3 avril 2025 |

Ecrit par le 3 avril 2025

‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Le Grenier à Sel, lieu incontournable de la création contemporaine

En 2018, EDIS — organisme d’intérêt général créé par le philanthrope Régis Roquette — s’installe au Grenier à Sel d’Avignon pour développer un lieu culturel dédié aux nouvelles formes d’expressions artistiques et plus particulièrement aux Arts Numériques. 

Au fil des ans, des expositions, spectacles ou performances, on a pu ainsi vivre des expériences incroyables : déambuler au cœur de la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz ou explorer l’écoute avec le projet Ludwig, découvrir la notion de dessin au trait réactivé par les nouvelles pratiques, appréhender le théâtre interactif, percevoir notre corps, interagir avec des mondes immatériels, se faufiler dans les coulisses du cinéma d’animation, explorer les états de conscience et d’inconscience, etc.

Une démarche éprouvée

La programmation est créée en interne, et résonne par rapport à un axe de travail déterminé : porter un regard sur le monde numérique qui se développe, s’invente, dans lequel on vit tous. Comme le précise Véronique Baton, directrice de la programmation : « Pour nous, le fondamental, c’est la production artistique quelle qu’elle soit, des expositions, mais aussi des petites formes de spectacles vivants, des résidences artistes en couveuse pour des projets en devenir. Notre axe d’interrogation permet d’inventer des thématiques que nous proposons ensuite à des artistes. Pour les trois années à venir, nous avons décidé d’interroger sur trois expositions la relation de l’homme au monde : le monde végétal, le monde de la machine et le monde animal qui clôturera cette trilogie. »

‘Le futur est déjà là’, second volet du cycle d’expositions intitulé « Symptômes du vivant » (2023-2025)

Après ‘Que nous disent les plantes’ où 13 artistes étaient conviés à livrer leur regard sur le végétal à l’heure des bouleversements climatiques, le Grenier à sel propose un second volet, ‘Le futur est déjà là’, qui interroge la relation entretenue par l’homme avec la machine. 

Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti

Le titre de l’exposition tire son nom d’une partie de la citation de l’auteur de science-fiction William Gibson, « Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti » : pour pointer du doigt à travers cette formule les inégalités sociales que peuvent engendrer les technologies numériques, vision dystopique, assez pessimiste. Dès les années 80, William Gibson parle déjà d’hypercapitalisme technologique, d’homme augmenté, des données (DATA), cyberespace, etc.

Douze artistes questionnent le monde d’aujourd’hui et de demain

« L’interaction de l’homme avec la machine tient une place incroyable dans notre imaginaire, lui-même nourri par l’imaginaire des artistes contemporains ». À partir de ce constat, l’exposition réunit les productions artistiques relevant de pratiques variées (installations interactives, animation 3D, robotique…) de 12 artistes de générations et d’horizons différents. :  Donatien Aubert, France Cadet, Thierry Cohen, Heather Dewey-Hagborg, Bastien Faudon, Mathieu Gafsou, Esmeralda Kosmatopoulos, Maxime Matthys, Julien Prévieux, Stelarc, Varvara & Mar, Filipe Vilas-Boas.

Le futur est déjà là ou c’est déjà demain 

Plus que de changements, c’est surtout d’accélération dont il s’agit. L’accélération du changement qui nous fait vivre dans un monde mouvant, instable : mécanique, électronique, algorithme, intelligence artificielle participent à une grande porosité des frontières entre l’homme et le robot. 

Trois salles, trois parties

Dans cette exposition articulée en trois parties et trois salles, les artistes mettent plus en avant leurs doutes que leurs espoirs. ‘Le fantasme qui prend corps’ dès le XIXᵉ siècle avec les premiers automates introduit la visite, dans la deuxième salle ‘Ce qui nous échappe’ telle l’Intelligence artificielle (IA) est modélisée ou mis en scène et la dernière salle ‘La vie mode d’emploi’ achève de nous convaincre que les outils numériques sont devenus incontournables.

Ce Grenier recèle les énigmes du futur

C’est une visite chronologique, très pédagogique et en même temps qui nous perd dans les méandres de nos doutes. On chemine entre fascination et effroi : la réplique du Pierrot écrivain du XIXᵉ siècle d’André Soriano, automate au mécanisme apparent, réveille notre âme d’enfant, mais nous sommes immédiatement interloqués par le photographe plasticien Matthieu Gafsou qui traite du transhumanisme. Un bras robotique équipé d’un compteur numérique nous introduit dans la deuxième salle qui entend maîtriser notre corps et nos intelligences. Non sans humour, nous échappons à « La peau de banane intelligente » — aspirateur robot s’il en sera — pour découvrir les œuvres de l’artiste australien Stelarc, faites de chair et d’électronique, celles de France Cadet qui retracent les tentatives de l’homme de se mesurer à la machine. L’artiste Heather Dewey-Hagborg modélise l’ADN, dans des portraits-sculptures glaçants. Si nous doutions de l’impact des outils numériques pour les jeunes générations, la magnifique série de portraits de Thierry Cohen « Binary Kids » se passe de toute explication face aux regards figés de ces enfants. 

Nouvelles technologies, nouveaux gestes

Si nous pensions tout maîtriser et être maître de nos choix, la dernière salle de l’exposition nous prouve le contraire. Quand on clique, like, partage, on crée des gestes qui loin de nous libérer vont induire de nouveaux comportements. La grecque Esmeralda Kosmatopoulos nous livre une installation « fifteen pairs of mouths » qui explore le nouveau rôle de la main, Julien Prévieux dans sa vidéo « What shall we do next », a invité des danseurs de l’Opéra de Paris à reproduire des gestes issus de la bibliothèque immatérielle de gestes déposés auprès du bureau américain des brevets.

Mais dans quel monde vivons-nous ?

L’artiste-chercheur Donatien Aubert nous livre la réponse qui ne nous surprend guère, mais permet de nous remobiliser peut-être pour être plus conscient — à défaut d’être critique — sur les conséquences de la cybernétique et de l’hyperconnexion. Dans son court-métrage de 25 minutes «  Veille infinie » qui clôture la visite, il nous montre comment les technologies numériques ont transformé notre rapport au travail, aux loisirs et à la sexualité. 

« Veille infinie », état d’alerte ou somnolence ? La polysémie du titre ouvre le débat en cette fin d’exposition.

Visite commentée

Jusqu’au 31 décembre, possibilité d’avoir une visite commentée avec une médiatrice. Le mercredi et samedi à 16h30 (sous réserve d’un nombre minimum de participants). 3€ par personne. Sans réservation.

Jusqu’au 31 décembre. Du mardi au samedi. Libre et gratuit. De 14h à 18h (dernière entrée à 17h30). Le Grenier à sel. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon. 04 32 74 05 31 / accueil@legrenierasel-avignon.fr


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

À l’occasion de la sortie du deuxième opus de Gladiator et dans le cadre du festival Partage des Arts, les dessins personnels et storyboards de Ridley Scott sont exposés au cinéma Ciné sur la Sorgue, à L’Isle-sur-la-Sorgue, où le réalisateur a fait une apparition le vendredi 18 octobre.

La 2ᵈᵉ édition du festival Partage des Arts s’est tenue de juin à septembre derniers. Période durant laquelle une quarantaine d’artistes ont exposé leurs œuvres dans des lieux insolites de la ville de L’Isle-sur-la-Sorgue. Parmi ces artistes, il y a le réalisateur Ridley Scott, dont des dessins et storyboards jamais montrés au public ont été exposés au Ciné sur la Sorgue et le seront jusqu’au samedi 30 novembre. « C’est un plaisir pour moi de participer à ce Festival des Arts, en exposant dans ce cinéma, des œuvres très personnelles sur le cinéma et notre domaine viticole familial », a-t-il déclaré.

Le réalisateur n’ayant jamais vu ces dessins-là exposés, il a décidé de venir voir l’exposition et de découvrir le cinéma l’ilsois le 18 octobre lors d’une visite privée avec ses équipes du Mas des Infermières, son domaine viticole situé à Oppède. Les cinéphiles et fans de Blade RunnerThelma et LouiseAlien, ou encore Napoléon peuvent profiter de l’exposition pendant encore quelques semaines et pourront s’immerger totalement dans l’univers du réalisateur le 13 novembre prochain à l’occasion de la sortie en salle de Gladiator 2.

©Ciné sur la Sorgue

‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Un week-end de solidarité organisé par l’Association des Amis de Lourmarin en partenariat avec la Fruitière Numérique ces vendredi 18 et samedi 19 octobre. 

L’Association des Amis de Lourmarin en partenariat avec la Fruitière Numérique ont à cœur de nourrir la réflexion sur la guerre en Ukraine depuis février 2022.  Elles lancent un grand week-end de solidarité dont les bénéfices seront reversés intégralement au profit des populations ukrainiennes.

Vernissage exposition photos ‘En dépit des ténèbres’ — En présence de l’auteur Jérome Barbosa, photographe-reporter de guerre, de retour de Kiev.
Vendredi 18 Octobre.18h. Entrée libre. Fruitière Numérique. Avenue du 8 Mai D943. Lourmarin.

Conférence-débat ‘Ukraine : résistance et espérance’ par Guillaume Ancel, ancien officier militaire, en charge des Opérations Extérieures au Cambodge, Kosovo ou Rwanda.
Samedi 19 Octobre. 15h. 8 et 10€. Fruitière Numérique – Tarif : 10 € // Amis de Lourmarin : 8€ 

Récital de piano par Maxime Alberti, ancien pensionnaire du Château, régulièrement programmé au Festival des Musiques d’été. Il interprétera les œuvres du compositeur ukrainien Bortkiewicz, Schubert et Chopin.
Samedi 19 Octobre.18h. 12 à 30€. Château de Lourmarin. 2 Av. Laurent Vibert.


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Venez découvrir l’univers de Marc Lainé lors d’une soirée conviviale ce jeudi 17 octobre à Valréas.

Directeur de La Comédie de Valence. Marc Lainé collabore avec divers artistes et enseigne la scénographie. En résidence artistique au Centre Dramatique des Villages du Haut Vaucluse en septembre et en octobre 2024, l’auteur présentera son travail et lira quelques extraits de son nouveau spectacle, ‘Entre vos mains’, le troisième volet d’une trilogie fantastique sous forme d’exposition-spectacle.

‘Entre vos mains’, conçu comme une exposition-spectacle

‘Entre vos mains’ se présente comme la rétrospective posthume de l’artiste médiumnique Mehdi Lamrani, un personnage que le public a pu découvrir dans un précédent spectacle intitulé ‘En travers de sa gorge’. Cette exposition immersive regroupe un ensemble d’œuvres mystérieuses produites par le jeune artiste spirite sous la conduite de fantômes de créateurs disparus. Ces différentes œuvres forment les pièces d’un puzzle que les spectateurs auront à reconstituer pour tenter de résoudre une ultime enquête.

Un projet collectif en collaboration avec les membres de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence

Cette exposition immersive réunira des pièces plastiques, mais aussi filmiques, chorégraphiques, musicales ou littéraires, conçues par les artistes de l’Ensemble pluridisciplinaire de La Comédie de Valence. Chacun de ces artistes aura donc à s’inventer un double fictionnel· qui serait un des artistes disparus ayant pris possession de Mehdi Lamrani. Leurs œuvres seront ensuite installées dans un parcours conçu et scénographié par Marc Lainé. Ce projet collectif est conçu en collaboration avec les membres de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence : Bertrand Belin, Penda Diouf, Éric Minh Cuong Castaing, Alice Zeniter et Stephan Zimmerli. La création de ce spectacle est prévue pour février 2025 à la Comédie de Valence.

Jeudi 17 octobre. 19h. Entrée libre. Bistrot le 40. 40 Cours Victor Hugo. Valréas. Réservation auprès du Bistrot Le 40 au 04 90 37 02 38 ou au 06 81 61 10 30.


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Lieu d’hospitalité, La Garance, scène nationale de Cavaillon, n’en finit pas de nous épater

La saison a commencé tôt et fort en septembre avec le spectacle Nomade(s) Le poids des nuages qui nous a fait voyager et rêver dans les airs. Sitôt redescendus sur terre, le Festival ‘C’est pas du Luxe !’ nous a ramenés à une réalité qui nous permet cependant d’espérer et de croire en l’Autre. Les 13 000 spectateurs recensés sur les 3 jours, les 3 700 bracelets vendus pour l’accès aux 60 créations et le défi réussi du Grand bazar des Savoirs confirment le succès de cet événement. Le spectacle de danse From England with love de la compagnie Hofesh Shechter a été pris d’assaut au point de rajouter une séance un mercredi après-midi. Et voilà que la saison continue sur les chapeaux de roues avec une exposition d’Art contemporain et un concert de la brésilienne Flavia Coelho !

‘Un étrange ordinaire’, la Garance lance sa première exposition d’art contemporain 

La Garance a été retenue dans le cadre du dispositif ‘cura’ pour nous faire découvrir cette saison deux expositions au théâtre, imaginées par la commissaire d’exposition Anne Sophie Bérard. Cette exposition collective s’intéresse aux objets enchantés. Les huit artistes invités s’emparent, chacun à leur façon, du langage et des codes de la magie pour explorer d’autres possibles, d’autres désirs et d’autres vérités.
Mercredi 16 octobre. 19h. Vernissage de l’exposition en présence des artistes Jean-Baptiste Caron, Petite Poissone, Filipe Vilas-Boas et Sofi Urbani. Jusqu’au 16 février 2025.

L’artiste brésilienne Flavia Coelho présente son nouvel album Ginga 

Chanté en portugais, il est dédié aux musiques de cœur qui ont rythmé son adolescence, des années 90 jusqu’aux années 2000 donc. Mixer funk, pop, house, samba, reggae, forro, bossa et hip-hop ? Tout est possible pour Flavia et son nouvel album haut en couleurs Ginga qui fusionne les genres et les héritages. Il est à parier qu’on vibrera, qu’on dansera à la Garance ce vendredi. Chant Flavia Coelho, claviers Victor Vagh, batterie Al Chonville, guitare Caetano Malta.
Vendredi 18 octobre. 20h. 3 à 20€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Ridley Scott, réalisateur de Gladiator, Blade Runner, Thelma et Louise ou encore Alien, a choisi sa terre d’adoption, le Vaucluse, pour exposer ses dessins personnels et story-boards. L’exposition est à découvrir avant le 30 novembre à L’Isle-sur-la-Sorgue.

Avant d’être passionné par le cinéma, Ridley Scott aimait beaucoup dessiner, il a d’ailleurs fait ses études au Royal College of Art de Londres. Le réalisateur britannique, propriétaire du Mas des Infirmières à Oppède, dévoile une nouvelle fois son amour pour le Vaucluse, choisissant la ville de L’Isle-sur-la-Sorgue pour accueillir une exposition inédite de ses dessins et story-boards.

Et quel meilleur lieu que le tout nouveau cinéma de la ville, Ciné sur la Sorgue, pour exposer les dessins de celui qui est à l’origine de plusieurs classiques du 7ᵉ art ? Le public pourra y découvrir des story-boards de plusieurs de ses films comme Une Grande Année, filmé en partie à Bonnieux et Gordes et sorti en 2006, House of Gucci, sorti en 2021 ou un de ses films les plus récents, Napoléon, sorti l’année dernière. Cette exposition dévoile aussi des illustrations des bouteilles de vin de son domaine.

Jusqu’au samedi 30 novembre. Gratuit. Ciné sur la Sorgue. 3 Rue de la République. Isle-sur-la-Sorgue.


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

L’association du bassin d’emploi et de vie d’Agroparc ‘Hey Agroparc!‘ et l’organisme de formation Nextech, présent à Avignon et Pertuis, s’associent pour organiser l’événement artistique ‘Regards sur le handicap’ qui a pour objectif de révéler et valoriser le handicap. Ce projet comprend un concours photo ouvert à tous, une exposition éphémère, ainsi qu’une soirée de remise de prix avec diverses animations.

En mai 2024, Hey Agroparc! et Nextech souhaitent s’associer pour créer un événement autour du handicap. « Notre projet est celui d’oser montrer ce qui existe, là, avec nous. Oser nommer le handicap, oser le montrer dans toutes ses formes, visibles ou invisibles. Montrer aussi des instants de vie, heureux ou malheureux, seuls ou partagés, et dire que les personnes handicapées vivent des émotions, des passions, des études, ont un métier, une famille, des amis… Bref, ont une vie… », expliquent les deux acteurs du projet.

Un concours photo

Ce projet s’articule en trois axes. Le premier étant un concours photo, gratuit et ouvert à tous, autour de la vie des personnes en situation de handicap. Chaque participant ne peut présenter qu’une seule photo. Le fichier doit être envoyé par mail à l’adresse agroparc.photo@gmail.com au format JPEG et ne doit pas dépasser les 7MB. Chaque photo, qu’il soit amateur ou non, devra accompagné son cliché d’une description et d’un titre.

Chacun est libre d’aborder le thème comme il le souhaite en fonction de son imagination et de sa sensibilité. Les photographies seront jugées, par un jury composé de cinq membres, sur leur pertinence vise–à-vis du thème proposé, sur leur originalité, et sur leur intérêt artistique. Trois lauréats seront sélectionnés et se verront remettre un prix lors de la soirée du 28 novembre.

Initialement, les candidats avaient jusqu’au vendredi 11 octobre pour participer, mais en raison d’un manque de temps pour s’organiser et participer pour les associations de personnes en situation de handicap qui souhaitaient participer, un délai supplémentaire à été accordé. Les participants ont donc jusqu’au dimanche 27 octobre pour envoyer leur photographie

Pour voir toutes les modalités de participation, cliquez ici.

Une exposition

Parmi les photos qui seront envoyés pour le concours, 30 seront sélectionnées, imprimées, puis disposées dans différents lieux de la zone d’activité d’Agroparc pendant 2 à 3 semaines. Cette exposition sera un mélange de photographies effectuées par des professionnels et par des amateurs.

A travers cette exposition, Hey Agroparc! et Nextech souhaitent non seulement mettre en valeur le handicap, mais aussi valoriser le territoire d’Agroparc, dans la diversité qui l’habite : une zone d’activité, de logements, de commerces, de campus, d’abris-bus, de sentiers, de lieux partagés, de moments festifs, etc.

Une soirée

Enfin, le projet ‘Regards sur le handicap’ s’achèvera avec une soirée le jeudi 28 novembre, durant laquelle auront lieu plusieurs animations. Une remise de prix sera tout d’abord organisée pour récompenser les trois gagnants du concours photo.

Ensuite, plusieurs court-métrages seront diffusés avec Unis-Cité Méditerranée sur le handicap, suivis de prises de paroles d’experts et de témoignages. Enfin, cet événement sera l’occasion de partager un moment festif et convivial.


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Trois jours pour réaffirmer que la culture est un droit et non pas un luxe

Ce festival hébergé au cœur de la cité des Papes, initié par la Fondation Abbé Pierre, La Garance Scène Nationale de Cavaillon et l’association Le Village, a lieu tous les 2 ans. Ce festival hors norme, qui aura lieu du vendredi 27 au dimanche 29 septembre, réaffirme que la culture est un droit et non pas un luxe. Il conjugue l’art sous toutes ses formes et place au cœur de son projet les personnes en grande précarité.

60 créations, 750 artistes amateurs et professionnels, 30 lieux, 5000 spectateurs attendus

Ce temps de rencontres unique en son genre est le résultat de plusieurs mois d’ateliers sur tout le territoire de l’Hexagone avec des amateurs en situation de grande précarité et des artistes professionnels. Parmi eux, cette année, de grandes figures de la culture comme le chorégraphe Christian Rizzo, Didier Ruiz, Christophe Loiseau ou encore le jeune artiste Massimo Fusco, qui se joignent à plus de 600 participants pour offrir au public des spectacles de danse, de théâtre, des films et proposer encore plein d’ateliers !

Un foisonnement de propositions avec quelques temps forts

Pendant 3 jours, il s’agit de se laisser surprendre, au fil d’une libre déambulation dans plus de 30 lieux avignonnais. L’équipe d’organisation le souligne dans son édito « …Une couronne sur l’affiche 2024 de C’est pas du luxe !, comme un clin d’œil à la richesse et à la profusion des propositions artistiques réalisées pour ces 3 jours de rencontres, de fête, de découvertes et de partage. » Il y aura de la danse, du cirque, du théâtre, de la musique, des arts visuels, des ateliers… Il y aura surtout un autre regard sur la précarité tant la qualité des prestations d’amateurs impressionne.

L’exposition ‘Le grand tour’ à la Collection Lambert

Comment habiter et s’emparer véritablement de nos lieux de culture ? Accompagnés de trois chorégraphes dont le chorégraphe Christian Rizzo, ces commissaires d’exposition se sont aventurés dans trois capitales européennes. 
Vernissage de l’exposition de 18h30 à 21h. Vendredi 27 septembre. Samedi de 11h à 18h. Dimanche de 11h à 17h. Cette exposition collaborative se poursuivra jusqu’au 29 janvier 2025. Collection Lambert.

Un projet participatif ‘Le grand bazar des savoirs’

Une expérience un peu folle : réunir 80 passionnés pour un speed-dating des savoirs sous la houlette du metteur en scène Didier Ruiz. Des journées placées sous le signe de la curiosité.
Samedi 28 septembre. 14 à 18h. Dimanche 29 septembre. 10h à 13h30. Église des Célestins.

Une grande fête ‘The Big Party’

Un karaoké géant, des défilés, des DJ set, un concours de construction de marionnettes, des tirages de cartes et bien d’autres surprises. Paillettes et marionnettes !
Samedi 28 septembre. 18h30. La FabricA.

Un spectacle ‘Un beau jour’

À travers la transmission de leurs danses et leurs portés acrobatiques, les artistes de la Compagnie Le Doux Supplice interrogent le déséquilibre et la singularité des corps pour créer de nouveaux espaces d’attention et de soin de l’autre.
Dimanche 29 septembre. 17h. Place St-Didier.

Le festival côté pratique

Restauration et buvette sur place. Le festival est accessible sur présentation du bracelet-pass à prix libre.
Accueil général au Square Agricol Perdiguier, Avignon.
C’est pas du luxe ! Jeudi 26 septembre de 14h à 19h. Vendredi 27 septembre de 10h à 20h30. Samedi 28 septembre de 10h à 19h. Dimanche 29 septembre de 10h à 17h. contact@cestpasduluxe.fr / 04 90 78 64 64      


‘Le futur est déjà là’ au Grenier à Sel d’Avignon jusqu’au 31 décembre

Notre-Dame de Sainte-Garde, située à Saint-Didier, va accueillir l’exposition ‘Peintres du Comtat’, dont le vernissage aura lieu ce jeudi 19 septembre. Le public aura jusqu’au dimanche 29 septembre pour venir admirer les œuvres exposées.

Ils viennent de Carpentras, d’Aubignan, de Mazan, de Malemort-du-Comtat, ou encore de Sablet. Cinq peintres du XXᵉ siècle seront mis à l’honneur jusqu’au 29 septembre à Saint-Didier.

Le public pourra admirer les œuvres de Paul Surtel, tout en fluidité, transparence et en pastel de grain, mais aussi de Shahda, tout en masses et en couleurs. Les paysages de Dominique Barrot seront aussi exposés, aux côtés des peintures à l’huile d’Antoine Baer et des toiles colorées et profondes de Danièle Isnard.

L’exposition sera visible à l’occasion des Journées européennes du patrimoine, qui auront lieu ces samedi 21 et dimanche 22 septembre, de 9h à 19h. Le public pourra aussi voir les œuvres des cinq peintres du lundi 23 au dimanche 29 septembre de 14h à 19h.

Vernissage le jeudi 19 septembre à 18h30.
Du 20 au 29 septembre. Notre-Dame de Sainte-Garde. 205 Chemin de Sainte-Garde. Saint-Didier

https://echodumardi.com/tag/exposition/page/2/   1/1