23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

La ville d’Apt vient de bénéficier du soutien de l’Union européenne dans sa lutte contre le Covid-19. Cette aide va notamment passer par un cofinancement de l’Union et du Fonds social européen (FSE).

Activée depuis plus d’un an, la cellule de crise de la Ville d’Apt a multiplié les actions visant à prévenir la propagation de l’épidémie de Covid. Cependant, en raison de la prolongation de la crise sanitaire, ces actions déployées sur la durée représentent un coût significatif pour le budget de la Ville. Un coût qui sera donc pris en charge en partie par l’Union européenne et son dispositif d’aide.

Parmi les mesures prises par la commune d’Apt citons notamment : la distribution de masques à la population, la réorganisation des lieux recevant du public, l’équipement des établissements scolaires (installation de vitres plexiglas, signalétique, mesures de désinfection, installation de distributeurs muraux,…), la gestion et le renouvellement des stocks de consommables (gel hydro-alcoolique, savon, serviettes en papier, désinfectant…).


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

Bien que le concept de démocratie revêt une pluralité de notions et qu’il puisse être compliqué d’arriver à un consensus sur son évaluation, l’indice « Democracy Index » publié chaque année par l’Economist Intelligence Unit donne un aperçu plutôt intéressant de l’état des institutions démocratiques dans le monde.

Dans sa dernière édition, les auteurs rapportent un recul sans précédent des libertés démocratiques en 2020. Le score mondial moyen de l’indice est ainsi passé de 5,44 en 2019 à 5,37 en 2020, ce qui constitue de loin le pire score global depuis la création de cette étude en 2006. Cette détérioration provient en grande partie – mais pas uniquement – des restrictions imposées par les gouvernements sur les libertés individuelles et civiles qui se sont produites dans le monde en réaction à la pandémie de coronavirus. La dégradation de la démocratie à l’échelle mondiale s’inscrit néanmoins dans une tendance de plus long terme, puisque le score recule depuis déjà plusieurs années.

Le classement des pays réalisé par The Economist est basé sur l’analyse de 60 indicateurs regroupés en cinq catégories : processus électoral et pluralisme, libertés civiles, fonctionnement du gouvernement, culture et participation politique. L’infographie de Statista fait un focus sur l’Europe qui n’échappe pas au phénomène d’altération bien qu’elle reste la région enregistrant parmi les meilleurs scores au monde.

Ce sont toujours les pays nordiques qui représentent les démocraties les plus complètes, avec un trio de tête composé de la Norvège (9,8), de l’Islande (9,4) et de la Suède (9,3). La France continue quant à elle d’osciller entre les catégories « démocraties pleines » et « imparfaites », avec un score qui est passé de 7,80 en 2018 à 8,12 en 2019, avant de retomber à 7,99 l’année dernière. Sur le plan mondial, l’Hexagone se classe 24ème juste devant les États-Unis (score de 7,92). D’après l’étude, les mauvais élèves de la région Europe restaient la Biélorussie, où Loukachenko est actuellement toujours en place malgré la contestation populaire, ainsi que la Russie, où des manifestations ont récemment éclaté en lien avec l’affaire Navalny.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

La dernière analyse du « Worldwide broadband speed league » publiée par cable.co.uk, révèle une forte hausse de la vitesse moyenne de l’Internet haut débit dans le monde, qui a plus que doublé entre 2019 et 2020. Cette tendance est notamment influencée par les performances des pays les plus rapides qui progressent à grand pas et font monter la moyenne, alors que les pays les plus lents stagnent. Encore une fois, l’Europe domine le classement et se distingue globalement par la qualité de ses infrastructures, les pays les mieux classés étant ceux ayant mis l’accent sur le développement de la fibre optique. Comme le montre cette carte de Statista, il existe toutefois de grandes disparités dans la région avec une vitesse moyenne pouvant varier d’un facteur dix.

Les champions européens de la connexion Internet sont le Luxembourg, l’Islande, la Suisse et la Hongrie, avec des vitesses moyennes comprises entre 100 et 118 mégabits/seconde. Mais des territoires plus petits (non représentés sur le graphique) font encore mieux, étant avantagés par la taille du réseau qu’ils doivent développer. C’est notamment le cas des principautés du Liechtenstein et d’Andorre qui enregistrent des vitesses supérieures à 200 mégabits/seconde. Parmi les plus rapides, on retrouve ensuite des pays du nord de l’Europe comme les Pays-Bas (96 Mbps), le Danemark (85 Mbps) et la Suède (81 Mbps). La France se situe quant à elle dans la moyenne (51 mégabits/seconde), entre l’Espagne (56 Mbps) et l’Allemagne (42 Mbps).

De l’autre côté de l’échelle, les pays les plus lents sont situés à l’est (Ukraine, Biélorussie) et dans les Balkans (Albanie, Macédoine du Nord), avec des vitesses moyennes inférieures à 20 mégabits/seconde. Ce sont les Italiens qui sont de loin les moins avantagés en Europe de l’Ouest (23 Mbps), tandis que le Royaume-Uni et l’Irlande enregistrent des performances plutôt médiocres : respectivement 38 et 35 mégabits/seconde.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

Le Covid-19 s’est répandu dans le monde entier et a remis en question les idées préconçues sur les endroits les mieux préparés pour faire face à la pire crise sanitaire de ces dernières décennies. Certaines économies avancées, comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou la France, étaient considérées par les experts comme étant les mieux préparées à une pandémie avant que n’éclate la crise du coronavirus, mais elles ont été à plusieurs reprises submergées par l’épidémie et se sont retrouvées confrontées à des confinements coûteux. Dans le même temps, d’autres pays ont défié les attentes, certains ayant réussi à contenir la propagation du virus à l’intérieur de leurs frontières et à minimiser l’impact économique.

Les analystes de Bloomberg ont cherché à déterminer les pays où il fait mieux vivre à l’ère du coronavirus via l’analyse d’une dizaine d’indicateurs (en date du 23 novembre 2020), parmi lesquels : la croissance des contaminations, le taux de mortalité, les capacités de tests et de soin, l’accessibilité des vaccins ou encore l’impact des restrictions sur l’économie et les libertés de mouvement. Cette carte de Statista, basée sur cette étude qui porte sur un total de 53 pays, s’intéresse plus particulièrement à la situation en Europe, en comparant les scores obtenus par vingt pays sur le continent.

Les pays scandinaves ressortent pour le moment comme étant les mieux lotis : la Finlande et la Norvège obtiennent les meilleurs scores de résilience (82 sur 100), suivis par le Danemark (77), l’Allemagne (71) et la Suède (69). De l’autre côté de l’échelle, la Belgique et la Tchéquie enregistrent les indices de résilience les plus faibles sur les vingt pays étudiés, respectivement 46 et 47. Ce sont globalement les pays situés au sud et à l’est du continent qui semblent affronter les plus grandes difficultés, bien que l’on note quelques exceptions comme la Russie (65). Plombé par un confinement considéré comme l’un des plus sévères, la France obtient le troisième score le moins élevé (52), à égalité avec la Pologne et à peu près au même niveau que l’Espagne, l’Italie et la Roumanie (54).

Si les perspectives vis-à-vis de la pandémie restent encore incertaines pour 2021, il faut toutefois espérer, après une année de lutte, que les gouvernements et les populations auront désormais une meilleure compréhension du virus, de la façon d’enrayer sa propagation et d’atténuer les dommages qu’il inflige.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

La pandémie de coronavirus affecte les revenus de nombreuses personnes à travers le monde. La dernière enquête « Eurobaromètre » du Parlement européen montre comment les revenus ont déjà été impactés dans les États membres de l’Union Européenne. Comme le met en évidence la carte de Statista, la proportion de répondants dont les revenus ont été affectés par la crise sanitaire dépasse 50 % dans cinq pays : Chypre, Grèce, Espagne, Roumanie et Bulgarie.

En France et en Allemagne, la part est plus modeste, même si elle s’élève tout de même respectivement à 31 % et 29 %. C’est dans les pays du nord de l’Europe que les populations ont été les plus épargnées. Aux Pays-Bas et en Finlande, environ une personne sur cinq déclare que ses revenus ont déjà été impactés, et ce taux descend même à 17 % au Danemark. L’ampleur de l’épidémie et le degré de sévérité des mesures de restrictions qu’elle a impliqué est l’une des raisons qui explique la variabilité des impacts. Mais les plans d’aides déployés par les États, notamment les dispositifs de chômage partiel, ont aussi joué un rôle prépondérant pour limiter la détérioration des revenus.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

La Journée mondiale du lavage des mains, organisée chaque année le 15 octobre, est une campagne qui vise à sensibiliser les populations à travers le monde sur l’importance du lavage des mains dans la prévention de certaines maladies. D’habitude plutôt confidentielle, cette journée de sensibilisation a une résonance particulière cette année.

Parce qu’elles se baladent à longueur de journée sur une multitude d’objets et de surfaces, nos mains sont les premières vectrices de germes infectieux. Leur lavage régulier et efficace représente ainsi l’un des principaux gestes barrières pour lutter contre une épidémie. Une étude publiée début octobre souligne même l’importance de cette habitude dans le cas du Covid-19, puisque que le SRAS-CoV-2 serait capable de survivre 9 heures sur la peau, contre environ 2 heures pour le virus de la grippe.

Comme le montre une étude WIN/Gallup relayée par Jakub Marian, le lavage des mains ne semble pas être une habitude systématique pour tous les Européens. Les Français ont la réputation d’être sales et ce cliché n’a pas fini de leur coller à la peau. En effet, seulement 62 % de la population déclarait se laver automatiquement les mains avec de l’eau et du savon après avoir été aux toilettes. Les Français ne sont pourtant pas les pires élèves de la classe : les Belges, les Italiens et les Néerlandais font encore moins bien que nous, puisque cette habitude ne concernait respectivement que 60 %, 57 % et 50 % d’entre eux.

De Claire Jenik pour Statista


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

Au lendemain de l’annonce de nouvelles restrictions dans plusieurs villes françaises, l’Union européenne a appelé ses Etats membres à durcir leurs mesures de contrôle face à la recrudescence de l’épidémie. Comme le montre le graphique de Statista, après avoir réussi à aplatir la courbe des infections, les pays d’Europe occidentale se retrouvent de nouveau confrontés à une hausse des contaminations. Selon les chiffres de l’université Johns Hopkins, le nombre de cas de Covid-19 augmente actuellement particulièrement vite en Espagne et en France, où il a dépassé respectivement 700 000 et 500 000 cette semaine. La trajectoire des courbes au Royaume-Uni, en Allemagne et en Italie traduit également un regain de l’épidémie, même s’il parait pour le moment plus faible pour les deux derniers pays cités.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

Avec la rentrée scolaire et l’arrivée de l’automne, l’Europe aborde un moment décisif dans la lutte contre la pandémie de coronavirus a averti l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) la semaine dernière lors d’une conférence de presse. L’OMS craint une augmentation de la « pression de l’infection » à mesure que les gens retrouveront les espaces intérieurs, alors que plusieurs pays européens font face à une recrudescence de l’épidémie qui ne met pas encore en danger les systèmes de santé.

Comme le montre cette infographie de Statista, basée sur des données compilées par l’Université Johns Hopkins, les courbes des nouveaux cas quotidiens de Covid-19 diagnostiqués aux États-Unis et dans l’Union européenne (UE) pourraient bientôt se croiser à nouveau. Le 15 septembre, on dénombrait près de 30 000 nouveaux cas quotidiens de Covid-19 dans l’UE (moyenne mobile sur une semaine), soit environ 10 000 de plus par rapport à la fin du mois d’août. Aux États-Unis, la courbe est progressivement redescendue après le pic observé en juillet (plus de 65 000 cas par jour) et la moyenne s’établit désormais à un peu moins de 40 000 nouvelles infections.

Si cet indicateur offre un aperçu général de la dynamique épidémique dans ces régions, il faut bien entendu garder en tête que ces courbes sont influencés par le volume de tests réalisés par les pays. L’indicateur sous-estime notamment l’ampleur de la première vague car les capacités de dépistage étaient limitées au début de la crise.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


L’Europe soutient Apt dans sa lutte contre le Covid

Bien que le concept de démocratie puisse revêtir une pluralité de notions et qu’il soit compliqué d’arriver à un réel consensus sur son sens, l’indice de démocratie (« Democracy Index ») publié chaque année par The Economist Intelligence Unit donne un aperçu plutôt intéressant et pertinent de l’état des institutions démocratiques dans le monde.

Le classement des pays réalisé par The Economist est basé sur l’analyse de 60 indicateurs regroupés en cinq catégories : processus électoral et pluralisme, libertés civiles, fonctionnement du gouvernement, culture et participation politique. La dernière édition de l’étude pointe une tendance à la dégradation de la démocratie à l’échelle mondiale, le score moyen global atteignant l’année dernière son pire niveau depuis la création de l’indice en 2006, sous l’effet notamment de fortes régressions observées en Amérique latine et en Afrique subsaharienne.

Cette infographie de Statista fait un focus sur l’Europe où la situation reste assez stable ces dernières années. Ce sont toujours les pays nordiques qui représentent les démocraties les plus complètes, avec un trio de tête composé de la Norvège (9,9), de l’Islande (9,6) et de la Suède (9,4). Parmi les États ayant marqué une progression, les analystes de The Economist citent la France et le Portugal, qui sont passés l’année dernière de la catégorie « démocraties imparfaites » à « démocraties ». D’après l’étude, les mauvais élèves de la région Europe restaient la Biélorussie, où la « dictature de Loukachenko » fait face à la contestation populaire, la Russie et la Turquie.

De Tristan Gaudiaut pour  Statista

https://echodumardi.com/tag/europe/page/8/   1/1