22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

L’année 2024 marque un tournant dans la production d’électricité en Europe. Selon le suivi du think thank spécialisé sur les questions énergétiques Ember, au premier semestre, les énergies éoliennes et solaires ont produit plus d’électricité dans l’Union européenne (UE) que l’ensemble des combustibles fossiles. Comme l’indique notre graphique, ces deux énergies renouvelables ont contribué à hauteur de 30 % au mix électrique de l’UE de janvier à juin, soit plus que le gaz, le charbon et le pétrole réunis (27 %). Par ailleurs, en ajoutant les autres énergies renouvelables — principalement l’hydroélectricité, dont la production connaît un fort rebond cette année — plus de la moitié de l’électricité générée dans la région est désormais issue de sources renouvelables.

Les analystes d’Ember indiquent que la forte croissance de l’éolien et du solaire a été le principal facteur de la baisse des énergies fossiles dans le mix électrique européen au premier semestre. La production solaire a augmenté de 20 % (+23 TWh) et la production éolienne de 9,5 % (+21 TWh) par rapport aux six premiers mois de 2023. Ensemble, l’éolien et le solaire ont progressé de 13 % (+45 TWh).

Dans le même temps, à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la plupart des pays de l’UE ont accéléré leurs plans visant à réduire leur dépendance à l’égard des combustibles fossiles. La production d’électricité issue du charbon a fortement chuté au premier semestre, avec une baisse de 24 % par rapport à la même période en 2023 (-39 TWh), et celle issue du gaz a diminué de 14 % (-29 TWh). Cette évolution fait suite à des baisses importantes l’année précédente. 

En troisième position, l’énergie nucléaire produit actuellement autour de 20 % de l’électricité de l’UE.

Le coût de production des énergies renouvelables a fortement diminué

D’après Ember, un think tank dont la mission est d’accélérer la transition vers l’énergie propre, 30 % de l’électricité produite dans l’Union européenne au premier semestre 2024 provenait de l’éolien et du solaire, dépassant pour la première fois les combustibles fossiles (27 %). La production d’électricité à partir d’énergie fossile a diminué de 17 % (soit -71 TWh) au premier semestre 2024 par rapport à la même période l’année précédente. Après une forte chute de la demande d’électricité en 2022 et 2023, celle-ci a repris cette année, et la mise en service de nouvelles capacités éoliennes et solaires ont permis à l’Union européenne d’y répondre.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables compilées par Our World In Data, le coût moyen de production d’énergie solaire photovoltaïque a diminué de façon significative depuis 2010. Cette année-là, produire un kilowattheure d’électricité à partir de l’énergie solaire coûtait 42 centimes de dollar en moyenne sur l’ensemble de la durée de vie de la centrale électrique (donnée corrigée de l’inflation). En 2022, ce coût n’était plus que de 6 centimes de dollar, soit un montant similaire à celui nécessaire à la production d’un kilowattheure d’électricité avec l’énergie éolienne : 5 centimes de dollar. Le coût nécessaire à la production électrique d’origine éolienne a également diminué, bien que dans une moindre mesure, puisqu’il était de 14 centimes de dollar en moyenne en 2010.

De Tristan Gaudiaut et Valentine Fourreau pour Statista


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

Le Pacte civique et la Communauté ‘Les entreprises s’engagent’ en Vaucluse présentent la comédie interactive ludique Sobriété à tous les étages écrite et jouée par la compagnie Reflet Théâtre autour du thème de la sobriété énergétique ce vendredi 31 mai à Avignon.

Cette représentation sera suivie d’une table ronde avec des acteurs locaux du territoire et des entreprises membre du club tels que le Grand Avignon, Biovence, Citeos, Ecomin, GSE ou encore Wayatech. Ces derniers partageront leurs approches et expérimentations en matière de sobriété en entreprise.

Cet événement est organisé à destination des chefs d’entreprise, managers et salariés de TPE, PME et grandes entreprises, ou tout autre personne souhaitant changer de regard sur l’importance de la sobriété dans le contexte écologique actuel.

Vendredi 31 mai. De 14h à 17h. 105 Rue Pierre Bayle. Avignon.


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

SPIE, leader européen indépendant des services multitechniques dans les domaines de l’énergie et des communications, recrute 340 collaborateurs, dont 30 alternants, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

En élargissant ses équipes, SPIE entend contribuer à l’émergence d’une société bas carbone en créant et en apportant des solutions concrètes et globales aux entreprises, industries, et territoires, pour accélérer leurs transitions énergétique, numérique et industrielle.

L’entreprise propose divers postes tels que : technicien de maintenance, ingénieur-e efficacité énergétique, électricien courant faible et fort, ingénieur télécoms, ingénieur réseaux, monteur, conducteur de travaux, raccordeur fibre optique, ingénieur & technicien smart city et cybersécurité, technicien data centers, soudeur ou encore responsable d’activités réseaux d’énergie.

Les postes sont pour la plupart des CDI à temps plein. Tous les niveaux d’étude sont ciblés, du bac professionnel au diplôme d’ingénieur, en passant par les licences professionnelles et les BTS. « Nous sommes à la recherche de personnes passionnées et engagées qui ont envie de progresser, de transmettre et d’entreprendre », a déclaré Arnaud Tirmarche, directeur général de SPIE France.

Pour consulter toutes les offres d’emploi et postuler, cliquez ici.


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

À l’initiative de son responsable du comité d’Avignon et de sa région, Bernard Autheman, le parti « territoires de progrès » met en place une conférence sur l’hydrogène le jeudi 21 mars à 20h à la salle des fêtes de la mairie d’Avignon. Un événement qui permettra d’aborder les sujets de la transition écologique, des nouvelles ressources de demain et qui offrira la possibilité de faire vivre le parti sur le plan local.   

Le parti politique « Territoires de progrès » a été créé le 1ᵉʳ février 2020 par Jean-Yves le Drian et Olivier Dussopt. Ce mouvement qui se définit comme l’aile gauche de la majorité présidentielle d’inspiration social-démocrate est de plus en plus identifié sur le territoire vauclusien notamment grâce au travail de Claude Hault, son responsable départemental et Bernard Autheman, responsable du comité « Avignon et sa région. »

C’est avec cet objectif de continuer ce travail d’identification et d’union autour de « territoire de progrès » que le parti organise une conférence sur l’hydrogène le jeudi 21 mars prochain à 20h à la salle des fêtes de la mairie d’Avignon. Une assemblée gratuite et ouverte à tous qui sera animée par Alexandre Autheman, responsable ingénierie chez le producteur d’énergie CVE et expert sur les questions de l’hydrogène. 

Transition écologique et lutte contre les fakes news 

Cette conférence sur l’hydrogène est le premier événement pour le parti en 2024. Elle sera l’occasion d’évoquer les sujets de la transition écologique et des nouvelles ressources pour l’avenir comme l’évoque Bernard Autheman : « on a vocation avec cette conférence à intervenir sur des sujets politiques dans le sens le plus noble et offrir des solutions sur des sujets d’intérêts communs, sur des problématiques de vie dans notre ville ». 

Si ces thématiques représentent un enjeu majeur pour le présent et le futur, l’évènement initié par Bernard Autheman a également une portée éducative et éclairante. « Il me semble essentiel de lutter contre l’extrémisme grâce à la culture et l’éclairage scientifique. La prolifération des fake news est un fléau et je suis convaincu que l’intervention de professionnels et de scientifiques avérés sur ce type de sujet sont la meilleure solution pour aider nos concitoyens », affirme celui qui est également conseiller municipal délégué aux bibliothèques, aux musées et à la culture provençale à la mairie d’Avignon. 

Infos pratiques : Conférence « l’hydrogène : énergie d’avenir, durable et écologique ? ». Jeudi 21 mars 2024. 20h. Salle des fêtes de la mairie d’Avignon. Place de l’horloge. Avignon. Évènement gratuit et ouvert à tous.  


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

Le mercredi 21 février, Énergie Team, premier producteur d’électricité renouvelable indépendant en France, a présenté trois éoliennes qui, si elles ne semblent au premier abord n’avoir rien de spécial, représentent une première dans l’Hexagone. Le parc éolien de Vallons-de-l’Erdre, en Loire-Atlantique, est en effet le premier parc éolien français à disposer d’une offre de raccordement alternative ayant permis d’éviter 15km de réseau souterrains, réduisant le délai des travaux de raccordement et divisant le coût total par quatre. L’initiative a ainsi pour but d’accélérer l’accès a cette source d’énergie renouvelable. À terme, le parc éolien de Vallons-de-l’Erdre devrait produire suffisamment d’énergie pour alimenter une ville de 12 000 habitants.

D’après le plus récent rapport publié par le gestionnaire du réseau de transport électrique RTE, l’énergie éolienne a continué de progresser en 2023, et représente désormais 10,2% de la production totale d’énergie en France. Cependant, comme le montre notre infographie, basée sur des données de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), l’année précédente, la France était loin derrière trois autres pays européens en matière de capacité de production d’énergie éolienne en Europe. En première place, et loin devant les autres pays, on trouvait l’Allemagne, avec une capacité de production de 66 294 mégawatts, soit plus de deux fois plus que l’Espagne (29 308), et trois fois plus que la France (21 120). En 2022, l’Allemagne représentait ainsi près de 30 % de la capacité totale de production européenne d’énergie éolienne.

De Valentine Fourreau pour Statista


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

La Fondation Abbé Pierre, qui lutte contre l’exclusion et le mal-logement, a récemment publié son rapport annuel sur l’état du mal-logement en France. Celui-ci souligne de nombreux éléments de la crise du logement en France, qui, d’après la fondation, ont empiré ces dernières années : l’hébergement social est de plus en plus saturé, le nombre de personnes sans solution d’hébergement augmente, et parmi elles le nombre de femmes et d’enfants ne cesse de croître. Cette crise du logement s’installe alors que la précarité et la pauvreté progressent au sein de la société française : le chômage, qui diminuait régulièrement depuis plusieurs années, a augmenté au troisième trimestre 2023, et la part des Français payés au Smic n’a jamais été aussi importante

Comme le montre notre infographie, basée sur des données d’Eurostat collectées par la Fondation Abbé Pierre, la précarité énergétique touche également un nombre croissant de personnes en France. En 2008, année de crise financière, la part des Français qui ne pouvaient pas chauffer adéquatement leur logement était de 5,3 %. En 2022, ce chiffre avait bondi à 10,2 % de la population, soit plus d’une personne sur dix. Les personnes vivant sous le seuil de pauvreté (60 % du niveau de vie médian, soit 1 158 euros par mois en 2023) étaient affectées par ce problème de façon disproportionnée, puisque près d’un quart d’entre elles vivaient en situation de précarité énergétique en 2022.

De Valentine Fourreau pour Statista


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

La communauté de communes Vaison Ventoux et la société Voltalis viennent de signer une convention de partenariat afin d’aider les habitants à faire face à la hausse généralisée des prix de l’énergie. C’est une première dans le Vaucluse.

« Pour faire face à l’urgence climatique et agir sur le pouvoir d’achat des ménages, nous souhaitons apporter des réponses concrètes en engageant notre territoire dans la transition écologique et énergétique », a déclaré Jean-François Périlhou, président de la communauté de communes Vaison Ventoux, à propos de ce partenariat entre l’intercommunalité et Voltalis.

L’objectif de cette alliance serait de proposer gratuitement à tous les habitants et professionnels du territoire chauffés à l’électrique un thermostat connecté écocitoyen dédié au chauffage. Ce thermostat leur permettrait notamment de réduire leur consommation d’énergie afin de maîtriser les coûts. « Nous sommes ravis de proposer à près de 3 500 foyers et professionnels de prendre part à l’effort national de sobriété énergétique », a ajouté Mathieu Bineau, directeur général de Voltalis.

Ce dispositif gratuit permettrait aux consommateurs d’atteindre jusqu’à 15% d’économies d’énergie, mais aussi de réduire les émissions de CO2 du logement jusqu’à 70%. Le déploiement a commencé ce lundi 5 février. Pour solliciter l’installation de ce dispositif, il faut contacter Voltalis au 04 56 60 87 47 ou envoyer un mail à l’adresse vaisonventoux@voltalis.com.

Augustin Chazot, responsable des partenariats Voltalis Région Auvergne Rhône-Alpes, et Gérard Raineri, vice-président de l’intercommunalité en charge de la communication. DR

V.A.


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

Dimanche 21 janvier, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique Bruno Le Maire a annoncé une hausse entre 8,6 % et 9,8 % des prix de l’électricité à partir du 1er février, actant également la fin du bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement en 2021 pour limiter les effets de l’augmentation des prix de l’énergie pour les consommateurs. Cette augmentation, « décision difficile mais nécessaire » d’après Bruno Le Maire, a cependant été qualifiée de « décision gouvernementale » par la présidente de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) Emmanuelle Wargon : les prix de gros de l’électricité ont en effet baissé de plus de 30 % au cours des six derniers mois, et la CRE a donc recommandé une baisse moyenne du tarif réglementé de 0,35 % le mois dernier. Mais, en parallèle des prix de gros de l’énergie, l’État entame la suppression de son bouclier tarifaire, et va donc commencer à augmenter les taxes sur l’électricité, qui vont progressivement revenir à leur niveau d’origine. Le ministre de l’Économie a également précisé que la prochaine augmentation des prix de l’électricité aurait lieu au 1er février 2025.

Pour essayer de se consoler, le consommateur français pourra toujours se dire qu’il bénéficie globalement d’une électricité moins chère que la moyenne en Europe. Au regard de la situation sur le Vieux Continent, c’est en Belgique où l’on paye l’électricité le plus cher selon les dernières données publiées par Eurostat. En effet, les ménages belges payent plus de 43 centimes d’euro par kilowattheure (taxes et prélèvements inclus), soit un peu plus que les allemands qui déboursent environ 41 centimes. En Italie, les prix se situent à près de 38 centimes par kilowattheure, alors que la moyenne de l’UE-27 s’établit à 28,9 centimes.

Comparée à ses voisins, la France profite donc de tarifs d’électricité plutôt avantageux, notamment grâce aux coûts de production moins élevés liés au recours à l’énergie nucléaire (plus de 70 % de l’électricité produite en France en 2020). Le coût pour une consommation comprise entre 2 500 et 5 000 kW/h s’élevait ainsi à environ 23 centimes par kilowattheure au premier semestre 2023 dans l’Hexagone, un chiffre qui ne tient toutefois pas compte de la dernière hausse annoncée. Les pays où les tarifs sont les plus bas se trouvent en Europe de l’Est, mais aussi au nord, avec par exemple l’Islande qui profite de l’exploitation de la géothermie.

Les prix de gros retrouvent leur niveau d’avant la crise

Après les fortes hausses observées en 2021, puis en 2022 dans le sillage de la guerre en Ukraine, les prix de gros de l’électricité ont chuté ces douze derniers mois en Europe. La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a ainsi proposé une diminution des tarifs réglementés de vente de l’électricité, une première depuis quatre ans. Mais la baisse des prix sur les marchés ne se reflétera pas sur la facture des consommateurs. Le gouvernement français a en effet annoncé une hausse de près de 10 % des prix de l’électricité à partir du 1er février 2024, en lien notamment avec la suppression du bouclier tarifaire qui avait abaissé les taxes sur l’énergie au plus fort de la crise.

Comme le montre le suivi mensuel d’Ember, les prix de gros de l’électricité en Europe sont globalement retombés à leur niveau d’avant la crise énergétique. En France par exemple, le prix de gros moyen était redescendu à 68,3 euros par mégawattheure en décembre 2023, soit une diminution d’environ 75 % par rapport à décembre 2022, et un chiffre proche du niveau enregistré au premier semestre 2021.

Comme le détaille également notre infographie, l’Espagne fait partie des rares pays d’Europe à ne pas avoir connu de flambée des prix de gros de l’électricité durant le pic de la crise énergétique. En juin 2022, l’Espagne et le Portugal avaient en effet adopté le mécanisme dit d’« exception ibérique », plafonnant le prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité.

De Valentine Fourreau et Tristan Gaudiaut pour Statista


L’éolien et le solaire ont dépassé les énergies fossiles dans l’UE

Selon le rapport annuel de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), l’Allemagne disposait d’une capacité photovoltaïque installée d’environ 67 gigawatts en 2022, ce qui en fait le pays européen avec la plus grande capacité de production d’énergie solaire. Cette année-là, la capacité de l’Allemagne était deux à trois fois supérieure à celle de l’Italie et de l’Espagne, qui arrivaient en deuxième et troisième position avec respectivement 25 et 20 gigawatts. Bien que les effets de la guerre en Ukraine aient mis le projet de transition énergétique allemand face à d’importants défis, les énergies renouvelables ont pour la première fois couvert plus de la moitié de la production brute d’électricité en Allemagne en 2023.

La capacité du parc solaire photovoltaïque de l’Allemagne a affiché une croissance moyenne de 6 % par an entre 2013 et 2022. Comme le montre notre graphique, il s’agit d’un taux de croissance relativement faible comparé à d’autres pays d’Europe. Le champion européen du développement de l’énergie solaire est la Pologne, qui a augmenté sa capacité photovoltaïque de 137 % par an depuis 2013. Rien qu’entre 2020 et 2022, ce pays a presque triplé sa capacité installée. Les Pays-Bas se classent en deuxième position sur cet indicateur avec une croissance annuelle moyenne de 40 %. La France restait quant à elle à la traîne par rapport à ses voisins européens. Avec une hausse annuelle moyenne de 13 % sur dix ans, la capacité photovoltaïque installée dans l’Hexagone était d’environ 17 gigawatts en 2022 – soit un chiffre inférieur aux Pays-Bas (quatrièmes avec 19 gigawatts), un territoire beaucoup plus petit et moins ensoleillé.

Au niveau mondial, la capacité des systèmes photovoltaïques raccordés au réseau électrique s’élevait à environ un térawatt ou 1 000 gigawatts en 2022. Cela correspond à environ un tiers de la capacité de production de toutes les énergies renouvelables et à environ 12 % de la capacité totale de production d’électricité. C’est la Chine qui contribue le plus à l’expansion du photovoltaïque dans le monde. En 2022, ce pays représentait plus de 80 % de la production mondiale de panneaux solaires et environ 57 % de la capacité photovoltaïque installée. Outre la Chine, les États-Unis, le Japon et l’Inde figurent parmi les pays non européens pouvant produire le plus d’énergie solaire.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://echodumardi.com/tag/energie-2/   1/1