tout, près de 200 personnes et plus d’une cinquantaine de véhicules ont participé à cet entrainement à grande échelle dont le scénario se basait sur une attaque de l’établissement scolaire par un ou plusieurs assaillants occasionnant plusieurs victimes, à l’arme blanche et par arme de poing. La simulation prévoyait aussi un retranchement du terroriste avec un ou plusieurs otages.
« Cet exercice répond à la nécessité de maintenir en conditions opérationnelles les différents
acteurs de la sécurité et du secours, tout en associant la participation de la population à la
gestion d’un évènement de sécurité civile », expliquent les services de la préfecture qui pour l’occasion ont pu tester les dispositions du plan Orsec (Organisation de la réponse de sécurité civile) NOVI-Attentat (Nombreuses victimes). L’objectif de cet exercice étant maintenir les différents services en conditions opérationnelles.

L.G.

A gauche, les pompiers de Vaucluse, à droite, Bertrand Gaume, le préfet du département à la manœuvre.

Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

Villeneuve-lès-Avignon vient de présenter le ‘permis internet’ dans ses écoles. Un programme de sensibilisation des dangers d’internet.

« Fake news », utilisation d’un pseudo, photos et informations personnelles, ou encore cyber-harcèlement. Ce sont les thèmes abordés durant le programme ‘Permis internet’ mis en place par la gendarmerie nationale, la police nationale, la préfecture de police et l’association AXA prévention en accord avec le Ministère de l’intérieur. Destiné aux enfants entre 9 et 11 ans, il est conduit dans la commune par la police nationale d’Avignon et la police municipale de Villeneuve-lès-Avignon.

Les forces de l’ordre se déplacent dans les écoles élémentaires publiques de la ville depuis le 8 mars. Cet enseignement a pour objectif de sensibiliser les enfants aux dangers d’internet. Le programme permet également de rassurer les parents qui peuvent, eux aussi, avoir accès à des conseils pour protéger leurs enfants sur le site officiel du ‘permis internet‘.



V.A.


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

C’est Gérard Darmanin, ministre de l’Intérieur, qui a annoncé le déploiement de ce dispositif expérimental dans plusieurs départements, dont le Vaucluse et durant 6 mois, afin de renforce l’accueil, la prise  en charge et l’accompagnement de victimes de violences conjugales et sexuelles. Il associera plusieurs acteurs institutionnels, judiciaires et associatifs jusqu’au 15 mai 2022.

Objectif
Recueillir la plainte de la victime dans un environnement rassurant qui garantisse la confidentialité des déclarations tout en favorisant la libération de la parole. Cette alternative est proposée aux personnes réticentes à passer la porte du commissariat ou de la brigade.

Les zones d’intervention
La zone police intervient pour Avignon et la zone gendarmerie pour les trois secteurs : L’Isle-sur-la-Sorgue, Fontaine-de-Vaucluse, le Thor et Saumane.
Orange, Châteauneuf-du-Pape, Caderousse, Cairanne, Camaret, Courthézon, Jonquières, Lagarde-Parréol, Mornas, Piolenc, Sainte-Cécile-les-Vignes, Saint-Roman-de-Malegarde, Sérignan, Travaillan, Uchaux et Violès.
Pertuis, Ansouis, Beaumont-de-Pertuis, Cabrières-d’Aigues, Grambois, La Bastide-des-Jourdans, La Bastidonne, La Motte-d’Aigues, La Tour d’Aigues, Mirabeau, Peypin-d’Aigues, Sannes, Saint-Martin-de-la-Brasque, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.

La prise de plainte
La prise de plainte pourra se faire au domicile de la victime ou d’un proche ; dans un établissement de santé, dans une association partenaire. Cette expérimentation pourrait évoluer en élargissant prenant pour partenaires médecins et pharmaciens de ville.
MH


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

« Si vous n’avez pas la chance d’avoir un hérisson et/ou un chat dressé(s) pour surveiller votre maison en votre absence, nous pouvons le faire pour vous », précise la gendarmerie du Vaucluse sur sa page Facebook. L’opération tranquillité vacances, vous connaissez ?

Vous partez bientôt en vacances ? Afin de prévenir les éventuels cambriolages, le dispositif gratuit Opération tranquillité vacances (OTV) des services de police et de gendarmerie vous propose de veiller sur votre logement pendant votre absence et de vous prévenir en cas d’anomalie.

Comment faire ?

Pour s’inscrire, il suffit de :

Veillez à bien indiquer si votre habitation est équipée d’un système d’alarme ou d’un simulateur de présence, et si quelqu’un passe relever votre courrier ou arroser vos plantes afin qu’il ne soit pas confondu avec un cambrioleur.

Des patrouilles de surveillance de la police ou de la gendarmerie seront effectuées gratuitement, de jour comme de nuit et en semaine comme le week-end, afin de vérifier qu’il ne se passe rien de suspect ou de dissuader tout individu de tenter de cambrioler votre domicile durant votre absence. Vous serez prévenu en cas d’anomalie (vous-même ou une personne de confiance proche du lieu).

Vous devrez également prévenir les forces de l’ordre en cas de retour anticipé.

Quelques conseils avant de partir

Afin de limiter les risques de cambriolage, les services de police et de gendarmerie conseillent de :

  • ne pas indiquer vos dates de congés sur les réseaux sociaux ou votre messagerie téléphonique ;
  • demander à une personne de confiance de relever votre courrier car une boîte pleine est un signe d’absence prolongée (ne pas lui laisser la clé sous un paillasson ou un pot de fleurs). Vous pouvez également faire renvoyer automatiquement votre courrier sur votre lieu de villégiature par les services postaux ;
  • renvoyez, si c’est possible, les appels sur le téléphone fixe vers votre numéro de portable ;
  • verrouiller avec soin la fermeture des portes, fenêtres et volets. Vérifier le bon état de vos serrures et verrous. Un voisin ou un ami peut venir ouvrir et fermer les volets et allumer des lumières. L’utilisation d’un minuteur peut permettre éventuellement d’allumer certaines lampes sans présence dans le logement ;
  • ne pas laisser de grosses sommes d’argent dans votre logement et mettre les bijoux, objets d’art et valeurs en lieu sûr après les avoir photographiés. Le cas échéant, faites les évaluer par un expert et renseignez vous auprès de votre société d’assurance, notamment au sujet des conditions de leur protection.

L.M.


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

La gendarmerie a reconduit cette année la mise en place de patrouilles à cheval de 2 cavaliers de la gendarmerie, 2 fois par semaine, jusqu’à la fin de l’été. 8 communes du Luberon sont concernées (Apt et Gargas, Roussillon, Bonnieux, Lourmarin, La Motte d’Aigues et Cabrières d’Aigues, Pertuis). Pour le plus grand bonheur des petits comme des grands.

La patrouille était présente sur le marché hebdomadaire de Pertuis et dans le centre-ville. Ses missions ? Prévention et sensibilisation des risques incendie, recherches de personnes disparues, sécurité des biens et des personnes (vols à la roulotte sur les parkings et lieux de forte fréquentation et secours aux personnes sur sites escarpés), recherche de renseignement (rave-party).

Photo: ville de Pertuis

Les patrouilles équestres permettent à la compagnie de gendarmerie départementale de Pertuis de renforcer la sécurisation des biens et des personnes dans le Parc naturel régional du Luberon. Cet espace qui s’étend sur près de 1750km2 est soumis à une forte fréquentation estivale. Les patrouilles participent à la prévention et à la sensibilisation des risques incendies. Ces agents peuvent aussi être mobilisés pour la recherche de personnes disparues dans le parc, qui nécessite alors d’engager des moyens conséquents, maîtres de chiens, hélicoptère…

Photo: ville de Pertuis

Lire aussi : Les gendarmes montent sur leurs grands chevaux en Luberon

L.M.


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

Dans le prolongement de la convention signée, en mars dernier, avec la préfecture de Vaucluse, la Gendarmerie nationale et la Police, le bailleur social Grand Delta Habitat (GDH) a créé, au sein de son organisation, le poste de référent sécurité. Mission ? Diagnostiquer les problématiques, définir les actions à mener, continuer à entretenir des liens solides avec les collectivités et les forces régaliennes pour maintenir la dynamique de sécurisation et du bien vivre ensemble.

Concrètement

De nombreux halls d’accès aux logements sont d’ores et déjà équipés de dispositifs d’ouverture et de fermeture des portes, l’éclairage y a été renforcé et plus de 400 caméras de vidéo-surveillance ont d’ores et déjà été installées. Les contrats de bail précisent désormais l’obligation de respecter la tranquillité dans les résidences que ce soit dans le logement privatif ou dans les parties communes. En cas de troubles du locataire ou de l’un de ses invités les procédures peuvent être rapides comme l’envoi d’une lettre recommandée jusqu’à la résiliation du bail devant un juge. C’est ainsi qu’en 2019, GDH a traité 15 dossiers et opéré une expulsion.

Process

Pour une efficience rapide et rodée et surtout pour faire face à des situations exceptionnelles, le bailleur a mis en place le témoignage sous X certifié par huissiers de justice afin de préserver les voisins d’éventuelles menaces et représailles. Également, le référent sécurité de GDH est en lien permanent avec les groupes de partenariat opérationnel (GPO) des forces de l’ordre. Ensemble, GDH, le référent sécurité et les groupes partenaires identifient et répertorient les problèmes puis proposent et diligentent des solutions adaptées au cas par cas. Résultat ? La quiétude s’installe durablement pour le plus grand plaisir des résidents et upgradent la qualité d’habiter.


Rodéo urbain, après le drame de Pontoise, la pratique jugée inadmissible en Vaucluse

Les mesures de déconfinement impulsent une nouvelle vague de liberté. Conjuguée à l’arrivée des beaux jours, celle-ci risque d’apporter avec elle son lot de déchets et d’incivilités dans nos forêts. Plébiscités par bon nombre de promeneurs, les massifs forestiers seront au cœur d’un dispositif de surveillance dès le 9 mai prochain.

L’année dernière, un feu détruisait 133 hectares de forêt entre Faucon et Saint-Romain-en-Viennois. Pour le combattre, 520 pompiers avaient été mobilisés. La vigilance est de mise si l’on ne souhaite pas que le même scénario se reproduise dans le Vaucluse et ses 42% d’espaces forestiers. Le département, fort de ses 63 communes incluses dans le périmètre du massif des Alpes, présente un atout naturel incontournable. La vallée du Toulourenc, particulièrement fréquentée durant la saison estivale, fera l’objet de contrôles réguliers de la gendarmerie, notamment durant les journées à fort risque d’incendie.

135€ d’amende

L’ONF Midi mediterrannée (Office national des forêts) et la gendarmerie nationale seront à pied d’œuvre dès le week-end du 9 mai pour s’assurer que les usagers respectent les espaces naturels. Le printemps rime avec naissances de mammifères et nidification des oiseaux, l’arrivée du public risque de perturber les couvées. L’ONF conseille ainsi aux promeneurs de rester sur les chemins, de garder leur chien à proximité et rappelle qu’il est strictement interdit de circuler en véhicule motorisé dans les espaces naturels. Le non respect de l’interdiction de porter du feu, de fumer ou de jeter des objets en ignition en forêt, ou à moins de 200m de celle-ci est passible d’une amende de 135€. Les automobilistes qui roulent sur les chemins forestiers fermés à la circulation publique encourent également une amende et une mise en fourrière immédiate du véhicule si l’automobile roule en dehors des sentiers balisés.

Les bons réflexes

L’ONF rappelle ainsi les gestes à adopter en cette période : respect de la signalisation, utilisation des chemins balisés, gestion des déchets, interdiction stricte de l’usage du feu, interdiction de campement en forêt ou sur les aires d’accueil, modération dans la cueillette de champignons, pour ne citer que ceux-ci.

L.M

https://echodumardi.com/tag/gendarmerie/page/6/   1/1