23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

Le groupe aptésien Delta plus vient annoncer l’acquisition de la société Alsolu. Fondée à Saint-Etienne en 2010 par François Mounier, cette société d’une cinquantaine de salariés conçoit, fait fabriquer et commercialise une gamme complète de dispositifs de protection collective (garde-corps), d’accès en hauteur (échelles, escaliers) et de protection individuelle (ancrages et lignes de vie). Lors de son dernier exercice, Alsolu a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 13M€, réalisé à 75% en France et à 25% à l’export (Italie, Espagne, Allemagne et Belgique principalement).

Après l’acquisition en janvier 2017 de la société Vertic, spécialisée dans les solutions de sécurisation des infrastructures contre les chutes de hauteur, leader sur le marché français, de Vertic Nederland en novembre 2018 aux Pays-Bas et de la société Odco en France en octobre 2019, l’acquisition d’Alsolu permet à Delta Plus Group de renforcer sa position de leader français des solutions de sécurisation des infrastructures contre les chutes de hauteur.

Pour l’entreprise vauclusienne dirigée par Jérôme Benoit depuis 2011, il s’agit désormais de capitaliser sur le savoir-faire des équipes d’Alsolu, intégrées désormais au sein de l’activité ‘Delta plus systems’, afin de proposer une offre complète dédiée à la protection collective et aux accès en hauteur. Dans ce cadre, le groupe ambitionne ainsi de réaliser un chiffre d’affaires de plus de 40M€ pour son activité ‘systems’.

Renforcement en Amérique du Nord
Cette acquisition fait suite, il y a un peu plus d’un mois maintenant, à celle la société ERB industries Inc, basée aux Etats-Unis. Créée en 1956 dans la région d’Atlanta dans l’état de Géorgie, ERB emploie 120 personnes concevant, fabriquant et commercialisant une large gamme d’équipements de protection individuelle. Les produits commercialisés par ERB industries couvrent les familles de protection de la tête ainsi qu’une large gamme de vêtements de travail, notamment haute visibilité. Elle propose en outre à ses clients un service de personnalisation sur certains de ces produits. Grâce à deux unités de fabrication (injection de casques et personnalisation de produits), situées à Woodstock (Géorgie), ERB Industries produit une part importante des produits vendus (casques, vêtements haute visibilité). Les autres produits sont ‘sourcés’ auprès de fournisseurs situés aux Etats-Unis et en Asie. ERB prévoit de réaliser un chiffre d’affaires de 30M$ en 2021.

Pour Delta plus cette acquisition intervient 5 ans après s’être implanté aux Etats-Unis à travers l’acquisition d’Elvex (devenue ‘Delta plus corp.’) et 2 ans après l’acquisition au Canada de ‘Degil safety’ et ‘Ontario glove’. Avec la prise de contrôle à 100% de ERB, Delta plus accélère son développement sur le marché Nord-Américain, marché à forte valeur ajoutée qui représente un tiers du marché mondial des équipements de protection individuelle. Delta Plus Group y ambitionne de réaliser 15% de son chiffre d’affaires.

Une nouvelle année record ?
Durant les 12 derniers mois, le groupe aptésien a multiplié les acquisitions : ‘Boots company’ en Italie et les activités de ‘Netco safety’ en France en janvier, prise de 100% du capital d’Aspreseg en Colombie en mars, acquisition de 75% des actions de la société ‘White Lake’, spécialiste de la chaussure de sécurité au Brésil en septembre, levée d’option d’achat portant sur 49% de Vertic Nederland, filiale du groupe aux Pays-Bas, portant son pourcentage de détention à 100% en octobre puis ERB et enfin Alsolu.

De quoi déjà envisager en 2020 un nouveau record de chiffre d’affaires malgré le contexte sanitaire et économique très incertain. En effet, sur les 9 premiers mois de l’année le groupe spécialisée dans les équipements de protection individuelle (EPI) affichait déjà un chiffre d’affaires de 209M€, en hausse de +11,9% par rapport à 2019 (186,8M€). Dans ce contexte, Delta plus devrait d’ailleurs annoncer un niveau record de rentabilité opérationnelle pour 2020. Ces résultats annuels devraient être dévoilés jeudi 11 février 2021.

En 2019, Delta plus a enregistré un chiffre d’affaires de 263,3M€, en hausse de +9,5% par rapport à l’année précédente. Il s’agissait de la 10e année consécutive de hausse du chiffre d’affaires pour le groupe aptésien fondé par Jacques Benoit en 1977.

 


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

L’endettement des entreprises françaises, dont le niveau était déjà parmi les plus élevés au monde, continue de s’aggraver à cause de la crise du Covid-19 et atteint de nouveaux sommets. Les données de la Banque des règlements internationaux ne sont disponibles que jusqu’au deuxième trimestre 2020, mais elles montrent déjà une tendance négative assez frappante. À la moitié de l’année dernière, l’endettement brut des entreprises françaises (hors secteur financier) atteignait déjà 167 % du PIB, soit une progression de près de 18 points de pourcentage sur un an. Comme le montre le graphique de Statista, la dette des entreprises augmente surtout dans les pays où elle était déjà à un niveau élevé avant la crise, comme par exemple en Chine, au Canada et au Japon.

Le niveau élevé d’endettement en France résulte en grande partie des taux d’intérêt très bas des prêts accordés aux sociétés non financières ces dernières années. Avec la situation économique actuelle et l’octroi massif des prêts garantis par l’État dans le cadre du plan de soutien, l’aggravation est inéluctable et fait peser de gros risques pour les banques commerciales et l’ensemble du système financier français, comme le rapportait la Banque de France début janvier.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

L’opérateur de bureau Deskeo dévoile les résultats d’une enquête* menée auprès de 3 902 professionnels sur deux sujets d’actualité : les nouvelles règles du télétravail et les entretiens annuels de performance.

Depuis maintenant deux semaines, les salariés peuvent revenir au bureau une journée par semaine avec l’accord de leur employeur. Le sondage réalisé indique que si les dirigeants souhaitent revoir leurs équipes (44 %), ces dernières sont en revanche sont sur la réserve vue la situation sanitaire (34 %). Concernant le nombre de jours de télétravail, si 78 % des dirigeants souhaitent un maximum de 2 jours de télétravail par semaine, 59 % des employés souhaitent un minimum de 3 jours.

Cette année, malgré la crise sanitaire, 62 % des dirigeants souhaitent maintenir les entretiens annuels de performance. Cependant, la grande majorité (81 %) fera les entretiens à distance avec 59 % entièrement à distance et 22 % pour certains postes en télétravail. Par ailleurs, plus de la moitié des managers (55 %) pensent que c’est plus difficile et moins qualitatif (56 %) de faire les entretiens d’évaluation en distanciel. En revanche, 78 % des employés pensent que c’est plus facile et que le distanciel n’a pas vraiment d’impact sur la qualité des entretiens.

A noter également que la mise en place du travail en distanciel n’a pas vraiment nuit à la relation manager/ collaborateur. Qu’ils soient en télétravail ou en présentiel, 82 % des employés et 97 % des managers n’ont pas le sentiment que leur relation se soit détériorée.

 

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 3 902 professionnels répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 15 au 21 janvier 2021. Profils des personnes interrogées : 41 % d’employés, 38 % de managers et 21 % de dirigeants.


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

La Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse et l’Association interentreprises pour la santé au travail organisent pour leurs adhérents un petit-déjeuner sur le thème : ‘Chefs d’entreprise & Covid-19 : comment garder le cap et le moral face à la crise et éviter le burn-out’. Trouver des solutions pour maintenir l’activité, rassurer ses salariés, assurer leur santé et leur sécurité mais aussi celles de ses clients, gérer la situation financièrement pour éviter le pire…Les sources d’inquiétudes et d’angoisses peuvent être nombreuses. Comment prévenir les risques ? Comment guider ses salariés et les rassurer tout en préservant sa santé mentale ? Comment éviter le burn-out ? Jean-Philippe Matz, psychologue du travail, et Benjamin Galloux, médecin du travail, donneront quelques clés pour garder le cap et le moral face à cette période incertaine.

Jeudi 28 janvier. 8h30 à 10h30. Hôtel Ibis Styles Avignon Sud, 2968 avenue de l’Amandier. Avignon. Inscriptions : contact@cpme84.org. Suite à l’évolution sanitaire, cette rencontre pourra avoir lieu sous forme digitale. Pour plus d’informations : 04 90 14 90 90.


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

Pandémie de Covid-19 oblige, l’association Agroparc a formulé des vœux numériques auprès de ses adhérents. L’occasion pour le bureau de l’association de dévoiler ses projets pour l’année 2021.

Se faire l’écho de la diversité et de la vitalité des entreprises du technopôle, telle est la vocation de l’association Agroparc. Et si l’année 2020 a été invariablement marquée par la crise sanitaire, l’association entend fédérer cette année tous les publics de la zone d’activité (TPE-PME, commerces, étudiants, habitants…) autour d’un certain nombre de projets, à commencer par la mise en place de rencontres par domaine d’activité. « Il y a plus de 500 raisons sociales sur la zone qui regroupe une multitude de secteurs d’activité : BTP, formation, agro-alimentaire, numérique, etc. explique Armand Cointin, président de l’association. L’objectif est de créer des échanges entre les entreprises qui ne se connaissent pas forcément tout en proposant des formats qui permettraient de faire de la remontée d’information et de projets auprès des acteurs locaux et notamment auprès des collectivités locales telles que la Ville d’Avignon et le Grand Avignon. » Des rencontres en petits groupes qui pourraient également se dérouler en visioconférence afin d’échapper aux contraintes sanitaires.

Souhaitant profiter du vivier d’entreprises actives sur le technopôle, l’association entend favoriser la rencontre avec les quelques 6 000 étudiants présents sur la zone. « L’idée serait de mettre en relation ces deux publics en proposant à nos chefs d’entreprise un temps de bénévolat dans le mois à mettre à disposition d’un étudiant afin de répondre à ses attentes et l’aider dans son projet de stage, d’alternance ou de découverte d’un métier », précise Armand Cointin.

Sur le plan environnemental, le technopôle, en partenariat avec Citadis et le Grand Avignon, a obtenu en fin d’année le niveau 2 du label Parc + décerné par l’ARBE (Agence régionale pour la biodiversité et l’environnement) qui vient récompenser les meilleures démarches d’aménagement de zones d’activités pour leurs qualités et leurs performances. Une distinction qui pousse l’association à œuvrer cette année pour atteindre le niveau 3 (le plus haut niveau de reconnaissance). Par ailleurs, l’association œuvre actuellement avec la Chambre d’Agriculture de Vaucluse afin de lancer un marché hebdomadaire de producteurs locaux sur le technopôle.

Afin de briser la morosité engendrée par les contraintes liées au Covid-19, l’association compte poursuivre ses petits-déjeuners, ses ateliers (ouverts à tous) et mettre en place des activités ludiques mensuelles afin de favoriser les échanges entre ses adhérents. Des adhérents qui vont gagner davantage en visibilité via les réseaux sociaux et au sein de la nouvelle gazette lancée en décembre dernier. Enfin, une ‘cellule conseil’ devrait voir le jour en 2021 afin de répondre aux besoins spécifiques des entreprises du technopôle.

Association Agroparc, 120, rue Jean Dausset, Avignon. 04 90 23 80 52 services@agroparc.com 

Président : Armand Cointin
Secrétaire : Laure Castang
Trésorière : Anne Morin
Directrice : Béatrice Dioux
Communication : Julien Lecroq


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

Malgré un environnement économique difficile, les startups françaises s’en sont globalement plutôt bien tirées l’année dernière. C’est ce que révèle le dernier baromètre sur les investissements publié par le cabinet de conseil en stratégie EY. Les entreprises innovantes tricolores ont réalisé 620 opérations de levées de fonds en 2020, pour un montant total de 5,4 milliards d’euros, soit une croissance de 7 % en valeur malgré une baisse de 16 % en volume par rapport à 2019. Comme l’expliquent les analystes d’EY, ces bonnes performances s’expliquent principalement par une explosion des investissements supérieurs à 50 millions d’euros.

En tête des levées de fonds l’année dernière, on retrouve l’éditeur de jeux vidéo mobiles Voodoo, valorisé 1,2 milliard d’euros après avoir levé un montant estimé à plus de 400 millions d’euros auprès du géant chinois Tencent. Le spécialiste français des marketplaces, Mirakl, et Ynsect, pionnier de l’élevage d’insectes pour la nutrition animale, complètent le podium avec des levées de fonds respectives de 256 millions et 190 millions d’euros. Au niveau des secteurs d’activité, ce sont les sociétés d’édition de logiciels et de services numériques qui continuent de concentrer le plus d’investissements en valeur.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

Elue à la présidence de la Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove) en juillet dernier, Jacqueline Bouyac dresse un premier bilan et évoque les projets à venir cette année.

Première femme à avoir pris la tête de la Cove le 15 juillet 2020, Jacqueline Bouyac a souhaité casser les codes. Plutôt que de faire le choix d’une gouvernance où les décisions viendraient uniquement ‘d’en haut’, la nouvelle présidente a préféré associer dès le départ tous les maires aux décisions que ce soit en instaurant une charte de gouvernance afin de clarifier les rôles respectifs des communes et de la communauté ou en allant à la rencontre des maires des 25 communes de l’agglo pour échanger avec eux sur leurs projets et leurs attentes vis-à-vis de l’intercommunalité. « Je suis l’élue de toutes les communes, précise Jacqueline Bouyac. J’ai rapidement mis en place des réunions entre vice-présidents afin qu’ils puissent présenter leur travail aux autres et j’ai également rencontré les agents des différents services de la Cove afin de recueillir leurs doléances. »

Soutenir l’activité économique sur le territoire
Souhaitant faire du développement économique l’une de ses priorités, la nouvelle présidente s’est rendue à la rencontre des associations et groupements d’entrepreneurs du territoire (Gare numérique, RILE, Carpensud, Fédération du BTP de Vaucluse) afin de prendre connaissance de leurs projets et souhaite créer des synergies avec d’autres intercommunalités comme celle de Ventoux Sud. Inscrivant sa présidence dans l’action et la proximité, Jacqueline Bouyac a multiplié les visites sur le terrain : sur le parc d’activité du Piol (Mazan), au sein de l’entreprise Grases Agencement Menuiserie (Modène) ainsi qu’à l’usine de plaques de plâtre Etex (Siniat) à Carpentras qui prévoit une extension de ses locaux avec la création de 80 nouveaux emplois d’ici 2023. Dans le cadre de l’aménagement des stations du Mont Ventoux, dont la Cove a désormais la compétence, Jacqueline Bouyac a annoncé tenir des réunions avec les partenaires financiers (Région Sud, Département de Vaucluse) et avoir sollicité le président de la Région Sud Renaud Muselier sur la nécessité de pouvoir rouvrir les stations de ski. Enfin, en raison de l’accentuation de la crise sanitaire qui met à mal de nombreuses entreprises, la Cove s’est engagée dans le Fond Covid-résistance (140 000 € ont été injectés) et dans le plan de relance pour soutenir l’économie locale (450 000 €).

Le tourisme, fer de lance de l’économie locale
Parmi les priorités cette année, la Cove mise sur le tourisme, un secteur essentiel dans la région pour relancer l’activité économique. Pour cela, Jacqueline Bouyac tiendra un séminaire au printemps avec les différents élus afin de définir les objectifs de développement concernant l’office de tourisme intercommunal. Souhaitant valoriser les villages de l’intercommunalité, la Cove va mettre sur la table 800 000 € sous forme d’un fonds de concours ‘petit patrimoine’ pour permettre le financement de travaux de réhabilitation du patrimoine des villages. « L’objectif est de soutenir la sauvegarde, la restauration et la mise en valeur du patrimoine architectural et historique local, souligne Jacqueline Bouyac. L’enjeu est aussi économique puisqu’il permet de donner un coup de pouce aux entreprises et artisans locaux qui vont travailler sur ces chantiers. » Enfin, la Cove va continuer de travailler sur l’élaboration de son plan ‘climat air énergie territorial’ (économies d’énergie, énergies renouvelables) et développer l’attrait touristique autour du Mont Ventoux, le Géant de Provence étant détenteur, depuis l’été dernier, du label ‘Parc naturel régional’.


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

La Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse organise, en partenariat avec Pôle emploi, un webinaire sur les aides à l’embauche. Malgré la conjoncture économique difficile, il apparait nécessaire d’anticiper et de préparer la reprise dans les meilleures conditions. Quelles sont les mesures d’aide à l’embauche ? comment les mobiliser et en bénéficier ? quels sont les interlocuteurs privilégiés ? … autant de question que peuvent se poser les chefs d’entreprises qui souhaiteraient recruter de nouveaux collaborateurs.

Jeudi 14 janvier. 8h30 à 9h30. Le lien pour participer au webinaire sera transmis après inscription sur : contact@cpme84.org. 04 90 14 90 90.


Apt : Delta plus poursuit ses acquisitions

GSE vient de remporter le grand prix du Simi 2020 (Salon de l’immobilier d’entreprise) dans la catégorie ‘immobilier logistique’. Le groupe, basé juste à côté de l’aéroport de la cité des papes et repris début 2019 par l’entreprise de construction allemand Goldbeck, a été distingué pour la réalisation du centre de conservation ‘Arts’ situé dans la zone aéroportuaire du Bourget en Seine-Saint-Denis.

Cette réalisation de 24 913m², dont 19 800m² de stockage, sur 3 étages est le premier bâtiment intégralement conçu pour conserver des œuvres d’art sous atmosphère contrôlée. « Ce projet a été entièrement modélisé en BIM (Building information modeling) pour garantir la qualité de la conception et de la réalisation : synthèse technique, visualisation 3D et réalité virtuelle, optimisation technique, choix de variantes, chiffrages, simulations…, explique GSE. Le bâtiment met à disposition des espaces de stockage, en utilisant des technologies novatrices pour assurer une protection ultra sécurisée des œuvres stockées contre l’incendie par système d’hypoxie, une température contrôlée et pilotable par une GTB (Gestion technique du bâtiment) des plus hauts standards. »

« Un coffre-fort moderne unique au monde »

Le chantier, débuté en septembre 2018 et achevé en mars dernier pour le compte du Groupe ADP (Aéroport de Paris) et la société Chenue spécialisée dans le transport, la manutention ainsi que la conservation des œuvres et objets d’art, permet désormais aux musées, galeristes ou collectionneurs d’entreposer leurs collections dans des conditions maximales de sécurité. Le site comprend également des espaces permettant de réaliser des travaux de restauration. « Le lieu bénéficie de caractéristiques techniques uniques au monde, expliquait Robert de Marchi, directeur du développement de GSE, à nos confrères du Parisien durant le chantier. On pourra y maîtriser le taux d’humidité dans l’air, les températures, mais aussi le risque incendie grâce à un système d’hypoxie, qui permet d’éviter que les flammes prennent en privant l’air de sa composante oxygène. » Ce coffre-fort moderne est certifié HQE (Haute qualité environnementale) niveau ‘Très bon’. « L’ensemble du bâtiment répond aux meilleurs critères environnementaux et permet au bâtiment de se distinguer sur l’acoustique, l’accessibilité, les matériaux, la charte de chantier à faible impact environnemental, la réduction de la consommation d’énergie primaires, la gestion de l’eau et la maintenance », poursuit le groupe avignonnais.

« 18 millions de m² d’immobilier réalisés pour les entreprises »

Fondée en 1976 par Jean-Pierre et Michel Hugues, deux frères architectes ayant aujourd’hui passé la main à la nouvelle direction Outre-Rhin, la société GSE compte plus de 450 collaborateurs répartis dans 12 implantations en France dont environ 140 travaillent au sein de son siège vauclusien. Le groupe, aussi présent dans 7 autres pays européens ainsi qu’en Chine depuis 23 ans, a réalisé un chiffre d’affaires de 554M€ en 2019. GSE, aujourd’hui dirigé par Roland Paul, porte 70 projets par an en moyenne. Depuis sa création le groupe a réalisé 18 millions de m² d’immobilier pour les entreprises.

https://echodumardi.com/tag/entreprise/page/12/   1/1