Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
La communauté de communes Vaison Ventoux propose une réunion publique le mardi 5 décembre sur les aides financières pour une rénovation énergétique, en partenariat avec l’Espace Conseil France Renov’ Ceder.
Les prix de l’énergie explosent depuis plusieurs mois. La rénovation énergétique de l’habitat permet de pallier ces dépense énergétiques. De nombreux dispositifs et aides financières sont disponibles. Ceder les évoquera lors de cette réunion, afin d’y voir plus clair face à des démarches techniques longues et contraignantes.
Plus d’informations au 04 90 36 39 16 ou par mail à l’adresse ceder@ceder-provence.org Mardi 5 décembre. 18h. Communauté de communes Vaison Ventoux. 375 avenue Gabriel Péri. Vaison-la-Romaine.
V.A.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Cette année, le gouvernement français a intensifié la chasse aux passoires thermiques, ces logements extrêmement énergivores faute d’isolation ou de chauffage adapté. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2023, dans le cadre de la loi climat et résilience de 2021, les logements classés G+ au diagnostic de performance énergétique (ceux dont la consommation d’énergie dépasse 450 kWh par mètre carré et par an) sont interdits à la location. Le gouvernement prévoit que les autres biens immobiliers de classe G seront concernés en 2025, puis ceux de classe F en 2028.
Selon les statistiques du ministère de l’Écologie, il y avait un peu plus de 5 millions de logements classés F ou G sur les 30 millions de résidences principales en France en 2022. Cela représente environ 17 % du parc. La répartition géographique des passoires énergétiques est cependant très inégale sur le territoire, comme le montre notre carte.
Le long de la côte méditerranéenne et de la façade atlantique, où le climat est plus doux et les besoins en chauffage sont moins importants, la part de logements énergivores dans le parc immobilier est nettement inférieure à la moyenne nationale. À l’inverse, ces derniers ont tendance à être plus nombreux dans les départements situés dans les zones rurales de l’intérieur des terres et de montagne, ainsi que là où l’habitat est le plus ancien (plus du tiers des logements construits avant 1970 sont des passoires thermiques).
C’est dans la Creuse et à Paris que l’on trouve le plus de résidences principales classées F ou G en matière de performance énergétique (35 %), suivis du Cantal et de la Nièvre (32 %), puis de l’Orne (29 %). Les territoires où elles sont le plus rare sont la Corse (5 %), ainsi que le Var et l’Hérault (6 %).
De Tristan Gaudiaut pour Statista
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
L’équipe aptésienne de la société gestionnaire du réseau de distribution d’électricité Enedis vient de réceptionner le premier groupe électrogène zéro émission sur batteries. Cette innovation, développée en partenariat avec Nidec, est une solution alternative aux groupes électrogènes classiques.
Les mardi 10 et mercredi 11 octobre, les techniciens d’Enedis de plusieurs directions régionales ont assisté à une formation à Apt pour connaître et tester le groupe électrogène zéro émission sur le terrain. Celui d’Apt possède une puissance de 160kW, mais la puissance de ce nouveau matériel peut varier en 60 et 400 kW. Il est capable d’alimenter temporairement les clients d’Enedis lors de coupures pour travaux ou incidents sur le réseau de distribution d’électricité, tout en réduisant les impacts sur l’environnement.
Ce matériel innovant peut être rechargé à partir d’énergies renouvelables. Puisqu’il est ‘zéro émission’, il contribue également à réduire les impacts climatiques. Contrairement à un groupe électrogène diesel, il diminue les nuisances sonores et vibratoires, élimine les émissions olfactives et les fumées, et donc améliore le confort et la santé des techniciens sur le terrain. Le groupe électrogène zéro émission va être testé durant plusieurs mois afin de finaliser le retour d’expérience et pouvoir déployer plusieurs appareils du même type dans le reste du Vaucluse.
V.A.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Jusqu’alors, la plus grande centrale photovoltaïque flottante d’Europe se trouvait à Piolenc. Une fierté dont vont être dépossédés les Vauclusiens puisqu’en 2025 c’est en Haute-Marne que se trouvera le pour important site de ce type sur le vieux continent. Pour autant, le Vaucluse reste à l’honneur puisque c’est l’avignonnais Q Energy France qui réalise ce projet.
L’avignonnais Q Energy vient d’annoncer le début des travaux du plus grand parc solaire flottant d’Europe. Situé dans une ancienne carrière à Perthes en Haute-Marne, cette installation photovoltaïque réalisée en partenariat avec Solutions 30, Ciel et Terre International et Perpetum Energy, devrait être opérationnelle début 2025. Au total, 134 649 panneaux solaires seront installés sur les 6 îlots que comporte le site de 127 hectares. La future centrale flottante disposera alors d’une capacité installée de production 74,3 MWc. De quoi alimenter en électricité l’équivalent de 37 000 habitants et ainsi éviter le rejet dans l’atmosphère d’environ 18 000 tonnes de CO2 chaque année.
La première centrale d’une longue série « Ce démarrage de chantier marque l’aboutissement de 4 années de développement, preuve de notre détermination à soutenir la transition vers des sources d’énergie plus propres, se réjouit Arnaud Goupil, directeur régional solaire au sein de Q Energy. Il illustre parfaitement notre raison d’être : construire un monde durable avec les énergies renouvelables. Cette centrale flottante est la première d’une longue série puisque nos équipes développent actuellement un large portefeuille de près de 300 MW de projets de ce type. »
Soutien à une filière nationale Pour le projet en Haute-Marne, la conception des îlots solaires flottants prend en compte les besoins de l’écosystème aquatique environnant. Les matériaux utilisés sont durables et conçus pour minimiser les impacts environnementaux tout en maximisant l’efficacité énergétique. Par ailleurs, les structures flottantes qui équiperont le site sont fabriquées par Ciel & Terre en France. Objectif : permettre l’essor d’une filière nationale.
Piolenc détrônée A partir de 2025, la centrale solaire de Piolenc perdra alors son titre de plus ‘grande centrale photovoltaïque flottante d’Europe’. En effet, c’est le long du Rhône que Akuo, producteur indépendant français d’énergie renouvelable, a lancé ‘O’Mega 1’ en 2019 sur le plan d’eau Li Piboulo en lieu et place d’une ancienne carrière d’extraction de matériaux de 17 hectares. Inaugurée en grande pompe par Elisabeth Borne, alors ministre de la transition écologique avant qu’elle ne devienne 1er ministre, le site de Piolenc affichait une capacité de production de 17 MWc avant son extension, il y a un peu plus d’un an, pour atteindre 22MWc de puissance installée désormais.
Q Energy en Courtine Anciennement RES, l’entreprise avignonnaise dont le siège social se trouve dans la zone de Courtine est devenue Q Energy début 2022, après avoir été reprise quelques mois auparavant par le groupe coréen Hanwha Solutions. Outre son siège vauclusien, où travaille une bonne partie de ses 240 collaborateurs, Q Energy France dispose de 6 agences sur le territoire hexagonal. Tout récemment, la société a levé près de 100M€ afin de financer plusieurs projets d’énergie renouvelable en France. Un marché où elle constitue le 3e développeur, et 1er indépendant, derrière des ‘mastodontes’ comme EDF et Engie.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
L’année 2022 a été marquée par l’annonce d’un plan de relance du nucléaire civil en France, qui prévoit la construction de six réacteurs EPR d’ici 2035 et potentiellement huit autres d’ici 2050. Dans ce contexte, nous nous sommes intéressés à l’évolution de la perception de l’énergie nucléaire par la population française.
Selon le dernier baromètre de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) publié en septembre, les Français n’ont jamais été aussi favorables à l’énergie nucléaire. En 2022, un Français interrogé sur deux (50 %) était d’accord avec le fait de « continuer à construire des centrales nucléaires ». Un score qui dépasse de 6 points le record établi en 2021 (44 %) et qui représente plus du double de la moyenne établie depuis les premières enquêtes en 1977 (24 %). En parallèle, l’opinion sur le fait de devoir « fermer les centrales » est tombée à 19 % l’année dernière, alors qu’elle était de 26 % en 2021 et de 38 % en 2020.
Les inquiétudes sur la sécurité énergétique liées à la guerre en Ukraine et la flambée des prix de l’énergie ont indéniablement joué un rôle dans ce regain d’intérêt soudain pour le nucléaire. Comme le souligne l’étude de l’IRSN, l’« indépendance énergétique » reste le premier argument en faveur de l’énergie nucléaire (cité par 43 % des répondants), suivi par « le faible coût de l’électricité » (22 %) et « la faible émission de gaz à effet de serre » (13 %).
Tristan Gaudiaut, Statista.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Mardi 19 septembre, Enedis organisait l’Énergie Tour Vaucluse, une journée dédiée à la Transition Écologique.
« Il faut que les énergies renouvelables représentent 40% de notre consommation dès 2030 ». C’est ce qu’a déclaré Violaine Démaret, sur le terrain, à 8h30, devant le Parc photovoltaïque au sol de la Carrière Sainte-Marthe à Pernes-les-Fontaines. D’une puissance de 5MW, l’équivalent de la consommation annuelle d’un millier de foyers, elle participe à l’accélération de la production d’énergie renouvelable.
Deux heures plus tard, la visite a continué par la « renaturation » de la Gare de Pernes, un ancien site logistique de plus de 5 hectares qui, désormais, préserve la biodiversité, fait la part belle à la véloroute Via Venaissia et bénéficie d’une rénovation de l’éclairage public grâce à un ensoleillement de plus de 2 800 heures par an et 13 500 modules photovoltaïques.
Et à midi, c’est au siège de GSE, le contractant global en immobilier d’entreprise à Avignon-Sud, que tout le monde s’est retrouvé, le directeur d’Enedis Vaucluse, la présidente du Conseil Départemental et le président du Grand Avignon.
« Le but de cette journée, c’est de mettre en valeur les initiatives des collectivités locales comme des entreprises en matière de transition et de sobriété énergétique » explique Sébastien Quiminal, patron d’Enedis 84. « Nous, nous sommes là pour raccorder le réseau, nous assurer qu’entre les panneaux photovoltaïques et les bornes électriques, il y a effectivement du courant. Nous sommes là aussi pour fédérer, pour mailler le territoire. Pour que les acteurs du secteur privé comme du secteur public se parlent et qu’une synergie existe ».
Roland Paul, au nom de GSE évoque la rénovation énergétique du site, les ombrières photovoltaïques et les bornes de recharge pour les véhicules de la société et des salariés de l’entreprise sur le parking, la biodiversité des aménagements extérieurs, avec d’innombrables essences de plantes et d’arbres pour accueillir oiseaux et insectes. La société, qui emploie 600 salariés et affiche un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros, construit des bâtiments respectueux de l’environnement, économes en énergie, fonctionnels et agréables à vivre dans les secteurs industriels, logistiques, tertiaires, commerciaux ou de loisirs dans le monde entier. Cette exemplarité, c’est sans doute la raison pour laquelle GSE a été choisi pour le lancement de cet Energie Tour. « Ici, on reçoit beaucoup de clients et on souhaite leur monter ce qu’on est capable de faire » explique Roland Paul. « On a fait des travaux d’isolation, on a remplacé les chaudières par des pompes à chaleur et on a fini par diviser par 3 notre consommation et on va continuer à trouver des solutions moins énergivores ».
Joël Guin, le président du Grand Avignon a évoqué la « mobilité durable » : « Nous avons fait évoluer nos services de transports pour favoriser les mobilités douces et durables, pour optimiser, avec Enedis, le réseau Vélopop, les Baladines et les bus grâce à des piles électriques ». Enfin, Dominique Santoni, présidente du Conseil Départemental, mais aussi du Parc Naturel Régional du Luberon, a dit à quel point elle était investie dans cet engagement environnemental. « Nous sommes passés de 300 à 800 points de charge en 2 ans pour les vélos, les voitures, les transports en commun. Les deux aires d’autoroute de Mornas viennent d’être raccordées avec des stations haute puissance pour les automobilistes ».
Après un cocktail végan arrosé d’un rosé de chez Minuty (Var), un déplacement a été organisé à Piolenc, au domaine viticole expérimental. Un vignoble de 4,5 hectares où les ceps sont protégés de la canicule par des filets qui filtrent les rayons de soleil. Grâce à cette installation, leurs besoins en eau ont été réduits de -12 à -34%. La journée s’est conclue par une signature de convention entre Enedis et la présidente de la Chambre d’Agriculture 84, Georgia Lambertin pour « accompagner les paysans dans l’installation d’unités de production d’énergies renouvelables et l’implantation de bornes de recharge ».
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Jusqu’au 31 août, à l’image des défis de réduction de consommation lancés ces derniers hivers,Engie propose à ses clients de Provence Alpes Côte d’Azur le premier défi estival de réduction de consommation d’électricité.
Le principe est simple : Engie informe ses clients de Paca des écogestes pour optimiser leur consommation d’électricité et leur propose de s’inscrire à ce « Challenge Ma Conso », via leur espace « Mon programme pour agir ». Les efforts doivent être faits entre le 1er et le 31 août. A la fin du mois, Engie comparera leur consommation à celle du mois d’août de l’année précédente.
Le défi est ouvert aux clients qui ont un contrat d’électricité chez Engie, équipés d’un compteur communicant installé et activé, et ce, depuis plus de 12 mois. Cet historique de consommation est nécessaire pour permettre la comparaison des données des deux périodes.
Les clients d’Engie qui choisissent de participer à ce défi et qui auront consommé en août moins d’électricité qu’au cours de la même période l’année précédente seront récompensés de 100 KiloActs*, utilisables dans leur espace « Mon programme pour agir ».
Soutenir la sobriété énergétique
Avec ce programme d’engagement, lancé en 2020, l’entreprise propose à ses clients particuliers une palette d’outils pour consommer moins et mieux.
Des compétitions collectives de réduction de consommation entre clients Engie de villes similaires ont également été mises en place, entre Toulouse et Bordeaux notamment à la fin 2022. Elles permettent non seulement aux clients de remporter des KiloActs mais aussi à des associations de bénéficier de dons d’Engie pour la rénovation énergétique de logements dans les villes participantes.
« Avec les challenges de baisse de consommation d’énergie, nous les incitons à suivre leurs consommations d’énergie afin de les réduire. Ce premier challenge estival a l’ambition de les encourager à réduire l’utilisation de leur climatisation tout en les aidant à adapter leurs habitudes de consommation, dans un contexte où la sobriété énergétique s’inscrit pleinement dans nos enjeux collectifs de transition énergétique », explique Thomas Szygula, responsable de Mon programme pour agir d’Engie.
228 000 clients d’Engie dans toute la France ont pris part à ces défis depuis 2020.
1 240 tonnes de CO2 évitées, grâce aux 34 GWh d’électricité non consommés, soit l’équivalent par exemple de 5 ans de consommation électrique de la Tour Eiffel.
En Paca, ce sont 2,56 GWh d’énergie qui ont été économisés lors des challenges de réduction de consommation organisés l’hiver dernier.
* Un KiloAct est une unité virtuelle, créée par Engie pour le programme. Les clients peuvent les utiliser pour bénéficier d’avantages au quotidien (économiseurs d’eau, prise connectée…) ou soutenir des projets, comme le développement de startups de l’économie sociale et solidaire ou encore des projets de dépollution de zones naturelles.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Au cours des dix dernières années, la Chine est devenue le leader mondial incontesté des véhicules électriques, avec des ventes annuelles de voitures électriques à batterie (BEV) qui sont passées d’environ 10 000 unités en 2012 à 4,4 millions en 2022 (soit une hausse de 44 000 %).
Comme le montrent les données du Global EV Data Explorer de l’Agence internationale de l’énergie, les États-Unis (800 000 voitures électriques vendues), l’Allemagne (470 000), le Royaume-Uni (270 000) et la France (210 000) complètent le top 5 des principaux marchés en volume l’an dernier. Cependant, même regroupés ensemble, ces quatre pays ne pèsent même pas la moitié du marché chinois.
Le mouvement en faveur du développement de la mobilité électrique en Chine coïncide notamment avec les efforts menés par Pékin dans le secteur de l’énergie. Le pays devrait atteindre ses objectifs en matière de production d’énergie éolienne et solaire cinq ans plus tôt que prévu et produire 1 200 gigawatts grâce à ces énergies renouvelables d’ici à 2025, comme le rapporte The Guardian. En 2022, les énergies renouvelables ont représenté 45 % de la capacité énergétique totale de la Chine, contre 26 % en 2011.
Il est également intéressant de mettre les chiffres sur le marché des véhicules électriques en perspective. L’an dernier, les ventes totales de voitures particulières en Chine se sont élevées à 23,6 millions d’unités, ce qui signifie qu’environ 19 % des nouvelles voitures étaient électriques. Le deuxième marché mondial, les États-Unis, affichait en comparaison une part de seulement 6 %. L’Allemagne, le Royaume-Uni et la France talonnent la Chine de plus près, avec une part comprise entre 13 et 18 % de voitures électriques à batterie (BEV) dans les ventes de voitures neuves. Le leader si l’on regarde la part de marché est toujours la Norvège, où plus de 75 % des nouvelles voitures sont électriques.
Tristan Gaudiaut, Statista.
Vaison Ventoux organise une réunion publique sur la rénovation énergétique
Face à la crise énergétique, l’entreprise Charles & Alice, tout comme de nombreux industriels, a décidé de diversifier ses sources d’énergie. Ainsi, la société drômoise à opter pour les énergies renouvelable, et notamment l’énergie solaire, pour ses sites drômois et vauclusien.
Le site de production de Monteux, en Vaucluse, acquis par l’entreprise en 2021, est désormais doté de 1178 modules photovoltaïques, posés notamment sur des ombrières et des bâtiments de stockage. Installés sur 2200 m², ces panneaux solaires permettent d’éviter jusqu’à 34 424 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de la consommation électrique de 124 foyers.
Charles & Alice a également opté pour l’énergie solaire sur son site d’Allex, dans la Drôme, avec l’installation de 1 328 modules photovoltaïques sur une surface de 2 419 m². L’énergie produite sur l’année par ces panneaux représentera la consommation électrique de 129 foyers par an, soit l’équivalent de 35 676 tonnes de CO2 économisées par an.
« Nous sommes en recherche constante de solutions pour parvenir à réduire notre consommation et notre empreinte carbone », a affirmé Fabien Ployon, directeur industriel de Charles & Alice. Depuis 2018, le groupe a installé 7 600 m² de panneaux photovoltaïques, ce qui représente une réduction de 86 tonnes d’émissions de CO2 par an. Ces installations représentent 10% des besoins en électricité de l’entreprise.