25 novembre 2024 |

Ecrit par le 25 novembre 2024

Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

Auparavant concentrée de juillet à septembre, la saison des feux de forêt en Europe méridionale tend à s’allonger et s’intensifier avec le réchauffement climatique et les épisodes plus fréquents de sécheresse.

D’après le suivi du Système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS), au 26 août, la surface ravagée par les flammes dans les pays européens du bassin méditerranéen (Espagne, France, Italie, Grèce) était près de deux fois plus élevée que la moyenne des années précédentes. Alors que la saison des incendies n’est pas encore terminée, près de 330 000 hectares de forêts sont déjà partis en fumée dans la région, contre 190 000 hectares en moyenne de 2006 à 2022 (année entière).

Dans le détail, la Grèce représente environ la moitié de la superficie de forêt brûlée en Europe du Sud à cette date : près de 160 000 hectares, soit quatre fois la moyenne annuelle enregistrée dans le pays de 2006 à 2022. « Cet été est le pire de l’histoire, depuis le début de la collecte des données météorologiques », a déclaré le ministre grec de la Crise climatique et de la Protection civile, lors d’une conférence de presse fin août. Alors que de nombreuses régions et îles du pays ont été fortement touchées par les incendies en juillet (Attique, Thessalie, Corfou, Rhodes,…), les pompiers grecs combattent actuellement le plus grand feu de forêt jamais enregistré dans l’UE.

Comme le montre l’infographie ci-dessous, si les incendies sont de moindre ampleur en France comparés à ses voisins méditerranéens, ils avaient tout de même déjà détruit 22 000 hectares de surfaces boisées au 26 août, soit un chiffre près de deux fois supérieur à la moyenne annuelle nationale des quinze dernières années. Les zones les plus concernées par les feux de forêt se situent dans le Sud du pays (Corse, côte méditerranéenne, forêt des Landes, Périgord,…).

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Tristan Gaudiaut, Statista.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

Chaque année, la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue et son Association agréée de pêche et de protection des milieux aquatiques (AAPPMA) organisent plusieurs opérations de nettoyage de la Sorgue entre les mois de juin et de septembre, afin d’éviter de nuire aux frayères, qui accueillent la reproduction des poissons. La dernière opération de l’année aura lieu ce samedi 2 septembre.

Les participants devront se rejoindre au centre aquatique et sportif la Cigalette dès 8h. L’opération se concentrera sur deux bras de la rivière : celui du Pont des 5 Eaux jusqu’au Lycée agricole de la Ricarde, et celui de Montclard, de la piscine municipale jusqu’au centre aéré de St-Jean.

V.A.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

Après la tentative avortée d’affalement de la cheminé de l’ancienne centrale thermique EDF d’Aramon le 7 juin dernier, les opérations de déconstruction se poursuivent avec le grignotage des 140 mètres restants de la structure. Pour cela, la société Cardem chargé de la démolition de cette tour haute initialement de 250 mètres a fait venir une grue spéciale destinée à grignoter par le haut le béton et les ferraillages via une pince hydraulique commandée à distance.

Mise en place début juillet, la grue a ensuite dû faire l’objet d’une réception technique du matériel par un bureau de contrôle externe et indépendant. Une démarche indispensable avant le lancement des travaux de grignotage de la cheminée en toute sécurité. Les opérations ont ensuite réellement débutée le 26 juillet par des tests de grignotage avant d’atteindre actuellement leur rythme de croisière.

Les travaux sont réalisés par la pince mécanique suspendue à la grue mobile positionnée à côté de la cheminée et alimentée par une pelle hydraulique. L’opération est télécommandée grâce à un système de caméras depuis la cabine de la grue permettant de réaliser l’opération à distance dans des conditions de sécurité.

Les travaux vont durer quelques semaines et seront adaptés en fonction des conditions météorologiques et notamment aux conditions de vent. Lorsque la hauteur le permettra, une pelle mécanique avec un bras remplacera la grue pour finaliser le chantier. La grue est pliée chaque soir dans sa position de mise en sécurité. Un périmètre de sécurité autour de la grue a été mis en place avec des restrictions de circulation ; un accès spécifique aux agriculteurs est autorisé sous conditions pour leur permettre de continuer leurs récoltes.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

La commune de Saint-Rémy-de-Provence profite des vacances estivales pour réaliser des travaux de réaménagement de la cour de l’école de l’Argelier. Conçu par l’agence de paysage avignonnaise Kanopé et le bureau d’études bucco-rhodanien Cerretti ce projet a été également imaginé en collaboration avec les enfants (notamment les espaces de jeux), les enseignants, les équipes périscolaires ainsi que les techniciens de l’établissement accueillant des élèves du CP au CM2.

L’environnement arboré et végétalisé comportera des îlots de fraicheur ombragés, avec des surfaces enherbées et des coins nature offrant de nouvelles activités.
Cette ‘renaturation’ de l’école représente un investissement de l’ordre de 613 908€ (HT) de travaux et 53 662€ de prestations externes, soit un montant total d’environ 670 000€. Des subventions sont demandées auprès du Feder (Fonds européen de développement régional) rural à hauteur de 60% et de l’Agence de l’eau (10%), le reste étant en autofinancement.
Si le gros du chantier est prévu durant l’été, les plantations seront réalisées à l’automne.

« Ce projet sera décliné dans les autres écoles publiques de la commune, les prochaines années, au rythme d’une cour d’école par an, et toujours avec l’implication des élèves concernés », précise Isabelle Plaud, adjointe au maire chargée de l’éducation et de la jeunesse de la commune de Saint-Rémy.

L.G.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

L’Insane débute ce jeudi 10 août et aura lieu pendant quatre jours à Apt. Comme l’année dernière, Enedis a décidé d’accompagner le festival de musique dans la réduction de son impact environnemental.

Du 10 au 13 août, la ville d’Apt va vibrer au rythme de l’Insane, qui va accueillir près de 60 000 festivaliers. Enedis affirme son engagement à soutenir les initiatives locales axées sur la durabilité, comme le festival, qui se veut de plus en plus respectueux de l’environnement. Le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité a donc pour mission d’accompagner l’événement afin que ce dernier réduise son empreinte carbone.

Pour ce faire, les techniciens d’Enedis ont réalisé trois branchements provisoires nécessaires aux installations techniques du festival en raccordant 50% de la puissance nécessaire au réseau public d’électricité. Cela permet de diminuer considérablement l’utilisation de groupes électrogènes, des émissions de CO2, du bruit, offrant ainsi une expérience encore plus agréable pour les festivaliers. En France, un événement branché au réseau permet de réduire de 90% les émissions de CO2 liées aux besoins en énergie électrique, comparé à un événement fonctionnant sur des groupes électrogènes diesel d’une puissance inférieur ou égale à 1000 Kw. Un festival français d’une durée de quatre jours consomme en moyenne 300 000 litres de gasoil en 2022, ce qui représente 950 tonnes équivalent CO2, soit plus de 4 millions de kilomètres en voiture thermique.

V.A.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

D’une superficie totale d’un peu plus de 4 milliards d’hectares, les forêts du monde couvrent actuellement le tiers de la surface terrestre mondiale, d’après les derniers chiffres de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Elles se répartissent toutefois de manière assez inégale sur le globe, puisque que cinq pays concentrent à eux seuls 54 % des forêts de la planète : la Russie, le Brésil, le Canada, les États-Unis et la Chine.

À la fois puits de carbone, foyers de biodiversité et filtres naturels dans le cycle de l’eau, les forêts jouent un rôle central dans la lutte contre le changement climatique et l’équilibre des écosystèmes. Mais malgré les actions entreprises ces dernières décennies en matière de protection de l’environnement et de restauration des forêts, la déforestation continue de faire rage dans le monde à un rythme soutenu.

Même si l’on observe un ralentissement des pertes au cours des deux dernières décennies, la superficie forestière mondiale a baissé en moyenne de 4,7 millions d’hectares par an entre 2010 et 2020. Ce sont les forêts tropicales d’Afrique qui ont le plus décliné sur cette période, avec 3,9 millions d’hectares perdus par an, suivie de celles d’Amérique du Sud (2,6 millions d’hectares par an). Les dynamiques sont néanmoins différentes dans ces deux régions : l’Afrique a enregistré une hausse des pertes sur la décennie 2010-2020, tandis qu’elles ont eu tendance à ralentir en Amérique du Sud par rapport à la décennie précédente.

Comme le montre également notre infographie, l’Europe (dont la Russie) et l’Asie ont toutes les deux vu leur couverture forestière globalement augmenter depuis le début du siècle. Cependant, les gains nets de forêts ont nettement baissé dans ces deux régions au cours de la dernière décennie étudiée.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

La suppression automatique du ticket de caisse aura bien lieu dès le 1er août 2023. Cette mesure s’inscrit dans le cadre des efforts visant à réduire le gaspillage et à limiter l’utilisation de substances nocives pour la santé. La fin du ticket de caisse, certes bénéfique à de nombreux égards, soulève néanmoins des préoccupations pour lesquelles Cash Mag, spécialiste des solutions de gestion et d’encaissement, propose son éclairage.

Tout d’abord, l’élimination des tickets de caisse réintroduit le risque de fraude. Sans la preuve physique du ticket, un employé malhonnête pourrait voler son employeur en omettant certaines transactions. Cette situation engendre non seulement une perte pour l’employeur, mais également pour l’État qui pourrait être privé de recettes fiscales. De plus, la dématérialisation des tickets de caisse signifie que les données de transactions seront stockées dans des centres de données. Cependant, il reste incertain si cette solution est réellement avantageuse sur le plan environnemental. Les centres de données consomment une quantité considérable d’énergie et génèrent une empreinte carbone importante.

« Historiquement, les tickets ont permis d’enrayer certaines pratiques frauduleuses. »

Philippe Gervais, PDG de Cash Mag

« En ces temps incertains, il est de bon ton de se poser des questions d’ordre éthique et environnemental, et la suppression des tickets de caisse va surement dans ce sens, mais il reste important de maintenir un cadre sur le sujet de la fraude, explique Philippe Gervais, PDG de Cash Mag. Historiquement, les tickets ont permis d’enrayer certaines pratiques frauduleuses. Si la numérisation peut techniquement remplacer ce cadre, elle pose également la question de l’écologie en remplaçant le papier par des données numériques gérées, elles, par des serveurs énergivores. »,


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

La Région Sud et le Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires viennent de lancer un Guichet vert en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Cet outil, confié à l’Agence régionale pour la biodiversité et l’environnement (Arbe) doit permettra aux collectivités d’être conseillées dans l’intégration de clauses environnementales dans leurs marchés publics.

Trop peu de clauses environnementales à ce jour
En effet, en matière d’achats, les collectivités sont soumises au code de la commande publique. Depuis plusieurs années, ce code évolue pour inciter les collectivités à intégrer ce qu’on appelle des ‘clauses environnementales’. Cependant, encore peu de marchés publics intègrent ces clauses. En 2021, selon l’Observatoire économique de la commande publique, seulement 18 % des marchés publics comprenaient une clause environnementale. Le Plan National pour des Achats Durables 2022-2025 établit par le Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires vise à ce que d’ici 2025, 100% des contrats de la commande publique notifiés au cours de l’année comprennent au moins une considération environnementale.

Parallèlement, la Région Sud s’est engagée pour faire de son territoire un pilote en matière de transition écologique à travers son plan Climat ‘Gardons une COP d’avance’. C’est pour cela qu’elle souhaite appuyer le déploiement d’une commande publique durable sur son territoire en confiant cette mission à l’Arbe via ce nouveau ‘Guichet vert’. Cet accompagnement sera complété par la mise en place et l’animation d’un réseau régional de professionnels qui sera lancé à compter de septembre 2023.

Guichet vert : mode d’emploi
Le Guichet vert c’est donc un conseil gratuit pour les collectivités qui souhaitent intégrer des clauses environnementales dans leurs marchés publics. Il vient rejoindre les 10 autres Guichets verts régionaux déjà en place. Il peut être mobilisé pour connaître les obligations, obtenir des guides, ressources et exemples de clauses, avoir des retours d’expériences, être en relation avec d’autres acheteurs publics.
En aucun cas il peut être sollicité pour une prestation de conseil juridique ou d’assistance à maîtrise d’ouvrage. Une charte utilisateur encadre les modalités de fonctionnement. Pour faire une demande auprès du Guichet vert, il suffit de remplir le formulaire sur le site de l’Arbe : www.arbe-regionsud.org.
L’enjeu est de taille puisque la commande publique représente 8% du PIB (Produit intérieur brut) national.

L.G.


Feux de forêt : l’Europe du Sud en proie à une saison dévastatrice

Dans un contexte de hausse générale des prix et de crise énergétique, Helexia, qui accompagne les entreprises depuis 2010 dans leur stratégie de rénovation énergétique, propose des actions concrètes pour permettre à ces dernières de réduire leur consommation. Grâce à ces dispositifs énergétiques – parfois complexes –, chaque entreprise a alors la possibilité de bénéficier d’un retour sur investissement rapide à court mais aussi à moyen et long terme.

En qualité de spécialistes de la performance énergétique des bâtiments, les équipes Helexia, filiale de Voltalia spécialiste de la performance énergétique des bâtiments et de la production d’énergie photovoltaïque en toiture et ombrière solaire créée en 2010, interviennent sur des marchés aussi variés que le foncier, la logistique, l’industrie, ou le secteur tertiaire pour des bâtiments mono ou multisites. Favoriser ces pratiques responsables représente un triple intérêt pour les entreprises : participer à l’effort national de sobriété énergétique, favoriser la rentabilité et la compétitivité et enfin contribuer à la préservation de l’environnement. Par ailleurs, chaque entreprise a également la possibilité d’internaliser elle-même certaines actions lui permettant d’avoir un impact réel sur sa consommation d’énergie.
Grâce à des actions du quotidien, il est ainsi possible de consommer moins et mieux l’énergie en entreprise, et ce de façon éco-responsable. Bien que la majorité des actions présentées semblent couler de source, Helexia souligne qu’elles sont encore trop peu mises en place. Un important travail de sensibilisation des équipes s’avère nécessaire pour favoriser les bonnes pratiques et changer les mentalités.

Opter pour des LED
Investir dans des éclairages LED représente un coût important, qui est néanmoins rapidement amorti. Cette technologie a l’avantage d’être la moins énergivore, la plus écologique et la plus fiable comparée à toutes les possibilités du marché. Les ampoules LED consomment jusqu’à 7 fois moins d’énergie que les lampes classiques ou halogènes. Par ailleurs, les éclairages LED ont une durée de vie jusqu’à 25 fois plus longue que les autres. Enfin, ces éclairages ne dégagent pas de substance chimique ou polluante, contrairement aux anciens systèmes, et sont recyclables à 99%.

Porter une attention particulière au traitement d’air grâce à une centrale dédiée
La ventilation et le traitement de l’air sont responsables d’une part importante de la consommation énergétique des secteurs industriels et tertiaires. L’optimisation d’une centrale de traitement d’air aide à réduire la consommation d’énergie et à améliorer l’efficacité de l’installation. Pour ce faire, certaines prérogatives s’appliquent :

  • L’anticipation, avec par exemple la vérification des filtres qui, obstrués, peuvent augmenter la résistance à l’air entrainant une augmentation de la consommation d’énergie ;
  • Des actions concrètes d’optimisation, notamment sur la ventilation, permettant de réduire la consommation d’énergie tout en améliorant le confort des occupants ;
  • Le pilotage des équipements d’une centrale de traitement de l’air par la mise en place d’une gestion technique centralisée (GTC), afin de piloter et de réguler leur consommation en fonction de la charge et des besoins réels.

Récupérer la chaleur sur air extrait
La récupération de chaleur sur l’air extrait est une technique de récupération d’énergie qui permet de capter la chaleur perdue dans l’air évacué des bâtiments ou des processus industriels. Ce dispositif permet de réutiliser cette chaleur pour chauffer l’air frais entrant et aide à réduire la consommation d’énergie et les coûts associés, tout en réduisant l’empreinte carbone d’un bâtiment ou d’un processus industriel.

Améliorer l’efficacité énergétique des utilités
L’amélioration de l’efficacité énergétique des utilités vise à réduire la quantité d’énergie nécessaire pour alimenter les équipements d’un système en adoptant des mesures telles que la régulation et le contrôle, l’isolation thermique, la réduction des fuites, le remplacement d’équipements obsolètes et l’utilisation de sources d’énergie renouvelable. Cela peut entraîner des économies d’énergie, une diminution des coûts d’exploitation, une amélioration de la durée de vie des équipements et, in fine, une réduction de l’impact environnemental.

Limiter le chauffage à 19°
La recommandation de ne pas se chauffer à plus de 19° ne date pas d’hier. C’est en réalité une obligation légale depuis 1974, remise au gout du jour à l’automne 20221. Le passage de 20° à 19°, par exemple, permet un gain pouvant atteindre 7% d’économie d’énergie sur le chauffage, ce qui n’est pas négligeable sur la consommation globale annuelle.

Eteindre les appareils électriques et électroniques non utilisés
Un appareil électrique consomme de l’électricité, même en veille. Aussi, pour réduire sa facture d’énergie, il suffit d’éteindre les équipements non utilisés. En effet, si la veille peut sembler une alternative intéressante, elle consomme en réalité inutilement de l’énergie en continu.

Installer un four avec récupération de chaleur des fumées
Un four avec récupération de chaleur des fumées récupère les chaleurs produites par le processus de combustion et les réutilise pour chauffer l’air ou l’eau qui alimente le four ou pour d’autres processus de chauffage dans le système. Les avantages de cette technologie sont une réduction de la consommation d’énergie, une baisse des émissions de gaz à effet de serre, une augmentation de l’efficacité globale du système et une diminution des coûts d’exploitation.

Optimiser les installations d’air comprimé
Pour améliorer l’efficacité énergétique et réduire les coûts d’exploitation d’une installation d’air comprimé, il est important de réaliser un audit énergétique afin de détecter les fuites et de mettre en place quelques mesures. Tout d’abord, installer des régulateurs de pression afin de maintenir une pression d’air comprimé constante et d’éviter les pertes d’énergie. Il est également efficace d’utiliser des composants tels que des sécheurs d’air comprimés et des valves proportionnelles pour réduire les pertes d’énergie. Mais il est aussi intéressant de planifier la production de manière à minimiser l’utilisation de l’air comprimé pendant les heures de pointe et à réduire les temps d’arrêt inutiles. Enfin, il est primordial   de sensibiliser les employés aux bonnes pratiques pour prolonger la durée de vie des équipements et réduire les pertes d’énergie pour une utilisation plus durable des ressources.

Acheter responsable
Les appareils électriques et électroniques possèdent une note de consommation d’énergie allant de A+++ à G. Aussi, bien choisir ses équipements en privilégiant les appareils les mieux notés permet de capitaliser sur la dépense énergétique sur le long terme. C’est parfois une dépense onéreuse à l’instant T mais qui s’avère plus intéressante à longue échéance.

Être attentif à la vétusté des équipements
En remplaçant les équipements vétustes par des modèles plus récents et plus économes en énergie, et en les entretenant régulièrement, il est possible de réduire considérablement la consommation d’énergie et les coûts associés. C’est une mesure de prévention importante pour assurer la sécurité, la fiabilité et l’efficacité énergétique des équipements utilisés dans tous les types d’environnements.  

« Bien que pertinentes, ces actions ne suffisent pas à elles seules, souligne Anne Marie Devey, Responsable Portfolio Performance Énergétique et Carbone. La rénovation énergétique des bâtiments et l’efficacité énergétique sont au cœur des enjeux d’aujourd’hui et de demain. Pour entamer sa transition énergétique, l’une des premières étapes est de solliciter des entreprises spécialisées dans la performance énergétique telles qu’Helexia afin de réaliser un état des lieux permettant de mettre en avant les gisements d’économie d’énergie au sein de l’entreprise. »
« En tant qu’intégrateur de solutions énergétiques, c’est le rôle d’Helexia d’aller chercher les économies là où elles sont possibles en construisant avec nos clients une feuille de route énergétique leur permettant d’établir un plan d’actions prévisionnel des projets à mettre en œuvre, poursuit pour sa part Christophe Constant, Directeur général d’Helexia. Cet accompagnement sur mesure, permet à Helexia d’accompagner les entreprises qui s’engagent stratégiquement et opérationnellement sur le volet de la transition énergétique. »

https://echodumardi.com/tag/environnement/page/12/   1/1