L’association Passion Mécanique organise une rencontre de véhicules d’exception ce dimanche de 9h à 12h sur le parking du Cellier des Princes. L’occasion pour les passionnés de partager leur passion avec d’autres enthousiastes, d’échanger des histoires et des connaissances et de créer des souvenirs.
Dimanche 10 septembre de 9h à 12h sur le parking du Cellier des Princes, 758 route d’Orange, Courthézon. Entrée gratuite.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Le jeune artiste autodidacte de 20 ans Angelo Douiller dévoilera ses peintures au public du vendredi 8 au lundi 25 septembre à travers l’exposition ‘Métamorphoses’ au Cloître Saint-Louis à Avignon.
Ce sera la 10ᵉ exposition du peintre, qui est sorti de sa zone de confort composé des bleus et des rouges pour explorer des verts, des noirs ou encore des ocres, mais qui est aussi passé de surfaces lisses à des rugosités terreuses, afin de bousculer les repères des formats, des lumières et des énergies. Cette exposition représentera les différentes métamorphoses de notre monde qui va vers un avenir incertain.
L’exposition sera parrainé par André Castelli, amateur d’art et acquéreur de l’une des premières toiles d’Angelo Douiller, et par Michel Lagrange, poète et agrégé de littérature, qui ont tous deux écrit les textes qui accompagneront les œuvres. Le vernissage aura lieu ce vendredi 8 septembre à 18h.
Du 8 au 25 septembre. Entrée libre de 10h à 18h tous les jours sauf les mardis. Cloître Saint-Louis. 20 rue du Portail Boquier. Avignon.
V.A.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Ce samedi 2 septembre, les œuvres de Danièle Meyer prendront place au sein de l’Abbaye Notre Dame de Bon Secours à Blauvac, à travers l’exposition ‘Art pictural’, qui sera en place jusqu’à la fin du mois. Le vernissage aura lieu de samedi 2 septembre à 17h.
L’artiste de Malemort-du-Comtat utilise principalement de la peinture à l’huile extra-fine, appliquée au pinceau ou au couteau, pour ses tableaux. Jeux de bleus, sous-bois ombreux, ou encore dame songeuse, les visiteurs découvriront des motifs très divers, entre le figuratif et le semi-abstrait.
Du 2 au 30 septembre. Du mardi au samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h30, et le dimanche de 15h à 18h30. Entrée libre. Abbaye Notre Dame de Bon Secours. 994 Route de Saint Estève. Blauvac.
V.A.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Le siège de la Fondation VII, situé à Arles, accueille sa première exposition : ‘See Through the Noise’. Une exposition collective qui est visible jusqu’au 31 janvier 2024.
L’objectif de la Fondation VII est de transformer le journalisme visuel en donnant la parole à de nouvelles voix et en créant des histoires qui prônent le changement. L’exposition ‘See Through the Noise’ est une rétrospective collective des photographes de VII. De la guerre en Bosnie à la guerre en Ukraine, elle présente certains des évènements les plus marquants de l’histoire dont ils ont été témoins.
Avec des scènes épiques comme la bataille du pont de Dyala en Irak, et des moments plus intimes comme celui d’un Américain travaillant sur son camion, cette exposition couvre un large éventail des questions qui sont au cœur du travail des photographes de VII. Cette exposition met l’accent sur l’engagement de la fondation pour la vérité dans le journalisme. Bon nombre des photographies exposées ont déjà reçu les prix les plus prestigieux de l’industrie, ont été publiées dans les principaux médias, dont TIME Magazine, Der Speigel, National Geographic, Le Monde, The New York Times et Paris Match, ou sont entrées dans les collections des plus grands musées et institutions.
Composée de photographies, d’informations contextuelles et de textes, l’exposition comporte des œuvres d’Ali Arkady, Anush Babajanyan, Jocelyn Bain Hogg, Philip Blenkinsop, Alexandra Boulat, Eric Bouvet, Stefano De Luigi, Linda Bournane Engelberth, Danny Wilcox Frazier, Ziyah Gafic, Ashley Gilbertson, Ron Haviv, Ed Kashi, Gary Knight, Joachim Ladefoged, Paul Lowe, Christopher Morris, Seamus Murphy, Maciek Nabrdalik, Ilvy Njiokiktjien, Franco Pagetti, Espen Rasmussen, Daniel Schwartz, John Stanmeyer, Maggie Steber, Nichole Sobecki, Sara Terry et Tomas Van Houtryve.
Jusqu’au 31 janvier 2024. Entrée libre. Du mercredi au samedi de 11h à 17h jusqu’au 6 novembre. Les mercredis de 11h à 17h à partir du 6 novembre. 49 Quai de la Roquette. Arles.
V.A.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Les photographies de la Sorgue de Rémi Michel seront au cœur d’une exposition dont le vernissage aura lieu ce samedi 2 septembre à la Maison sur la Sorgue
Rémi Michel est le photographe de la Sorgue, cette rivière qui entoure de ses bras la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue. Il est né en Vaucluse, à la source de la rivière, vers le milieu du XXème siècle et a toujours vécu au cœur du pays des Monts de Vaucluse et des bords de Sorgue.
La Sorgue, rivière emblématique de ce pays que Rémi Michel connaît parfaitement est, pour ce riverain passionné, dont la famille vivait déjà sur les bords de la Sorgue sous le règne de Louis XIII, une source d’inspiration intarissable.
Après une première exposition en 2012 et une autre en 2019, les photographies de la Sorgue de Rémi Michel seront au cœur d’une nouvelle exposition à compter du 1er septembre. Le vernissage de cette exposition, visible jusqu’au 1er octobre, aura lieu ce samedi 2 septembre de 18h à 20h à la Maison sur la Sorgue.
Vernissage samedi 2 septembre de 18h à 20h. Exposition visible jusqu’au 1er octobre. La Maison sur la Sorgue, 6 rue Rose Goudard, Isle-sur-la-Sorgue.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Alors que l’accès aux massifs forestiers est réglementé en raison du risque incendie lié à la canicule, le Parc naturel régional du Luberon vous propose de découvrir l’exposition ‘À la découverte de nos forêts, du Luberon à la montagne de Lure’ jusqu’au 15 septembre.
De la plaine de la Durance aux pentes de la montagne de Lure, en passant par le massif du Luberon, le territoire Luberon-Lure s’étend sur près de 250 000 hectares. Il abrite principalement des forêts (57%) et des garrigues boisées (10%).
La Maison du Parc, situé à Apt, vous propose de découvrir ces espaces forestiers grâce à l’exposition ‘À la découverte de nos forêts, du Luberon à la montagne de Lure’ composée de huit panneaux pédagogiques, mais aussi de sculptures en bois local de Paul Fournier. Le Parc naturel régional du Luberon a même élaboré un jeu intitulé ‘Hector l’arbre mort’, qui permet d’explorer la diversité de la vie dans l’écosystème forestier et apprendre à protéger la nature et les forêts.
Jusqu’au 15 septembre. Du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30. Entrée gratuite. Maison du Parc. 60 place Jean-Jaurès. Apt.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Le centre national des écritures du spectacle La Chartreuse, situé à Villeneuve-lès-Avignon, accueille l’exposition de photographies ‘La Chartreuse en 1953’ jusqu’au 20 septembre, dans le cadre des 50 ans du Centre culturel de rencontre de la Chartreuse.
Cette exposition montre des scènes de vie, capturées par l’objectif du cinéaste Alain Cavalier en 1953, quand la Chartreuse était encore un quartier de Villeneuve-lès-Avignon, souvent mal considéré au vu des populations pauvres et parfois indigentes qui y habitaient. L’exposition porte une attention particulière aux visages, aux mouvements, à la vie sur le cloître Saint-Jean, véritable place de ce ‘village dans le village’, aire de jeux des enfants.
Jusqu’au 20 septembre. De 9h30 à 18h tous les jours. 8€ (exposition comprise dans la visite du monument). La Chartreuse. 58 rue de la République. Villeneuve-lès-Avignon.
Le vernissage de l’exposition aura lieu ce vendredi 25 août à 18h30. Les œuvres seront en place jusqu’au 15 octobre prochain. Les visiteurs pourront les admirer du mercredi au dimanche de 15h à 19h.
Espace d’art François-Auguste Ducros. 12 place du jeu de ballon. Grignan.
V.A.
Des véhicules d’exception exposés ce dimanche
Du 18 août au 7 septembre, les dernières créations, ainsi que quelques toiles plus anciennes, d’Yvan Magnagni seront exposées dans la grande salle du XVIIe siècle de la Chapelle des Pénitents Blanc, à Saint-Martin de Castillon.
Yvan Magnani est né au bord du désert, dans le sud-est algérien. Il passe ensuite son enfance en Bretagne. En 1963, il entre aux Beaux Arts de Rennes puis au Centre d’Art Méditerranée de Vallauris. L’Italie lui décerne un troisième prix à la Triennale de Milan, ville dont il fréquente l’Accademia di Brera. Il achève ses études à Paris, à l’Atelier Julian et à l’école du Louve.
Impressionné par les toiles de Serge Poliakoff, Nicolas de Staël et Jackson Pollock, il poursuit ses recherches en Italie, puis en Provence. Il se fixe finalement dans le Luberon en 1980, un « agréable piège ». Il expose ensuite ses œuvres en Italie, France, Allemagne, Suisse et Espagne avant d’aller plus loin à l’est : en Thaïlande, au Vietnam et en Malaisie.
Le travail présenté à la Chapelle des Pénitents Blanc montre un attachement aux paysages de l’esprit mais aussi à la région où il vit, le Luberon, à travers des toiles de plusieurs formats, des aquarelles et des acryliques-encre de chine, qui ont en commun l’expression et l’abstraction. Les titres des tableaux apportent de la précision à des formes non conventionnelles car le peintre puise dans le cosmos et ses éléments : la Terre ou Mars, la géologie, les couches, les strates, les plaques, les sédiments, le magma, l’essentiel de ce monde.