25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

La première édition de ‘Réflexivité(s)’, manifestation photographique et anthropologique qui invite le spectateur à la réflexivité dans son intimité, un retour à soi qui permet la rencontre de l’autre, se déroulera du jeudi 14 au dimanche 31 juillet à Lourmarin.

Un nouveau festival photographique voit le jour à Lourmarin : Réflexivité(s). Cet événement photographique et anthropologique invite le spectateur à la réflexivité dans son intimité, un retour à soi qui permet la rencontre de l’autre, débutera demain, le jeudi 14 juillet, et prendra fin le dimanche 31 juillet.

Cette première édition présentera les travaux de Véronique de Viguerie, Pierre de Vallombreuse, Dmitry Markov, Edouard Elias, Adrienne Surprenant, Gabrielle Duplantier, Céline Croze, Anaïs Tondeur et Mayco Naing & Isabelle Ha Eav.

Des écrivains ont été invités à accompagner par une écriture spontanée le travail réalisé par les photographes.

Au programme : expositions, projections, débats, ateliers, librairie et résidence.

Du 14 au 31 juillet à la Fruitière numérique – Avenue du 8 mai 1945, Lourmarin – Billetterie sur reflexivites.com – Tarif unique : 9 € – Gratuit jusqu’à 22 ans.

J.R.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

On ne sort pas indemne d’une telle exposition.Il y a bien sûr la solennité de la Grande Chapelle du Palais des Papes, la célébrité du photographe, l’actualité du sujet, la beauté des photographies.

Il y a surtout la rencontre avec un artiste vivant qui a quelque chose à dire et à défendre au delà de la qualité de son travail. Si l’engagement était une couleur il aurait la couleur verte comme l’est l’Amazonie, magnifiquement saisi en noir et blanc par Salgado, comme à son habitude. Une exposition salutaire qui allie esthétisme et politique, artiste et citoyen engagé.

Le photographe franco-brésilien Sébastiao Sagaldo a sillonné l’Amazonie brésilienne par la terre, l’eau et l’air pendant 7 ans au cours de 48 voyages
Il fallait bien ce temps pour saisir ce territoire qui a une superficie dix fois supérieure à celle de la France et dont 60% se trouve sur le sol brésilien.Il s’agissait de montrer l’incroyable diversité naturelle de la forêt et le mode de vie des peuples qui la composent. Il a pu travailler avec 12 tribus différents – il y en a en tout 192. Les plus grands massifs du Brésil sont en Amazonie, les rivières aériennes sont des phénomènes extraordinaires, les fleuves majestueux. Tout est grandiose et pourtant tout est fragile.

Le photographe Sebastião Salgado. © Renato Amoroso

Un écosystème menacé par l’avidité de l’homme
Dans les zones protégées où vivent les communautés indigènes la forêt n’a subi presqu’ aucun dommage.Ailleurs l’élevage bovin et la culture du soja gagnent du terrain sur la forêt, des routes sont construites pour faciliter le commerce des entreprises forestières et des orpailleurs. Quand on brûle la forêt tout le carbone est immédiatement libéré dans l’atmosphère.

Il n’y a pas des arbres parce qu’il pleut, il pleut parce qu’il y a des arbres
L humidité qui sort de l’Amazonie est primordiale pour la planète. C’est le seul endroit au monde où le système d’humidité de l’air ne dépend pas de l’évaporation des océans: chaque arbre dispense jusqu’à 1000 litres d’eau par jour dans l’atmosphère et crée ainsi des rivières volantes, phénomène étonnamment capté par l’oeil du photographe.
Avec ces quelques exemples, Sebastiao Salgado lance un cri d’alerte qui nous concerne tous et la force de ses photos achève de nous convaincre de notre part de responsabilité même à l’autre bout du monde.

Une exposition imaginée et conçue par Lélia Wanick Salgado
Avec plus de 400 photos, l’exposition se veut une immersion dans la forêt amazonienne.Dans les méandres de ce parcours, on croise de magnifiques portraits d’indigènes en habits d’apparats, seuls ou en tribu,dans la vie quotidienne ou lors de rituels de fêtes.
La musique de Jean Michel Jarre composée de voix, instruments et sons indiens collectés dans la nature est le fil conducteur de cette déambulation sensible et esthétique. La musique brésilienne est mise à l’honneur dans deux salles de projections avec les compositeurs Heitor Villa-Lobos et Rodolfo Streter.

Indienne Yawanawá, État d’Acre, Brésil, 2016. © Sebastião Salgado

Reconstruire une partie de ce que nous détruisons
On ne peut s’empêcher de penser à Jean Giono et à sa fable écologiste et humaniste «  L’homme qui plantait des arbres » quand on découvre en fin d’exposition le projet un peu fou du couple Salgado.
En 1953, le berger de Giono, Elzéard Bouffier, plante des glands patiemment, sans jamais perdre l’espoir de voir une forêt grandir : un seul homme avec de simples moyens peut réaliser de grandes choses.
En 1998, Sébastiao et Lélia Sagaldo créent l’Instituto Terra et rêvent de reboiser une zone de plus de 700 hectares où se situe la ferme familiale. Nous découvrons, preuve photographique à l’appui le succès de ce reboisement de plus de 2 millions d’arbres. La nature a repris ses droits petit à petit : oiseaux, mammifères, reptiles etc…sont revenus dans leur habitat naturel.

Exposition Amazônia du 27 Juin au 30 Novembre 2022. 10h à 19h.5 et 8€. Palais des Papes Visites guidées de l’exposition tous les samedis et dimanches à 15h. officetourisme@avignon-tourisme.com 04 32 74 32 74. www.avignon-tourisme.com


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

La galerie Artophage (Pernes-les-Fontaines) inaugure son exposition ‘King Size Reva’, début juillet, dans les jardins de la mairie de Pernes. 

La galerie Artophage inaugure son exposition ‘King Size Reva’, le 3 juillet à partir de 17h, dans les jardins de la mairie de Pernes-les-Fontaines. A travers un parcours de 70 œuvres d’art urbain en taille king sice, les visiteurs peuvent découvrir la ville, ses monuments et son centre historique.
L’association ‘l’œil qui écoute’, partenaires de l’exposition, propose une découverte de l’exposition en audiodescription pour les mal ou non-voyants, ainsi qu’une découverte audio-guidée pour les personnes atteintes de handicap mental.
L’association ‘les amis de Théodore’, qui permet à des enfants porteurs de handicaps ou d’autisme d’accéder à l’art, est également partenaires de l’exposition.

‘Tous différents, tous uniques, tous amoureux de l’Art’
Tous les jeudis des mois de juillet et août, une scène ouverte sera mise à disposition des artistes pour des démonstrations et des performances artistiques en direct (musique, danse, théâtre…), de 19h à 22h sur la Place du Cormoran.
Un marché ‘découverte des saveurs du terroir’, avec des dégustations de spécialités pour découvrir les saveurs de la Provence, sera également présent sur la même place aux mêmes horaires.
Enfin, à 22h sous les halles, une animation son et lumière présentera le travail des 60 artistes exposés à la galerie en 2020 et 2021.

Exposition ‘King Size Reva’ du 3 juillet au 31 août à la galerie Artophage, ouverte tous les jours durant l’été, de 10h à 13h et de 16h à 19h – 11 avenue Font de Luna, Pernes-les-Fontaines.

J.R.

La galerie Artophage inaugure son exposition ‘King Size Reva’, le 3 juillet à partir de 17h, dans les jardins de la mairie de Pernes-les-Fontaines. © DR

1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

L’équipe de l’ESEA (école supérieure d’ébénisterie d’Avignon) et tous les stagiaires de la promotion 2021-2022 organisent une exposition de fin d’année, le mercredi 29 juin.
Les élèves des trois formations ébénisterie et sculpture sur bois présenteront leur œuvre la plus personnelle, après un parcours intensif de seulement dix mois.
Parmi les élèves suivant la formation, il y a de nombreuses reconversions professionnelles offrant des portraits et des motivations très diverses.
Cette exposition, qui révèle chaque année de nouveaux talents, est ouverte au public.

Mercredi 29 juin de 9h à 17h – 1 742 route d’Orange – 84250 Le Thor.

J.R.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

Dans le cadre des résidences d’auteur La Licorne et le Dragon, Pascal Servera, photographe, expose ses photographies à la Galerie La Cure.

Dans cette exposition, Pascal Servera présente plusieurs facettes de son regard sur la Camargue, Beauduc et Vaccarès. Également, le photographe expose sa vision sur les coutumes avec son témoignage sur un des plus dense rassemblement connu pour son intensité et sa ferveur : Sara-la-noire-des-Saintes-Maries-de-la-Mer. 

Informations pratiques
Vernissage le mardi 14 juin à partir de 18h. Exposition du 14 juin au 30 juin de 11h à 17h (fermé le lundi). Galerie La Cure – place de l’église, les Baux-de-Provence.

J.R.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

Une toute nouvelle exposition intitulée ‘ECHOS!’ débarque à la Maison Dora Maar à Ménerbes. Son vernissage aura lieu ce soir et il sera possible de la visiter jusqu’au 30 septembre prochain.

La Mob de la Maison Dora Maar, conçue pour des dialogues artistiques interdisciplinaires à travers le temps et l’espace, présente sa nouvelle exposition nommée ‘ECHOS!’. Cette dernière va permettre aux visiteurs de faire un voyage dans le temps, au siècle dernier, avec ses quatre peintres : Dora Maar, Nicolas de Staël, Joe Downing et Jane Eakin.

L’objectif de cette exposition est de présenter les œuvres de telle manière que le public ait l’impression que les quatre artistes sont de vieux amis partageant un déjeuner à l’ombre des pins provençaux. Au programme : natures mortes ou encore art abstrait. La Mob accueillera le vernissage de cette exposition ce soir, et les visiteurs pourront venir admirer les œuvres jusqu’au 30 septembre.

Vernissage. Vendredi 27 mai. 17h. La Mob. Maison Dora Maar. 58 Rue du portail neuf. Ménerbes.

Exposition. Jusqu’au 30 septembre. Tous les jours de 11h à 13h et 14h à 18h. Entrée libre. La Mob. Maison Dora Maar. 58 Rue du portail neuf. Ménerbes.

V.A.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

Le château de Thézan, à Saint-Didier, va ouvrir ses portes pour la première fois à partir du samedi 4 juin prochain avec une exposition de l’artiste Etienne Viard.

Le château de Thézan, situé à Saint-Didier, n’a jamais pu accueillir de public. Après 20 ans laissé partiellement à l’abandon, la bâtisse et son parc ont été rachetés par Pierre de Beytia et Emmanuel Renoux, deux passionnés de vieilles pierres, de mobilier, d’objets d’art, ainsi que de beaux jardins.

« Depuis avril 2019, nous travaillons à maintenir le château et à redonner au domaine sa splendeur afin de pouvoir partager ce joyau de Provence avec le public, habitants du village de Saint-Didier et des alentours mais aussi avec les touristes et autres passionnés qui s’intéressent au réveil de la belle endormie du Comtat Venaissin », explique Emmanuel Renoux.

Un château du XIIème siècle

Situé face à l’église de la commune, le domaine qui s’étend sur 4000m² de planchers, 1,4ha de terrain clos, et 3,5 ha de terres agricoles s’est révélé être un véritable challenge pour ses deux acquéreurs. Évoqué pour la première fois dans des archives en 1159 sous le nom de ‘Villa de Saint-Didier – Villa Sancti Desiderii’, le bâtiment a servi de résidence principale, puis d’établissement de santé.

À la fin des années 1980, la clinique ferme ses portes. Le château et ses jardins sont alors faiblement maintenus jusqu’à être laissés complètement à l’abandon en 2016 avant d’être acquis trois ans plus tard par Pierre de Beytia et Emmanuel Renoux.

Une exposition pour inaugurer l’ouverture au public

Afin de marquer cette réouverture au public, le château provençal va accueillir une exposition. Quoi de mieux que de choisir un artiste ancré dans le Vaucluse pour inaugurer ce bien patrimonial ? C’est donc Etienne Viard, qui vit et travaille entre le département et la capitale, qui va exposer ses sculptures.

Dans les jardins du château, les visiteurs pourront donc se balader librement entre 12 œuvres. Il sera possible de visiter cette exposition à partir du samedi 4 juin prochain, et ce, jusqu’au 18 septembre.

Du 4 juin au 18 septembre. Ouverture les lundis, samedis et dimanches, ainsi que les vendredis au mois d’août. De 10h30 à 13h et de 15h à 18h30. Fermeture les 25, 26 et 27 juin. 4€ (tarif réduit : 3€). 58 Rue du Château. Saint-Didier.

V.A.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

Demain sera le dernier jour pour découvrir l’exposition « Les orchidées de Provence-Alpes-Côte d’Azur » à la Maison du Parc du Luberon à Apt, réalisée par le Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Grâce à 9 panneaux, vous percevrez la diversité des orchidées sauvages de la région, les vertus méconnues de ces plantes étonnantes et les bonnes pratiques pour les sauvegarder.

Entrée gratuite. Du lundi au vendredi. 8h30 à 12h – 13h30 à 18h. Maison du Parc. 60 place Jean-Jaurès. Apt.
Renseignements : 04 90 04 42 00.

A.D.


1ère édition de l’exposition photographique ‘Réflexivité(s)’

La Maison Dora Maar et l’Hôtel de Tingry à Ménerbes ouvrent leurs portes pour une exposition ‘Vert Terrestre’  portée par l’association Nancy B Negley, présentant les œuvres de l’artiste de renommée internationale Piotr Klemensiewicz, du 14 avril au 30 mai 2022.

Déjà pensionnaire en 2008, le sculpteur et peintre français revient cette fois-ci avec une série d’œuvres à dominante verte autour de ’la perception du paysage et de la sensation de la nature’. Un travail des couleurs pour lequel Klemensiewicz est reconnu, lui qui les considère comme dotées d’un “langage visuel propre qui fait taire les mots”.

Un vernissage aura lieu le samedi 16 avril à 17h.

A.D.

Horaires : du lundi au vendredi uniquement sur rendez vous | Samedi de 11h à 13h et 14h à 17h | Entrée Libre. Adresse : l’Hôtel de Tingry | Rue Cornille | Ménerbes France. Contact : MacKenzie Mercurio | mmercurio@maisondoramaar.org | 07 67 52 79 94

L’artiste Piotr Klemensiewicz à l’hôtel de Tingry.

https://echodumardi.com/tag/exposition/page/13/   1/1