25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le siège de la Fondation VII, situé à Arles, accueille sa première exposition : ‘See Through the Noise’. Une exposition collective qui est visible jusqu’au 31 janvier 2024.

L’objectif de la Fondation VII est de transformer le journalisme visuel en donnant la parole à de nouvelles voix et en créant des histoires qui prônent le changement. L’exposition ‘See Through the Noise’ est une rétrospective collective des photographes de VII. De la guerre en Bosnie à la guerre en Ukraine, elle présente certains des évènements les plus marquants de l’histoire dont ils ont été témoins.

Avec des scènes épiques comme la bataille du pont de Dyala en Irak, et des moments plus intimes comme celui d’un Américain travaillant sur son camion, cette exposition couvre un large éventail des questions qui sont au cœur du travail des photographes de VII. Cette exposition met l’accent sur l’engagement de la fondation pour la vérité dans le journalisme. Bon nombre des photographies exposées ont déjà reçu les prix les plus prestigieux de l’industrie, ont été publiées dans les principaux médias, dont TIME Magazine, Der Speigel, National Geographic, Le Monde, The New York Times et Paris Match, ou sont entrées dans les collections des plus grands musées et institutions.

Composée de photographies, d’informations contextuelles et de textes, l’exposition comporte des œuvres d’Ali Arkady, Anush Babajanyan, Jocelyn Bain Hogg, Philip Blenkinsop, Alexandra Boulat, Eric Bouvet, Stefano De Luigi, Linda Bournane Engelberth, Danny Wilcox Frazier, Ziyah Gafic, Ashley Gilbertson, Ron Haviv, Ed Kashi, Gary Knight, Joachim Ladefoged, Paul Lowe, Christopher Morris, Seamus Murphy, Maciek Nabrdalik, Ilvy Njiokiktjien, Franco Pagetti, Espen Rasmussen, Daniel Schwartz, John Stanmeyer, Maggie Steber, Nichole Sobecki, Sara Terry et Tomas Van Houtryve.

Jusqu’au 31 janvier 2024. Entrée libre. Du mercredi au samedi de 11h à 17h jusqu’au 6 novembre. Les mercredis de 11h à 17h à partir du 6 novembre. 49 Quai de la Roquette. Arles.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Les photographies de la Sorgue de Rémi Michel seront au cœur d’une exposition dont le vernissage aura lieu ce samedi 2 septembre à la Maison sur la Sorgue

Rémi Michel est le photographe de la Sorgue, cette rivière qui entoure de ses bras la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue. Il est né en Vaucluse, à la source de la rivière, vers le milieu du XXème siècle et a toujours vécu au cœur du pays des Monts de Vaucluse et des bords de Sorgue.

La Sorgue, rivière emblématique de ce pays que Rémi Michel connaît parfaitement est, pour ce riverain passionné, dont la famille vivait déjà sur les bords de la Sorgue sous le règne de Louis XIII, une source d’inspiration intarissable.

Après une première exposition en 2012 et une autre en 2019, les photographies de la Sorgue de Rémi Michel seront au cœur d’une nouvelle exposition à compter du 1er septembre. Le vernissage de cette exposition, visible jusqu’au 1er octobre, aura lieu ce samedi 2 septembre de 18h à 20h à la Maison sur la Sorgue.

Vernissage samedi 2 septembre de 18h à 20h. Exposition visible jusqu’au 1er octobre. La Maison sur la Sorgue, 6 rue Rose Goudard, Isle-sur-la-Sorgue.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Alors que l’accès aux massifs forestiers est réglementé en raison du risque incendie lié à la canicule, le Parc naturel régional du Luberon vous propose de découvrir l’exposition ‘À la découverte de nos forêts, du Luberon à la montagne de Lure’ jusqu’au 15 septembre.

De la plaine de la Durance aux pentes de la montagne de Lure, en passant par le massif du Luberon, le territoire Luberon-Lure s’étend sur près de 250 000 hectares. Il abrite principalement des forêts (57%) et des garrigues boisées (10%).

La Maison du Parc, situé à Apt, vous propose de découvrir ces espaces forestiers grâce à l’exposition ‘À la découverte de nos forêts, du Luberon à la montagne de Lure’ composée de huit panneaux pédagogiques, mais aussi de sculptures en bois local de Paul Fournier. Le Parc naturel régional du Luberon a même élaboré un jeu intitulé ‘Hector l’arbre mort’, qui permet d’explorer la diversité de la vie dans l’écosystème forestier et apprendre à protéger la nature et les forêts.

Jusqu’au 15 septembre. Du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30. Entrée gratuite. Maison du Parc. 60 place Jean-Jaurès. Apt.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le centre national des écritures du spectacle La Chartreuse, situé à Villeneuve-lès-Avignon, accueille l’exposition de photographies ‘La Chartreuse en 1953’ jusqu’au 20 septembre, dans le cadre des 50 ans du Centre culturel de rencontre de la Chartreuse.

Cette exposition montre des scènes de vie, capturées par l’objectif du cinéaste Alain Cavalier en 1953, quand la Chartreuse était encore un quartier de Villeneuve-lès-Avignon, souvent mal considéré au vu des populations pauvres et parfois indigentes qui y habitaient. L’exposition porte une attention particulière aux visages, aux mouvements, à la vie sur le cloître Saint-Jean, véritable place de ce ‘village dans le village’, aire de jeux des enfants.

Jusqu’au 20 septembre. De 9h30 à 18h tous les jours. 8€ (exposition comprise dans la visite du monument). La Chartreuse. 58 rue de la République. Villeneuve-lès-Avignon.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

À partir de ce vendredi 25 août, l’espace d’art François-Auguste Ducros à Grignan accueillera l’exposition ‘Rencontre’. Les chemins entre différentes formes d’art vont se croiser. La peintre Danielle Humbey-Barrière exposera ses œuvres aux côtés de celles de la sculptrice Martine Chevant.

Le vernissage de l’exposition aura lieu ce vendredi 25 août à 18h30. Les œuvres seront en place jusqu’au 15 octobre prochain. Les visiteurs pourront les admirer du mercredi au dimanche de 15h à 19h.

Espace d’art François-Auguste Ducros. 12 place du jeu de ballon. Grignan.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Du 18 août au 7 septembre, les dernières créations, ainsi que quelques toiles plus anciennes, d’Yvan Magnagni seront exposées dans la grande salle du XVIIe siècle de la Chapelle des Pénitents Blanc, à Saint-Martin de Castillon.

Yvan Magnani est né au bord du désert, dans le sud-est algérien. Il passe ensuite son enfance en Bretagne. En 1963, il entre aux Beaux Arts de Rennes puis au Centre d’Art Méditerranée de Vallauris. L’Italie lui décerne un troisième prix à la Triennale de Milan, ville dont il fréquente l’Accademia di Brera. Il achève ses études à Paris, à l’Atelier Julian et à l’école du Louve.

Impressionné par les toiles de Serge Poliakoff, Nicolas de Staël et Jackson Pollock, il poursuit ses recherches en Italie, puis en Provence. Il se fixe finalement dans le Luberon en 1980, un « agréable piège ». Il expose ensuite ses œuvres en Italie, France, Allemagne, Suisse et Espagne avant d’aller plus loin à l’est : en Thaïlande, au Vietnam et en Malaisie.

Le travail présenté à la Chapelle des Pénitents Blanc montre un attachement aux paysages de l’esprit mais aussi à la région où il vit, le Luberon, à travers des toiles de plusieurs formats, des aquarelles et des acryliques-encre de chine, qui ont en commun l’expression et l’abstraction. Les titres des tableaux apportent de la précision à des formes non conventionnelles car le peintre puise dans le cosmos et ses éléments : la Terre ou Mars, la géologie, les couches, les strates, les plaques, les sédiments, le magma, l’essentiel de ce monde. 

Autoclave I (90X90) © Yvan Magnani
Autoclave II (92X65) © Yvan Magnani
Contrainte obligée III (126X114) © Yvan Magnani

Du 18 août au 7 septembre, à la Chapelle des Pénitents Blancs, Saint-Martin-de-Castillon.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Jusqu’au 30 septembre prochain, le Musée du cartonnage et de l’imprimerie, situé à Valréas, accueille l’exposition ‘Transparences’. Deux artistes, Angélina Maia et Sarah Barthélémy, joignent leurs forces et, à travers leurs créations en carton et en papier, jouent sur la finesse et la délicatesse de ses matières.

Angélina Maia s’inspire des statues de l’Antiquité grecque et propose des sculptures en dentelles de carton fragmentées. Sensible au cancer du sein, elle offre une ode au corps de la femme. Sarah Barthélémy-Sibi, quant à elle, fait apparaître et disparaître des figures de papier découpé, mouvantes et suspendues, faisant presque penser à de la peau.

Fermé les lundis et dimanches (ouvert le premier dimanche de chaque mois). De 10h à 13h et de 14h30 à 18h. 5€. Musée du cartonnage et de l’imprimerie. 3 Avenue Mal Foch. Valréas.

V.A.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Le vernissage de l’exposition des photographies de Laurent Charpentier « En Partance » aura lieu ce lundi 14 août à partir de 18h30 à la galerie Heckel à Cavaillon. Elle sera visible jusqu’au 30 septembre.

Embarqué pour une carrière sur cargos et remorqueurs, Laurent Charpentier a bifurqué vers le journalisme et l’image, tout en restant fidèle au monde maritime.

« En Partance », la série inédite de photographies qu’il présente à la Galerie Heckel évoque ses navigations hauturières, toutes perçues comme des rêveries, toutes vécues comme autant de voyages oniriques : au large, les marins pérégrinent entre deux infinis, dans une solitude ontologique et spirituelle.

Galerie Heckel ouverte tous les jours de l’été, de 10h à 18h. 97 rue de la République, Cavaillon.

J.R.


Arles : ‘See Through the Noise’, la première exposition collective de la Fondation VII

Jusqu’au 24 septembre, la fondation MRO propose chaque jour un programme d’expositions qui met en avant la relation entre les plantes et l’Homme.

Grow Up est un programme d’expositions, proposant des regards croisés sur le mouvement des plantes à travers le monde. La vingtaine d’artistes présentés ont un ancrage géographique en Amérique du Sud, Amérique Centrale ou encore à Taïwan.

Chaque focus met en avant la relation entre les plantes et l’Homme, explorant les relations locales d’un territoire mais aussi internationales. Cette échelle géographique traverse les récits et questions politiques, sociales, environnementales mais aussi les questions post-colonialismes. Les projets croisent les plantes maîtresses, le chamanisme, la drogue mais aussi l’exploration sensible d’un territoire.

Cette relation aux plantes est centrale, elles sont sacrées et au cœur des cultures et croyances locales, Grow up souhaite cultiver et faire grandir les consciences sur le rapport au vivant.

Avec les travaux de Verdiana ALBANO, Pepe ATOCHA, Teo BELTON et Florence GOUPIL, Thomas BRASEY, Isabelle CHAPUIS, Steph COP et Bálint PÖRNECZI, Celine CROZE, Mathias de LATTRE, José DINIZ, Arguiñe ESCANDÓN et Yann GROSS, Nicolas HENRY, Andrea HERNÁNDEZ BRICEÑO, HSU Cheng-Tang, KUO Che-Hsi, Samir LAGHOUATI-RASHWAN, Marc LATHUILLIÈRE, Gabriel MORAES AQUINO, Mads NISSEN et Juan ARREAZA, Tommaso PROTTI, Antoine RENARD, Philippine SCHAEFER, WU Chuan-Lun et les collectifs COLLECTIF FIVE, DOCKS COLLECTIVE, LESASSOCIÉS.

18 rue de la Calade, Arles. Tous les jours de 10h à 19h30 jusqu’au 24 septembre. Tarifs : plein 6€ / réduit 4€. La vente des billets cesse 30 minutes avant la fermeture.

https://echodumardi.com/tag/exposition/page/6/   1/1