23 décembre 2024 |

Ecrit par le 23 décembre 2024

CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Ce vendredi 20 mai, la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse organise une réunion d’information en partenariat avec la Gendarmerie Nationale. Ce rendez-vous, adressé aux entreprises de tous secteurs et aux collectivités, aura pour thème ‘L’environnement sécuritaire des entreprises et des collectivités’.

L’objectif de cette réunion est de faire de la prévention concernant les risques d’insécurité matérielle et informatique. Au programme : le principe de base de sécurisation, la protection des bâtiments et de l’environnement, ou encore les principes fondamentaux en matière de lutte contre les cyber-menaces.

Pour s’inscrire à cette réunion gratuite, il suffit de remplir le formulaire en ligne.

Vendredi 20 mai. De 8h30 à 10h30. CCI Vaucluse. 46 cours Jean Jaurès. Avignon.

V.A.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

L’Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse (AIST 84) laisse ses formations classiques de côté et en propose une nouvelle, plus ludique, adressée aux salariés et chefs d’entreprise. Sur le thème du risque routier dans le cadre professionnel, mais aussi personnel, l’AIST 84 organise une matinée autour du jeu ‘Start & Go’ le jeudi 12 mai prochain.

Cette formation a pour objectif de démontrer que les incidents de la route ne proviennent pas tout le temps d’une prise de risque, mais souvent d’autres facteurs comme la fatigue, l’usage du téléphone, les émotions ou encore le manque de concentration. Pour y participer, il suffit de remplir le formulaire d’inscription en ligne.

Jeudi 12 mai. De 9h à 11h30. AIST 84. 40 Rue François Premier. Avignon.

Le jeu ‘Start & Go’

V.A.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Aubanel for business, ‘le bras armé’ de la formation supérieure et de l’apprentissage du bac+2 au bac+5 du lycée Aubanel et du Greta-CFA 84 vient d’organiser sa soirée réseau annuelle. Baptisé ‘L’Echo des réseaux’ cet événement était l’occasion de réunir près de 200 étudiants et chefs d’entreprise dans le cadre d’un moment de convivialité autour des thèmes du ‘savoir-être’, ‘des valeurs’ et du ‘le bien-être au travail.

Accueillant 2 000 élèves, dont 650 étudiants et 200 apprentis, le lycée avignonnais abrite 5 BTS tertiaire (support à l’action managériale, négociation, digitalisation, relations clients, comptabilité finance, comptabilité générale, systèmes d’information aux organisations et tourisme) ainsi qu’un DCG (Diplôme de comptabilité générale niveau licence) et un DSCG (Diplôme de comptabilité supérieure générale niveau master) qui constitue l’antichambre de l’expertise comptable.

« Cet enseignement nécessite des temps de formation en entreprise, explique Christophe Michel, chef d’établissement du lycée Aubanel. Donc nous avons besoin des entreprises. Nous avons besoin de rencontrer les chefs d’entreprise. A partir de là, nous avons besoin d’organiser des temps de rencontres comme celui-ci. »

« L’enseignement public fait un travail extraordinaire depuis de longue année. »

Durant ce rendez-vous ponctué des témoignages d’anciens élèves, de moment d’échange de carte de visite et de mini-table ronde pour évoquer les valeurs attendues par un chef d’entreprise, des représentants de la Jeune chambre économique (JCE) et de Réseau entreprendre sont également venus partager leur expérience. Cette soirée a aussi été l’occasion d’inaugurer le nouveau BTS tourisme du lycée Aubanel lancé à la rentrée 2021.

« L’enseignement public fait un travail extraordinaire depuis de longue année mais il ne sait pas le dire, insiste Jean-Marc Mielle – Directeur délégué à l’enseignement supérieur du lycée Aubanel. Donc aujourd’hui, on est train de dire aux chefs d’entreprise du Vaucluse voilà ce qu’est capable de faire un lycée public dans l’enseignement supérieur. »

Lors de cette soirée ‘L’écho des réseaux’, Catherine Deman, présidente du GRETA-CFA Vaucluse, Odile Sick-Plantevin, professeur de musique au lycée Aubanel, Valentine Meilleray et Théo Rémy, étudiants en BTS NDRC 2e année, ainsi que Sophie Nicola, responsable animation des partenariats professionnels du Crédit Agricole Alpes-Provence, sont également venus à la rencontre du studio de l’Echo du mardi. Des entretiens à découvrir ci-dessous en vidéo.

L.G.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

C’est à l’école de la construction des infrastructures, des réseaux et des nouvelles technologies –Ecir– à Mallemort en Provence qu’avaient lieu les Coulisses du BTP en matinée pour se poursuivre à Cavaillon, sur le chantier de l’aménagement de la Zac des Hauts banquets sur 45 hectares, initié par Luberon Monts de Vaucluse et dédié à la naturalité. Objectif ? Faire connaitre les métiers du bâtiment et des travaux publics pour assurer la relève. « Nous devons constituer une armée capable répondre au défi d’un pays bien équipé » a relevé Christian Pons, le président de la Fédé BTP 84. 127 jeunes collégiens, lycéens, accompagnants et personnes en réinsertion ont répondu à l’invitation.

Chaque année la Fédération du Bâtiment et des travaux publics de Vaucluse organise ‘les coulisses du BTP’ des portes ouvertes sur des chantiers, ateliers et Centres de formation pour séduire les jeunes à partir de 16 ans ainsi que des hommes et femmes en reconversion ou insertion. Une façon de découvrir concrètement des formations du CAP au diplôme d’ingénieur et surtout des métiers porteurs. Durant cette journée les professionnels de ces métiers très peu connus du grand public ont partagé leur expérience, révélé des techniques de construction, les perspectives de carrières, les adresses utiles et peut-être suscité de futures vocations. Des jeunes des collèges Joseph Roumanille et Anselme Mathieu d’Avignon, du lycée du Domaine d’Eguilles de Vedène et la Mission locale jeunes du Grand Avignon avaient répondu présents.

Cyril Borvo, directeur de l’ECIR apprentissage 
Les jeunes et enseignants ont été accueillis par Cyril Borvo, directeur de l’Ecir apprentissage et de son équipe. Les collégiens ont découvert des ateliers, simulateurs de conduite et assisté à la démonstration d’engins de chantier.

«L’ECIR –Ecole de la construction des infrastructures et réseaux– accompagne les jeunes du CAP au diplôme d’ingénieur. Actuellement 370 apprentis sont accueillis à l’école de la Construction, des Infrastructures et des Réseaux en CAP, Bac pro, BTS, licence, et diplôme d’ingénieur avec un taux de réussite de 92% en 2021, toutes strates confondues. Nous accueillons une majorité de garçons et trop peu de filles, c’est la raison pour laquelle nous développons notre visibilité sur les réseaux sociaux, notamment en réalisant chaque mois un portrait de jeune-fille dans son environnement professionnel où elle explique son métier, les enjeux, et s’étend sur l’accessibilité des métiers qui ne sont pas réservés qu’aux garçons. Les jeunes-filles se dirigent plutôt vers des postes d’encadrement en BTS, licence et école d’ingénieur. Nous voyons aussi arriver, même si c’est de l’ordre de l’épiphénomène, une ou deux jeunes-filles sur les CAP conducteurs d’engins, constructeurs de route qui poursuivent ensuite leurs études en Bac pro.»   

Présentation du laboratoire dévolu aux étudiants en licence et diplôme d’ingénieur

Les élèves qui viennent nous voir ?
«Ils le font le plus souvent parce qu’ils veulent quitter le système éducatif traditionnel et sont à la recherche d’une solution de formation de courte durée qui les mène vers un emploi durable, explique le directeur de l’établissement d’apprentissage. Le fait d’être confrontés, pendant leur période d’apprentissage aux réalités du monde professionnel, d’avoir un petit pouvoir d’achat à gérer -via leur salaire d’apprenti- leur ouvre les yeux sur le monde du travail. Cela les enjoint également à continuer à progresser. Ils me disent : Je voulais arrêter mais je continuerai bien sur un bac pro, pensez-vous que j’en aie les capacités ? La force de l’apprentissage ? C’est de créer un chemin vers la poursuite des études. C’est ainsi que 40% des élèves s’inscrivent dans cette poursuite. »

Tous les métiers des travaux publics
« Ici nous dispensons les enseignements uniquement sur les métiers des travaux publics détaille Cyril Borvo ; CAP conducteur d’engins, ce qui est l’ancrage historique de l’école, constructeur de routes : pour apprendre à poser des bordures, créer des trottoirs, des voiries en milieu urbain ou sur des grands axes routiers, des CAP constructeur en canalisations : eau, gaz, électricité, fibre optique en souterrain ou aérien. Ensuite nous proposons des diplômes d’encadrement comme chef d’équipes avec un bac pro ;  un BTS pour être chef de chantier,  licence ou ingénieur pour devenir conducteur de travaux. Le CAP se développe sur deux ans, le bac Pro également –car les jeunes arrivent directement en 1re puisqu’ils sont détenteurs du CAP, le BTS s’enseigne en deux ans, la licence sur une année, le diplôme d’ingénieur 3 années après bac+2. Ainsi l’école forme du CAP au Bac +5. »

Historique
Le CFA –Centre de formation des apprentis- a été créé en 1999 et les nouveaux locaux de l’école en 2016. «Nous sommes une association dirigée par son Conseil d’administration composé d’entrepreneurs de la Fédération Nationale des Travaux publics avec des représentants de la CCI d’Arles, de Marseille et la Mairie de Mallemort. « Nous sommes en prise directe avec notre profession afin d’orienter notre portefeuille des formations vers les métiers et compétences en tension, dont les entrepreneurs ont besoin. La profession manque de main d’œuvre notamment à l’échelle des techniciens opérationnels et des conducteurs de travaux, également, nous manquons cruellement de mécaniciens d’engins de travaux publics.»

Présentation des engins de chantiers sur les espaces dédiés à leur maniement par les étudiants

La formation
«La formation est essentielle à nos métiers car nous travaillons sur le court terme et les entreprises ont besoin de main d’œuvre qualifiée», assure Christian Pons, président de la fédé BTP 84. « Les gens ont aussi besoin de connaître nos métiers précise Daniel Léonard président de la banche Travaux publics. L’image qu’ont les gens du TP n’est pas exacte, j’en veux pour preuve les établissements dernier cri –comme l’Ecir à Mallemort- qui les reçoivent, tout comme nos entreprises à partir de 16 ans. Le challenge ? Leur faire découvrir l’étendue de nos métiers. Pour cela il nous faut entrer en contact et faire découvrir nos métiers aux personnes spécialisées en orientation scolaire. Les jeunes qui s’inscrivent pour un CAP pourront tout à fait continuer leurs études pour accéder au Bac pro, au BTS, à la Licence puis au diplôme d’ingénieur sachant que toutes ces études sont accessibles en alternance. Les jeunes sont également heureux d’être rémunérés.»

Compétences et savoir-être professionnels
«L’apprentissage intervient sur le savoir être professionnel, remarque Lionel Nègre, adjoint à la jeunesse et à l’insertion professionnelle de la mairie de Cavaillon, proviseur de l’Éducation nationale –anciennement au collège Paul Gauthier à Cavaillon et désormais pour les centres pénitentiaires Paca-Corse. Plus tôt les jeunes s’insèrent dans l’entreprise, plus tôt ils en acquièrent les codes. Je fais un aparté également pour vous dire que l’Éducation nationale est très présente dans les établissements pénitentiaires avec 220 professeurs-intervenants pour l’Académie d’Aix-Marseille, Nice et Corse.  Les mineurs et majeurs en détention peuvent présenter des CAP et Bac Pro en formation à distance. Les diplômes sont passés en prison. Un écart de la vie peut faire qu’on en rattrape certains, qu’ils se réinsèrent, qu’ils raccrochent l’école. Nous estimons que notre travail d’accompagnement permet la réinsertion de 25% des personnes candidates à l’obtention d’un diplôme. Nous proposons, chaque année, des formations combinées avec la Région Sud également présente dans toutes les prisons du territoire.»

Agir vite
«Intégrer un enfant dans nos métiers se fait à partir de 16 ans, passés 18, 20 ans c’est trop tard, détaille Daniel Léonard vice président de la Fédé BTP, d’où l’importance du travail d’orientation en fin de collège avec les CIO (Conseiller en centre d’orientation et d’information). » «Nous avons invité les conseillers d’orientation à nos journées portes ouvertes mais ils n’ont pas répondu à notre demande, regrette Cyril Borvo. Ces invitations n’ont pas généré de mouvements ni de dynamique. Ce qui fonctionne ? L’entrée en contact directe avec les établissements et les équipes enseignantes.»

Exercices de terrassement

Un niveau de technicité en augmentation
«Il nous reste du chemin à parcourir pour ré-intéresser les jeunes, explique Christian Pons, c’est la raison pour laquelle nos fédérations ont initié des campagnes publicitaires nationales. Nous aurons besoin de recruter des centaines de milliers de personnes avec un niveau de technicité augmenté, notamment avec le renouvellement de générations puisque les papy-boomers partent maintenant à la retraite (nés entre 1946 et 1964 pour des départs à la retraite entre 2006 et 2025) et représentent, dans l’entreprise, un pourcentage élevé.»

L’évolution des métiers
«Les métiers du BTP participent à l’ascenseur social ce qui n’est pas le cas ailleurs, remarque Emmanuel Méli secrétaire-général de la Fédération du bâtiment et des travaux publics de Vaucluse, comme de partir de zéro et de pouvoir accéder au diplôme d’ingénieur, l’Ecir en est une belle vitrine en terme de technologies car, désormais les engins se conduisent avec un GPS, aidés de drones ou de tablettes numériques. Cette génération millénale est déjà très exercée à ces outils de haut niveau. Ces fortes valeurs ajoutées s’exercent dans l’encadrement tout comme dans l’exécution. Les femmes rentrent dans nos métiers que ce soit dans la partie bureaux d’étude conception, l’encadrement ou la conduite d’engins.» « Si la technicité est récurrente et importante le travail d’équipe reste souverain, ponctue Christian Pons, car il s’agit d’apprendre un métier et donc de mieux percevoir le travail des autres ce qui ouvre d’autres possibilités et incite à évoluer dans le métier. C’est tout le défi de participer à un chantier où l’on joue en équipe.»

Faire évoluer l’image du BTP
«J’ai déjà vu des enfants trainer littéralement leurs parents lors des journées portes-ouvertes, se souvient Cyril Borvo, souvent des passionnés de conduite d’engins parce que c’est la partie visible de nos métiers. Lorsque l’on commence à discuter, l’ont sent qu’ils se sont déjà renseignés et qu’ amorcer un dialogue technique est possible. Notre travail ? Détailler les métiers, dérouler les perspectives d’études car ils sont nombreux à poursuivre leur cursus, ce qu’ils n’espéraient peut-être pas au premier abord. Il nous faut aussi expliquer aux jeunes-femmes que ces métiers leur sont accessibles. A la fin des portes ouvertes les parents sont souvent convaincus parce qu’ils ont découvert leur enfant et nos métiers très différemment de ce qu’ils imaginaient. Ils disent : On ne savait pas que c’était cela un CFA ni les travaux publics. » «Également il était important de nommer l’établissement Ecole -Ecole de la construction des infrastructures et réseaux- pour lui donner ses lettres de noblesse et se faire ainsi repérer par les parents, les enseignants et les conseillers d’orientation,» constate Daniel Léonard.
«Il est important d’être ancré localement avec une capacité d’hébergement, observe Olivier Prat, responsable des formations à l’Ecir qui accueille des enfants du Vaucluse comme des Bouches-du-Rhône, car nous avons un internat très développé. De plus en plus d’élèves des Alpes-Maritimes et du Var viennent aussi chez nous. Il est important de dire aux jeunes qu’ils participent à des chantiers locaux parfois exceptionnels et travailleront pour d’importantes entreprises. »

Accueil des collégiens et lycéens à l’ECIR de Mallemort en Provence par l’équipe de la Fédé du BTP 84

Les grands ouvrages d’art
«Et puis il y a le fait de participer à l’histoire avec ces magnifiques ouvrages d’art comme le viaduc de Millau qui est le pont le plus haut du monde, » intervient Christian Pons. La conception du pont a été pensée par l’ingénieur Michel Virlojo, l’architecte Norman Foster, dont les recherches scientifiques se sont étendues sur 10 ans pour une construction menée par Eiffage. Le viaduc de Millau est un tracé routier à 4 voies posé sur une structure métallique. Il est soutenu par des supports installés dans le sol et par des câbles fixés sur de hauts pylônes : On parle d’une structure suspendue ou haubanée. Le pont se développe sur 2,5km et atteint une largeur de 32m.La structure du pont forme un arc d’environ 20m et propose 7 plateformes d’observation. Eiffage a garanti le pont sur 120 ans. Il traverse la vallée de  la Tarna à 270m au-dessus du sol. Il y a aussi le tunnel sous la manche –tunnel ferroviaire majoritairement sous-marin reliant Folkestone en Angleterre à Peuplingues au nord de la France- grâce à deux tunneliers qui se sont rejoints. « Il y a de l’intelligence, une construction mécanique qui a permis de réalisations hors normes, » admire Christian Pons. Il nous faut une armée si nous voulons équiper le pays correctement avec les défis qui s’ouvrent à nous. Le plus important ? C’est de permettre aux jeunes de se révéler à eux-mêmes, d’exercer leur talent et d’aimer leur travail.»

Le BTP Vaucluse en chiffres
Le département de Vaucluse compte 2 300 entreprises employant un salarié ou plus. Le secteur de la construction représente 12% du tissu économique de Vaucluse. 1 200 jeunes sont formés aux métiers de la production en BTP. Le poids de la commande publique est de 66% pour les travaux publics –dont 47% provient des collectivités locales- et de 25% pour le bâtiment.

De gauche à droite Cyril Borvo directeur de l’ECIR apprentissage ; Emmanuel Méli secrétaire général de la Fédé BTP 84, Daniel Léonard vice-président de la Fédé du BTP et président de la branche TP ; Christian Pons président de la Fédé BTP 84 ; Lionel Nègre adjoint au maire de Cavaillon et Olivier Prat responsable des formations à l’ECIR.

CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Ce jeudi 14 avril, l’association d’exportateurs Procamex (Provence Camargue export) organise une formation sur le thème des contentieux douaniers à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Pays d’Arles. Marc Brocardi, avocat associé du cabinet Arsène Taxand et Delphine Rapeneau, consultante douane senior et team leader pour ArchiLog seront en charge de la formation.

Cette dernière abordera plusieurs sujets comme les types d’infraction, l’analyse de risque, la responsabilité pénale, et bien d’autres. Pour toute inscription d’une personne, Procamex offre une seconde place. Le tarif de cette formation s’élève à 250€ pour les adhérents de l’association, et de 300€ pour les non-adhérents.

Pour toute information supplémentaire, contactez procamex@arles.cci.fr

Jeudi 14 avril 2022. De 8h30 à 12h. CCI du Pays d’Arles. Avenue de la 1ère division France Libre. Arles.

V.A.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Le jeudi 14 et 19 avril, deux formations sont organisées à destination des entreprises par la CCI Vaucluse (Chambre Commerce et Industrie Vaucluse).

La première formation qui se tiendra jeudi 14 avril est une réunion d’information organisée dans le cadre des Matinales de la Création, en partenariat avec l’Organisme de Gestion Agréé Méditerranée. Elle portera sur les fondamentaux de l’accueil client afin de sensibiliser les porteurs de projets (créateurs et repreneurs) et les dirigeants d’entreprise de tous secteurs d’activité aux principes fondamentaux de l’accueil de la clientèle.  Entre autres, les sujets abordés seront la communication verbale et non verbale et l’identification des sources de malentendu. Une formation gratuite qui prendra place de 9h30 à 12h.

Les ‘Mardis de la création’
La seconde formation au coût de 25€ se déroulera mardi 19 avril à l’occasion des ‘Mardis de la création’, un rendez-vous bimensuel de sensibilisation organisé par la CCI Vaucluse destinées aux futurs créateurs ou repreneurs d’entreprises. Objectif : « arborer les questions à se poser pour réussir son projet : financements, formes juridiques, statut de micro-entreprise, développement commercial… ».  Cette formation prendra place de 13h30 à 17h30 et est limitée à 8 personnes maximum.

Jeudi 14 avril.  9h30 à 12h. CCI de Vaucluse 46 cours Jean Jaurès. Avignon. . Informations et inscriptions obligatoirement à effectuer sur https://www.vaucluse.cci.fr/

Mardi 19 avril. 13h30 à 17h30. CCI de Vaucluse 46 cours Jean Jaurès. Avignon. Informations et inscriptions obligatoirement à effectuer sur https://www.vaucluse.cci.fr/

Pour plus d’information : Contact : Bénédicte Grégoire – CCI – Les Mardis de la Création
Tél : 04 90 14 10 32 – bgregoire@vaucluse.cci.fr


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

A la rentrée 2022, il sera possible d’étudier le domaine bancaire en apprentissage au lycée Jean D’Ormesson à Châteaurenard. Une réunion d’informations sera organisée le mercredi 23 mars à ce sujet.

Vous vous intéressez aux métiers qui mêlent le relationnel et le commercial ? Le lycée Jean D’Ormesson proposera, dès la rentrée 2022, un Brevet de technicien supérieur (BTS) Banque en apprentissage, en partenariat avec le GRETA-CFA Vaucluse. Cette formation, dont le recrutement se fait hors Parcoursup, sera étalée sur deux ans avec des cours les lundis et mardis, et un mercredi sur deux. Les apprentis travailleront en agence bancaire le reste de la semaine et pendant les périodes de vacances scolaires.

Pour en apprendre plus sur ce nouveau BTS, le GRETA-CFA Vaucluse invite toute personne intéressée à se présenter à la réunion d’informations qui aura lieu le mercredi 23 mars à 14h au lycée Jean D’Ormesson. Pour y participer, il faut confirmer sa présence par mail à assistante.tertiaire@greta-cfa-84.fr et venir avec son CV et une lettre de motivation destinée à un potentiel employeur. Les pré-inscriptions pour la formation sont d’ores et déjà ouvertes. Seul un baccalauréat est requis pour l’intégrer.

Réunion d’informations. Mercredi 23 mars. 14h. Lycée Jean D’Ormesson. 860 Avenue Jean Mermoz. Châteaurenard.

V.A.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Le réseau de prestations de services à domicile ‘Maison et services’ ouvre une première formation d’Agent de propreté et d’hygiène (APH) en apprentissage à Cavaillon, dès avril 2022.

Comme bon nombre de secteurs d’activité, le secteur de la propreté et du nettoyage fait face à un défi de recrutement. Dispensée par le CFA ‘La fabrique des métiers’ certifié Qualiopi, cette formation vise à dispenser un enseignement qualifiant, équivalent à un niveau CAP. Proposée exclusivement en apprentissage avec un rythme hebdomadaire de un jour en formation et quatre jours en entreprise, elle permet aux apprentis de maitriser la réalisation d’une prestation de nettoyage manuel et mécanisé.

Une formation qualifiante

« Avec plus de 20 ans d’expertise dans les métiers de l’entretien du domicile et du nettoyage industriel, nous avons acquis un savoir-faire indéniable », explique Patrice Deniau, fondateur de ce réseau national. C’est une formation reconnue au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) et une alternance clé en main que proposent les entreprises ‘Maisons et services’ à leurs futurs apprentis avec la formation mais également l’entreprise d’accueil. Durant toute la durée de la formation, chaque apprenti sera accompagné d’un binôme expérimenté pour réaliser les prestations au domicile des particuliers. Ce tutorat terrain permettra ainsi de mieux accompagner l’apprenti dans son évolution et de pouvoir mettre en pratique son savoir-faire acquis durant la formation.

12 apprentis nettoyeurs

Philippe Manseau, gérant de ‘Maison et services’ Cavaillon recherche 12 apprentis nettoyeurs (H/F) en CDI pour des missions de nettoyage, de nettoyage de vitres, de grand ménage ou de remise en état. « La formation d’Agent de propreté et d’hygiène (APH) mise en place dans les entreprises permettra aux apprentis de rejoindre les équipes déjà sur le terrain et de s’ouvrir vers un emploi durable dans une entreprise de proximité », souligne la société.

Le réseau ‘Maison et services

‘Maison et services’ est issu du réseau Aprolliance, fondé par Patrice Deniau et spécialiste du nettoyage industriel et de la propreté. Créé en 1999, ‘Maisons et services’ représente aujourd’hui 139 d’entrepreneurs indépendants en France sous contrat de franchise ; 150 implantations sur toute la France et les DOM-TOM ; plus de 45 000 clients, et plus de 5 000 collaborateurs.

Plus d’informations : Maison et services’ Cavaillon, 42 avenue Gabriel Peri, 04 86 69 60 37, mscavaillon@maison-et-services.com. Site internet.

L.M.


CCI Vaucluse : informer sur les risques d’insécurité matérielle et informatique

Avignon université’ organise son 1er ‘Forum des études supérieures’. Objectif ? Permettre aux lycéens, étudiants et adultes en reprise d’études de s’informer sur un large panel de formations.

Rendez-vous est pris le samedi 5 mars, de 9h à 17h au campus Hannah Arendt (74 rue Louis Pasteur). Les 70 établissements publics et privés présents représenteront l’offre de formation disponible sur le territoire Vauclusien mais aussi les départements limitrophes, allant jusqu’à Lyon, Toulon, Marseille et Montpellier. Les filières post-bac seront fortement représentées (licences, CPGE, BTS, BUT, bachelors, masters, licences professionnelles, grandes écoles). L’éventail est large : des formations post-bac et jusqu’au bac+8 (études courtes, longues, professionnelles, généralistes, en initiale ou en alternance). 

Chaque visiteur aura la possibilité d’échanger avec des enseignants, étudiants et des professionnels de l’orientation, de la vie étudiante et de plusieurs corps de métiers, via des stands d’information et des conférences. Il pourra également enrichir ses connaissances sur la poursuite d’études ou découvrir les structures qui pourront l’accompagner pour rechercher un premier emploi en tant que jeune diplômé. L’entrepreneuriat étudiant sera également mis à l’honneur.

Ce forum permettra à chacun de faire le lien entre une formation et un métier grâce à une forte représentation de différents secteurs professionnels et de structures d’orientation et d’accompagnement. Chacun pourra trouver de nombreuses informations sur les aides sociales, le transport, le logement, la mobilité, les pratiques sportives et culturelles, etc.

70 établissements, 40 stands, 9 conférences

La journée sera organisée en 3 pôles (information/orientation/vie étudiante, métiers et formations), 140 stands et 9 conférences. Découvrir l’ensemble des exposants. Plusieurs conférences thématique seront au programme : Parcoursup ; jeune diplômé et après ? ; que faire après un bac+2 ou bac+3 ? ; quelles spécialités choisir ? ; à la découverte des études de santé ; valoriser ses expériences : césure, mobilité, stages, entrepreneuriat ; préparer un parcours en ingénierie à l’université ; choisir de se former en alternance ou en école de commerce.

L’accès se fera uniquement par l’entrée du boulevard Limbert. Pour participer à l’événement, tous les visiteurs devront présenter une invitation gratuite, reçue par mail : s’inscrire. Port du masque obligatoire. Restauration possible sur place à la cafétéria (10h-16h) et au restaurant universitaire (11h30-13h30) du Crous.

L.M.

https://echodumardi.com/tag/formation/page/10/   1/1