24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Les écogardes, qui ont sillonné plusieurs territoires du Parc naturel du Mont-Ventoux depuis mi-juin afin de limiter le risque incendie et sensibiliser les usagers et visiteurs des espaces naturels aux bons comportements, terminent leur saison avec un très beau bilan, dont aucun incendie à déplorer.

« Il est des soulagements que l’on aime répéter, celui de ne pas avoir eu d’incendie dans notre territoire en fait partie », a déclaré Jacqueline Bouyac, présidente du PNR Mont-Ventoux. Cet été, 24 écogardes ont été missionnés pour surveiller, informer, sensibiliser au risque incendie et aux comportements adaptés en espace naturel, assurer l’interdiction d’accès aux massifs lors des journées en alerte rouge, mais aussi relayer les infractions auprès des agents assermentés.

Les écogardes pouvaient également être amenés à démonter les foyers de feu, les barrages en rivière, les empilements de pierres, à recenser et relever des observations naturalistes ou le suivi de fréquentation, à ramasser les déchets au quotidien, à aider les personnes en difficulté et à faire découvrir le territoire et ses activités.

Neuf sites de patrouille

En tout, ce sont neuf sites, qui font tout autant la beauté du territoire que sa fragilité, qui ont été surveillés. Il s’agit des Gorges du Toulourenc (Malaucène, Mollans et Saint-Léger-du-Ventoux), du Lac du Paty (Caromb), le Lac de Salettes et les Ocres (Mormoiron), les Gorges de la Nesque Est (Monieux), les Gorges de la Nesque Ouest et la Combe de l’Ermitage (Méthamis et Villes-sur-Auzon), les Dentelles de Montmirail (Beaumes-de-Venise, Gigondas, Lafare…), Pérégrine et les Combes de Venasque (Venasque), le sommet du Ventoux et les Demoiselles Coiffées (Bédoin), ainsi que le Pont d’Entrechaux.

La plupart de ces sites sont très fréquentés en été, que ce soit par les familles, les randonneurs, les touristes, comme les locaux. Certains voient une attention et un respect particuliers de la part des visiteurs, comme les Dentelles de Montmirail. D’autres doivent faire face au nombreux dépôts de déchets mais aussi à la présence de nombreux fumeurs qui jettent leur cigarette dans la nature, comme Pérégrine et les Combes de Venasque, le Lac du Paty, les Gorges de la Nesque Ouest, ou encore le sommet du Mont Ventoux.

Plus de 52 000 personnes sensibilisées

Durant l’été, les écogardes ne sont pas seulement sur les sites sensibles, ils sont également présents sur les marchés et diverses manifestations autour du Ventoux. Grâce à leurs stands sur les marchés hebdomadaires de Carpentras, Malaucène, Pernes-les-Fontaines ou encore Bédoin, mais aussi à ceux sur les fêtes telles que la Foire aux agnelles de Saint-Christol d’Albion ou encore la Fête de la Lavande de Sault, les écogardes peuvent sensibiliser locaux et visiteurs.

Ce sont donc 5 896 personnes qui ont été sensibilisées sur les différents marchés hebdomadaires, et 1 929 sur les autres événements. Et c’est sans compter les touristes et locaux que les écogardes ont rencontrés et informés directement sur les sites à surveiller. En tout, les écogardes ont cumulé environ 7 600 heures de patrouilles et ont sensibilisé plus de 52 000 personnes

En résumé, les tendances ont été équivalentes à celles de 2023 en termes de connaissances du PNR Mont-Ventoux, de types de public présents sur les sites, ou encore de connaissances de la réglementation qui entoure le risque incendie.

©PNR Mont-Ventoux

« Des progrès, nous en faisons et nous avons encore des défis à relever, a conclu Jacqueline Bouyac. Je pense notamment au sommet du Ventoux, pour lequel nous devons aller un peu plus loin. L’accueil des visiteurs reste complexe tout comme les stationnements de véhicules et de fait, la sécurité des visiteurs. Un travail de concertation entre acteurs devrait être entrepris, à l’image de ce qui est mené par le Parc pour les Gorges du Toulourenc. Je suis convaincue que c’est en tirant collectivement les leçons de chaque saison estivale que nous pourrons améliorer les conditions d’accueil sur nos sites de nature. »


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Après un épisode caniculaire en vigilance orange avec des températures avoisinant les 39°c le week-end dernier, le Vaucluse repasse en vigilance jaune. Ainsi, la préfecture désactive dès aujourd’hui — le mardi 13 août — l’alerte canicule, qui est activé lorsque les indices bio-météorologiques dépassent les seuils établis de 36°C le jour et 21°C la nuit durant 72h consécutives.

La chaleur étant toujours bien présente, il faut tout de même garder quelques précautions comme demander des nouvelles de ses proches, notamment les plus fragiles, s’hydrater avant de ressentir la soif, rester au frais, se mouiller le corps régulièrement, éviter les activités trop intensives, manger frais et équilibré, ou encore éviter l’alcool.


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

68% des familles prévoient de partir en vacances pendant les vacances d’été. RentalReady, logiciel de location saisonnière 100% natif, vous livre ses conseils pour garder votre maison fraîche et sans odeur jusqu’à votre retour.

« Rien ne gâche un retour comme une mauvaise odeur qui vous accueille à la porte », remarque François Lavie, CTO de RentalReady, soulignant une frustration commune à beaucoup au retour d’une absence prolongée.

Même si voyager offre une pause rafraîchissante, il peut aussi, ironiquement, provoquer de mauvaises surprises à la maison, notamment sous la forme d’odeurs étranges. Qu’elles soient le résultat d’un air stagnant, de déchets laissés sans surveillance ou d’un déversement inaperçu avant votre départ, ces odeurs peuvent transformer votre bonheur d’après-vacances en une épreuve qui vous pince le nez.

Les causes courantes des odeurs domestiques

Il est important d’abord de comprendre la cause de l’odeur nauséabonde.

  • Air vicié : Si une maison n’est pas aérée, des odeurs peuvent persister et se combiner avec d’autres odeurs.
  • Moisissure : Elles prospèrent dans les zones humides, comme la salle de bain et la cuisine, et se développent rapidement.
  • Aliments périssables : Les aliments pourrissant dans les poubelles ou dans le réfrigérateur produiront des odeurs rances.
  • Drains et éliminations : Les drains qui ne sont pas utilisés peuvent se dessécher et les restes de nourriture dans la poubelle se décomposeront.

Mesures préventives avant de partir en vacances

En prenant quelques mesures proactives, vous pouvez grandement éviter le problème du retour à une maison malodorante. Voici quelques conseils d’experts pour garder votre maison fraîche pendant votre absence.

Nettoyage en profondeur : Donnez à votre maison un bon nettoyage. « Le nettoyage aide non seulement à éloigner les odeurs, mais garantit également que vous êtes accueilli dans un environnement visuellement invitant », conseille Lavie.

  • Frottez les sols, nettoyez les surfaces et nettoyez les salles de bains sans résidus.
  • Videz le réfrigérateur en retirant toutes les denrées périssables et tout ce qui est sur le point de périmer.

Traitez les déchets : En sortant, videz toutes les poubelles et recyclez. Ce qui reste va probablement pourrir, entraînant une mauvaise odeur.

Buanderie : Lavez et retirez tout le linge sale des locaux. Les vêtements couramment utilisés, en particulier les vêtements de sport, conservent l’odeur du corps humain et de l’humidité et deviennent fades avec le temps.

Drains d’évier : Pour entretenir et désodoriser, versez périodiquement du bicarbonate de soude, suivi de vinaigre blanc, dans les égouts de votre évier. Rincez à l’eau pour maintenir les siphons remplis d’eau et les niveaux de liquide suffisamment profonds pour que les gaz d’égout ne soient pas aspirés dans la maison.

Thermostats : Gardez le thermostat plus frais dans la maison pour diminuer le taux de décomposition et la croissance des moisissures. La meilleure température est de 68°F (20°C).

Utilisez du bicarbonate de soude : Pour désodoriser les odeurs persistantes, laissez des boîtes de bicarbonate de soude ouvertes à divers endroits, y compris à l’intérieur du réfrigérateur.

Autres conseils si vous partez pour une période prolongée

Si vous partez pour une période plus longue que quelques semaines, vous devez également :

  • Demandez de l’aide : Demandez à un ami ou à un voisin de vérifier régulièrement votre maison pour détecter tout élément inhabituel et l’aérer.
  • Déshumidificateurs électroniques : Ceux-ci peuvent extraire l’humidité de l’air et prévenir la moisissure.

Rentrer chez soi : actions immédiates

À votre retour, prenez immédiatement les mesures suivantes pour rafraîchir votre maison :

  1. Aérez la maison : Ouvrez grand toutes les fenêtres et portes pour permettre à l’air frais d’entrer.
  2. Vérifiez les fuites et les déversements : Si vous avez manqué certaines zones pour détecter des fuites et des déversements, vérifiez-les. Nettoyer immédiatement peut éviter les odeurs à long terme.
  3. Versez de l’eau dans vos canalisations : Les siphons en P des éviers, des douches et des baignoires doivent être remplis d’eau pour bloquer les gaz d’égout.

7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Si l’été rime avec festivités, cette période d’activité touristique intense est aussi synonyme de défi sécuritaire pour de nombreux commerçants. Et, cette année ne devrait pas faire exception. Afin d’aider les commerces à prévenir les vols, et donc à réduire les pertes, Veesion, deeptech à l’origine d’une solution de détection intelligente du geste, dresse une liste des techniques de vol à l’étalage les plus utilisées.

« Les grands événements sportifs comme ceux de cet été constituent une réelle opportunité pour les commerces locaux tout en représentant un risque accru de vols en rayon. Il est donc essentiel pour les professionnels de la distribution de connaître les stratagèmes utilisés par les voleurs afin de mettre en œuvre les mesures appropriées pour se protéger. L’ingéniosité des spécialistes de la sécurité est tout aussi développée que celle des voleurs et des solutions existent pour être certain d’avoir toujours le bon œil, au bon endroit, au bon moment », explique Benoît Koenig, cofondateur de Veesion.

Le sac en métal

Les voleurs à l’étalage s’équipent parfois de sacs doublés de métal pour stopper les signaux émis par les étiquettes de sécurité et les empêcher de déclencher les systèmes d’alarme. Couramment appelé « balayage », ce stratagème est généralement bien connu des membres du personnel de sécurité tout en restant difficile à déjouer. Ceci expliquant cela, aux caisses de certains magasins, des affiches invitent souvent à présenter des sacs ouverts afin que les hôtes de caisse puissent en faire un examen visuel. Cette invitation n’a cependant rien d’obligatoire.

L’aimant, l’outil numéro 1 des voleurs à l’étalage

Suivant sa puissance, un aimant peut permettre de retirer les badges antivols. En effet, la plupart des antivols utilisent un système de verrouillage magnétique basé sur l’attraction de billes métalliques dans la tête du badge. Lorsqu’elles sont attirées par une force magnétique, ces billes entraînent avec elles le système de verrouillage du badge, libérant ainsi le clou de l’antivol. Petit et facile à mettre en poche, l’aimant est aujourd’hui l’astuce la plus usitée pour déjouer les portiques de sécurité.

Le brouilleur de portiques antivols

Discrets et indétectables, les brouilleurs de portiques antivols sont des petits boîtiers électroniques en plastique qui brouillent les ondes radio des systèmes antivols. Ainsi, ils empêchent la communication entre les badges antivols textiles et les portiques de sécurité qui doivent les détecter en cas de tentative de vol. Cette nouvelle technique de vol en magasin inquiète particulièrement les commerçants, même si des solutions existent pour lutter contre ces appareils.

Cacher la marchandise sous ses vêtements

Prendre un produit, le cacher en dessous ou à l’intérieur d’un vêtement épais, voire dans un sous-vêtement, puis sortir en marchant le plus simplement du monde…. Aussi osé que cela puisse paraître, cette technique est toujours couramment employée par les voleurs à l’étalage. Parfois, un chapeau, un parapluie ou un faux ventre de femme enceinte peut même faire office de cachette ! Les cabines d’essayage sont des endroits stratégiques pour ces clients malveillants qui repartent du magasin, produit presque en main, sans faire mine de quoi que ce soit. 

Le changement d’étiquette

Ni vu, ni connu, un produit change d’étiquette et… de prix. Très courante, cette pratique occasionne un manque à gagner considérable, notamment dans les commerces d’alimentation et d’objets du quotidien. Elle est en effet très difficile à déceler pour les commerçants, surtout en période de forte fréquentation, où la vigilance est plus délicate à maintenir. La présence d’intérimaires ou de stagiaires peut également compliquer la tâche. Moins au fait des tarifs pratiqués, moins sensibilisés à ces comportements, ils sont plus faciles à duper que les employés en poste à l’année.

Le vol à deux ou à plusieurs

Les techniques les plus simples sont parfois les plus efficaces… Les voleurs entrent ensemble dans un magasin, ou séparément afin d’éviter d’éveiller tout soupçon. Généralement, l’un d’entre eux va ensuite chercher à attirer l’attention du personnel de sécurité pour que l’autre puisse dérober en toute tranquillité de la marchandise sans être repéré.


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Le salaire minimum interprofessionnel de croissance, salaire minimum légal en France, actuellement fixé à 1 766,92 euros brut par mois pourrait augmenter au cours de l’été 2024.

Pour rappel, le Smic évolue en fonction de l’inflation. Ainsi, en mai 2023 puis en janvier 2024 il avait augmenté de 1,13% -1 709,28€ brut et 1 353,07€ net- suivant ainsi partiellement l’indice des prix à la consommation qui avait augmenté lui de 2%.

Or, une nouvelle prévision de la Banque de France
prévoit une augmentation de l’indice des prix hors tabac de 2% au 3e trimestre ce qui pourrait signifier une nouvelle hausse du salaire minimum. Si l’on prend une hypothèse d’une augmentation de 2%, le Smic pourrait alors passer la barre des 1 802,26€ par mois franchissant la barre des 1 800€ pour dépasser les 1 400€ net, alors que le nouveau Front Populaire milite pour un Smic à 1 600€ net et une indexation des salaires sur l’inflation.

Cette hausse du Smic pourrait intervenir dans l’été.

MMH


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

La rentrée approche à grands pas mais la fête est encore au rendez-vous à la librairie Le Bleuet, à Banon, qui organise une soirée de clôture de l’été ce jeudi 24 août.

Dès 17h, la librairie prolongera encore un peu l’été avec des lectures pour enfants sur le thème des vacances. Tous les enfants profiteront ensuite d’un goûter offert. À 19h, un buffet partagé sera organisé. Chacun peut amener un plat sucré ou salé. Dans le même temps, la librairie proposera un micro ouvert, avec des lectures participatives de textes sur le thème de l’été et des vacances. Cette soirée de clôture de l’été se poursuivra à 21h avec un concert du groupe Why Notes, sous forme de guinguette dans les jardins de la librairie.

Jeudi 24 août. Entrée libre. Librairie Le Bleuet. Rue Saint-Just. Banon.

V.A.


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Pas de trêve estivale pour les cambrioleurs, bien au contraire. Plus d’un quart des cambriolages ont lieu en juillet et août, quand les logements sont désertés pour les vacances. A l’heure des grands départs, Leocare, en partenariat avec Poll&Roll, a interrogé les habitants du Sud-Est sur leur expérience des cambriolages et leur crainte d’en être victimes au moment de laisser leur habitation vide pour quelques jours ou semaines de villégiature.

1 habitant du Sud-Est sur 5 a déjà été cambriolé

En France, un cambriolage a lieu toutes les deux minutes, selon l’observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). 25% des habitants du Sud-Est ont déjà été cambriolés, dont 6% à plusieurs reprises, selon l’étude menée par Leocare.

Néanmoins, toutes les régions ne sont pas égales face au risque de cambriolage. En chiffres bruts, c’est Paris qui est la plus affectée (28%), devant le Sud (26%), en particulier le Sud-Ouest (28%) et le Sud-Est (25%). Le Nord semble, à l’inverse, plus épargné (15%).

Les régions les plus affectées par les cambriolages © Leocare en partenariat avec Poll&Roll

Les personnes âgées sont également davantage touchées : 38% des habitants du Sud-Est âgés de plus de 66 ans ont déjà vécu un cambriolage, dont 14% à plusieurs reprises.

Manque de protection des habitations

Autre enseignement du sondage, les habitants du Sud-Est investissent peu dans les dispositifs de protection de leur habitation. 73% des victimes indiquent en effet que leur logement n’était pas équipé d’un quelconque système de sécurité avant leur cambriolage.

« Entre deux dépenses, l’une plaisir, l’autre contrainte, on opte généralement pour la première. Or, de toute évidence, un vitrage de sécurité et des serrures blindées ne sont pas des achats plaisir… La plupart des propriétaires ont donc tendance à s’équiper une fois qu’ils ont été victimes d’un cambriolage et non avant », explique Christophe Dandois CEO et co-fondateur de Leocare.

Cambriolages : la grande peur de l’été

Le manque de protection contre les intrusions est d’autant plus étonnant que les Français manifestent, par ailleurs, une forte anxiété à l’idée d’abandonner leur domicile pendant les vacances. Ainsi, 61% des habitants du Sud-Est craignent d’être cambriolés cet été, un chiffre qui grimpe à 65% au niveau national et à 71% chez ceux qui partent à l’étranger, dans un pays européen.

Cette peur, bien ancrée, est favorisée par trois grands facteurs : avoir souvent entendu parler d’une recrudescence estivale des actes de cambriolage (76%), ne pas disposer d’un système de sécurité suffisant contre les effractions (24%) ou encore résider dans une zone à risques (19%). L’inquiétude s’avère également corrélée au fait d’avoir déjà été cambriolé dans le passé (16%).

Pourquoi les habitants du Sud-Est sont-ils anxieux lorsque l’on parle de cambriolage ?

Partir en vacances en étant bien assuré !

Enfin, quand on demande aux habitants du Sud-Est quelle solution leur semble la plus efficace pour quitter son logement en toute sérénité, les réponses sont partagées. La moins coûteuse, à savoir demander à des proches de passer régulièrement et de surveiller l’habitation, a la faveur de 30% des sondés. L’installation d’une alarme et le recours à un système de vidéo-surveillance sont de leur côté plébiscités par respectivement 25% et 21% des personnes interrogées.

On notera aussi que 17% des habitants du Sud-Est envisagent de renforcer le niveau de garantie de leur contrat d’assurance habitation à l’approche de leurs vacances pour sécuriser leur logement. Un chiffre à mettre en parallèle avec un autre : 25% des propriétaires estiment ne pas être suffisamment couverts contre les cambriolages. « 56% des habitants du Sud-Est ne font pas régulièrement le point sur leur niveau de garantie cambriolages. Pourtant, bien choisir son niveau de garantie est indispensable ! Une assurance habitation insuffisante peut avoir des conséquences désastreuses, non seulement en cas de cambriolage, mais aussi d’incendie ou de dégradations », conclut Christophe Dandois.

Méthodologie : cette étude a été menée auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 à 66 ans et plus (4 catégories : 18-34 ans, 35-49 ans, 50-65 ans, 66 ans et plus). Les données ont été recueillies au moyen d’un questionnaire anonyme (10 questions) en ligne du 28 au 30 juin 2023.


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Quel pays européen a les vacances scolaires d’été les plus longues ?

Dans de nombreux pays européens, c’est la pause estivale : plus longues dans certains, plus courtes dans d’autres ! L’Italie occupe la première place avec 13 semaines de vacances d’été par an, suivie de près par la Grèce avec 12 semaines et l’Espagne avec 11 semaines – tous des pays connaissant des chaleurs record cette année.

Avec ses huit semaines de vacances scolaires d’été, la France se situe dans la moyenne de notre comparaison.

En Suisse romande, les vacances d’été durent 7 semaines. Dans l’ensemble de l’Helvétie, la durée varie entre 5 et 10 semaines selon les cantons. Au Tessin, par exemple, les élèves ont 10 semaines de congé, alors que les Suisses alémaniques doivent parfois retourner au travail ou à l’école après seulement 5 semaines de pause estivale.

Les vacances d’été de nos voisins allemands sont également relativement courtes : là-bas, elles ne durent que 6 semaines.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Claire Villiers, Statista.


7 600 heures de patrouille effectuées par les écogardes du Ventoux cet été

Alors que les vacances d’été arrivent à grands pas pour les parents et surtout pour leurs enfants et adolescents, le Teenage Lab de Pixpay, la carte de paiement des 10-18 ans copilotée par les parents, s’est interrogé sur les habitudes de consommation de la jeunesse lors de cette période estivale et dévoile ici les enseignements de son étude exclusive*. Pour illustrer ces chiffres, nous proposons le témoignage d’une famille cliente de Pixpay, dont le programme et l’organisation pour cet été 2023, est un bel aperçu de ce que sont les vacances chez les familles françaises.

Vacances : plus de budget, mais pas forcément plus de dépenses

Les vacances sont pour les ados synonymes de loisirs, de découvertes et parfois d’une indépendance grandissante. Les parents sont ainsi plus enclins à gâter leurs enfants lors de cette période. Ainsi, en juillet/août les adolescents voient leur budget mensuel augmenter de 40€ en moyenne sur l’année à 46€. Mais quelles folies financent-ils avec cela ?

Premier constat, ils dépensent moins souvent (5 transactions par mois contre 6 en moyenne le reste de l’année), mais déboursent des sommes plus importantes, puisque leur panier moyen passe de 14€ durant l’année scolaire à 16€ en juillet/août.

Pic de sorties pour les ados pendant les vacances ? Non. Pic d’ordi ? Oui !

Autre observation plus étonnante, plus que tout le reste de l’année, juillet/août représente une période d’achat en ligne pour les adolescents. En effet, alors que les transactions sur le web représentent 20% du total des dépenses des 10-18 ans pendant l’année, ce taux passe à 25% en juillet/août.

Sans vouloir faire dans les clichés, il semblerait, que pendant l’été, les adolescents soient plus devant leur smartphone qu’à jouer dans le jardin. Preuve en est : Google entre dans le top 5 des marchands préférés des ados pendant l’été.

Des dépenses pour se déplacer multipliées

Autre analyse cette fois-ci plus logique, les dépenses en matière de transports explosent pendant l’été. SNCF réalise 18% de ses transactions annuelles auprès des 10-18 ans sur les seuls mois de juillet/août. Quant aux alternatives plus « bon marché », elles deviennent pendant l’été les meilleures alliées des adolescents. Blablacar réalise 18% des transactions de l’entreprise ont lieu en juillet/août, et gagne ainsi 9 places dans le classement des enseignes les plus consommées par les ados pendant les vacances d’été. Un constat décuplé chez Flixbus qui grimpe de 61 places dans ce même classement sur la période.

Côté tourisme, une poignée d’adolescents ont la chance de quitter la zone euro. En effet, sur les mois de juillet/août, 6% des transactions se font dans une autre devise que l’euro. Soit deux fois plus que le reste de l’année. 

Alimentation en berne et mode en tendance

Autre poste de dépenses qui profite de la période estivale : la mode. En effet, on observe une augmentation des achats faits par les adolescents chez leurs marques préférées comme Shein et Zara. Ainsi, 22% des dépenses des ados en matière de vêtements & accessoires ont lieu pendant les vacances d’été. Une tendance qui peut être expliquée par les soldes de juillet et la préparation de la rentrée fin août.

A l’inverse, les marques de la grande distribution pâtissent de l’absence des adolescents qui viennent pendant l’année chercher un déjeuner entre midi et deux et/ou des sucreries à la sortie de cours. Les enseignes citadines comme Monoprix, Franprix et Carrefour City chutent respectivement de 4, 12 et 10 places au classement des marques plus consommées par les ados. On peut aisément comprendre que les jeunes préfèrent profiter de la bonne cuisine de leur grand-mère plutôt que de manger des sandwichs triangles.

Témoignage d’une famille utilisatrice de Pixpay
Julie mère de Johanna 12 ans et Joshua 14 ans (Versigny, Oise)

« Cette année mes ados partent en colonie sportive dans le Sud-Ouest, 10 jours en juillet. Nous allons ensuite en Corse en famille, puis ils finissent leurs vacances chez leurs grands-parents en Bretagne. Pour les mois de juillet/août, nous doublons leur argent de poche mensuel de 30 à 60€. Que ce soit en colonie, avec nous ou chez leurs grands-parents la quasi-totalité des dépenses ne sont pas à leur charge, cela leur permettra de pouvoir se faire plaisir à eux et aux copains/copines. Depuis près de 2 ans que nous utilisons Pixpay pour nos deux ados, nous avons constaté deux gestions de leurs finances très différentes. Joshua c’est la fourmi ! Il conserve tout dans son coffre-fort et ne dépense que le strict minimum. Il a aujourd’hui des centaines d’euros de côté. Sa sœur a plus de mal à épargner. Elle profite à fond de son argent de poche. La connaissant, elle va acheter plein de petits souvenirs pendant ses vacances et va faire le plein de glaces et de boissons fraîches sur la plage. De notre côté, l’application Pixpay nous permet de suivre leurs dépenses à distance, de leur faire un ajout en instantané en cas de besoin. Nous avons également bloqué certaines catégories de marchands comme les bars tabac. »

*étude réalisée sur la base de 7,9 millions de transactions réalisées par les utilisateurs français de Pixpay du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022.

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