22 décembre 2024 |

Ecrit par le 22 décembre 2024

Châteauneuf-du-Pape : La mère Germaine se met à table

Restaurant gastronomique et emblématique situé au centre du village de Châteauneuf-du-Pape, La mère Germaine propose des menus à emporter.

La mère Germaine
Qui était la mère Germaine ? Germaine Vion, cuisinière du président de la République qui reçut à cette belle adresse (ancien hôtel Bellevue), à partir de 1922 et jusqu’en 1958, le tout Paris. L’établissement, repris par Isabelle Strasser et ses équipes, propose, pendant le confinement, un menu à emporter conservant ainsi le lien avec ses fidèles clients et se faisant connaître auprès des nouveaux, avec un menu gastronomique, différent, chaque semaine –consultable sur facebook- et accessible à tous avec quelques beaux flacons issus de sa cave.

Une équipe gagnante
Le chef de cuisine Camille Lacome et la cheffe-pâtissière Agathe Richou concoctent un menu à trois services à 32 €. Ces plats sont réalisés à partir des produits frais de saison et de notre terroir. Agathe Richou, quant à elle suggère un choix de quatre pâtisseries individuelles ou gâteau à emporter. Les menus sont à retirer au restaurant entre 11h et 13H30 pour le midi et 18h -20H30 pour le soir.

Le menu à 32 €
Soupe de potiron, condiment de courge spaghetti aux graines de courge, copeaux de châtaignes, ou salade tiède de radis greenmeat à l’huile de curcuma, pickels de radis ; Filet et cuisse de canette rôtie, mousseline de patate douce aux dattes et jus de canette ; Pomme confite au caramel, sablé amande crème onctueuse à la vanille.

Pâtisseries à emporter
Part de Flan pâtissier 4,50€, éclairs chocolat 4€, Cake banane-chocolat (Banana Bread) 2 tranches 4€ ; Cookies chocolat noisette (4 pièces) 5€. Possibilité de pâtisseries format familial (cake entier, flan entier) en commandant 24h à l’avance.

Infos pratiques
Les commandes se font 48h à l’avance par téléphone 04 90 22 78 34 ou par mail : resalameregermaine@gmail.com. Les ventes à emporter se feront du mercredi midi au dimanche soir inclus. Les paiements s’effectueront sur place, lors de la récupération de la commande. La Mère Germaine. 3, rue Commandant Lemaître à Châteauneuf-du-Pape.


Châteauneuf-du-Pape : La mère Germaine se met à table

Offrant une vue unique sur le Luberon, l’établissement gastronomique propose surtout une cuisine innovante.

 

Le chef

Boris Boittiaux chef de cuisine est né à Cherbourg. Sa passion pour l’art culinaire s’est développée très tôt et après une formation classique au lycée hôtelier de Granville. Son goût des voyages et de la découverte n’a eu de cesse d’essayer de satisfaire sa curiosité et sa soif de connaissances. Il débuta à Vevey en Suisse chez Denis Martin, puis se dirigea à Paris. D’abord pour Pierre Gagnaire puis au pavillon le Doyen avec Christian Le Squer. Ensuite direction Rome puis le restaurant du célèbre train ‘L’Orient Express’. En parallèle, il voyage vers Bangkok où il s’initie auprès de de chefs Thaï.

Sa devise : « le beurre c’est le bonheur ! »

 

La Maître d’hôtel et sommelière

Laetitia Marin : Maître d’hôtel et sommelière, elle a débutée dans le métier en quittant le cocon familial pour Disneyland Paris, puis à choisi la Provence pour s’installer la première fois à Murs à l’âge de 23 ans en achetant son premier hôtel restaurant ‘Le Crillon’. Puis, 4 ans plus tard, elle s’installe à Gordes. Les faits de la vie l’on ensuite conduite au Sanglier paresseux en 2017 où elle a d’abord travaillé au côté de Pascal Marcq. Très grande passionnée de vin et de photographie, elle signe la décoration des lieux à travers deux expositions en noir et blanc.

Sa devise : « Plus que non, on ne pas te dire »

 

La pâtissière

La pâtissière Alexia Gaubiac-España, 22ans, a fait ses études au CFA (Centres de formation des apprentis) Saint-Roch à Avignon puis, à rejoint la pâtisserie Saint-Pierre à Apt avant de rejoindre le Sanglier paresseux.

 

La cuisine

Quand un chef Normand se passionne pour la Provence, il sélectionne soigneusement les meilleurs producteurs locaux et, exécute une cuisine raffinée, généreuse et créative à déguster devant un panorama exceptionnel des sommets du Luberon.

Laëtitia, la sommelière a choisie des vins de proximité et de propriétaires qu’elle rencontre lors de  ses balades dominicales elle a aussi choisi des crus de la vallée du Rhône ainsi que quelques crus d’autres régions vinicoles Française.

 

Le menu du marché :

Mise en bouche : Gaspacho de tomates melons et pastèque monter à l’huile d’olive

Entrée : tartare de Thon mi cuit fenouil craquant vinaigrette acidulée et grains de grenades.

Plat : Magret de canard du ‘Pouton’ écrasé de pommes de terre monté au beurre noisette et légumes d’été

Dessert : Entremet chocolat Valrhôna Glace pecan sauce curaçao

 

Le Sanglier Paresseux. 2, route de Viens. Caseneuve. 04 90 75 17 70. Le sanglier paresseux

 

Boris Boittiaux et Laetitia Marin avec leur fille.

Châteauneuf-du-Pape : La mère Germaine se met à table

Dans le cadre de la semaine du goût qui se déroule jusqu’au vendredi 16 octobre, la Ville de Carpentras met en œuvre un certain nombre d’actions à destination des cantines scolaires, parmi lesquelles la préparation d’un menu à 65 % de produits issus de l’agriculture biologique, la mise en place d’un set de table sur la saisonnalité des fruits et légumes (un set par enfant), la distribution d’un magnet ‘Stop au gaspi’ (un par enfant) ainsi que la mise en place d’affiches ‘Faisons du bien à la planète, misons sur le bio, moins de plastique’ dans tous les réfectoires.


Châteauneuf-du-Pape : La mère Germaine se met à table

Le célèbre établissement créé il y a 75 ans par Raymond Thuilier vient de recevoir les prix du meilleur chef et du meilleur pâtissier de l’année. Une consécration pour cette grande table qui a obtenu sa 3e étoile en début d’année.

Glenn Viel, chef de L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence, vient d’être désigné chef de l’année dans le cadre de la 34e édition des trophées ‘Le Chef’. Ce prix, mis en place par la revue gastronomique éponyme, a également permis de distinguer Brandon Dehan comme ‘Pâtissier de l’année 2020. Ce dernier officie également au sein de l’établissement provençal qui obtenu sa 3e étoile en février dernier.

« Dans ce contexte difficile, il nous a semblé important de maintenir ce rendez-vous incontournable pour les professionnels de la gastronomie, qui méritaient un événement à la hauteur de leur engagement », explique Anne Luzin, directrice de publication du magazine ‘Le Chef’ dans la foulée d’une année particulière où chefs, pâtissiers, sommeliers et directeurs de salle ont dû redoubler d’efforts pour maintenir leurs activités malgré une crise sanitaire inédite.

« Nous nous sommes rassemblés avec les acteurs de ce secteur très impacté, qui ont plus que jamais besoin d’être aidés, mis en lumière et soutenus », poursuit Anne Luzin dont la revue propose la seule élection des acteurs de la gastronomie française par leurs pairs en invitant tous les chefs de cuisine des restaurants référencés au Michelin à voter dans les catégories : chef, chef pâtissier, sommelier et directeur de salle de l’année.

Le chef Glenn Viel aux côtés des meilleurs

Fils de militaire, Glenn Viel déménage fréquemment pendant son enfance. Mais c’est dans les Côtes-d’Armor, à Saint-Quay-Portrieux qu’il débutera ses études de cuisine au lycée professionnel La Closerie. Son BEP (Brevet d’études professionnelles) en poche, il poursuit par un Bac professionnel au lycée Sainte-Catherine au Mans où il effectuera son stage chez Joël Boillaud à l’Hostellerie du Nord à Auvers-sur-Oise. A la fin de ses études, il évolue, pendant 2 ans, au Meurice à Paris au côté de Nicolas Sale, Frédéric Simonin, François Perret ou encore Frédéric Marquet. Après des passages au Plaza Athénée, au Hyatt Madeleine et Hyatt Regency (Maroc) et au Castellet, il devient pour la première fois chef au Péron à Marseille, à 28 ans, où il décroche sa première étoile. Il collabore de nouveau avec Nicolas Sale au Kilimandjaro où ils obtiendront une seconde étoile, en 2013. Fin 2014, alors que Glenn participe à une formation à Bora-Bora il est contacté par Jean-André Charial, chef-propriétaire de l’Oustau de Baumanière et petit-fils de Raymond Thuilier, à la recherche d’un successeur à Sylvestre Wahid. Son challenge : obtenir une troisième étoile. Pour cela, il met en place une cuisine éco-responsable où il développe autour du restaurant un potager bio, des ruches, une ferme pédagogique et fabrique à partir de ses déchets de cuisine ses propres engrais pour le potager. Il obtient en janvier dernier sa troisième étoile Michelin.

Brandon Dehan rejoint Les Baux en 2016

Noyonnais d’origine, Brandon Dehan débute sa scolarité par un CAP (Certificat d’aptitude professionnelle) Cuisine obtenu en 2010. Titulaire d’un BEP puis d’un Bac pro, il prend goût à la pâtisserie à l’occasion d’une mention complémentaire cuisinier en dessert de restaurant. Il fait ses premières armes, en cuisine, à l’Auberge de Pont l’Evêque dans l’Oise où il termine demi-chef de partie au garde-manger. Il rejoint l’Auberge du Jeu de Paume à Chantilly en tant que commis pâtisserie en 2012 puis, direction L’Oustau de Baumanière en 2016. Depuis ce jour, Brandon Dehan travaille main dans la main avec le chef Glenn Viel et ne cesse d’exprimer sa créativité au cœur de ses desserts. Un investissement qui lui a permis de participer grandement à l’obtention de la 3e étoile de cet établissement créé en 1945 par Raymond Thullier.

https://echodumardi.com/tag/gastronomie/page/19/   1/1