23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

Bien qu’il n’existe officiellement pas de monnaie mondiale, le dollar américain représente toujours ce qui s’en rapproche le plus. Et si le billet vert n’est plus aussi important qu’à l’époque des accords de Bretton Woods, où le cours de la plupart des monnaies nationales était indexé sur celui du dollar, il demeure de nos jours la devise reine des réserves mondiales de change.

Selon la base de données COFER (Currency Composition of Official Foreign Exchange Reserves) du Fonds monétaire international, le dollar américain représentait environ 59 % des quelques 11 971 milliards de dollars de réserves mondiales de change allouées au troisième trimestre 2021. Mais sa part est en baisse constante au cours des dernières décennies. En 2000, la part du dollar US s’élevait par exemple à plus de 70 %.

Après le dollar américain, la devise la plus répandue est l’euro qui représente actuellement environ un cinquième des réserves mondiales de change. Suivent ensuite le yen japonais et la livre sterling (Royaume-Uni) qui constituent respectivement 5,8 % et 4,8 % du montant total des réserves allouées.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

Le groupe Koppert vient de lancer sa nouvelle image de marque. Le leader mondial néerlandais de la protection biologique des cultures et de la pollinisation naturelle, dont la filiale française est basée à Cavaillon, a donc décidé de changer le logo et l’identité visuelle utilisés depuis 30 ans. Cette nouvelle stratégie de marque ambitionne de renforcer la connexion entre l’entreprise et la nature.

La nature pour inspiration
« Notre mission consiste à contribuer, avec la nature pour partenaire, à la santé de l’homme et de l’environnement, explique Peter Maes, directeur de la stratégie de Koppert. C’est cette philosophie qui a fait de notre entreprise ce qu’elle est aujourd’hui : une organisation solide qui atteint ses objectifs tout en respectant des valeurs fondamentales. Notre nouvelle stratégie de marque reflète cette mission et ces valeurs fondamentales. Elle nous permettra de veiller à ce que les idéaux que nous défendons se reflètent avec cohérence dans notre façon de communiquer. La nature est notre source d’inspiration ; l’origine de toutes nos solutions. C’est pourquoi notre nouvelle identité est étroitement liée à la nature. »
Créé aux Pays-Bas en 1967 par Jan Koppert, le groupe est implanté à Cavaillon depuis 1984. En France, l’entreprise compte 55 collaborateurs dirigés par Gisèle Broquier et répartis au sein du siège cavare ainsi que la nouvelle plateforme logistique de Plan d’Orgon et les agences d’Agen, Nantes et Villeneuve l’archevêque dans l’Yonne. En tout, le groupe compte 1 700 personnes dans une trentaine de pays permettant de distribuer des solutions biologiques dans plus de 100 pays à travers le monde comme des ruches recyclées, la lutte contre les insectes en utilisant des prédateurs naturels ou bien encore des gammes de produits de biocontrôle pour la vigne.

L’ancien logo de Koppert imaginé il y a 30 ans maintenant.

Objectif : une agriculture 100% durable
Au départ, Koppert ne comptait que 4 employés. Au fil des années, cette société familiale créée pour faire face à un problème bien précis s’est toutefois transformée en un leader du marché mondial. Pour Martin Koppert, Directeur des activités, il était donc logique que sa stratégie de marque évolue aussi : « Pour rendre notre monde plus durable, nous devons imaginer des processus à la fois sûrs et sains. Notre objectif ultime est de mettre en place une agriculture 100% durable en travaillant main dans la main avec les producteurs et les agriculteurs. Notre nouvelle stratégie de marque nous permettra de véhiculer une image forte sur tous les marchés mondiaux et de confirmer l’inébranlable volonté qu’a Koppert de proposer une gamme complète de solutions biologiques pour un large éventail de cultures. »


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

Alors que l’on constate une reprise de l’économie ces derniers mois avec une croissance estimée en France par l’Insee à 6,7% en 2021 (après une chute de 8% en 2020), Pôle emploi lance ‘Le moment pro’ destiné aux entreprises souhaitant recruter. Dans cette vidéo de près de 13 minutes, accessible jusqu’au 4 février prochain, l’animateur de ce ‘talk-show’ présente une gamme de services aux entreprises proposée par Pôle emploi. Le tout rythmé par de nombreuses rubriques : ‘60 sec pour tout comprendre’, ‘L’interview expert’, ‘La minute Linkedin’, ‘L’interview plateau’, ‘FAQ’ (Foire aux questions), ‘Le Récap’…

7 066 emplois à pourvoir en Vaucluse
A ce jour, Pôle emploi propose 7 066 offres de postes en Vaucluse. Par ailleurs, en 2021 Pôle emploi a traité un peu plus de 36 000 offres d’emplois dans le département.
Des postes qui concernent principalement 6 secteurs d’activités avec des volumes assez similaires : les services à la personne, l’industrie et maintenance (avec une prédominance de l’industrie agro-alimentaire pour le Vaucluse), les transports et la logistique, le BTP, l’hôtellerie-cafés-restauration ainsi que le domaine du commerce.

Répartition par secteur d’activité des 36 000 offres d’emploi traitées par Pôle emploi dans le Vaucluse en 2021.

De nombreux outils pour recruter
En Vaucluse, 8 équipes de Pôle emploi sont dédiées aux besoins des entreprises du département. Deux se trouvent à Avignon alors que les autres sont implantées à Orange, Bollène, Carpentras, Apt, Pertuis et Cavaillon (voir contacts ci-dessous). Ces sites apportent de nombreux services et outils aux entreprises pour les aider à recruter (diagnostic, présélection des candidats, offres ciblées, méthode de recrutement par simulation…)

Contact avec les équipes ‘Entreprises’ de Pôle emploi Vaucluse
Avignon Réalpanier : recrutementavignonrealpanier@pole-emploi.net – 04 90 31 53 03
Avignon Joly Jean : recrutementavignonjolyjean@pole-emploi.net – 04 90 27 46 58
Orange : recrutementorange@pole-emploi.net – 04 32 81 85 31
Bollène : recrutementbollene@pole-emploi.net – 04 90 30 63 00
Carpentras : recrutementcarpentras@pole-emploi.net – 04 32 85 84 15
Apt : recrutementapt@pole-emploi.net – 04 90 74 79 42
Pertuis : recrutementpertuis@pole-emploi.net – 04 90 09 22 64
Cavaillon : recrutementcavaillon@pole-emploi.net – 04 32 50 02 84


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

À quoi faut-il s’attendre sur le plan économique pour l’année 2022 ? Alors que la situation sanitaire et l’arrivée du variant Omicron continuent de faire planer des incertitudes, les économistes s’inquiètent plus particulièrement de l’inflation, qui devrait rester à un niveau élevé au cours des prochains mois. Selon les projections, la hausse généralisée des prix, allant de l’énergie à l’alimentation en passant par les biens manufacturés, devrait stopper la progression du pouvoir d’achat en France cette année. « En 2022, les revalorisations salariales ne permettront probablement pas de compenser complètement au niveau individuel l’inflation », estime Emmanuel Jessua, analyste pour l’institut d’études économiques Rexecode.

Un sentiment partagé à l’échelle mondiale, comme le met en avant une enquête menée par Ipsos dans 33 pays. En moyenne, 75 % des personnes interrogées entre octobre et novembre 2021 pensent que les prix augmenteront plus vite que les salaires dans leur pays en 2022. Au-dessus de cette moyenne internationale, on retrouve plusieurs économies développées, comme la France (où 81 % des personnes interrogées partagent cette opinion), les États-Unis (78 %), le Royaume-Uni (79 %) et l’Allemagne (81 %). C’est en Russie que le pourcentage de personnes pessimistes quant à l’évolution du pouvoir d’achat est le plus élevé (88 %). À l’inverse, les Chinois et les Japonais semblent moins préoccupés par l’impact de la hausse des prix, seuls respectivement 46 % et 33 % estiment qu’ils augmenteront plus vite que les revenus dans leur pays cette année.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

Alors que la pandémie du Covid-19 est toujours en cours, la plupart des économies des pays de l’OCDE ont commencé à se remettre des effets de 2020. Selon les données collectées par The Economist, l’Irlande a été le pays ayant connu la plus forte hausse du PIB entre le quatrième trimestre 2019 et le troisième trimestre 2021, augmentant son produit intérieur brut de 22,3%. Impressionnant, certes, ce résultat est toutefois l’exception plutôt que la norme, les géants de la tech et de la pharmacie installés dans le pays ayant notamment contribué à cette performance.

Derrière l’Irlande, on retrouve le Chili avec une hausse de 10,4% du PIB. Les pays occupant les places 3 à 6 affichent cependant une croissance plus modeste qui se situe entre 2,1 et 3,5%. Les pays européens les plus durement touchés par le virus, dont le Royaume-Uni, le Portugal, l’Espagne, l’Italie mais aussi la France, ne se sont eux toujours pas remis du début de la pandémie, comme le mettent en évidence les chiffres.

Alors que le Royaume-Uni, par exemple, semblait être en bonne voie vers l’immunité collective après son combat contre le variant Delta, il se classe actuellement au deuxième rang mondial en matière de contaminations, avec près de 180 000 nouveaux cas détectés le 6 janvier en raison de la propagation du variant l’Omicron hautement contagieux. L’Espagne, pays affichant la plus forte baisse du PIB sur la liste des 23 pays de l’OCDE analysés par The Economist, enregistre actuellement 112 772 nouveaux cas tout en souffrant toujours du manque de revenus touristiques au cours des deux dernières années.

Quant à l’Hexagone, où près de 259 000 nouvelles infections ont été enregistrées le 6 janvier, la baisse du PIB a été de 0,1 % sur la période indiquée.

Si le PIB à lui seul n’est qu’un indicateur momentané de la santé économique d’un pays, il n’en reste pas moins valable à lui seul. Pour établir un classement plus détaillé, les analystes de l’Economist ont également collecté des données sur l’évolution du revenu des ménages par personne, l’investissement en capital de l’État, le cours des actions et le ratio de la dette publique au PIB. Lorsque l’on considère cette analyse élargie, le Danemark, la Slovénie et la Suède sont les économies qui ont le mieux traversé la pandémie jusqu’à présent, le Japon, le Royaume-Uni et l’Espagne arrivant en bas de l’échelle.

De Claire Jenik pour Statista


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Une agriculture de qualité en circuit court, rémunératrice pour le producteur et respectueuse de l’environnement. Ce sont les atouts des Projets alimentaires territoriaux, soutenus par le plan de relance.

C’est dans ce cadre que le Parc naturel régional du Mont-Ventoux lance son Projet Alimentaire Territorial (PAT) actuellement en phase de diagnostic alimentaire, invitant les  agriculteurs, transformateurs, distributeurs, associations, citoyens, élus et techniciens à participer.

Venez nombreux
Une série de rencontres se tiendra en 2022 afin de construire l’accessibilité à une alimentation saine, locale, de qualité, respectueuse de l’environnement au bénéfice du plus grand nombre.

Les enjeux
Le projet alimentaire territorial ? C’est mettre au jour les dimensions économique, environnementale et sociale. Economique avec la structuration et consolidation des filières dans les territoires, le rapprochement de l’offre et de la demande, le maintien de la valeur ajoutée sur le territoire, la contribution à l’installation d’agriculteurs et à la préservation des espaces agricoles ;

L’environnement
La dimension environnementale appelle le développement de la consommation de produits locaux et de qualité, la valorisation d’un nouveau mode de production agroécologique, dont la production biologique, la préservation de l’eau et des paysages, la lutte contre le gaspillage alimentaire ;

La dimension Sociale
Contribue à l’éducation alimentaire, à la création de liens, à l’accessibilité sociale, au don alimentaire, à la valorisation du patrimoine. Plus d’infos auprès d’Aurore Navarro, chargée de mission du PAT (Projet alimentaire territorial) sur aurore.navarro@parcduventoux.fr 
MH


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

L’industrie française reprend des couleurs. Après le coup de frein de l’année 2020 marquée par un nombre de fermetures de sites industriels supérieur à celui des ouvertures, la France a recommencé à ouvrir plus d’usines qu’elle n’en a fermé cette année, selon le baromètre annuel du magazine l’Usine Nouvelle. Du 1er janvier au 18 novembre 2021, le décompte fait état d’un solde positif de 29 sites supplémentaires comparés à l’année dernière, confirmant la lente reprise de la réindustrialisation à l’œuvre depuis quelques années.

Pour obtenir un aperçu de la tendance sur plus d’une décennie, nous avons utilisé un autre indicateur dans notre graphique, celui de Trendeo, dont les données permettent de remonter à l’année 2009. Il est important de préciser que le baromètre de l’Usine Nouvelle et celui de Trendeo ne couvrent pas exactement le même périmètre (et qu’ils aboutissent à des soldes pouvant être différents). Mais les deux rendent comptent de la même tendance, à savoir l’arrêt de l’hémorragie industrielle à partir de 2016, où, pour la première fois depuis la crise financière de 2008, la France avait mis fin à la perte nette d’usines sur son territoire. En attendant la publication des chiffres de Trendeo pour l’année complète, nous avons choisi d’intégrer le solde provisoire communiqué par l’Usine Nouvelle à titre indicatif pour 2021.

Comme le révèle aussi notre graphique, si l’on compare avec l’impact de la crise de 2008, dont les effets s’étaient fait sentir pendant plusieurs années, l’industrie française semble avoir globalement plutôt bien résisté au Covid-19. Alors que la France avait perdu près de 400 usines au total sur la période 2010-2015, le pays enregistre, à l’inverse, un gain net de plusieurs dizaines de sites entre 2016 et 2021. Si ces statistiques permettent de visualiser la dynamique globale du tissu industriel français, elles ne permettent néanmoins pas de savoir le nombre d’emplois concernés par les fermetures et créations de sites.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


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Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental de Vaucluse était l’invitée des Femmes cheffes d’entreprise (FCE). Au programme ? La femme qu’elle est et son implication dans la vie de la Cité. Rencontre.

Dominique Santoni est Aptésienne. Après des études à Aix-en-Provence puis à Paris, elle débute sa carrière au sein d’agences de publicité où elle travaille durant une dizaine d’années.  A la naissance de son fils ainé, elle créé sa propre entreprise et devient agent pour photographes durant 18 ans. «Nous avions monté un bureau à Paris, puis à New-York, à Milan et à Londres.» Son père, Georges Santoni, pharmacien à l’hôpital d’Apt, a été député (de 1958 à 1962 et de 1968 à 1973)  et maire UDR (Union des démocrates pour la République) d’Apt (de 1965 à 1971).

Depuis 10 ans en politique
«La politique ne m’intéressait pas. De Paris je revenais à Apt régulièrement -parce que je suis très famille- puis je repartais avec de plus en plus de chagrin. C’était le moment aussi où nous avions décidé, avec mon associé, de développer le bureau de New-York. Mon mari, qui travaillait chez Publicis, y était muté. Alors que toute la famille était prête à franchir l’Atlantique, mon père est décédé. Il n’était pas question de laisser ma mère seule. Nous aurions pu aller à New York, nous sommes partis à Apt ! (rires de la salle). C’est à ce moment que l’on m’a demandé de me présenter à un premier mandat. Je me suis prise au jeu et cela m’a beaucoup intéressée. J’ai vendu mon entreprise et suis entrée en politique, cela fait maintenant 10 ans.»

Qui je suis
«J’ai été maire d’Apt, élue à la Communauté de communes, puis le binôme de Maurice Chabert (ancien président du Conseil départemental 84) vice-présidente élue aux sports, associations et collèges et des transports (désormais transférés à la Région). Je me suis présentée à un second mandat et été élue sur le canton d’Apt. Alors que nous étions dans une majorité relative et que je suis plutôt une femme de droite, le duo Anthony Zilio (maire de Bollène ex PS puis sans étiquette)- Christine Lanthelme, qui avait demandé à rencontrer les deux candidats de gauche (Jean-François Lovisolo) et de droite, a décidé de voter pour moi. Je ne pouvais plus reculer et j’ai été élue. Mon seul regret ? Avoir dû renoncer à ma mairie pour l’aspect terrain et proche du monde de l’entrepreneuriat que j’ai connu. Maintenant ? Je suis dans une grosse machine.»

Ce qui m’intéresse
«Le Conseil départemental ? C’est la collectivité de la proximité : collèges, culture, agriculture, sports, associations, insertion, les solidarités, le RSA, les enfants, la grande vieillesse, les routes… La vie des Vauclusiens est tous les jours en rapport avec le Conseil départemental. Ce que j’aime ? C’est faire ! Un héritage de ma première vie. Je dirige le département comme avant la mairie, comme un chef d’entreprise. Je ne me vois pas me présenter pour les législatives parce que ça n’est pas assez concret.»

Feuille de route
«D’abord sortir de cette idée de département le plus pauvre car le Vaucluse a énormément d’atouts et regorge de talents. L’idée ? Donner envie de Vaucluse et pour cela investir pour accueillir des entreprises et populations exogènes, remettre les gens en selle via l’insertion et mettre le département sur le devant de la scène.  Investir ? Oui, par les grands travaux comme l’aménagement du carrefour de Bonpas –gros nœud routier- qui devrait sortir de terre en 2026 car le temps politique est un temps long. Mon programme ? Investir, rénover, embellir, bouleverser et retrouver l’allant du monde entrepreneurial. Ce que je veux ? Réveiller, donner l’envie à ce bateau au long cours, que tout le monde soit fier d’habiter en Vaucluse et se sortir du classement misérable dans lequel on se trouve !»

La Place de la femme entrepreneur
«Avoir imposé la parité en politique a été important. Logiquement on ne devrait même pas avoir besoin de l’imposer. Je ne pense pas que nous ayons à nous adapter à un modèle masculin. Les femmes sont différentes parce qu’elles ont l’humilité, l’empathie. La maternité font d’elles des êtres à l’écoute, enfin, elles ne s’engagent pas à la légère. Oui, elles manquent de confiance en elles et elles doutent… Alors je me remémore cette phrase un peu caricaturale de Françoise Giroud : ‘La femme sera l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignera une femme incompétente’. Je crois que, parfois, elles se sentent étouffées, avec cette petite idée de n’être pas tout à fait égales aux hommes et de devoir faire leurs preuves lorsque les hommes n’ont pas à le faire… C’est dommage. Les femmes ont encore des combats à mener, des positions à affirmer et surtout du talent.»

Les partenariats publics privés
«La Loi Notre (Nouvelle organisation territoriale de la République) a transféré la compétence économique du Département à la Région, alors j’aimerais mettre en place des ambassadeurs du territoire permettant de faire se rencontrer davantage les mondes économique et politique qui interviendraient dans le sport, la culture et encore ailleurs, afin d’aider au développement économique du département.»

L’emploi
«Nous concevons toutes des problèmes à recruter des personnes compétentes, qu’est-il possible de faire ? » Interroge une adhérente des FCE. «Nous avons créé une plateforme Job Vaucluse sur laquelle sont mis en relation entreprises et publics en demande d’emploi. Le travail n’est pas assez valorisé. Peut-être faudrait-il augmenter le salaire des travailleurs et créer une plus grande différence avec ceux qui ne travaillent pas. Au Département nous essayons de baisser le nombre d’allocataires du RSA (Revenu de solidarité active), en menant une politique de contrôle accrue, au profit du lancement de formations et de campagnes de recrutement. Nous avons un problème d’emploi dans tous les secteurs et dans tout le Vaucluse. Nous travaillons avec la Région pour mettre en adéquation emplois et formations.»

Mandats
Dominique Santoni (LR, Les Républicains) a été élue maire d’Apt en 2015, succédant à Olivier Curel élu maire de 2008 à 2015. Elle a été Conseillère, vice-présidente départementale du canton d’Apt, suppléante du député Julien Aubert et élue présidente du Conseil départemental depuis juillet 2021. Véronique Arnaud-Deloy (LR), professeur d’anglais au lycée d’Apt, lui succède en tant que maire d’Apt depuis le 20 juillet 2021.

Elles étaient là
La soirée des FCE avec leur invitée, Dominique Santoni s’est déroulée au Grand café Barretta à Avignon, mercredi 17 novembre en soirée. En présence d’Odile Bouchard, conservatrice du Musée Vouland, Carole Pauleau, de l’association Face Vaucluse, agir contre l’exclusion ; Dominique Brogi, Bijou connecté MonShérif ; Anaïs Aubert, coach Ozéaxion, Monique Deyaert, cheffe à domicile et David Pellet.
Les adhérentes sont : Renate Nicolai ; Florence de Graeve ; Marie-Pierre Egloff ; Nathalie Maillet ; Sylvie Inzirillo ; Marie Daladier ; Magdo Nitard ; Claudie Delauche ; Michèle Faure ; Bénédicte Anav ; Sandra Vich ; Chantal Cayla ; Stéphanie Marchal ; Chrystel Malachane ; Delphine Vassille ; Mathilde Durand ; Bettina Martin ; Martine Boisset ; Magali Beaumont-Bertholet ; Isabelle Suzan-Nibbio ; Valérie Martin ; Alexandra Farnos ; Céline Boutroy ; Nadia Esposito ; Elodie Germain ; Marie Proniewski ; Isabelle Rimbaud ; Anne-Laure Leblanc et Jacqueline Marinetti.


Les monnaies les plus répandues dans les réserves de change

Alors qu’une troisième dose est désormais recommandée pour une partie de la population dans plusieurs pays, les fabricants de vaccins contre le coronavirus se préparent à répondre à la demande. Pfizer, en particulier, peut se frotter les mains. Associé à la société allemande BioNTech, le laboratoire américain a misé sur la technologie de l’ARN messager, qui est préconisée pour la 3ème dose, et c’est lui qui dispose de la plus grande part de marché des vaccins anti-Covid aux États-Unis comme en Europe.

Comme le montrent leurs derniers résultats, la plupart des laboratoires pharmaceutiques ont vu leurs bénéfices augmenter depuis la commercialisation des vaccins, mais l’impact est variable selon les entreprises. Pour les géants Johnson & Johnson et Pfizer, qui tirent déjà des milliards de dollars de revenus de sources diverses, l’effet de la vente des vaccins n’a pas eu la même ampleur. Pfizer, qui a produit trois fois plus de doses que Johnson & Johnson cette année, a vu ses bénéfices exploser de plus de 120 % de janvier à septembre, ces derniers passant de 8,3 milliards de dollars en 2020 à près de 18,6 milliards en 2021. De son côté, Johnson & Johnson a enregistré un gain plus modeste de 24 % sur cette période.

En leur permettant d’atteindre une très nette rentabilité en 2021, les vaccins ont eu un impact très positif sur les finances de Moderna et BioNTech. Le premier cité, qui a aussi misé sur un vaccin à ARNm, a enregistré un bénéfice net de plus de 7,3 milliards de dollars de janvier à septembre, contre une perte de 470 millions l’année dernière. Le cas est similaire pour le laboratoire allemand allié à Pfizer, qui est passé d’un bilan négatif en 2020 à un profit de plus de 8 milliards de dollars cette année.

Le vaccin n’a en revanche pas eu d’impact visible dans les résultats d’AstraZeneca, qui a rapporté une baisse de ses bénéfices d’une année sur l’autre, en partie liée à la hausse de ses investissements en R&D. Le fabricant anglo-suédois avait assuré vendre son vaccin à prix coûtant pendant la pandémie et semble effectivement ne pas en avoir tiré profit. Comme le rapporte le Financial Times, AstraZeneca commencerait toutefois à s’éloigner de ce modèle en ayant récemment signé ses premiers contrats à but lucratif. L’entreprise vise désormais que son vaccin atteigne une « rentabilité modeste » au fur et à mesure des nouvelles commandes.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://echodumardi.com/tag/economie/page/9/   1/1