23 novembre 2024 |

Ecrit par le 23 novembre 2024

Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Du 18 août au 7 septembre, les dernières créations, ainsi que quelques toiles plus anciennes, d’Yvan Magnagni seront exposées dans la grande salle du XVIIe siècle de la Chapelle des Pénitents Blanc, à Saint-Martin de Castillon.

Yvan Magnani est né au bord du désert, dans le sud-est algérien. Il passe ensuite son enfance en Bretagne. En 1963, il entre aux Beaux Arts de Rennes puis au Centre d’Art Méditerranée de Vallauris. L’Italie lui décerne un troisième prix à la Triennale de Milan, ville dont il fréquente l’Accademia di Brera. Il achève ses études à Paris, à l’Atelier Julian et à l’école du Louve.

Impressionné par les toiles de Serge Poliakoff, Nicolas de Staël et Jackson Pollock, il poursuit ses recherches en Italie, puis en Provence. Il se fixe finalement dans le Luberon en 1980, un « agréable piège ». Il expose ensuite ses œuvres en Italie, France, Allemagne, Suisse et Espagne avant d’aller plus loin à l’est : en Thaïlande, au Vietnam et en Malaisie.

Le travail présenté à la Chapelle des Pénitents Blanc montre un attachement aux paysages de l’esprit mais aussi à la région où il vit, le Luberon, à travers des toiles de plusieurs formats, des aquarelles et des acryliques-encre de chine, qui ont en commun l’expression et l’abstraction. Les titres des tableaux apportent de la précision à des formes non conventionnelles car le peintre puise dans le cosmos et ses éléments : la Terre ou Mars, la géologie, les couches, les strates, les plaques, les sédiments, le magma, l’essentiel de ce monde. 

Autoclave I (90X90) © Yvan Magnani
Autoclave II (92X65) © Yvan Magnani
Contrainte obligée III (126X114) © Yvan Magnani

Du 18 août au 7 septembre, à la Chapelle des Pénitents Blancs, Saint-Martin-de-Castillon.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Jusqu’au 30 septembre prochain, le Musée du cartonnage et de l’imprimerie, situé à Valréas, accueille l’exposition ‘Transparences’. Deux artistes, Angélina Maia et Sarah Barthélémy, joignent leurs forces et, à travers leurs créations en carton et en papier, jouent sur la finesse et la délicatesse de ses matières.

Angélina Maia s’inspire des statues de l’Antiquité grecque et propose des sculptures en dentelles de carton fragmentées. Sensible au cancer du sein, elle offre une ode au corps de la femme. Sarah Barthélémy-Sibi, quant à elle, fait apparaître et disparaître des figures de papier découpé, mouvantes et suspendues, faisant presque penser à de la peau.

Fermé les lundis et dimanches (ouvert le premier dimanche de chaque mois). De 10h à 13h et de 14h30 à 18h. 5€. Musée du cartonnage et de l’imprimerie. 3 Avenue Mal Foch. Valréas.

V.A.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Le vernissage de l’exposition des photographies de Laurent Charpentier « En Partance » aura lieu ce lundi 14 août à partir de 18h30 à la galerie Heckel à Cavaillon. Elle sera visible jusqu’au 30 septembre.

Embarqué pour une carrière sur cargos et remorqueurs, Laurent Charpentier a bifurqué vers le journalisme et l’image, tout en restant fidèle au monde maritime.

« En Partance », la série inédite de photographies qu’il présente à la Galerie Heckel évoque ses navigations hauturières, toutes perçues comme des rêveries, toutes vécues comme autant de voyages oniriques : au large, les marins pérégrinent entre deux infinis, dans une solitude ontologique et spirituelle.

Galerie Heckel ouverte tous les jours de l’été, de 10h à 18h. 97 rue de la République, Cavaillon.

J.R.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Jusqu’au 24 septembre, la fondation MRO propose chaque jour un programme d’expositions qui met en avant la relation entre les plantes et l’Homme.

Grow Up est un programme d’expositions, proposant des regards croisés sur le mouvement des plantes à travers le monde. La vingtaine d’artistes présentés ont un ancrage géographique en Amérique du Sud, Amérique Centrale ou encore à Taïwan.

Chaque focus met en avant la relation entre les plantes et l’Homme, explorant les relations locales d’un territoire mais aussi internationales. Cette échelle géographique traverse les récits et questions politiques, sociales, environnementales mais aussi les questions post-colonialismes. Les projets croisent les plantes maîtresses, le chamanisme, la drogue mais aussi l’exploration sensible d’un territoire.

Cette relation aux plantes est centrale, elles sont sacrées et au cœur des cultures et croyances locales, Grow up souhaite cultiver et faire grandir les consciences sur le rapport au vivant.

Avec les travaux de Verdiana ALBANO, Pepe ATOCHA, Teo BELTON et Florence GOUPIL, Thomas BRASEY, Isabelle CHAPUIS, Steph COP et Bálint PÖRNECZI, Celine CROZE, Mathias de LATTRE, José DINIZ, Arguiñe ESCANDÓN et Yann GROSS, Nicolas HENRY, Andrea HERNÁNDEZ BRICEÑO, HSU Cheng-Tang, KUO Che-Hsi, Samir LAGHOUATI-RASHWAN, Marc LATHUILLIÈRE, Gabriel MORAES AQUINO, Mads NISSEN et Juan ARREAZA, Tommaso PROTTI, Antoine RENARD, Philippine SCHAEFER, WU Chuan-Lun et les collectifs COLLECTIF FIVE, DOCKS COLLECTIVE, LESASSOCIÉS.

18 rue de la Calade, Arles. Tous les jours de 10h à 19h30 jusqu’au 24 septembre. Tarifs : plein 6€ / réduit 4€. La vente des billets cesse 30 minutes avant la fermeture.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Dans le cadre du Positiv Festival, qui aura lieu du 18 au 20 août au Théâtre antique d’Orange, l’artiste pluridisciplinaire Richard Orlinski s’associe à l’équipe de l’événement à travers différentes collaborations telles qu’un DJ Set le 20 août, mais aussi une exposition de quatre œuvres dans l’enceinte du Théâtre durant tout le mois.

Ainsi, jusqu’au 3 septembre, les visiteurs du Théâtre antique pourront découvrir ces quatre œuvres impressionnantes au cours de leur visite. Ils pourront notamment admirer le célèbre Kong de 2m30, sculpture emblématique de Richard Orlinski qui a largement participé à sa renommée et en a fait l’artiste français le plus vendu au monde. « J’aime tout particulièrement être là où on ne m’attend pas et amener l’art dans des lieux aussi insolites comme ce lieu mythique, explique-t-il. Amener la pop culture dans un lieu historique comme celui-là, mixer ces univers, c’est l’une des raisons qui m’ont donné envier de réaliser cette exposition. »

V.A.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Après une première exposition ‘Expo(se)-Toi’ à Gordes en octobre 2022 qui a remporté un franc succès avec plus de 400 visiteurs, l’association vauclusienne Eclipse 209 propose cette année ‘Expo(se)-Toi Tour’, une tournée artistique mettant en avant le travail de neuf artistes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur dans trois lieux vauclusiens du 9 août au 16 septembre.

Co-créée en avril 2022 par deux Vauclusiens, Emma Mariage et Yoann Tome Mestre, l’association Eclipse 209 a cœur de mettre en lumière des jeunes artistes entre 18 et 30 ans, peu importe l’art qu’ils pratiquent. Telle est l’ambition de l’événement ‘Expo(se)-Toi Tour’, qui débarque dès le mercredi 9 août. Cette première tournée artistique, proposée par l’association, va réunir neuf artistes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur dans trois lieux de Vaucluse. Musique, peinture, dessin, ou encore sculpture, il y en aura pour tous les goûts.

Deux expositions auront lieu au mois d’août. La première sera au salon de thé Arteastic à Avignon du mercredi 9 au mardi 22 août, et la seconde à la Chapelle Sainte Foy aux Baumettes du jeudi 24 au dimanche 27 août. Pour ces deux expositions, les artistes vont créer des œuvres complétement inédites, qui ne seront dévoilées qu’au moment venu. Le troisième et dernier événement de la tournée sera un concert à l’espace culturel les Platrières à l’Isle-sur-la-Sorgue le 16 septembre.

Une exposition, une artiste

La première exposition, qui aura lieu du mercredi 9 au mardi 22 août, mettra en avant le travail d’une seule artiste : Laurine Jarmasson. Si certaines de ses œuvres sont réalisées en collaboration avec Magali Perrin, l’artiste arlésienne travaille aussi en solo.

Son univers abstrait aux influences du street art sera exposé à Arteastic, un salon de thé et épicerie fine, composé également d’un espace dédié pour des artistes locaux ou nationaux, situé en centre-ville, à Avignon. Le vernissage aura lieu le vendredi 11 août à 18h.

Du 9 au 22 août. De 9h30 à 18h. Fermé les dimanches et lundis. Gratuit. 15 Rue de la Petite Fusterie. Avignon.

Dessin, peinture et sculpture

La seconde exposition de la tournée, qui aura lieu du jeudi 24 au dimanche 27 août, mêlera plusieurs formes d’art à travers les œuvres de quatre artistes : Zinzi, Bastien Faudon, Leïa Pelletier, et Chierartype.

Créations en noir et blanc réalisées à l’aide d’un pastel noir, œuvres hautes en couleur, collages, sculptures autour de la féminité et de la nature, ou encore représentations de l’espace et du temps en dessin, le public va pouvoir en prendre plein les yeux. Le vernissage aura lieu le jeudi 24 août à 19h.

Du 24 au 27 août. De 10h30 à 18h. Gratuit. Chapelle Sainte Foy. Montée du Château. Les Beaumettes.

Un concert des nouveaux talents

Le samedi 16 septembre, l’association Eclipse 209 clôturera sa tournée artistique avec un concert de nouveaux talents à l’Isle-sur-la-Sorgue. Quatre artistes et groupes se succéderont sur scène et proposeront différents styles de musique.

La chanteuse et productrice Ela Mbass vous emportera dans son univers inspiré des sons reggae, dub, afro et R&B. Le quarter Déja Vu vous plongera dans la musique alternative londonienne teintée de jazz et inspirée d’artistes comme Yellow Days, Mac Miller ou encore Jorja Smith. L’artiste marseillais Milo proposera du R&B coloré de rock alternatif et de pop. Enfin, Nadir, également originaire de Marseille proposera une musique entre rap moderne, pop, R&B, et rock.

16 septembre. 20h. 5€ (billetterie en ligne). Espace culturel Les Platrières. 36 Boulevard Paul Pons. Isle-sur-la-Sorgue.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Selon les données diffusées par l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique), 2,3 millions de mineurs fréquentent chaque mois des sites pornographiques en France. Un chiffre non seulement en hausse, mais qui concerne une population de plus en plus jeune.

A l’heure où le tribunal judiciaire de Paris vient de reporter sa décision d’imposer ou non le blocage des principaux sites X aux moins de 18 ans, l’agence spécialisée en data Flashs et le média dédié à l’actualité numérique 01Net ont confié le soin à l’Ifop d’interroger les Français sur leur rapport à la pornographie. Cette enquête confirme notamment la précocité à laquelle de très nombreux jeunes sont confrontés à contenus pornographiques, et met en exergue les conséquences qu’une telle exposition peut engendrer sur leur sexualité.

Ainsi, plus du tiers (35%) des jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans ont surfé sur un site pornographique avant leurs 13 ans contre 12% il y a 10 ans.
L’évolution depuis 2013 est également flagrante chez les jeunes femmes de la même tranche d’âge : elles sont aujourd’hui 19% à avoir été exposées à du contenu X avant leurs 13 ans contre 9% il y a 10 ans.

La pornographie comme apprentissage
Plus de la moitié des 18-24 ans (54% chez les hommes, 51% chez les femmes) indiquent que la pornographie a joué un rôle dans leur apprentissage de la sexualité. C’est 18 points de plus que la moyenne des adultes (35%).
Par ailleurs, 42% des Français.es ayant déjà visionné une vidéo pornographique ont reproduit des scènes ou des positions vues à l’écran (c’est le cas de 54% des moins de 25 ans) et 41% s’en sont inspirés pour leurs pratiques sexuelles (48% chez les moins de 25 ans).

Le X, source de complexes physiques
Confrontés à des anatomies souvent hors normes, les amateurs de pornographie peuvent nourrir des complexes vis-à-vis de leur propre physique. Ainsi, 30% des hommes (51% chez les moins de 25 ans) disent avoir complexé sur la taille de leur pénis et 22% des femmes (39% chez les moins de 25 ans) sur la taille de leurs seins.
La comparaison de la forme de leurs organes génitaux avec ceux présentés dans les productions X est également source de troubles. Les jeunes femmes sont ainsi 39% à avoir ressenti un complexe relatif à la forme de leur vulve en visionnant un contenu pornographique.

 Au-delà des seuls organes génitaux, la confrontation avec les corps des actrices et acteurs de l’industrie pornographique est de nature à engendrer de tels complexes : le tiers des femmes (33%) et près du quart des hommes (22%) en font état. Là encore, les jeunes sont particulièrement exposés, plus de la moitié (54%) des jeunes femmes de moins de 25 ans se disant concernées, qu’il s’agisse de leur pilosité ou de la fermeté de leur corps.
Il n’est pas de vidéos pornographiques sans orgasmes bruyants et démonstratifs.  Mises en scène qui s’avèrent de nature à faire douter celles et ceux qui les visionnent sur leurs propres capacités à faire jouir leurs partenaires. Une remise en cause qui touche plus les hommes (29%) que les femmes (17%).

« L’impact de la culture porn transparaît aussi dans sa capacité à imposer ses représentations du corps et des organes sexuels. »

 « Malgré la révolution féministe actuelle et l’essor des discours de type ‘bodypositif’, le visionnage de films X laisse bien, chez les jeunes, des traces dans les corps comme dans les esprits… Car son impact sur la sexualité des Français ne se limite pas qu’à un visionnage passif d’images pornographiques, constate François Kraus, directeur du pôle ‘Genre, sexualités et santé sexuelle’ à l’Ifop. Notre enquête confirme le rôle des films X dans la construction de leur imaginaire sexuel, notamment chez des jeunes pour qui ils constituent une source d’apprentissage des pratiques et techniques sexuelles. Et, si nombre de jeunes intègrent même les codes et scénographies de la pornographie dans leur répertoire sexuel, ils sont aussi nombreux à être perméables aux représentations du corps véhiculées par ces vidéos. En effet, l’impact de la culture porn transparaît aussi dans sa capacité à imposer ses représentations du corps et des organes sexuels telles que les formes de vulves ‘parfaites’ et épilées totalement, indissociables d’un univers pornographique qui les ont popularisées ces dernières années. En cela, la restriction de l’accès au porn aux mineurs ne doit pas être perçue comme l’expression d’une ‘panique morale’ des parents, mais bien comme un moyen de réduire l’influence d’une culture porn génératrice d’anxiété, de complexes corporels et de divers scripts sexuels sexistes. »

*Étude IFOP pour 01net réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 13 au 17 avril 2023 auprès d’un échantillon de 2 006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Le couple, composé de l’autrice Carole Ruel, et du photographe Stéphane Ruel, allie la poésie et la photographie dans l’exposition ‘De froidure et de glace’. Le public pourra découvrir cette dernière à la Chapelle du Collège à Carpentras du jeudi 13 juillet au vendredi 11 août.

À travers cette série photographique, Carole et Stéphane Ruel vous plongeront dans la saison hivernale en pleine période d’été. Ils raconteront l’histoire de l’eau qui se fige, de la vie en sommeil, des éclats de rire pris au piège qui scintillent dans la lumière du jour, mis en avant par des jeux de nuances de couleurs.

Le vernissage aura lieu en présence des deux artistes ce jeudi 13 juillet à 18h30. L’exposition est accessible du mardi au jeudi de 10h à 12h30 et de 15h à 18h, et le vendredi et le samedi de 10h à 13h et de 14h30 à 18h.

Du 13 juillet au 11 août. Chapelle du Collège. 21 rue du Collège. Carpentras.

V.A.


Saint-Martin-de-Castillon : Yvan Magnani expose ses dernières œuvres

Jusqu’au 25 juillet, une triple exposition se tient à la Maison Jean Vilar en hommage à la Cour d’honneur, à la comédienne Catherine Sellers et au graphiste Marcel Jacno.

Acte 1 du Festival d’Avignon 2023 : le pèlerinage à la Maison Jean Vilar, ce mercredi 5 juillet, où les citations se succèdent. D’abord Jean Bellorini, l’actuel directeur du TNP (Théâtre National Populaire) déclare : « Ne rien effacer, prolonger ». Françoise Nyssen, ancienne ministre de la Culture et présidente du Festival : « La mémoire est l’avenir ». Enfin Tiago Rodrigues, le nouveau directeur du festival : « La pensée et l’action de Jean Vilar nous inspirent et nous guident. Nous devons conserver cette mémoire de la culture. Je suis chez moi chez Jean Vilar ».

Avant eux, la maire d’Avignon n’avait pas caché son émotion dans « Ce temple du théâtre, de la culture populaire. » Cécile Helle qui a salué le retour d’Hortense Archambault, co-directrice du festival avec Vincent Baudriller (2004-2013) désormais présidente de cette glorieuse Maison Jean Vilar. « Cette ville est complexe, pleine de contrastes, notre défi est de faire tomber les barrières entre l’intra et l’extra-muros pour que tous les Avignonnais se sentent ici chez eux, y compris ceux qui vivent au-delà des remparts. Et que tout le monde ensemble réfléchisse aux mots et aux maux de notre temps ».

Enfin, la Préfète, Violaine Démaret a évoqué « Le tic-tac du compte à rebours. Le jour-J. On y est. Depuis des mois (elle est arrivée dans le Vaucluse le 23 août dernier), je travaille avec mes équipes et tous les services de l’Etat pour que tout se passe bien dans Avignon, cette ville-monde, cette capitale du théâtre ». Et de conclure : « Le monstre sacré n’est pas sur scène, c’est le public qui vit son rêve éveillé ».

3 expositions à voir jusqu’au 25 juillet :

  • « L’œil présent continue », des coulisses aux représentations, Christophe Raynaud de Lage photographie les spectacles depuis 18 ans. Cour d’honneur, Carrière de Boulbon, vent et pluie sont à la fois cadres et personnages.
  • Catherine Sellers, 50 ans de théâtre avec les photos, affiches, costumes de cette comédienne qui a joué Racine, Claudel, Tchekhov, Handke, Camus. Elle fut aussi l’égérie de Marguerite Duras (« Détruire, dit-elle », « Jaune le soleil », « La femme du Gange »).
  • Oh Jacno ! Un hommage graphique à Marcel Jacno (1904-1989), dessinateur d’alphabets qui ont fait les beaux jours des pubs pour les paquets de Gauloises bleues (1946), du logo du TNP de Jean Vilar (1951), du Festival d’Avignon avec ses 3 clés, de parfums de Guerlain et Chanel.

Une promenade photographique de Jean Vilar à Avignon est toujours proposée au-dessus de la Cour d’honneur, en montant au Jardin des Doms. Depuis 2021, déjà 500 000 visiteurs l’ont vue en déambulant, au détour d’un bosquet ou d’une allée et découvert en noir et blanc Gérard Philipe, Maria Casarès, Philippe Noiret, François Chaumette, Silvia Montfort, Georges Wilson, Maurice Béjart en pull marin et Jean Vilar en salopette.

Contacts : 8, Rue de Mons – Avignon accueil@maison jeanvilar.org         

https://echodumardi.com/tag/exposition/page/8/   1/1