24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

L’association carpentrassienne ‘Un par un‘ ne cesse d’élargir ses réseaux au sein du tissu local. Dédiée à l’accompagnement des jeunes dans leur inclusion sociale et professionnelle, les membres du conseil d’administration apportent une diversité de compétences par leur appartenance à des réseaux d’entreprises.

« Nous avons démarré en février 2021 en plein Covid, dix jeunes ont déjà été intégrés en entreprise de manière pérenne. Un onzième est en cours chez Relai vert à Carpentras, explique Pierre Lauret, directeur de l’association ‘Un par un’. Nous sommes également en discussion avec Atelier bios pour mettre en place un contrat d’apprentissage. Notre volonté est de donner la possibilité à des personnes pas forcement qualifiées de retrouver le chemin de l’emploi. »

Ayant grandi dans une famille nombreuse, ce dernier a toujours été sensibilisé à l’accompagnement des personnes. Il dédiera une grande partie de sa carrière à la formation professionnelle. « Etre utile, c’est gratifiant. J’ai eu une opportunité de rencontre avec le président Henri Lachmann qui a permis de mettre en relation les jeunes du Vaucluse avec un large réseau national d’entreprises », explique-t-il.

Henri Lachmann : au service de l’inclusion

De l’avis d’Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric : “les entreprises peuvent et doivent changer la donne. Il s’agit à la fois d’une responsabilité nouvelle et d’une formidable opportunité pour l’inclusion des jeunes dans notre société”. Des propos illustrés par Pierre Lauret, « notre président a toujours œuvré pour les jeunes durant sa carrière, il a cofondé le réseau Télémaque pour l’égalité des chances et contribua au programme Sport dans la ville depuis 1996. Son rôle ? Il a financé l’association à son démarrage et apporte une aide fondamentale à travers son portefeuilles relationnel au niveau national. Nous sommes ainsi complémentaires si l’on combine ma prospection de l’environnement local et de ses acteurs. »

Un écosystème qui favorise les passerelles

Les politiques et les moyens mis en œuvre ne suffisent plus à elles seules à enrayer la progression des inégalités constatées. La ferme volonté de Un par un, est de contribuer à l’inclusion des jeunes. Il s’agit de créer un écosystème favorisant les passerelles innovantes entre les jeunes et les entreprises sur les territoires trop souvent hors projecteurs. « L’entreprise doit changer la donne en devenant un acteur majeur dans l’inclusion des jeunes : c’est dans cette perspective que Un par Un mobilisera les entreprises par le biais notamment du parrainage comme passerelle déterminante de l’insertion professionnelle. Le parrainage n’est pas une finalité mais un outil d’engagement au service de l’inclusion », précise Pierre Lauret.

Ces jeunes ‘invisibles’

« Dans un premier temps, nous répertorions les jeunes qui ne sont pas inscrits dans le schéma classique, les fameux ‘invisibles’ inconnus des fichiers Pôle emploi, mais tout de même inscrits au sein d’une association culturelle. Nous mettons en place des solutions alternatives pour les mettre en lien avec cet écosystème et les intégrer par la suite en entreprise », explique Pierre Lauret. L’accompagnement porte également sur les jeunes avec peu de diplômes, issus des quartiers difficiles, dans l »’autocensure » et qui ont besoin d’un accompagnement.

Pour référencer ces jeunes, l’association travaille en collaboration avec des structures locales sociales, culturelles, sportives mais également des lycées professionnels. L’association a par ailleurs été retenue sur le projet Pric, Projet régional d’investissement de compétence. Il s’agit d’un programme national défini par l’Etat qui répond à un besoin de qualification au profit de jeunes sortis du système scolaire sans qualification et des personnes à la recherche d’emploi disposant d’un niveau de qualification inférieur ou égal au baccalauréat. Etant considéré comme association partenaire de ce projet, Un par un a pu mettre en œuvre un programme d’accompagnement des jeunes vers l’emploi en partenariat avec la Mission locale, le Pôle Emploi et la Dirrecte.

Un parrain, une marraine en entreprise

Comment sont sélectionnées les entreprises ? En fonction de leurs besoins de recrutement et de leur volonté d’intégrer dans leurs rangs des jeunes qui n’ont pas toujours eu un parcours facile mais souhaitent trouver leur voie. Un parrain bénévole au sein de l’entreprise a un pouvoir décisif pour redonner confiance. C’est celui qui épaule, motive et botte le derrière si besoin. Le parrain aide au CV, intègre le jeune dans des événements d’entreprise, lui donne des conseils et le présente au réseau. « Nous souhaitons que le jeune reste dans l’entreprise de manière définitive, mais si ce n’est pas le cas, nous profitons de ce tremplin pour le réorienter vers une autre structure. Dans tous les cas, une solution est trouvée », rassure Pierre Lauret.

« Nous avons choisi le lien direct dans l’entreprise, le jeune va à la rencontre du parrain une fois par semaine et fait un bilan. Nous avons mis en place un outil d’auto-évaluation des compétences acquises, il permet de construire des supports utiles au parrain d’entreprise pour travailler. La moindre expérience est valorisée », explique-t-il. Huit semaines de formation permettent aux jeunes de révéler leur potentiel et d’acquérir les compétences clés et la posture professionnelle attendue en entreprise. Les entreprises peuvent ainsi tester les recrues et mettre en œuvre des formations sur-mesure en fonction des besoins.

Trois personnes autour du même jeune

Deux ou trois personnes gravitent en permanence autour du jeune: un membre de l’association ‘Un par un’, le parrain en entreprise et le référent au sein de la structure d’accompagnement (Pole emploi, Mission locale, association, etc.). « Il signe une convention d’engagement, on l’accompagne avec un atelier de confiance, on le suit jusqu’à son insertion, jusqu’à ce qu’il signe un contrat définitif et on le laisse naviguer avec son supérieur hiérarchique », explique Pierre Lauret. Et d’insister : « notre politique c’est d’être au service des entreprises pour trouver des bons profils. Le but est de permettre aux jeunes d’avoir accès à des emplois auxquels ils n’auraient pas pu prétendre sans notre intervention. » ‘Un par un’ contribue au maillage des institutions sur un projet global.

Leroy Merlin, Ducros, Enedis, Décathlon, Norauto

« Il y a une vraie demande de la part des employés qui se sentent utiles lorsqu’ils sont intégrés au projet. La plupart des entreprises, que ce soit des grandes structures ou PME, témoignent d’un engagement sociétal certain. Leroy Merlin Le Pontet (8 parrainages) et Ducros McCormick étaient les premiers à participer à ce projet, rapidement suivis par Décathlon Le Pontet et Norauto. Aujourd’hui, nous avons le feu vert de Boulanger Le Pontet. Cap Provence nous ouvre les portes de ses 82 PME adhérentes, le but du jeu est de développer le réseau afin de promouvoir l’insertion », se réjouit-il.

Pierre Lauret est également membre de l’association Carpensud, avec qui un partenariat est sur le feu afin d’intégrer d’avantages d’entreprises locales ouvertes sur les jeunes de Carpentras. « Une jeune intègre un BTS manageur chez Enedis, un deuxième a trouvé un CDI dans un glacier il y a deux semaines. Je travaille également avec la Croix rouge d’Avignon« , précise Pierre Lauret.

Maillage avec les institutions

« Du lycée professionnel aux organismes de formation, en passant par les réseaux d’entreprises et les associations locales, le dirigeant tire constamment la bonne ficelle pour trouver la bonne solution. Un par Un est en lien directe avec l’Ifria et le Greta pour la formation. « Nous avons un panel de jeunes qui ont besoin d’être accompagnés et orientés vers l’emploi. Vous avez envie de vous investir auprès d’eux ? Nous vous attendons ! », ponctue Pierre Lauret.

Informations pratiques : structureunparun@gmail.com, 06 58 78 38 70, Pierre Lauret, association ‘Un par un’ : 310 chemin de l’hermitage, 84200 Carpentras.


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

La Mission Locale Jeunes Grand Avignon organise la 4e édition du ‘Café de l’alternance’. L’occasion pour l’association spécialisée dans l’insertion professionnelle et sociale des 16-25 ans de proposer 400 offres d’emploi en contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation provenant de 19 CFA (Centre formation des apprentis) et d’organismes de formation du territoire et des départements limitrophes.

Durant ce ‘Café de l’alternance’, des entretiens de recrutement se succèderont tout au long de la journée dans les locaux de la Mission Locale

Créée en 1982, la mission locale jeunes du Grand Avignon accueille plus de 5 000 jeunes par an. Elle tient des permanences dans 5 quartiers différents d’Avignon, 6 communes avoisinantes (Pontet, Sorgues, Vedène, Bedarrides, Entraigues et Morières) et 1 au sein du Centre pénitentiaire du Pontet.

Maëlys Lerousseau

Jeudi 24 juin. 9h à 11h et 13h30 à 17h. Locaux de la Mission Locale. 2, place Alexandre Farnèse. Immeuble le Vinci. Avignon. 04 90 81 13 00.

Renseignement et inscription : samirapastor@missionlocale-avignon.asso.fr . nchabane@missionlocale-avignon.asso.fr . aureliedelmas@missionlocale-avignon.asso.fr


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

Proclamée le 23 juin par les Nations Unies, la Journée mondiale pour la fonction publique est l’occasion de mettre en valeur l’importance des administrations publiques au service de l’intérêt général et leur contribution aux processus de développement, à une époque où le monde fait face à de nombreux défis sociaux, économiques et environnementaux.

Pour l’occasion, nous nous sommes penchés sur le poids des emplois publics au sein des économies à haut revenu avec les données de l’OCDE. Comme le révèle notre graphique, un peu plus d’un employé français sur cinq (21,5 %) travaille dans le secteur public, ce qui représente autour de 5,5 millions de personnes. Si ce chiffre est supérieur à la moyenne de l’OCDE, qui s’établit à près de 18 %, la France n’est toutefois pas le pays qui compte le plus d’agents publics en proportion. Les chefs de file en la matière sont les pays scandinaves. En Norvège, près d’un employé sur trois (30,7 %) travaille dans la fonction publique et cette part est également supérieure à 25 % en Suède et au Danemark.

À l’opposé de l’échelle, l’Allemagne fait partie des pays de l’OCDE où les emplois dans le secteur public sont les plus rares, puisqu’ils ne représentent qu’un peu plus de 10 % de l’emploi total. Mais la proportion est encore plus faible dans les économies asiatiques. En Corée du Sud par exemple, les salariés du public ne représentent que 7,8 % des employés du pays.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

Combien gagnez-vous par rapport à la moyenne des Français ? La dernière étude de l’Insee publiée cette semaine dévoile la distribution des salaires dans l’Hexagone et permet de le découvrir. En 2019, le salaire moyen dans le secteur privé s’élevait à 2 424 € nets mensuels. Mais ce chiffre est tiré à la hausse par les très gros salaires puisque le salaire net médian est inférieur de 20 % au salaire moyen, traduisant une plus forte concentration des revenus dans le bas de la distribution, comme le note l’institut. La médiane se situe ainsi à 1 940 € nets mensuels, ce qui signifie que la moitié des salariés français gagnent moins que cette somme et que l’autre moitié se situe au-dessus.

Basé sur les données de cette étude, notre graphique donne un aperçu détaillé de la répartition des salaires dans le secteur privé et les entreprises publiques (en équivalent temps plein). On constate ainsi que 22 % des salariés perçoivent moins de 1 500 € nets par mois et que près de 31 % se situent entre 1 500 € et 2 000 € nets. Concernant les tranches suivantes, environ 28 % touchent de 2 000 € à 3 000 € et ce chiffre descend à 10 % pour les salaires compris entre 3 000 € et 4 000 €. Enfin, les revenus supérieurs à 4 000 € nets mensuels ne concernent que 9 % des salariés français (en EQTP).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs Altares/GSC, 394 chefs d’entreprises Vauclusiens ont perdu leur emploi en 2020. Un chiffre en recul par rapport à 2019 (-25%) où ce nombre s’élevait à 499 dans le département.
En tout, l’an dernier 3 540 chefs d’entreprise (contre 4 843 l’année précédente) ont perdu leur emploi en région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Les départements des Alpes-Maritimes (1 034 dirigeants) et des Bouches-du-Rhône (1 307 dirigeants) représentent à eux seuls les trois quarts des pertes d’emploi de la région. Le département des Alpes-de-Haute-Provence connaît le plus fort recul avec 43 chefs d’entreprise qui ont perdu leur activité professionnelle en 2020 contre 122 en 2019 (-65,6%).
Comme en Vaucluse, la baisse des pertes d’emploi des dirigeants est également supérieure à 25% dans le Var (-40,5%) et les Hautes-Alpes (-25,2%). Seul le département des Alpes-Maritimes affiche une baisse inférieure au seuil des 20% (-18,9%).

Eviter les situations dramatiques
« Malgré un recul historique, ils sont   3 540 femmes et hommes chefs d’entreprise à se retrouver sans activité en région Sud Paca, un niveau dramatiquement élevé, regrette Anthony Streicher, président de l’association GSC qui depuis 40 ans se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi. Ces chiffres doivent nous inciter à la plus grande prudence car l’arrêt progressif des aides va provoquer un véritable raz-de-marée. Notre devoir est de sauver et de protéger tous les entrepreneurs, qui créent de la richesse et des emplois dans nos territoires. J’ai demandé à ce que le plafond et les conditions d’accès à l’Allocation des travailleurs indépendants (ATI) soient temporairement modifiés jusqu’au 30 juin 2022. Mais, au-delà de la situation d’urgence, tous les dirigeants doivent avoir connaissance des filets de sécurité existants et des moyens de protéger leur famille, leurs revenus quand tout s’écroule. C’est notre responsabilité collective de les informer pour éviter des situations dramatiques. »

Quels sont les secteurs concernés en Paca ?
Les secteurs de la construction, du commerce et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois près de deux tiers des pertes d’emploi de la région Sud – Provence Alpes Côte d’Azur (voir graphique ci-dessous).

Le secteur de la construction représente à lui seul 892 des chefs d’entreprises impactés en PACA, très largement porté par l’activité bâtiment (800 dirigeants). Malgré une baisse de 25 %, 770 entrepreneurs œuvrant dans le secteur du commerce ont été placés en liquidation judiciaires.
Les aides de l’Etat envers les secteurs à l’arrêt pendant la crise, ont permis de contenir temporairement la perte d’emploi des dirigeants. Dans le domaine de l’hébergement, restauration et débit de boissons, 634 femmes et hommes se sont retrouvés au chômage en 2020. Le secteur de la restauration concentre à lui seul plus des trois-quarts des chefs d’entreprise impactés.
Les difficultés sont également présentes dans le domaine du service. 482 entrepreneurs de la région ont perdu leur emploi dans les services aux entreprises.


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

Le Codes (Centre départemental d’éducation pour la santé) 84 recrute son chargé de projet en promotion de la santé et de la prévention des TCAF (Troubles causés par l’alcoolisation fœtale). Le poste est à pourvoir en septembre 2021.

La personne sera chargée d’animer le collectif de travail départemental sur la prévention des TCAF. le groupe pluri disciplinaire qui se réunit depuis plus d’un an, est composé de structures hospitalières comme les Centres hospitaliers d’Avignon et de Montfavet, de la PMI (Protection maternelle infantile) du Conseil départemental, de l’association nationale ‘Vivre avec le SAF’, de structures d’addictologie, de sages-femmes libérales.

Sensibiliser les futures mères

Il sera question de sensibiliser les femmes du département sur les risques présentés par la consommation d’alcool pendant la grossesse avec la mise en place d’un programme expérimental à tester et à évaluer auprès des futures mamans, dans les pharmacies et lors de la délivrance des tests de grossesse.

Repérer les besoins

De repérer les consommations d’alcool chez la femme enceinte avec la finalisation, l’évaluation et la diffusion d’un outil d’aide à la consultation pour les soignants, en lien en particulier avec l’équipe hospitalière qui l’a initié.

Mettre en place le dispositif

De mettre en place des séances d’information et de sensibilisation sur les TCAF, notamment pour les professionnels travaillant auprès des enfants confiés par l’Aide sociale à l’enfance. De participer à la vie globale et aux activités de l’association avec l’organisation de colloques, travail en équipe, élaboration d’outils pédagogiques, de participer à des démarches de recherche et d’innovation… et en particulier, aux actions socles du Codes de Vaucluse lors de la formation des professionnels des secteurs sanitaires, de l’éducation, du social, sur différents sujets : compétences psycho sociales, méthodes et outils d’éducation pour la santé, thématiques de santé … 

Accompagnement des professionnels

Le conseil en méthodologie de projet et accompagnement des professionnels du département dans leurs projets de santé se fera par des temps individuels ou collectifs, au gré de conseil ponctuel et d’accompagnements au long cours. Toutes les informations sont disponibles ici.

Les infos pratiques

Vous êtes intéressés ? Envoyer curriculum-vitae et lettre de motivation avant le 25 juin 2021 à : Monsieur le Directeur CoDES de Vaucluse – Comité départemental d’éducation pour la santé 57, avenue Pierre Sémard- 84000 Avignon ou auprès : alain.douiller@codes84.fr
M.H.


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

60 postes sont à pourvoir dans les agences Apef dédiées au service à la personne, avec notamment des recrutements dans les agences suivantes : Avignon, Cavaillon, Le Pontet, Orange et Arles.

Avec le printemps, les jardiniers pouvant effectuer quelques petits travaux de bricolage sont particulièrement plébiscités. Auxiliaires de vie, assistants ménagers et gardes d’enfants sont eux recherchés tout au long de l’année. Jusqu’à parfois 15 emplois par agence attendent d’être pourvus pour pouvoir répondre à la demande toujours plus importante des bénéficiaires, qui peuvent être des personnes en perte d’autonomie ayant besoin d’un soutien ou des foyers cherchant plus de
confort dans leur quotidien. Les recrutements concernent autant le terrain que les services du siège près de Montpellier, où des candidats en ressources humaines, informatique et comptabilité sont recherchés.

Pour ce qui est des postulants, diplômés ou non, avec de l’expérience ou non, ils peuvent être aussi variés que les postes proposés. L’étudiant cherchant un job d’été ou un travail en complément de ses études, le senior souhaitant cumuler emploi et retraite, le salarié en reconversion ou le candidat souhaitant faire carrière dans les services à la personne, la diversité des profils est la bienvenue.

“On propose des formations diplômantes et professionnalisantes, la possibilité de travailler près de chez soi ou dans une région de son choix avec la centaine d’agences réparties sur toute la France”, explique Maty Mboup, responsable des ressources humaines chez Apef.

Pour postuler : www.apefrecrute.fr

L.M


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

La mairie du Pontet recrute des agents d’entretien pour l’été, à temps partiel (70%), un agent du 12 au 31 juillet 2021 et cinq agents du 1er au 31 août 2021. Leur principale fonction est le nettoyage, la désinfection et l’entretien des bâtiments communaux.

Parmi les qualités recherchées : savoir travailler en équipe, être autonome et réactif, avoir une bonne condition physique, respecter les directives de travail et faire preuve de ponctualité. Horaires de travail : de 6h à 11h

Un curriculum vitæ et une lettre de motivation sont à envoyer au maire, au plus tard le 4 juin 2021 par voie postale ou par mail aux adresses indiquées ci-dessous, ou encore à déposer à l’accueil de l’hôtel de ville.

Mairie du Pontet – 13 rue de l’Hôtel de ville – BP 20198 – 84134 Le Pontet, Cedex. Mail : cabinet-maire@mairie-lepontet.fr.

L.M


Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider electric, intègre les jeunes du Vaucluse en entreprise

La dernière enquête ‘Besoins en main d’œuvre‘ menée par Pôle emploi montre qu’après une année 2020 marquée par une baisse des recrutements, l’amélioration de la situation sanitaire pourrait mener à une reprise des embauches pour la deuxième partie de l’année 2021. Interrogées en fin 2020, les entreprises anticipent davantage de projets non saisonniers.

Les services se hissent en tête

Le secteur des services aux particuliers demeure le premier recruteur en Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec 67 600 projets annoncés, représentant ainsi 27% des intentions d’embauche en 2021. Les besoins en main d’œuvre dans les services aux entreprises s’affichent en 2021 à 57 300 projets, soit 22% des intentions d’embauche. L’hébergement restauration, secteur phare du tissu économique régional, concentre 18% des intentions, soit 45 600 projets. Les commerçants (surtout de détail) arrivent ensuite avec un nombre de projets de recrutement avoisinant les 31 300, soit 12% du potentiel régional.

Le secteur de l’agriculture et des industries agroalimentaires (IAA) réunit 11% des intentions d’embauche (environ 28 000 unités). 83% des emplois potentiels sont saisonniers. La construction représente 7% des projets de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (18 900 projets). L’industrie prévoit 7 400 recrutements potentiels (3% des projets de la région).

Hôtellerie restauration

Parmi les métiers les plus recherchés figurent des métiers à caractère saisonnier, comme les métiers agricoles (agriculteurs, ouvriers agricoles avec 10 100 projets et viticulteurs, arboriculteurs et cueilleurs avec 9 900 projets), ainsi que plusieurs métiers de l’hôtellerie-restauration. Même si ce secteur anticipe moins de recrutements en 2021 qu’en 2019, il prévoit de recruter de nombreuses personnes : serveurs avec 15 800 projets (+300 par rapport à 2019) et employés polyvalents de cuisine avec 11 900 projets (-700).

Santé et action sociale

Le secteur d’activité des services aux particuliers est le premier secteur contributeur de l’économie, avec 27% des intentions d’embauche en 2021. Les métiers de la santé humaine et action sociale, étroitement liés à ce secteur d’activité, sont donc très représentés dans le top 15 des métiers les plus recherchés. Les aides à domicile et aides ménagères (avec 9 100 projets) et aides-soignants (7 700 projets) sont respectivement en 6e et 9e position des intentions d’embauche.

Certains métiers voient leurs intentions d’embauche augmenter significativement lors des cinq dernières vagues de l’enquête. C’est le cas des agents d’entretien et de locaux (+4 400), des aides-soignants (+3 700), des ouvriers non qualifiés de l’emballage et manutentionnaires (+2 900) et des aides à domicile et aides ménagères (+2 800).

Méthodologie d’enquête

En octobre, novembre et décembre 2020, plus de 160 000 entreprises de la région ont été interrogées concernant leurs intentions d’embauche pour l’année 2021. L’analyse des 36 400 réponses permet de recenser les métiers les plus recherchés, ainsi que les principales difficultés de recrutement rencontrées par les employeurs. 29% des établissements ayant répondu à l’enquête envisagent de recruter en 2021.

L.M

https://echodumardi.com/tag/emploi/page/20/   1/1