25 août 2024 |

Ecrit par le 25 août 2024

Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

Après 300 événements organisés à travers la France, l’initiative ‘Youzful‘ intègre la plateforme du Crédit agricole. Objectif : favoriser l’insertion professionnelle des jeunes. Le mardi 18 mai se déroulera le prochain  »job dating’ virtuel avec des postes basés dans les départements des Bouches-du-Rhône, des Hautes Alpes et du Vaucluse.

Cette rencontre s’inscrit dans le dispositif ‘Youzful’ du Crédit agricole Alpes Provence, composé de 2 ‘job dating’ virtuels sur le territoire ainsi qu’un espace en ligne avec des offres d’emploi dédiées aux jeunes : https://wiz.bi/2Yi8neW.

De la banque au bâtiment

Le ‘job dating’ du Crédit agricole Alpes Provence regroupera une dizaine d’entreprises de la région dont le Crédit Agricole Alpes Provence ou encore Technitoit et 60 à 80 candidats seront présents virtuellement. Ils pourront échanger par le biais d’entretiens dématérialisés réalisés en visioconférence sur les différents postes proposés en CDI et CDD. Les secteurs représentés seront la banque, l’informatique, l’ingénierie nucléaire, les Bâtiments et travaux publics (BTP), et bien d’autres encore. Les postes à pourvoir seront localisés dans les départements des Bouches-du-Rhône, des Hautes Alpes et du Vaucluse.

Comment ça marche ?

Ces événements digitaux seront organisés par le biais d’une application gratuite, simple d’utilisation et ludique, accessible depuis un ordinateur ou un smartphone. Les candidats et les entreprises se retrouveront lors d’un événement en ligne interactif. Au programme : accueil des candidats et des entreprises via visioconférence, et entretiens dématérialisés. Les candidats seront informés en amont de l’événement des créneaux horaires pour les entretiens.

Aider les jeunes face à la crise

« Seulement 27% des jeunes ayant obtenu leur diplôme pendant la crise ont décroché un emploi, pour 7% d’entre eux il s’agit d’un emploi précaire. Dans le même temps, les entreprises ont des besoins immédiats en recrutement qu’elles n’arrivent pas à pourvoir. Le Crédit agricole et Wizbii souhaitent ainsi plus que jamais accompagner les jeunes dans leur recherche d’emploi. » précise Wizbii, qui enregistre 6 000 nouveaux utilisateurs par jour sur sa plateforme de services. Les chiffres exposés ont été mis en exergue suite à l’étude barométrique ‘comment les jeunes diplômés vivent-ils leur arrivée sur le marché du travail en cette rentrée 2020 ?’ menée par Wizbii auprès de 1 200 jeunes en septembre 2020.

Inscriptions obligatoires : https://job.wiz.bi/ug6ybromane@wizbii.com/ 06 69 66 94 57. Les inscriptions seront clôturées le jeudi 13 mai. Le lien du ‘job dating’ sera accessible uniquement aux candidats sélectionnés.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

Enedis organise le premier forum de l’emploi 100% digital, les 5 et 6 mai prochains. Dans le Vaucluse, le groupe propose 8 CDI (Contrat à durée indéterminée), 1 CDD sénior (Contrat à durée déterminée) ainsi que 11 contrats d’alternance. Ces recrutements s’inscrivent dans un plan régional incluant 96 offres à pourvoir dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Enedis cherche principalement à recruter sur les métiers de : technicien d’intervention polyvalent H/F, technicien poste source H/F, chargé de projets H/F, programmateur CPA (cellule de pilotage des activités) H/F, ingénieur en électrotechnique H/F, numérique H/F. Les inscriptions sont ouvertes dès à présent et jusqu’au 6 mai sur https://eforum-enedis.mon-salon-virtuel.fr/.

Sur les stands, les candidats pourront ainsi rencontrer virtuellement des salariés d’Enedis, échanger avec eux sur leur métier, les formations à considérer, mais également leur quotidien. Chacun pourra naviguer sur la plateforme et consulter des fiches métiers, des témoignages de salariés, mais également des offres d’emploi et leur localisation géographique sur l’un des 96 dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Vaucluse, des Alpes de Haute-Provence et des Hautes-Alpes.

Enedis propose ainsi de découvrir la diversité des métiers et des profils au cœur des enjeux de transition écologique dans les territoires. L’objectif est de répondre aux impératifs de développement du réseau public de distribution d’électricité, d’intégration des nouveaux usages électriques dans le quotidien des Français et plus globalement de décarbonation de l’économie. Parmi les intervenants : Olivier Duhagon, directeur des ressources humaines d’Enedis, Karine Revcolevschi, directrice régionale Ile-de-France Ouest, Patrick Lyonnet, directeur régional Sillon-Rhodanien, Pascal Dassonville, directeur régional Côte d’Azur.

Le groupe Enedis fédère 38 000 salariés, intervenant dans plus de 100 métiers. Dans une perspective de réduction de l’empreinte carbone, plusieurs dispositifs ont vu le jour comme les drones assurant la maintenance du réseau, ou l’expérimentation d’un vélo triporteur à assistance électrique utilisé par les techniciens dans leurs déplacements.

L.M.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

Le réseau Orizo recrute des conductrices et conducteurs de bus en contrat à durée déterminée d’un mois, à temps plein, pour assurer la saison estivale entre mai et septembre 2021.

Plusieurs missions incomberont au conducteur(trice) : transporter les clients en toute sécurité, accueillir, informer et renseigner, vendre les titres de transport, identifier et signaler les incidents mécaniques. Par ailleurs, les candidats devront être capables de renseigner les passagers et les assister si besoin, conduire des passagers selon un parcours/circuit prédéfini, contrôler les titres de transport, gérer la relation client et utiliser le matériel de navigation. Disponible et ponctuel, le poste requiert également une personne dotée du sens des responsabilités, d’un bon relationnel et d’une excellente maîtrise de soi. Le poste implique une Formation continue obligatoire (FCO) ainsi qu’une Formation initiale minimum obligatoire (FIMO). Permis D + FCO et / ou FIMO indispensables.

Pour postuler à cette offre, envoyer votre curriculum vitæ par e-mail : recrutement.tcra@transdev.com ou par  courrier : TCRA – Service Ressources Humaines 173 rue du Petit Gigognan Z.I de Courtine CS 90511 84908 Avignon. Plus d’informations en cliquant ici.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

La crise sanitaire pourrait changer notre regard sur ce secteur (ESS) qui arrive de mieux en mieux à conjuguer réalisme économique et utilité sociale et environnementale. Le gouvernement ne s’y est pas trompé, aux territoires de saisir la balle au bond pour promouvoir cette autre économie’» moins mondialisée et plus humaine

Voilà des années que ce secteur n’arrive pas à se faire entendre, faute de moyens, du grand public. Il contribue néanmoins, autant que l’industrie, à la richesse nationale (10% du PIB) et occupe quand même 2,4 millions de salariés, soit 12% des salariés du secteur privé.
Mais sa composition en cinq grandes familles (associations, coopératives, mutuelles, fondations et sociétés commerciales ayant la qualité d’entreprises de l’ESS) rebute, par un effet mosaïque : beaucoup de petites structures, des champs d’action hétérogènes, un modèle d’entreprise ‘engagée et responsable’ qui reste flou et des performances ‘extra-financières’ difficiles à évaluer.
Depuis l’été dernier, une secrétaire d’Etat chargée de l’économie sociale, solidaire et responsable a été nommée. Olivia Grégoire agit pour le développement de cette « économie de proximité et d’orientation sociale en période de crise ». La ministre voudrait souligner l’exemplarité de ce tissu de TPE-PME qui met de longue date en avant l’intérêt général au moment de l’entrée en vigueur au mois de mars dernier d’une directive européenne obligeant les entreprises de plus de 250 salariés à publier un rapport sur leur ‘pratiques sociales et environnementales’.
Elle promet de mettre le sujet sur la table lors de la prochaine présidence française de l’Union européenne en 2022 et se dit confortée par « une quête de sens chez les jeunes, comme chez les consommateurs ».

L’extension du domaine du fromage de chèvre
Les planètes s’alignent depuis la fin 2020. On sort un peu du flou. Les banques ont obligation – sans sanction – de consacrer 5% des encours du Livret A et du livret de développement durable et solidaires pour financer des crédits à l’ESS, soit environ 9 milliards. Un nouveau coup de pouce a été donné avec les ‘contrats à impact’ répondant à des besoins qui ne sont pas – ou mal – pris en charge par l’Etat. Les pouvoirs publics ont ainsi annoncé un appel à projet sur l’économie circulaire, un autre sur la lutte contre le gaspillage. La règle est simple : tout projet innovant, porté par des acteurs de l’ESS et financé par des investisseurs privés ou publics doit annoncer des objectifs précis pour être sélectionné. L’Etat délie sa bourse dès lors qu’ils ont été atteints, le meilleur usage des deniers publics étant confié au mieux disant.

« Ni philanthropie, ni subvention »
« Ni philanthropie, ni subvention », pourrait donc être le slogan de cette action sociale et solidaire, orientée par une solide logique d’investissement humain et financier qui progresse sur le chemin du pragmatisme.
Voilà peut-être la grande nouveauté. Roland Davau, président depuis 2020 de la délégation Vaucluse de l’ESS abonde. « Il y a encore 5 ans, je n’avais aucune idée de ce qu’était ce secteur que j’avais identifié et associé, tout entier, à l’image du fameux producteur de chèvre post soixante-huitard, mais pas du tout à un modèle économique ». Pas de langue de bois pour ce représentant du monde sportif – 600 emplois dans le département nous dit-il – qui préside le Comité départemental olympique et sportif vauclusien. « Avant, nous avions une démarcation bien nette entre une activité économique profitable et tout un secteur d’activité diffus. Celui-ci revendiquait des valeurs et principes éthiques au nom desquels il était légitime d’être placé sous perfusion d’argent public. Aujourd’hui, on a des entreprises imprégnées de réalisme économique qui partagent une vision d’avenir sur quantité de sujets : démocratie, engagement collectif, utilité sociale, stratégie de long terme. »
Et Roland Davau de citer l’exemple ingénieux imaginé par « Les jardins de Solène ». Un transformateur qui achète des légumes au rebut du tri (calibre et aspect) ; les conditionne sous barquettes à composter en « prêts à cuisiner » pour les cantines, collectivités ou points de ventes dans un atelier situé à Pernes-les-Fontaines, employant des personnes en situation de handicap.

Le Vaucluse, une terre de prédilection
Même en temps de crise, les projets sortent, comme celui de l’association « L’étape » soutenu par l’incubateur Camina d’Initiative Terre de Vaucluse. Il s’agit de l’initiative de deux jeunes femmes, briguant un diplôme de direction d’établissement ou de service d’intervention sociale dispensé par l’IMF d’Avignon qui propose depuis juin dernier aux centres équestres un service d’équithérapie, soin psychique – médiatisé par le cheval – conduit par un thérapeute. L’association fonctionne avec une dizaine de bénévole et prévoit dès l’année prochaine d’ouvrir son propre centre près d’Avignon pour former des thérapeutes et accueillir ses publics : personnes en situation de handicap ou présentant des troubles du comportement ou du développement.
« Notre territoire est propice au développement de ces innovations parce que les entreprises de l’ESS y sont davantage présentes qu’ailleurs. Avec 19 000 salariés et 2 200 structures, ce secteur représente environ 15% de l’emploi privé. Il est aussi plus résilient face à la crise et c’est une chance pour son développement », ajoute Roland Davau qui a pris son bâton de pèlerin pour mobiliser préfet, sous-préfet à la relance et président de la chambre régionale de l’ESS autour d’un ‘Tour des territoires’ destiné à relancer l’activité.

Plan d’urgence de 30M€
Un plan d’urgence de 30M€, promis en janvier, complété par un fonds de solidarité (prolongé jusqu’au 30 juin) et la mobilisation de la Banque des territoires composent le dispositif de soutien spécifique au secteur ; auquel s’ajoute une quinzaine d’appels à projets pour soutenir son développement, principalement dans les domaines de la solidarité, de l’agriculture et de l’alimentation, de la culture et du tourisme.
Au plan régional, la chambre régionale dont le budget frôle les 870 000€, peine cependant à élargir ses moyens d’action. Elle avait pourtant lancé un fonds (Invess’t Provence Alpes Côte d’Azur) – dont elle n’est pas gestionnaire – par émission de titres associatifs en 2019. La prospection des dossiers, ralentie par la crise sanitaire, se poursuit auprès des entreprises d’insertion, de l’habitat et du tourisme social. C’est un écueil au moment où l’oreille du public n’a sans doute jamais été aussi favorable au développement d’une ‘autre économie’» moins mondialisée et plus humaine.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

Le doute planait depuis plusieurs jours, mais les représentants des instituts de beauté n’ont pas obtenu ce qu’ils espéraient : un traitement égal à celui des coiffeurs, qui peuvent continuer de recevoir des clients en dépit des nouvelles restrictions.

Après avoir expliqué dans un premier temps que seuls les commerces dits essentiels pourraient rester ouverts, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a rapidement précisé que les coiffeurs pourraient bel et bien continuer de recevoir du public. Une annonce qui a provoqué l’incompréhension totale au sein de la Confédération nationale artisanale des instituts de beauté du Vaucluse (Cnaib), qui a très vite réclamé un traitement identique, alors même que les instituts partagent le code de nomenclature commerciale dit ‘Naf’ (Nomenclature d’activités française).

Députée de la 1ère circonscription du Vaucluse, Souad Zitouni a été interpellée par la confédération du Vaucluse et a tenu à adresser un courrier à Monsieur Le Maire, Ministre de l’Economie. « Nos instituts de beauté ne demandent qu’à reprendre le travail, notamment en cette période de printemps qui marque le début de la forte saison pour ce secteur. Alors que la clientèle est là et que la demande de rendez-vous explose, ces professionnels sont dans l’incapacité de travailler. Il est indispensable que ces professionnels puissent continuer leur travail en cette période de confinement. »

Des discussions se sont poursuivies ces derniers jours avec les services de Bercy et le ministre délégué en charge des petites et moyennes entreprises Alain Griset. Des discussions vaines puisque la situation demeure inchangée. Stéphanie Rodriguez, présidente de la Cnaib du Vaucluse ne cache pas son désarroi. « Lorsque nous avons appris que les salons de coiffure pouvaient ouvrir leur porte, notre syndicat national a naturellement pensé que les instituts de beauté étaient également concernés. C’est l’incompréhension, l’injustice et l’incohérence totale. D’autant plus que nous appliquons toutes les mesures sanitaires. Les clients sont reçus individuellement, nous n’avons jamais eu de cluster, et toutes les mesures d’hygiène et de distanciation sont appliquées. »

Une situation d’autant plus frustrante que le carnet de commande est généreusement rempli et la clientèle au rendez-vous. « Les clients ont plus de temps libre en cette période, ils souhaitent prendre soin d’eux et de leur bien-être mental dans une période soumise a beaucoup d’anxiété. On nous a tout simplement coupé l’herbe sous le pied », explique Stéphanie, également gérante de L’Instant Boudoir au Pontet. La profession affiche une profonde incompréhension, notamment portée par Cécile Michel, présidente du Mouvement des esthéticiennes de France (MEF), rapidement devenue porte-parole. Sa tribune publiée sur son compte Facebook souligne une incompréhension totale en France ou « le marché représente 288 465 entreprises, plus de 540 000 emplois, plus de 37 milliards d’euros de chiffre d’affaires. »

Rappelons que l’artisanat en région Paca représentait 350 000 actifs au 1er janvier 2020, 34% des activités portait sur les services. Dans le Vaucluse, les entreprises artisanales représentaient 39% des entreprises employeuses et le département comptait 18 015 salariés en 2019.  Source : Chambre des métiers et de l’artisanat Paca.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

Orano propose près de 200 postes aux candidats à l’alternance de la région sud-est, des postes à dominante technique, notamment dans les métiers de la production, de la chimie, de la maintenance industrielle, de l’environnement ou de la sûreté.

Le périmètre sud-est représente 5 500 emplois et regroupe à la fois la plateforme du Tricastin et les implantations Melox du côté de Bagnols-sur-Cèze. Plus au sud, Narbonne et Saint-Paul-les-Durance sont inclus dans le périmètre. Après l’opération digitale de recrutement menée en 2020 par Orano DS (Démantèlement et services) proposant 60 postes dans des sites nucléaires, la dynamique de recrutement se poursuit malgré le contexte sanitaire exceptionnel.

Dans une logique de formation et d’insertion, Orano a adopté le modèle de l’alternance comme « meilleure option d’intégration sur le marché du travail pour un futur diplômé ». Les offres (https://www.orano.group/fr/carrieres) permettent aux jeunes du territoire d’acquérir des compétences et de mettre en pratique leurs connaissances.

Avec 301 alternants présents en 2020 sur les différents sites Orano de la région Sud-est de la France, cette population représente un véritable vivier de recrutement. Chaque campagne de recrutement annuelle assure le renouvellement d’environ deux tiers des alternants. « L’alternance est un véritable tremplin vers l’emploi pour nos jeunes du territoire. Il s’agit d’une réelle expérience professionnelle valorisable au sein d’une filière industrielle qui recrute, précise Bruno Girard, directeur emploi et formation Orano pour le Sud-est de la France. A travers ces recrutements, Orano propose aux jeunes de donner du sens à leur carrière en relevant le défi et en contribuant à imaginer et produire aujourd’hui l’énergie bas carbone de demain. »


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

La plateforme 1jeune1solution.gouv.fr, lancée en novembre 2020 par le Gouvernement et déployée par Wizbii, propose environ 14 000 offres d’emploi, stages et alternances en Provence-Alpes-Côte d’Azur. 

La plateforme s’adresse à tous les jeunes, de 16 à 30 ans, quel que soit leur niveau de diplôme ou de qualification, et propose des solutions d’emploi, de formation et d’accompagnement. Les employeurs peuvent également y déposer des offres d’emploi et consulter les mesures leur permettant de recruter plus facilement.  

60 000 jeunes ont utilisé la plateforme en Paca

60% des offres concernent des CDI, le reste se répartissant entre CDD, missions d’intérim, emplois saisonniers et contrats d’alternance. Depuis peu, la plateforme propose également des stages : plus de 500 offres sont disponibles en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Toujours dans la région, lors de ces cinq derniers mois, 60 000 jeunes ont utilisé la plateforme. Parmi les secteurs qui recrutent le plus : le commerce, la santé et les services à la personne, le bâtiment, le transport et la logistique, ou encore l’installation et la maintenance.

La plateforme propose également des événements pour accompagner les jeunes dans leur avenir professionnel : ateliers de découverte de métiers, formations, portes ouvertes, etc. Plus de 200 événements sont actuellement recensés dans toute la région en avril et mai. Au niveau national, plus de 220 000 intentions d’embauche ont été formulées par les employeurs et 3 700 entreprises engagées ont rejoint la mobilisation.

Wizbii mise sur la jeunesse

Créée en 2010 par Benjamin Ducousso, Romain Gentil et Emeric Wasson, Wizbii se place du côté des étudiants et des jeunes actifs de tous horizons. Avec 6 millions de membres, la plateforme accompagne sur tous les aspects de l’entrée dans la vie active : emploi, finance, santé et mobilité. Etape incontournable et quelque fois onéreuse de la vie d’une jeune, Wizbii Drive lance un grand challenge du 6 avril au 6 mai et offre à un de ses membres le financement de 20h de conduite, dans le cadre d’un jeu concours.

Également : le ‘plan 10 000 jeunes’

Par ailleurs, le ministère de l’Intérieur s’engage grâce au ‘plan 10000 jeunes’ à offrir plus de 10 000 stages et contrats d’apprentissage, à des collégiens de troisième, lycéens, apprentis et aux étudiants jusqu’à 26 ans, sur l’année scolaire 2021-2022. Les opportunités portent sur les métiers du ministère de l’Intérieur : sécurité (services de police, casernes de gendarmerie, unités de sécurité civile), finance, gestion, restauration, mécanique, logistique. Pour connaitre les modalités et les offres dans le Vaucluse : plan10000@vaucluse.gouv.fr


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

D’ici fin avril, 820 postes sont à pourvoir dans les métiers de la santé avec Adecco Médical, filiale du Groupe Adecco, spécialisée dans la gestion des ressources humaines et le recrutement des professionnels de santé. 320 postes en CDI et CDD, 30 postes en CDI intérimaire ainsi que 470 postes en intérim sont à pourvoir en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

Les postes sont à pourvoir au sein d’établissements publics ou privés sur différents métiers du secteur médical et paramédical (h/f): aide-soignants, infirmiers, infirmiers de bloc opératoire, infirmiers anesthésistes, techniciens de laboratoire, etc. La période nécessitant de nombreux remplacements (vacances, maladie) et le contexte sanitaire accentue les besoins en personnels. Pour les candidats qui souhaitent opter pour des postes en intérim ou en CDI intérimaire (Contrat à durée indéterminée), Adecco Medical peut les accompagner à affiner leur trajectoire professionnelle et à définir leurs éventuels besoins en formation. Par ailleurs, 370 recrutements de soignants sont également à pourvoir en Occitanie, 140 postes en CDI et CDD (Contrat à durée déterminée) , 10 postes en CDI Intérimaire ainsi que 220 postes en intérim.

Les candidats intéressés peuvent postuler sur www.adecco.fr/medical. Ils peuvent également s’adresser à Aloha Medical, le chatbot d’Adecco Medical qui a pour mission de conseiller, d’aider et de renseigner les candidats et intérimaires 24h/7j, disponible sur Facebook Messenger : facebook.com/AdeccoMedicalFR

A propos d’Adecco Médical

Acteur de la gestion des ressources humaines dans la Santé, Adecco Medical dispose en France de 95 agences spécialisées et permet chaque année à 25 000 professionnels de trouver un emploi en CDI, CDD, intérim ou CDI intérimaire dans les métiers médicaux, paramédicaux, de la pharmacie et de la recherche. Adecco Medical apporte son expertise à plus de 10 000 établissements clients dans les secteurs privés et publics, du sanitaire, de la gériatrie, du médico-social, des soins techniques, de la transfusion, de la santé au travail, de l’hospitalisation à domicile et de l’industrie du médicament.


Crédit agricole Alpes Provence : un ‘job dating’ pour l’emploi des jeunes

La pandémie de Covid-19 et les restrictions qui en découlent ont fortement impacté l’économie et de nombreux pays ont connu une récession historique en 2020. Les mesures mises en place par plusieurs États européens, comme les dispositifs de chômage partiel, ont permis de limiter les dégâts et d’éviter pour le moment un grand nombre de faillites et de licenciements. Mais alors que le niveau d’endettement des entreprises atteint actuellement des sommets, les pleines conséquences de la crise risquent de se faire sentir au cours de l’année 2021 comme l’estiment les experts.

D’après les dernières prévisions du FMI, le taux de chômage devrait augmenter cette année en France, pour atteindre 9,1 %, contre 8,2 % en 2020. D’autres pays européens devraient subir le même sort, puisqu’une hausse moyenne de près d’un point est attendue pour l’ensemble de la zone euro (de 7,9 % à 8,7 %). Déjà affectée par le chômage avant la crise, c’est l’Europe du Sud qui sera la plus touchée en 2021 : plus de 16 % de chômage sont prévus en Grèce et en Espagne, et plus de 10 % en Italie. Au nord du continent, la Suède et la Finlande devraient elles aussi faire partie des plus affectés avec des taux approchant 9 %.

Sur le même sujet : retrouvez notre état des lieux du chômage en Europe avant la crise (T4 2019).

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Tristan Gaudiaut pour Statista

https://echodumardi.com/tag/emploi/page/20/   1/1