26 novembre 2024 |

Ecrit par le 26 novembre 2024

Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Selon la définition de l’ONU, « lorsqu’un territoire prélève 25 % ou plus de ses ressources renouvelables en eau douce, on considère qu’il est en situation de stress hydrique ». À l’échelle mondiale, en 2018, seulement un peu plus de 18 % du total des ressources renouvelables en eau douce étaient prélevées. Mais à l’échelle régionale cependant, certains territoires connaissent déjà de graves problèmes de pénurie d’eau. Dotés d’un climat naturellement aride ou semi-aride, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient présentent les niveaux de stress hydrique les plus élevés et subissent déjà de plein fouet les effets du changement climatique. Ailleurs dans le monde, certains pays d’Asie centrale et du Sud, mais aussi d’Amérique latine et d’Europe (Espagne, Italie,…) sont déjà classés en niveau de risque « élevé ».

Comme le montrent les projections du World Resources Institute pour 2040, la raréfaction des ressources en eau est malheureusement amenée à s’aggraver. Un rapport de l’Economist Intelligence Unit indique que « l’urbanisation galopante, la croissance démographique, le changement climatique et le développement économique exercent une pression sur les systèmes d’approvisionnement en eau ». Selon les prévisions, 44 pays seront confrontés à des niveaux de stress hydrique « extrêmement élevés » ou « élevés » à l’horizon 2040. Comme l’avertit ce rapport, « dans le même temps, l’élévation du niveau des mers place un nombre croissant de territoires, notamment en Asie de l’Est et du Sud-Est, dans une situation de risque accru d’inondations, pouvant submerger les systèmes d’assainissement et polluer les sources d’eau potable ».

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

En service depuis le début de l’année, la nouvelle plateforme de récupération et de valorisation de déchets verts vient d’être inaugurée par la Communauté d’agglomération des Sorgues du Comtat à Althen-des-Paluds. Une solution écologique et économique, mais aussi pratique pour les particuliers.

Mettre en place une plateforme de récupération et de valorisation de déchets verts. C’est la solution imaginée par les élus des Sorgues du Comtat. Implantée à Althen-des-Paluds, cette plateforme a pour objectif principal d’éviter le débordement des déchetteries intercommunales, tout en continuant de respecter l’environnement. Le coût de cet aménagement s’est élevé à 266 500€. Il a été subventionné à moitié par le Département dans le cadre du plan de relance ‘Plus en Avant’ et à 20% par la Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR).

Capacité de 300 tonnes
Cette plateforme de 3750m2 et d’une capacité de dépôt de 300 tonnes est réservée aux services espaces verts en opération dans les communes de Monteux, Althen-des-Paluds, Bédarrides, Pernes-les-Fontaines et Sorgues. Elle permet donc de désengorger les déchetteries de ces deux dernières pour y favoriser le dépôt des déchets des particuliers et d’éviter les brûlages, illégaux depuis 2011. Pour ce faire, deux box d’une capacité totale de 600m3 sont installés sur la plateforme. Des bennes de 30m3 sont quant à elle disposées dans les cinq Centres techniques communautaires (CTC) ainsi qu’au lac de Monteux pour que les agents des espaces verts y déposent quotidiennement les déchets prévus pour.

Protection de l’environnement
Les différentes installations s’inscrivent dans une démarche de protection de l’environnement puisque les déchets déposés dans les bennes sont collectés en masse avant d’être apportés à la plateforme pour éviter trop de déplacements. La plateforme va également permettre aux Sorgues du Comtat de faire des économies. À terme, les déchets collectés seront broyés puis réutilisés sous forme de paillage organique ou de terreau par les agents des espaces verts. Ce recyclage permettrait ainsi d’économiser environ 2 000€ par an, selon une estimation de la Communauté d’agglomération.


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Malgré un contexte difficile pour l’industrie automobile, affectée par les pénuries de composants et de matières premières, les véhicules électriques ont continué de progresser de façon spectaculaire en 2021. Par rapport à l’année précédente, les ventes mondiales de voitures particulières 100 % électrique ont plus que doublé pour atteindre environ 4,4 millions d’unités selon le bilan annuel publié par PwC. La Chine représente de loin le plus grand marché en volume, le pays ayant écoulé à lui seul 2,9 millions d’unités.

Mais si l’on regarde les parts de marché des modèles tout électrique, l’Europe est toujours en pole position. Comme les années précédentes, la Norvège constitue l’exception la plus notable en tête de liste : en 2021, près de deux voitures nouvellement immatriculées sur trois étaient électriques. Les Pays-Bas et la Suède affichent également parmi les parts de marché les plus élevées, respectivement 20,8 % et 18,4 %, témoignant de l’adoption rapide de la mobilité électrique en Europe du Nord. En France, les voitures électriques pures ont atteint près de 10 % des nouvelles immatriculations en 2021.

Hors d’Europe, c’est la Chine qui domine sur le plan de l’adoption, avec environ 11 % de part de marché en 2021. Comme le révèle notre graphique, les États-Unis et le Japon sont plutôt à la traîne : le tout électrique n’ayant représenté que respectivement 2,7 % et 0,9 % des ventes dans ces pays l’année dernière.

C’est un ensemble de mesures politiques avantageuses – exonérations fiscales, gratuité des péages et autres incitations économiques – qui a permis à la Norvège de promouvoir avec un tel succès l’achat de véhicules électriques. Mais ce modèle reste difficilement transférable ailleurs. Tout d’abord en raison de son coût, la Norvège subventionnant l’achat de l’électrique à un niveau que peu d’autres pays pourraient se permettre. Et deuxièmement, car il s’agit d’une économie qui dispose d’un niveau de revenu parmi les plus élevés au monde (ironiquement grâce à ses réserves de pétrole), ce qui représente un net avantage en matière d’accessibilité financière pour la population.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Démarrée en 2008, la Grande muraille verte est une initiative pharaonique visant à reverdir la région semi-aride du nord du Sahel pour empêcher le Sahara de s’étendre vers le sud. L’idée : planter des millions d’arbres sur une bande de terre d’environ 8 000 km de long et 15 km de large traversant le continent africain du Sénégal à Djibouti. Pour se donner une mesure de l’envergure du projet, la longueur du tracé prévu correspond presque à la distance entre Paris et Pékin (8 200 km). Outre l’objectif de restaurer 100 millions d’hectares de terres dégradées d’ici 2030, la Grande muraille verte ambitionne de séquestrer 250 millions de tonnes de carbone. Elle permettra aussi d’améliorer la sécurité alimentaire et de créer des millions d’emplois dans les régions concernées.

Pour l’heure, ce projet ambitieux ne serait achevé qu’à environ 15 % selon les dernières estimations communiquées. Mais quelques 20 milliards de dollars ont récemment été promis au niveau international pour le faire avancer et espérer atteindre l’objectif fixé dans huit ans. Onze pays de la bande sahélienne sont engagés dans ce programme de restauration écologique. Toutefois, seule une poignée y avait significativement contribué au cours de la décennie ayant suivi le lancement. Comme le détaille notre infographie, sur la période 2008-2019, l’Éthiopie comptait pour plus de la moitié des terres restaurées dans le périmètre d’intervention du projet, suivie par le Niger (20 %), l’Érythrée (15 %) et le Sénégal (3 %).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Folklore, langue gaélique, musique… Mais aussi business et industrie. Au sein de l’entreprise irlandaise Tricel à Sorgues, le pays du trèfle a réitéré sa volonté de poursuivre ses « excellentes » relations avec la France.

« Finalement, on peut dire qu’il n’y a que sur les terrains de rugby que l’on est adversaire », déclare le 1er magistrat de Sorgues, Thierry Lagneau, provoquant une vague de rires au cœur du site Tricel, avenue Denis Papin à Sorgues. La deuxième usine française de la multinationale spécialiste de l’assainissement non-collectif, recevait il y a quelques jours la visite du vice-Premier ministre irlandais et ministre du commerce Léo Varadkar.

Accompagné d’un ambassadeur, cette visite s’inscrivait dans le cadre d’une tournée en France avec des étapes à Lyon et Marseille pour découvrir le savoir-faire français. Au programme, présentation du parc de cuves fabriquées sur le site sorguais, visite des ateliers de fabrication ainsi qu’une démonstration des nouveaux outils digitaux utilisés dans les process.

C’est en 2016 que l’entreprise de construction de micro-stations d’épuration a choisi Sorgues pour implanter son second site français de fabrication et de distribution, après celui de Poitiers. Une implantation notamment réussie grâce au concours de l’agence économique Vaucluse Provence Attractivité et de l’agence irlandaise gouvernementale Enterprise Ireland.

Présentation de Tricel au sein de l’usine de Sorgues. Crédit photo : Linda Mansouri

Aujourd’hui, l’usine vauclusienne dirigée par Nicolas Cherici emploie près de 20 salariés. L’occasion pour le vice-Premier ministre irlandais de rappeler que « les relations n’ont jamais été aussi fortes entre nos deux pays ». Et d’ajouter : « Nous sommes fiers de notre très bon partenariat depuis le Brexit. La France se révèle être un partenaire privilégié en Europe ». Pour le haut diplomate irlandais, le rayonnement local, l’attractivité économique et l’emploi de salariés français figurent parmi les clefs du succès partenarial.

Produits à Killarney, assemblés à Sorgues

C’est au cours d’une visite dans un salon à Evreux que le déclic s’opère. Le fondateur de cette entreprise familiale, Mike Stack, découvre une réelle opportunité de marché en France et se lance dans l’aventure. A l’heure du développement durable et des nouvelles règlementations en matière de traitement des eaux usées pour les particuliers, la solution commercialisée s’inscrit naturellement dans une démarche de protection de l’environnement. « Le marché est porteur et je ne doute pas que vous avez de très belles années devant vous », adresse Thierry Lagneau.

En France, Tricel est leader des micro-stations d’épuration. Crédit photo : Linda Mansouri

Lancée il y a 40 ans en tant qu’entreprise familiale irlandaise, Tricel a enchaîné les succès et connaît depuis une croissance importante. Le groupe est un fournisseur mondial de solutions de haute performance pour les industries de l’environnement, de l’eau, de la construction et des matériaux. « Nous sommes très heureux de voir les distributeurs et le personnel qui est très important pour nous. Je salue l’engagement, le travail et l’investissement des équipes durant ces deux dernières années. En dépit du Covid et des difficultés d’approvisionnement, Tricel a enregistré une croissance de 30% », se réjouit Mike Stack.

La réussite de la collaboration entre nos deux nations repose essentiellement sur un travail d’équipe. En réalité, sur ce site, le savoir-faire peut se targuer d’avoir la double nationalité puisque les composants sont produits à Killarney en Irlande avant d’être assemblés sur notre territoire. 40% de la production en Irlande est envoyée en France. Par ailleurs, Tricel fait partie des premières entreprises à avoir reçu l’agrément ministériel en France en 2011 pour sa gamme de micro-station d’épuration nouvelle génération : Tricel Novo.

+100 employés d’ici à 5 ans

Numéro trois européen dans son secteur d’activité, la multinationale Tricel dispose d’une expérience significative avec plus de 35 000 micro-stations et filtres installés dans le monde. Le groupe distribue ses produits dans plus de 50 pays et compte plus de 520 employés et 12 implantations. Forte de son essor, la société projette de recruter 100 employés supplémentaires en France d’ici à 5 ans et d’augmenter son chiffre d’affaires de 50%.

De gauche à droite: Thierry Lagneau, édile de Sorgues, Mike Stack, fondateur de Tricel et Léo Varadkar, vice-Premier ministre irlandais. Crédit photo : Linda Mansouri

Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

La quantité de pesticides utilisés dans l’agriculture n’a cessé de croître ces dernières décennies. Et cette tendance ne semble pas prête de s’arrêter. Depuis 1990, la consommation mondiale de produits phytosanitaires (herbicides, insecticides et fongicides) a augmenté de 82 % et plus de 4 millions de tonnes sont aujourd’hui utilisées chaque année. Les pays de certaines régions du monde ont la main particulièrement lourde, comme le met en avant notre carte basée sur des données publiées par la fondation Heinrich-Böll.

C’est en Amérique du Sud que le volume de pesticides déversés dans les champs est le plus élevé, avec une moyenne supérieure à 5 kg par hectare de terres cultivées en 2019. Des pays comme la Colombie et l’Équateur consomment même plus de 10 kg par hectare, alors que le Costa Rica (Amérique centrale) est le champion du monde : plus de 20 kg par hectare. Ce pays est un gros exportateur de fruits exotiques, dont les cultures intensives exigent de grandes quantités de pesticides. L’Asie fait également partie des régions où ils sont le plus massivement utilisés par les agriculteurs, avec une moyenne comprise entre 3 et 4 kg/ha. Des pays comme la Chine et la Corée du Sud dépassent même allègrement ce niveau (plus de 10 kg/ha). En comparaison, la moyenne ne dépassait pas 2 kg/ha en Europe, mais le niveau de consommation varie beaucoup selon les pays et leur spécialisation agricole.

Des analyses ont chiffré la valeur du marché mondial des pesticides à plus de 84 milliards de dollars en 2019. Et une croissance de 11,5 % est attendue d’ici 2023, ce qui portera la valeur du marché à plus de 130 milliards de dollars. Cette tendance à la hausse est aussi en partie liée à l’évolution du climat : une équipe de chercheurs américains de l’université de Seattle a calculé que pour chaque degré de réchauffement de la planète, les rendements des récoltes de riz, de maïs ou de blé pourraient diminuer de 10 à 25 %. Les raisons sont multiples. Le changement du climat favorise, par exemple, la prolifération d’insectes ravageurs, et s’ajoute à cela le fait que la résistance des plantes aux parasites diminue avec les stress climatiques, entraînant une hausse des besoins en produits phytosanitaires.

Piliers, avec les engrais, de la « révolution verte » ayant permis la hausse des rendements agricoles à partir des années 1960, les pesticides sont aujourd’hui de plus en plus décriés. Avec la prise de conscience croissante des risques qu’ils peuvent générer pour l’environnement et la santé, leur utilisation systématique est désormais remise en question par les scientifiques. De nombreuses pistes sont développées pour rendre l’agriculture moins dépendante de ces produits, mais elles peinent encore à s’imposer.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Et si planter des arbres chez des agriculteurs devenait une étape clé dans l’éducation de nos enfants ?

Lundi 17 janvier, Florence Guende (La ferme du Rouret à Mazan) accueillait une importante opération de plantation de haies fruitières en partenariat avec l’association ‘Des enfants et des arbres’ et en présence de sa présidente, Marie-France Barrier. En tout, 300 arbres ont été plantés par les collégiens de Mazan.

Plus de 30 éco-délégués de la 6ème à la 3ème étaient mobilisés pour cette journée dans des conditions météo idéales, accompagnés par deux enseignantes et la proviseure-adjointe du collège André Malraux. Jacqueline Bouyac était représentée par deux membres du bureau du Parc naturel du Ventoux : Valérie Michelier, maire de Caromb, en charge de la culture et Sandrine Raymond Lucarini, maire de St-Pierre-de-Vassols en charge de l’écocitoyenneté.

Crédit photo: Parc naturel régional du Mont-Ventoux

L’arbre, un remède puissant face aux crises agricoles et écologiques qui menacent le Vivant. Un génie végétal qui permet de fertiliser les sols et de lutter contre leur érosion, d’offrir le gîte et le couvert aux insectes et aux oiseaux, d’atténuer les amplitudes de températures, de filtrer l’eau et l’air en captant le CO2, d’apporter de l’ombre et du fourrage aux animaux, de produire des fruits, du bois de chauffe, du bois d’oeuvre… Autant de vertus vitales !

Pourtant, l’association alerte, « en France depuis 1950, la modernisation de l’agriculture s’est soldée par la disparition de 750 000 km de haie, soit 2 fois la distance qui nous sépare de la lune. Ainsi, sous l’effet du remembrement et de la mécanisation de l’agriculture devenue intensive, 70% des haies vives ont été arrachées. »

Crédit photo: Parc naturel régional du Mont-Ventoux

Aux côtés de la chargée de mission Education du Parc, Laurence Veillard, de nombreux partenaires du développement agricole étaient présents pour cette plantation qui a du sens : Chambre d’agriculture de Vaucluse, Civam Vaucluse, Agri-bio, Pronatura ainsi que plusieurs viticulteurs, membres du GIEE ‘L’homme qui plantait des arbres’ (Stéphane Saurel, Thierry Delassales) et des producteurs venus en voisin tel Luc Rogier.

Malgré une année covid, un plan vigipirate et de forts aléas climatiques, l’association peut se réjouir d’un bilan prometteur. Plus de 1200 enfants ont accompagné 28 agriculteurs, vignerons, éleveurs, céréaliers, maraîchers, apiculteurs partout en France, dans la plantation de près de 5 000 arbres.

Crédit photo: Parc naturel régional du Mont-Ventoux

Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

La concentration en particules dans l’atmosphère en Vaucluse a atteint aujourd’hui vendredi 14
janvier le seuil d’information et recommandations prévu par les procédures préfectorales en cas
d’épisode de pollution de l’air. Compte-tenu de la persistance de l’épisode de pollution de l’air aux particules demain, le préfet de la zone de défense Sud, déclenche la procédure d’alerte relative à la pollution de l’air aux particules pour la journée du samedi 15 janvier 2022.

En conséquence, le préfet de Vaucluse décide la mise en œuvre des mesures d’urgence suivantes :

➢Abaissement de 20 km/h des vitesses maximales autorisées sur l’ensemble des voiries du
département, sans toutefois descendre en dessous de 70 km/h.

➢Renforcement des contrôles sur route :
– contrôles du respect des vitesses réglementaires sur la voie publique par les forces de police et
de gendarmerie ;
– contrôles antipollution des véhicules circulant sur la voie publique par les services concernés ;
– contrôles de l’homologation des dispositifs d’échappements des véhicules par les forces de police et de gendarmerie ;
– vérification des contrôles techniques obligatoires des véhicules circulant sur la voie publique
par les forces de police et de gendarmerie ;
– contrôles de présence de matériels de débridage sur les cyclomoteurs.

➢Renforcement des contrôles du respect des prescriptions ICPE.

➢Renforcement des contrôles liés à l’interdiction de brûlage des déchets verts à l’air libre

La procédure d’alerte est assortie des recommandations sanitaires et de comportement suivantes :
Pour protéger votre santé :
– Réduisez vos activités physiques et sportives intenses à l’extérieur ;
– En cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès d’un professionnel de santé ;
– Si vous êtes sensible ou vulnérable, privilégiez les sorties les plus brèves, celles qui demandent le moins d’effort et évitez de sortir durant l’après-midi .

Pour aider à améliorer la qualité de l’air :
– Limitez vos déplacements privés et professionnels, ainsi que l’usage de véhicules automobiles en privilégiant le covoiturage et les transports en commun ;
– Privilégiez pour les trajets courts les modes de déplacements non polluants (marche à pied, vélo) ;
– Différez, si vous le pouvez, vos déplacements ;
– Respectez l’interdiction des brûlages à l’air libre ;
– Reportez les travaux d’entretien ou nettoyage nécessitant l’utilisation de solvants, peintures, vernis.

Pour toute information complémentaire :
– l’évolution du pic de pollution : https://www.atmosud.org
– les recommandations sanitaires : http://solidarites-sante.gouv.fr/sante-et-environnement


Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

Un groupe d’économistes de l’École d’économie de Paris (PSE) a récemment publié un nouvel état des lieux sur les inégalités dans le monde. Comme on pouvait s’en douter, les inégalités de patrimoine se sont creusées avec le Covid-19 et la fortune des « super-riches » a atteint des records. Mais la nouveauté de cette édition est de se pencher, pour la première fois, sur les inégalités d’empreinte écologique.

Là aussi, le constat est sans appel : plus on est riche, plus on pollue, et les écarts sont considérables avec les plus pauvres, forcés d’être beaucoup plus économes. Ainsi, il est estimé que les 10 % d’individus les plus fortunés de la planète sont à l’origine de 48 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, tandis que les 50 % les plus pauvres ne sont responsables que de 12 % du total.

En moyenne, chaque être humain émet 6,6 tonnes de CO2 par an. Comme l’indique notre carte, cette moyenne varie de 1,6 tonne par personne en Afrique subsaharienne, à 20,8 tonnes par habitant en Amérique du Nord. Sur le Vieux Continent, le niveau d’émissions de CO2, qui inclut l’impact des biens et services importés d’autres régions, se situe actuellement à 9,7 tonnes par Européen.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

Sur le même sujet : le classement des pays ou région selon les émissions totales.

https://echodumardi.com/tag/environnement/page/24/   1/1