Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
Une toute nouvelle exposition intitulée ‘ECHOS!’ débarque à la Maison Dora Maar à Ménerbes. Son vernissage aura lieu ce soir et il sera possible de la visiter jusqu’au 30 septembre prochain.
La Mob de la Maison Dora Maar, conçue pour des dialogues artistiques interdisciplinaires à travers le temps et l’espace, présente sa nouvelle exposition nommée ‘ECHOS!’. Cette dernière va permettre aux visiteurs de faire un voyage dans le temps, au siècle dernier, avec ses quatre peintres : Dora Maar, Nicolas de Staël, Joe Downing et Jane Eakin.
L’objectif de cette exposition est de présenter les œuvres de telle manière que le public ait l’impression que les quatre artistes sont de vieux amis partageant un déjeuner à l’ombre des pins provençaux. Au programme : natures mortes ou encore art abstrait. La Mob accueillera le vernissage de cette exposition ce soir, et les visiteurs pourront venir admirer les œuvres jusqu’au 30 septembre.
Vernissage. Vendredi 27 mai. 17h. La Mob. Maison Dora Maar. 58 Rue du portail neuf. Ménerbes.
Exposition. Jusqu’au 30 septembre. Tous les jours de 11h à 13h et 14h à 18h. Entrée libre. La Mob. Maison Dora Maar. 58 Rue du portail neuf. Ménerbes.
V.A.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
Le château de Thézan, à Saint-Didier, va ouvrir ses portes pour la première fois à partir du samedi 4 juin prochain avec une exposition de l’artiste Etienne Viard.
Le château de Thézan, situé à Saint-Didier, n’a jamais pu accueillir de public. Après 20 ans laissé partiellement à l’abandon, la bâtisse et son parc ont été rachetés par Pierre de Beytia et Emmanuel Renoux, deux passionnés de vieilles pierres, de mobilier, d’objets d’art, ainsi que de beaux jardins.
« Depuis avril 2019, nous travaillons à maintenir le château et à redonner au domaine sa splendeur afin de pouvoir partager ce joyau de Provence avec le public, habitants du village de Saint-Didier et des alentours mais aussi avec les touristes et autres passionnés qui s’intéressent au réveil de la belle endormie du Comtat Venaissin », explique Emmanuel Renoux.
Un château du XIIème siècle
Situé face à l’église de la commune, le domaine qui s’étend sur 4000m² de planchers, 1,4ha de terrain clos, et 3,5 ha de terres agricoles s’est révélé être un véritable challenge pour ses deux acquéreurs. Évoqué pour la première fois dans des archives en 1159 sous le nom de ‘Villa de Saint-Didier – Villa Sancti Desiderii’, le bâtiment a servi de résidence principale, puis d’établissement de santé.
À la fin des années 1980, la clinique ferme ses portes. Le château et ses jardins sont alors faiblement maintenus jusqu’à être laissés complètement à l’abandon en 2016 avant d’être acquis trois ans plus tard par Pierre de Beytia et Emmanuel Renoux.
Une exposition pour inaugurer l’ouverture au public
Afin de marquer cette réouverture au public, le château provençal va accueillir une exposition. Quoi de mieux que de choisir un artiste ancré dans le Vaucluse pour inaugurer ce bien patrimonial ? C’est donc Etienne Viard, qui vit et travaille entre le département et la capitale, qui va exposer ses sculptures.
Dans les jardins du château, les visiteurs pourront donc se balader librement entre 12 œuvres. Il sera possible de visiter cette exposition à partir du samedi 4 juin prochain, et ce, jusqu’au 18 septembre.
Du 4 juin au 18 septembre. Ouverture les lundis, samedis et dimanches, ainsi que les vendredis au mois d’août. De 10h30 à 13h et de 15h à 18h30. Fermeture les 25, 26 et 27 juin. 4€ (tarif réduit : 3€). 58 Rue du Château. Saint-Didier.
V.A.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
Demain sera le dernier jour pour découvrir l’exposition « Les orchidées de Provence-Alpes-Côte d’Azur » à la Maison du Parc du Luberon à Apt, réalisée par le Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Grâce à 9 panneaux, vous percevrez la diversité des orchidées sauvages de la région, les vertus méconnues de ces plantes étonnantes et les bonnes pratiques pour les sauvegarder.
Entrée gratuite. Du lundi au vendredi. 8h30 à 12h – 13h30 à 18h. Maison du Parc. 60 place Jean-Jaurès. Apt. Renseignements : 04 90 04 42 00.
A.D.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
La Maison Dora Maar et l’Hôtel de Tingry à Ménerbes ouvrent leurs portes pour une exposition ‘Vert Terrestre’ portée par l’association Nancy B Negley, présentant les œuvres de l’artiste de renommée internationale Piotr Klemensiewicz, du 14 avril au 30 mai 2022.
Déjà pensionnaire en 2008, le sculpteur et peintre français revient cette fois-ci avec une série d’œuvres à dominante verte autour de ’la perception du paysage et de la sensation de la nature’. Un travail des couleurs pour lequel Klemensiewicz est reconnu, lui qui les considère comme dotées d’un “langage visuel propre qui fait taire les mots”.
Un vernissage aura lieu le samedi 16 avril à 17h.
A.D.
Horaires : du lundi au vendredi uniquement sur rendez vous | Samedi de 11h à 13h et 14h à 17h | Entrée Libre. Adresse : l’Hôtel de Tingry | Rue Cornille | Ménerbes France. Contact : MacKenzie Mercurio | mmercurio@maisondoramaar.org | 07 67 52 79 94
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
Comme les Carrières des lumières, le château des Baux-de-Provence dédie une exposition à l’artiste niçois Yves Klein, connu notamment pour la teinte de bleu éponyme.
Les fameuses peintures monochromes de Klein s’exposent au château des Baux-de-Provence. Si l’artiste est principalement connu pour ces tableaux-là, il a également exploré d’autres formes artistiques durant sa carrière comme le ‘body art’ ou encore le ‘happening’ qui est une forme d’art éphémère qui ne laisse que de simples traces des œuvres comme la photographie ou la vidéo.
Durant cette exposition, organisée par Culturespaces en association avec les Archives Yves Klein, les visiteurs pourront découvrir la vie d’Yves Klein et admirer 11 panneaux grands formats mêlant photographies et reproductions des œuvres les plus emblématiques de l’artiste. L’exposition ‘Bleu, bleu, bleu : l’aventure Klein’ pourra être visitée dès le samedi 9 avril prochain, et ce, pendant un an.
Du samedi 9 avril 2022 au dimanche 9 avril 2023. Château des Baux-de-Provence. Grande Rue. Les Baux-de-Provence.
V.A.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
« La guerre d’Algérie, histoire commune, mémoires partagées ? » C’est la question posée par l’exposition itinérante, conçue sous l’égide de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, que l’on peut découvrir aux Archives départementales de Vaucluse, du 10 janvier au 25 février.
Cette exposition passe en revue les liens entre la France à travers trois parties : de 1830 à 1954, de la conquête à la colonisation, puis de 1954 à 1962 durant la guerre d’Algérie et enfin l’histoire des mémoires de la guerre d’Algérie. L’occasion d’évoquer également la pluralité des parcours et des mémoires autour d’un conflit qui continue à susciter de vifs débats.
Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h. Entrée libre. Archives Départementales de Vaucluse, Palais des papes – Avignon 04 90 86 16 18 http://archives.vaucluse.fr Masque et pass sanitaire obligatoires
L.M.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
Artothèque accueille 220 adhérents dont beaucoup sont des artistes établis dans le Luberon tels que des peintres, des sculpteurs et des photographes, dont des célébrités mondialement connues. François Cance, président de l’association -qui a pour but de promouvoir l’art contemporain- organise, tout au long de l’année, des visites d’ateliers d’artistes, des expositions, des rencontres ainsi que des conférences. Il dévoile son calendrier 2022 et se remémore les aventures vécues en 2021.
«Ce que je recherche ? Interroge François Cance, La liberté dans la création. J’ai travaillé 35 ans chez BNP Paribas, lorsque j’avais besoin de m’échapper de ma vie professionnelle, je téléphonais à des sculpteurs, des peintres, des photographes et j’allais passer une heure avec eux dans leur atelier. C’était pour moi une véritable respiration que de côtoyer un créateur.»
Lors d’un mariage à Dakar «Un jour, lors d’un mariage à Dakar, je feuillette une revue locale et je tombe sur un article évoquant Ousmane Sow. Je l’appelle et passe une heure avec lui. Je l’ai revu 15 ans après alors que Jean-Paul Blachère créait sa fondation d’entreprise éponyme pour participer au développement de l’Afrique en aidant à la création contemporaine et la promotion de ses artistes. Le monde sert à ça : établir des contacts.»
Dans l’avion «Un jour, alors que j’étais en avion, au lieu de prendre un journal ou une revue, je me suis mis à converser avec la personne assise à côté de moi. Cette dame férue d’art avait possédé une galerie à Barcelone. Elle était devenue l’assistante de Marc Albouy président d’Electra-EDF à Paris. Je lui parle du sculpteur Pollès dont je me suis beaucoup occupé. Je lui explique que l’artiste fond lui-même ses pièces –ce qui est très rare- en Toscane à côté de Pietrasanta. Je lui précise qu’il est en train de travailler sur un pantographe électronique ce qui engage un certain coût. Elle me répond qu’elle va en parler à son patron.»
Electra-EDF «Un mois après, Marc Albouy me rappelle. Nous prévoyons de passer trois jours en Toscane pour rencontrer Pollès et voir ses œuvres. Nous avons participé à une fusion. Lorsque Marc Albouy a vu le pantographe il a décidé de diligenter un ingénieur pour la mise en œuvre la partie électronique électronique ce qui a conduit à déposer un brevet EDF-Pollès*. Six mois après, il me joint à nouveau pour me donner le contact d’une de ses amies qui s’occupe de Bagatelle, à Paris évoquant la possibilité d’une exposition. C’est ainsi, il y a 15 ans, que Pollès a été exposé à l’Orangerie, il y avait le pantographe manuel et aussi l’électronique, la projection du film sur la fusion –à l’initiative de Marc Albouy qui l’avait commandé-. Tout cela a été réalisé grâce à Marc Albouy et, avant lui, grâce aux contacts humains.» *Dans les années 1990, le sculpteur Pollès a développé, en collaboration avec le centre de recherche EDF, un pantographe électrique utilisant, pour la première fois, une pointe de touche électronique enregistrant le point de contact avec la matière et ses coordonnées. Source Note technique Lithias sur la 3D.
Pourquoi ? «Lorsque j’ai pris ma retraite il y a 25 ans, j’avais envie de rassembler des artistes, c’est devenu l’association Artothèque. Nous étions 30. Puis à ces artistes se sont greffés des amis. L’association a pris de l’ampleur au fur et à mesure des rencontres organisées au Domaine de la Citadelle à Ménerbes, à la Maison Dora Maar, au Château de la Nerthe à Châteauneuf-du-Pape. J’ai eu la chance d’obtenir des lieux de grande qualité qui ont trouvé leur public, les gens sont venus et ont demandé à adhérer à l’association. Tout cela s’est fait simplement, amicalement, au gré de contacts.
En 2022 A l’heure où nous écrivons nous ne savons pas si le programme qui suit sera maintenu. Nous vous invitons donc à vous rapprocher de l’association pour en avoir confirmation. Éternel optimiste, homme bienveillant et grand amoureux de l’art –plutôt contemporain-, François Cance a prévu de fêter le gâteau des rois dimanche 30 janvier à 16h chez le peintre William Hanon, 92 rue de la République à Apt. Dimanche 24 avril nous ferons un pique-nique chez Christiane Filliatreau à Bioux, chemin de l’Oratoire, pour y découvrir ses sculptures et poteries. Samedi 21 mai à 15h, Pierre Brun se prêtera à une visite de la manufacture Brun de Vian-Tiran à l’Isle-sur-la-Sorgue. Dimanche 29 mai, Christian Desailly à Gordes exposera 6 artistes Nanou et Bernard Autin, Christine Bozza, Marine Guillemot, Marc Nucera et Jacques Salles. Dimanche 12 juin Julien Allègre, sculpteur, ouvrira son atelier situé chemin de Cairanne, 382 Zac camp Bernard à Sablet. Au cours de l’été Hans Silvester, photographe –qui a notamment photographié des poules dans le monde entier-, le chef Xavier Mathieu étoilé au guide Rouge Michelin pour le Phébus à Joucas et un conférencier évoqueront le bien-être animal. Vendredi 9 septembre Babouchka à Coustellet accueillera les peinture et gravures de Fabienne Péry-Meylan. En octobre prochain, Denis Brihat exposera ses photos à la Librairie le Bleuet à Banon. Enfin, ne novembre aura lieu l’assemblée générale qui se déroulera dans le nouveau bâtiment de la Lustrerie Mathieu 432 Route de Croagne à Gagas.
En 2021 Les adhérents d’Artothèque ont ainsi visité les ateliers de Sylvia Tailhandier. En mai et septembre dernier la librairie Le bleuet à Banon a exposé des sculptures de Marc Nucera et les photos d’Eric Meylan. Toujours en mai dernier un pique-nique s’est tenu chez le peintre Eva Vorfeld à Bioux pour découvrir ses oeuvres. En juin, à l’Isle-sur-la-Sorgue, il était question de rencontrer Nanou peintre et Bernard Autin, sculpteur. Ce même mois, le photographe et journaliste François Bringer a ouvert 4 jours son atelier à Bonnieux. En juin, les époux Canat, dans leur propriété de Ménerbes ont accueilli une expo du peintre Galatioto et des photos d’Alain Wieder autour du parc de sculptures de Joël Canat. En juillet, le mas de Sudre a mis en scène les œuvres du peintre Philippe d’Orsay, les sculptures de Bérengère d’Orsay et les sculptures animalières d’Olivia Trégaut. En août c’était au tour de Marie-Laure Gérard-Becuwe d’exposer ses sculptures au Phébus à Joucas. En septembre dernier, c’est lors d’un pique-nique chez elle, à Gargas, que Claudine Borsotti, laissa découvrir ses sculptures aux adhérents.
Les infos pratiques Artothèque. Promotion de l’art et des artistes. François Cance. 06 80 05 53 07. artothèquecance@orange.fr
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
‘Mots et maux de femmes’, l’exposition photographique des violences faites aux femmes est visible sur les grilles du tribunal judiciaire d’Avignon jusqu’au vendredi 10 décembre. Placée sous le haut patronage du président de la République Emmanuel Macron, cette ‘expographie’ itinérante dans l’Hexagone est née de l’envie d’un couple désireux de se mobiliser en faveur des femmes victimes de violence. L’une travaille dans le secteur social, l’autre à l’expérience de la communication et de la conduite de projet. Ce sont aussi des parents conscients que la lutte contre les violences intra familiales doit faire partie intégrante de l’éducation. Bénéficiant du soutien de plus de 300 femmes célèbres, ‘Mots et maux de femmes’ présente 24 clichés illustrant les violences faites aux femmes. Ces photos, accrochées autour de l’enceinte du palais de justice de la cité des papes situés 2 boulevard Limbert, ont été notamment dévoilée en présence de Ghani Bouguerra, président du tribunal judiciaire d’Avignon et président du CDAD (Conseil départemental d’accès au droit) de Vaucluse, Stanislas Vallat, procureur de la République et adjoint du tribunal judiciaire d’Avignon, Stéphane Carchon-Veyrier, coordinateur pour le collectif ‘Mots et maux de femmes’ ainsi que Souad Zitouni, députée de Vaucluse et Cécile Helle, maire d’Avignon.
Ménerbes : la Maison Dora Maar replonge dans le XXème siècle
L’exposition ‘Reg’Art’ se tiendra du samedi 4 au dimanche 12 décembre à la Chambre de métiers et de l’artisanat de Vaucluse. A cette occasion, la chapelle Sainte-Praxède accueillera 30 œuvres originales exceptionnelles, témoins de la richesse d’un patrimoine artisanal d’exception, ainsi que de nombreux conférenciers, passeurs d’histoire, qui retransmettront leur connaissance des métiers d’art et des techniques ancestrales
C’est la chapelle Sainte-Praxède, au sein de la Chambre des Métiers, qui accueillera cette 11e édition de savoir-faire d’exception. Meubles, bijoux, faïences, céramiques, porcelaines, luminaires, grès, bronzes, acier, marbres, pâtes de verre, vitraux, coraux, miroirs, tissus, émaux, cuirs, plumes, perles, paillettes, fils d’or, rotin, acier, gypse, laiton, cuivre, mousselines, toutes ces matières sculptées par des hommes et des femmes passionnés ont une âme. « Créée en 1998, Reg’Art est devenu le rendez-vous de référence incontournable des métiers d’art de notre région et au-delà » a expliqué la nouvelle présidente de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Vaucluse, Valérie Coissieux. « Cette manifestation est l’occasion de partager la qualité du fait-main, du beau, de l’élégance, du design, de la créativité de nos artisans qui sont d’authentiques artistes. C’est une économie locale, non délocalisable » a-t-elle insisté. En tout, 29 professionnels sélectionnés par un jury exposeront leurs œuvres originales, témoins du rayonnement de l’artisanat d’art qui compte 180 artisans ‘qualifiés en métiers d’art’ en Vaucluse (dont 42% sont des femmes).
Consommer local en consommant artisanal Parmi eux, Roy Baierlein, créateur, pièce par pièce, de montres mécaniques à remontage manuel à Entraigues depuis 1983 et dont l’atelier est classé Entreprise du patrimoine vivant (EPV), Mathieu Gilet de Monteux qui a suivi les cours de la prestigieuse Ecole Boulle et qui sculpte du mobilier en cuivre, Guillaume Aznar de Carpentras, qui propose une imposante ‘Lampe Dubaï’ (1,70m), inspirée des gratte-ciel en mosaïque, vitrail et émail. En signe de transmission vers les jeunes générations, les élèves de Sciences et technologies du design et des arts appliqués (STD2A) du lycée Mistral d’Avignon montreront ‘Voie lactée’, une parure de forme ondulante, parabole de planètes. Une série de conférences et démonstration sont également au programme, avec Jacques Hokmayan, 90 ans, qui a créé 10 000 modèles de chaussures pour la marque ‘Pierre Cardin’ et qui viendra raconter l’épopée des souliers, un gros plan sur la technique de la pierre sèche qui imbrique des moellons sans mortier, le musée Vouland qui présentera une collection d’arts décoratifs du XVIe au XVIIIe siècle. Courez à la chapelle Sainte-Praxède, 35 Rue Joseph Vernet, admirer toutes ces œuvres de prestige qui prouvent qu’on peut consommer local en consommant artisanal.