1 avril 2025 |

Ecrit par le 1 avril 2025

Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

La 2nde édition du Salon de l’économie et de l’emploi, organisée par la Communauté Territoriale Sud Luberon (Cotelub), aura lieu le mercredi 2 avril à Cadenet. Opportunités d’emploi, conférences, débats et ateliers autour de l’emploi seront au programme.

Le mercredi 2 avril, de nombreuses entreprises seront présentes au Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub et représenteront un large panel de secteurs d’activité comme le nucléaire, le tourisme, l’hôtellerie-restauration, l’industrie, l’armée, le photovoltaïque, la viticulture, la transmission florale, et bien d’autres.

En plus de rencontrer les employeurs, il sera possible de perfectionner son CV grâce à divers ateliers tels que des séances photos professionnelles comme en studio réalisées par un photographe professionnel, une aide la rédaction de votre CV et simulation d’entretiens d’embauche, ainsi qu’un atelier dédié réseaux sociaux professionnels. Il y aura également un atelier d’aide à la création ou reprise d’entreprise.

Deux conférences

La journée sera aussi rythmée par deux temps forts. Une première conférence à 11h30 sur le thème ‘Quelles perspectives d’emploi dans le Luberon impulsées par la révolution énergétique ?’ présentée par Xavier Michoux, référent de l’Université des Métiers du Nucléaire, avec la participation de Carole Garabedian, directrice d’agence France Travail, Nataly Chevrier, Consultante entreprise de l’APEC, Joel Perez, directeur de la Mission Locale du Luberon, Robert Tchobdrenovitch, président de Cotelub, et Tomas Redondo, directeur de la CCI de Vaucluse.

Puis il y aura une seconde conférence à 14h30 sur le thème ‘L’industrie de l’énergie : quelles opportunités à saisir pour le Sud Luberon et ses entreprises ?’ animée par Stéphane Dantec, responsable du service achat du CEA, avec Gilles Perilhou, directeur de l’AURAV, Joachim Queyras, directeur général adjoint risingSUD, Robert Tchobdrenovitch, président de Cotelub, Ludovic Fauvel, président du GEPA, et Bertrand Puaux, directeur commercial CSTI.

Mercredi 2 avril. De 9h30 à 16h30. Entrée libre. Salle Yves Montand. 5 Rue du 18 juin 1940. Cadenet.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Alors que les sujets diversité et inclusion semblent avoir été mis en pause en 2024, de nouvelles initiatives sont attendues pour les mois à venir et pourraient pousser les entreprises à s’engager davantage. Aude Boudaud, directrice au sein du cabinet de recrutement spécialisé Robert Walters, décrypte ces nouveaux bouleversements du marché de l’emploi dans cet article.

La directive européenne pour la transparence salariale doit être appliquée d’ici juin 2026 en France et risque de modifier les pratiques en entreprise. Accès aux rémunérations des salariés accomplissant un travail de même valeur, transparence des rémunérations avant l’embauche : les grilles de rémunération des entreprises risquent d’évoluer d’ici là. Une mesure qui ne fait pas l’unanimité entre entreprises et professionnels. En effet, si parmi ces derniers près 8 sur 10 la jugent positive, les entreprises sont plus mitigées et 45% craignent des répercussions négatives.

78% des cadres en faveur de la transparence salariale
Tensions entre les collaborateurs en cas de disparités, difficultés de négociations, complexité administrative, autant de raisons qui poussent les entreprises à appréhender cette mesure à venir. « Les grilles de rémunération sont déjà un sujet de réflexion permanente pour les DRH, en particulier depuis 2022, avec de fortes tensions entre le marché externe et les grilles internes. L’application de cette directive apporte une nouvelle complexité nécessitant de s’assurer de la cohérence des salaires selon le poids des différents postes, mais aussi de trouver les bons outils pour différencier la très bonne performance », explique Aude Boudaud, directrice au sein du cabinet Robert Walters.

Plus de 9 cadres sur 10 postuleraient davantage si le salaire était indiqué
Au-delà de l’équité salariale, cette directive pourrait représenter un levier face à la pénurie de talents et de compétences à laquelle font face de nombreuses entreprises. En effet, l’attraction des talents constitue l’un des 3 atouts principaux de cette mesure d’après 48% des professionnels ayant répondu à cette enquête*, après la réduction de l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes (68%) et l’amélioration de la confiance envers le management et l’entreprise (58%).

Ainsi, 93% des répondants à cette enquête seraient plus susceptibles de postuler à une offre d’emploi indiquant le salaire proposé, un avantage dont 82% des entreprises sont conscientes. D’ailleurs, certaines d’entre elles ont déjà sauté le pas et mis en place des dispositifs favorisant la transparence salariale, en alignant les rémunérations des collaborateurs possédant les mêmes missions par exemple.

« Les efforts des entreprises pour plus de transparence salariale et de parité sont appréciés par les candidats, même si cela peut rendre la négociation plus délicate, précise Aude Boudaud. Désormais, on ne jugera plus la rémunération en fonction d’un parcours ou d’une rémunération passée, mais plutôt en fonction d’une responsabilité de poste et de la capacité du candidat à assumer les missions qui lui sont proposées. »

Moins de 4 entreprises sur 10 prêtes pour l’application de la directive
Si les termes exacts encadrant cette directives sont encore à définir, les entreprises doivent anticiper cette mesure et mettre en place des actions concrètes : évaluer la cohérence des salaires, adapter leur politique de rémunération, établir une méthodologie d’évaluation des postes, déployer de nouveaux outils, sensibiliser des managers et équipes RH. « Lorsque nous évoquons la directive à venir avec nos clients, les avis divergent : non-sujet pour certains, réel casse-tête pour d’autres. Tout dépend du degré de maturité de l’entreprise. Attention quoi qu’il en soit à la communication vis-à-vis des collaborateurs, au risque de créer un climat social difficile s’ils ne comprennent pas le ‘grading’ de leur poste », alerte Aude Boudaud.

Prétention salariale : les hommes plus ‘efficaces’ que les femmes
L’impact de cette directive concerne également les professionnels : si jusqu’à aujourd’hui les candidats avaient tendance à réfléchir « rémunération actuelle + prétention salariale », il faudra désormais revoir le positionnement de la rémunération lors des recherches d’emploi. « Les femmes ne sont pas armées dans ce schéma où les entreprises et recruteurs ne peuvent plus demander la rémunération actuelle, mais uniquement les prétentions : elles ont tendance à répondre avec leur rémunération actuelle, tandis que les hommes ajoutent automatiquement leurs prétentions, note Aude Boudaud. Il y a donc un réel travail d’accompagnement, de préparation et de mentoring à apporter aux candidates ».

*Enquête flash menée auprès de plus de 120 entreprises et 350 professionnels au cours du mois de janvier 2025.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Pour la première année, le forum de l’alternance était organisé sur la ville de Carpentras par trois structures : le RPE (Réseau pour l’emploi), l’Education nationale et l’association d’entreprises Carpensud. L’objectif était de mettre en relation tous les centres de formation d’alternance sur ce territoire, les entreprises accueillantes, et les alternants postulants.

Pour la première fois depuis plusieurs années, le flux de nouveaux contrats d’alternance a baissé en 2024 dans le Vaucluse alors qu’il s’est à peu près maintenu en région Paca. Pour encourager le recours à l’alternance, Carpensud et les acteurs du Réseau pour l’Emploi du Comtat Venaissin (France Travail, Cap Emploi, Mission Locale) ont proposé d’organiser, avec l’appui de l’Éducation Nationale, le premier Printemps de l’alternance mi-mars au Cabaret à Carpentras.

« Cette manifestation a pour objectif de promouvoir l’alternance comme une stratégie gagnant-gagnant, pour les publics comme pour les employeurs du Comtat Venaissin. Pour les entreprises, l’alternance constitue souvent un tremplin idéal pour le recrutement d’un talent formé au métier, à la culture et au besoin en compétence de leur activité. Pour les jeunes, opter pour l’alternance permet de bénéficier d’une rémunération », explique Ludivine Amrhein, Directrice adjointe à la Mission locale de Carpentras.

« Nous sommes un centre de formation autour du transport et de la logistique avec différentes agences dans la région. Notre mission est de mettre en relation les alternants avec des entreprises du transport et de la logistique sur différents niveaux de qualification. Nous avons ainsi des gros besoins dans les transports de voyageurs ou de marchandises. Nous travaillons ainsi en collaboration étroite avec les cars Arnaud », complète Fabienne Jacq, chargée de développement au sein de l’organisme de formation Aftral.

L’association d’entreprises Carpensud a permis de contacter des entreprises du territoire. Crédit : Olivier Muselet.

Une matinée à la rencontre des sens de formation
La matinée a permis aux jeunes cherchant un contrat professionnel ou d’apprentissage de rencontrer tous les centres de formation du Comtat venaissin et ainsi de comprendre le fonctionnement de l’alternance (contrats, rythmes, diplômes ou qualifications visées). L’objectif de cette matinée était également de  faire découvrir aux jeunes la palette de formations disponibles. Des ateliers pratiques ont également permis une bonne préparation avec des conseils sur la réalisation du CV de la lettre de motivation. Des conseils autour de la ‘e-réputation’, du bon pitch de son profil étaient aussi proposés au jeune public.

Les entreprises présentes après-midi
Les entreprises sont arrivées en début d’après-midi avec des propositions d’alternance. Les entretiens ont eu lieu avec des jeunes ayant été solidement préparés dans la matinée. Les aides pour les entreprises de moins de 250 salariés ont certes baissé de 1000 € mais elle reste de 5000 € par an par alternant. Au total, pas moins de 40 entreprises et centres de formation du Comtat venaissin sont venus pour cette journée qui a permis aux entreprises de répondre à des postes vacants et aux jeunes d’accéder à une alternance souvent synonyme d’accès à l’emploi.

Le centre de formation Aftral propose ses services dans le domaine du transport et de logistique. Crédit : Olivier Muselet

Quelques entreprises présentes :
GEIQ Geste, Au jardin du midi, Atelier bio Provence, SARL Brassage, Peugeot groupe Chopard, Suez, Super U, Cars Arnaud, Toyota Carpentras, EURL JP Service…
Centres de formation participant :
Lycée Jean-Henri Fabre, Infep, Aftral, Centre de formation les Chênes, CAP Formation, Greta CFA,  Airo, les Compagnons du devoir, Chambre des métiers de l’artisanat d’Avignon, Académie Vaucluse Provence, Ecole de la deuxième chance, Campus Provence Ventoux, Lycée agricole la Ricarde.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Le Parc naturel régional du Luberon recherche des jeunes entre 18 et 26 ans pour intégrer sa Garde régionale forestière de juin à septembre. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au vendredi 4 avril.

Début mars, la Région Sud lançait un appel à candidature pour sa Garde régionale forestière. 250 postes étaient à pourvoir, dont certains en Luberon. Il reste seulement quelques jours pour postuler afin de pouvoir patrouiller tout l’été dans ce massif, informer les promeneurs et participer aux actions de prévention.

Le Parc naturel régional du Luberon recherche des jeunes entre 18 et 26 ans issus du territoire du Luberon et soucieux de la préservation des espaces naturels. Après une semaine de formation organisée par la Région Sud, les gardes régionaux forestiers iront au contact du public, sur les sites naturels les plus fréquentés comme les crêtes du Grand Luberon, la colline Saint-Jacques à Cavaillon, les gorges de Régalon à Cheval-Blanc, la forêt des cèdres du Petit Luberon, les gorges de Véroncle à Gordes, le Colorado provençal à Rustrel, le sentier des ocres et Ôkhra à Roussillon, le vallon de l’Aiguebrun à Buoux, les gorges d’Oppedette, et bien d’autres lieux emblématiques du Luberon qui offrent un cadre de travail idyllique.

En plus de sensibiliser le public sur les risques incendie et sur la réglementation en vigueur définie par arrêté préfectoral, les gardes devront veiller aux bons comportements des randonneurs vis-à-vis des cigarettes, des barbecues, des détritus, de la protection contre la chaleur, etc, mais aussi relayer l’information sur les éventuels départs de feux vers les services compétents (patrouilles ONF et CCFF, pompiers).

Pour postuler, cliquez ici.


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La Mission locale jeunes Grand Avignon invite les demandeurs d’emploi de 16 à 25 ans à une matinée d’informations pour leurs projets d’avenir ce mardi 25 mars à la CCI de Vaucluse.

La 3e édition de ce forum des solutions proposera les perspectives d’évolution et pistes d’accession à des opportunités diverses. Il s’agit aussi bien de la mobilité internationale que d’un parrainage ou d’un accompagnement à la création d’entreprise, entre autres solutions structurantes.

Les jeunes demandeurs peuvent ainsi rencontrer des professionnels et institutions qui les orienteront vers les dispositifs les plus en phase avec leurs aspirations. L’enjeu est de pouvoir développer des compétences et d’expérimenter des défis nouveaux, en bénéficiant des conseils des 9 partenaires de l’emploi*, de la formation et de la professionnalisation présents à ce forum.

Forum des solutions structurantes. Mardi 25 mars. De 9h à 12h. CCI de Vaucluse. 46, bis Cours Jean Jaurès. Avignon. Entrée gratuite (sans inscription).07 48 94 31 53

*France travail, Ecole de la 2e chance, Epide, Unis-Cité, Afpa, Ecole numérique des apprentissages, Ligue de l’enseignement, Service civique solidarité senior et la Mission locale jeunes Grand Avignon.

DR

Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Le Point Info Jeunes de Carpentras organise la 8e édition de son Forum de l’emploi le mardi 25 mars au Cabaret de Carpentras où employeurs et demandeurs d’emploi pourront se rencontrer dans une ambiance conviviale.

Les demandeurs d’emploi et les personnes qui souhaitent se reconvertir sont invités au Forum de l’emploi le mardi 25 mars où 49 exposants seront présents pour proposer des offres d’emploi et/ou accompagner les participants dans leurs projets professionnels.

Les domaines du bâtiment, des espaces verts, des loisirs, de l’agroalimentaire, de la santé, du transport, de la logistique, de la restauration, et bien d’autres seront représentés lors de cette journée. Certaines structures présentes proposeront également des conseils en orientation professionnelle et en création d’entreprise.

Divers ateliers seront proposés au public pour apprendre à bien faire son CV et découvrir les outils de recherche d’emploi. Les participants pourront aussi participer au workshop inversé, au Monopoly des inégalités, et à bien d’autres animations autour de l’emploi.

Mardi 25 mars. De 10h à 16h30. Cabaret de Carpentras. Parking Saint-Labre. Carpentras.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Cuisinier tennis - Adobe Firefly

La Mission locale du Comtat Venaissin, France Travail Carpentras et le Tennis-Padel Club de Carpentras organisent une matinée de rencontres sportives et professionnelles autour du secteur de l’hôtellerie-restauration ce jeudi 20 mars.

Ce jeudi, sport et emploi vont se mêler lors de la seconde édition de l’événement ‘Service gagnant !’. Coorganisé par la Mission locale du Comtat Venaissin, France Travail Carpentras et le Tennis-Padel Club de Carpentras, cet événement a pour objectif de répondre aux défis de recrutement dans le secteur de l’hôtellerie-restauration.

L’objectif est de faciliter le retour à l’emploi et les recrutements grâce à des activités sportives ludiques. Une cinquantaine de demandeurs d’emploi et d’employeurs sont attendus pour cette matinée qui s’articulera autour de quatre ateliers sportifs qui mettront en lumière les qualités et compétences, qui peuvent aussi s’appliquer au domaine de l’hôtellerie-restauration, des participants.

De 9h à 10h, les participants pourront participer à un jeu de précision, à des duels d’échanges, à l’atelier ‘volants brulants’ et à une tournante en équipe. Dès 10h30, place au jobdating, au début duquel l’anonymat est levée et demandeurs d’emploi et employeurs peuvent se rencontrer de manière plus formelle.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

La Région Sud relance son dispositif de Garde Régionale Forestière pour l’été 2025. 250 postes sont à pourvoir.

Comme chaque année, la Région Sud lance une campagne de recrutement pour sa Garde Régionale Forestière. Les postes à pourvoir sont destinés aux jeunes entre 18 et 25 ans qui devront patrouiller tout l’été dans les massifs, notamment ceux du Luberon et du Mont Ventoux, mais aussi informer les promeneurs et participer aux actions de prévention.

« Protéger notre patrimoine naturel est un devoir et une priorité absolue pour la Région Sud. »

Renaud Muselier, président de la Région Sud

Créée en 2018, la Garde Régionale Forestière s’inscrit dans le plan climat régional et dans le dispositif ‘Guerre du feu’, afin de préserver les milieux naturels et de prévenir les risques d’incendies. Tous les étés, les gardes régionaux forestiers jouent un rôle clé aux côtés côtés des pompiers, de l’Office national des forêts (ONF) et des acteurs locaux.

« Ce dispositif, que nous avons renforcé au fil des années, est une fierté régionale et un engagement concret pour l’environnement et la sécurité de nos massifs. »

Renaud Muselier, président de la Région Sud

Pour candidater et rejoindre la Garde Régionale Forestière, il suffit de se munir d’un CV, d’une lettre de motivation, et de prendre contact avec le Parc naturel régional ou la structure de son choix. Pour en savoir plus, cliquez ici.


Après le succès de la 1e édition, le Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub fait son retour

Le réseau Babychou Services, composé de 120 agences agréées spécialistes de la garde d’enfants à domicile, ouvre une nouvelle agence à Saint-Rémy-de-Provence qui va permettre de couvrir les secteurs de Saint-Rémy-de-Provence, Châteaurenard, l’Isle-sur-la-Sorgue, Cavaillon, Apt, et Lourmarin. Cinq postes sont à pourvoir.

Fondé en 1998 par une maman, Claire Lanneau, n’ayant pas trouvé la nounou qui lui convenait parfaitement pour ses enfants, Babychou Services débarque à Saint-Rémy-de-Provence. Cette nouvelle agence va couvrir les secteurs de Saint-Rémy-de-Provence, Châteaurenard, l’Isle-sur-la-Sorgue, Cavaillon, Apt, et Lourmarin. L’entreprise propose plusieurs offres de garde d’enfants : garde occasionnelle en journée, en soirée ou même la nuit, sortie de crèche ou d’école, garde simple ou partagée (en alternance aux domiciles des deux familles), garde d’un ou de plusieurs enfants lors d’un événement spécial ou pendant les vacances, garde sur le lieu de vacances (hôtel, location, etc).

« Babychou Services est une franchise bienveillante et ambitieuse, offrant un accompagnement structuré et humain, qu’il s’agisse de la relation avec les parents, les enfants et les baby-sitters. »

Edwige Grandi, responsable de l’agence de Saint Rémy-de-Provence

Ainsi, pour son agence de Saint-Rémy-de-Provence, qui est gérée par Edwige Grandi, Babychou Services est à la recherche de cinq baby-sitters et auxiliaires familiales pour des missions ponctuelles ou régulières, à temps partiel ou à temps complet. Ces postes peuvent convenir aux étudiants ou jeunes retraités, aux apprentis qui souhaitent se former et décrocher leur CAP petite enfance, et aux professionnels de la petite enfance.

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