23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Peu de temps après le Royaume-Uni, la France est l’un des premiers pays à avoir connu la Révolution industrielle au début du XIXe siècle. D’abord marquée par l’extraction minière et la métallurgie, l’industrie française s’est développée au sortir de la Seconde Guerre mondiale dans d’autres secteurs clés, comme l’automobile, l’aéronautique et le nucléaire. Depuis les années 1980, la France est cependant entrée dans une phase de désindustrialisation (plus ou moins forte selon les secteurs), liée d’une part à la tertiarisation de son économie, et d’autre part à l’écart de coût de la main-d’œuvre par rapport aux pays en développement, dans un contexte de mondialisation et de délocalisation.

Aujourd’hui, le secteur industriel représente un peu plus de 3 millions d’emplois directs en France, pour plus de 270 milliards d’euros de valeur ajoutée. Même si le poids de l’industrie dans l’économie a été divisé par deux depuis 1970, ce secteur représentait tout de même 17 % du PIB français en 2022 – soit environ le double de la contribution du secteur du voyage et du tourisme (8,5 % du PIB en 2019, avant l’impact du Covid-19). Ce chiffre était identique à celui mesuré au Royaume-Uni, mais restait inférieur à la moyenne de l’UE, qui s’élevait à 23,5 % en 2022, selon les données de la Banque mondiale.

Parmi les nations d’Europe où le secteur industriel pèse le plus lourd dans la performance économique, outre l’Irlande et la Norvège (plus de 40 % du PIB), on retrouve l’Allemagne et la plupart des pays d’Europe centrale et de l’Est. Comme le montre notre carte, au sein de cette région du Vieux Continent, la contribution de l’industrie à la production des richesses nationales varie de 25 % à 30 %. Avec une économie dominée par le secteur financier, c’est au Luxembourg que cette part est la plus faible (environ 10 %).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

D’après les chiffres publiés par l’Insee le 30 avril, le PIB de la France a progressé de 0,2 % au premier trimestre 2024, surpassant ainsi les prévisions de l’institut d’études économiques, qui tablait sur une croissance nulle pour les trois premiers mois de l’année. L’activité économique du pays a été portée par une augmentation de 0,4 % de la consommation des ménages (contre 0,2 % au dernier trimestre 2023) et une reprise des investissements (0,3 % au premier trimestre 2024, contre -0,9 % au trimestre précédent). Le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, a salué la nouvelle, ajoutant que cette progression du PIB traduit la « solidité » de l’économie française.

Comme le montre notre infographie, le PIB français a connu une croissance trimestrielle relativement stable entre 2000 et 2020. À l’exception notable de quatre trimestres d’affilée dans le rouge en 2008-2009, au moment de la crise économique mondiale causée par la crise bancaire de l’automne 2008, elle-même consécutive de la crise des subprimes de 2006-2007, le PIB de la France s’est majoritairement maintenu dans le positif au XXIe siècle. La crise sanitaire de 2020 l’avait cependant fortement impacté : il s’était contracté de plus de 13 % au second trimestre 2020, avant de connaitre un fort rebond au trimestre suivant. La croissance française a depuis été en dents de scie, mais elle n’a pas connu de recul depuis le premier trimestre 2022.

De Valentine Fourreau pour Statista


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Fin mars, l’Insee a publié les chiffres définitifs, très attendus, du déficit public de la France pour 2023. Et comme redouté, celui-ci est significativement plus élevé que prévu, puisqu’il s’établit à 5,5 % du PIB, dépassant ainsi largement les 4,9 % jusqu’alors prédits par le gouvernement. Comparée à ses voisins européens, la France fait figure de mauvaise élève : le déficit public de la Belgique représentait 4,6 % de son PIB en 2023, celui de l’Allemagne 2,1 %, tandis que l’Irlande, le Portugal et le Danemark ont tous trois enregistré un excédent de 0,9 %, 1,2 % et 2,6 % de leur PIB respectivement l’année dernière. Alors que l’agence de notation Moody’s avait déjà déclaré après la publication de ces chiffres juger « improbable » que la France tienne son objectif de réduire le déficit public à 2,7 % d’ici à 2027, l’agence de notation Fitch a à son tour annoncé le mardi 2 avril estimer que les objectifs de réduction budgétaire français sont « de plus en plus hors de portée ». Fitch avait déjà abaissé la note de la France, qui évalue sa capacité à rembourser sa dette, de AA à AA-, et les deux agences actualiseront de nouveau leur note financière de la France fin avril. Le Ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a cependant réaffirmé sa détermination quant à son objectif de ramener le déficit public du pays sous la barre des 3 % du PIB d’ici à 2027.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données d’Eurostat, si le déficit public de la France a empiré en 2023, il reste bien loin du niveau de 2020, au moment de la crise du Covid-19. Le PIB de la zone euro avait alors diminué de 6,6 %, et celui de la France de 7,9 %, passant de 2,44 billions d’euros en 2019 à 2,32 billions l’année suivante. Les aides substantielles mises en place par le gouvernement pour soutenir les ménages et les entreprises, couplées au ralentissement économique, avaient alors fortement creusé le déficit public français, qui avait atteint 9 % du PIB.

De Valentine Fourreau pour Statista


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Selon les chiffres publiés mardi 26 mars par l’Insee, le déficit public de la France pour 2023 s’est élevé à 5,5% du PIB, dépassant ainsi largement la prévision de 4,9% du gouvernement, inscrite en fin d’année dernière dans la loi de finances pour 2024. Dans la foulée, la commission des finances du Sénat a annoncé, mercredi 27 mars, le lancement d’une mission parlementaire sur la dégradation du déficit public et le « défaut d’information du Parlement » sur la situation, afin de « faire la lumière complète sur la dégradation des finances publiques depuis 2023 et son suivi par l’administration et le gouvernement ». L’agence de notation Moody’s a également jugé « improbable » que la France tienne son objectif de réduire le déficit public à 2,7% d’ici à 2027, dans un communiqué publié le même jour. Ce déficit de 154 milliards d’euros fait ainsi monter la dette publique de la France à 110,6% du PIB.

Avec la pandémie de Covid-19 et les mesures déployées pour soutenir l’économie durant la crise, le niveau d’endettement public a considérablement augmenté dans le monde. De nombreuses économies développées affichaient ainsi une dette publique supérieure à 100% de leur produit intérieur brut (PIB) à la fin de l’année 2021. Mais avec le retour de la croissance, la dette publique a en moyenne baissé dans le monde. L’inflation a également joué un rôle dans la diminution du ratio dette/PIB, en gonflant par exemple certaines recettes fiscales.

Comme le montre notre graphique basé sur les données du FMI, en France, le niveau d’endettement public s’élevait environ 113% du PIB en 2021. Il s’élève actuellement à environ 111 % du PIB, soit une diminution de 2 % par rapport à 2021. Les autres grandes économies européennes, comme l’Allemagne, la Belgique, l’Italie et l’Espagne, présentent également une baisse de leur ratio dette/PIB depuis 2021 (de 2% à 11%).

Ailleurs dans le monde, on constate que le ratio dette/PIB a augmenté sur la période étudiée en Chine et aux États-Unis. Malgré une légère diminution depuis 2021, le Japon est l’une des nations les plus endettées de la planète, avec une dette publique qui devrait atteindre 252% de son produit intérieur brut en 2024.


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

En septembre dernier, l’entreprise pharmaceutique danoise Novo Nordisk a détrôné LVMH en tant que société cotée en bourse la mieux valorisée d’Europe, mettant fin au règne du groupe de luxe français qui durait depuis plus de deux ans. Alors que le cours de l’action LVMH a pâti ces derniers mois des inquiétudes liées aux perspectives économiques en Chine (la clientèle chinoise représentant près du tiers des achats mondiaux de luxe), Novo Nordisk surfe quant à lui sur une vague de demande pour ses médicaments contre le diabète et le surpoids, Ozempic et Wegovy, qui a propulsé ses bénéfices et ses actions à des niveaux record.

Depuis que le laboratoire danois a annoncé en août 2023 qu’une vaste étude avait démontré que le Wegovy présentait également des avantages cardiovasculaires (en plus de son efficacité pour la perte de poids), le prix de ses actions a plus que doublé. Lundi 29 janvier 2024, la capitalisation boursière de Novo Nordisk s’élevait ainsi à 481,6 milliards de dollars, contre 420,4 milliards de dollars pour LVMH. Le top 5 des entreprises les mieux valorisées de l’UE est complété par le fleuron européen des puces électroniques, le néerlandais ASML, avec près de 350 milliards de dollars de capitalisation boursière à la même date, suivi du groupe français de cosmétiques L’Oréal (près de 259 milliards de dollars) et l’entreprise de conseil Accenture (près de 233 milliards).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Comme chaque année, la soirée des entreprises de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Pays d’Arles est organisée le dernier lundi du mois de janvier. Ainsi, ce lundi 29 janvier sera l’occasion pour les chefs d’entreprise du territoire de se réunir et pour la CCI de présenter ses vœux pour cette nouvelle année.

Chaque année, ce sont 600 structures du Pays d’Arles qui se rassemblent au Palais des congrès d’Arles pour cette soirée des entreprises, animée par la journaliste Elsa Charbit, durant laquelle est organisée une grande conférence. Pour cette 7ᵉ grande conférence, la CCI du Pays d’Arles a souhaité évoquer les thématiques de l’inflation, de l’économie nationale, mais aussi de l’ampleur que prend l’intelligence artificielle.

Deux intervenants mèneront cette conférence. Eric Heyer, docteur en sciences économique et directeur du département Analyse et Prévision de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), apportera son éclairage sur l’actualité économique, présentera ses prévisions et perspectives sur l’économie française. Marjolaine Grondin, entrepreneure et cofondatrice du média Jam, quant à elle, abordera l’intelligence artificielle d’un point de vue sociétal, économique et philosophique.

Inscription obligatoire via le formulaire en ligne.
Lundi 29 janvier. De 18h à 23h. Palais des Congrès. 22 Avenue de la Première Division France Libre. Arles.

V.A.


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Ce que les anciens ont tour à tour appelé le Marché-gare dans les années 60, puis le Marché en gros, puis le Marché d’Intérêt National est devenu ECOMIN à l’automne dernier. Nouveau logo pour une nouvelle aventure, fêté entre food trucks et guinguette à l’angle de la Rocade Charles de Gaulle et du boulevard Pierre Sémard.

« Ce cœur de vie », comme l’a baptisé la Maire d’Avignon, venue présenter ses vœux aux 1230 salariés du site, « a été relooké, en accord avec ceux qui y travaillent, pour être plus convivial, plus moderne et accueillir des ateliers. Des espaces de travail et de réunions ont aussi été réaménagés. Cette volonté de modernisation est à la fois économique et écologique. ECOMIN répond à un marché croissant de produits locaux de qualité en circuits courts », a insisté Cécile Helle. « Cette zone d’activité a une dimension sociale pour que les 120 entreprises qui y sont installées y prospèrent et pour que leur personnel y vive agréablement. »

Mais la volonté de la municipalité est qu’ECOMIN, en accord avec le conseil d’administration, soit un poumon vert avec à la clé, nombre d’initiatives écologiques sur ces 25,5 hectares en pleine ville, entre bitume, béton, hangars, quais, entrepôts, bureaux, traiteurs, crèches, transporteurs et restaurateurs. « D’ailleurs la Région Sud nous a accordé 1M€ pour cette adaptation dans le cadre du projet ‘Nos territoires d’abord’« , a conclu Cécile Helle. Sans oublier les 900 000€ de subventions du Grand Avignon.

Projet partagé sur le carreau par les grossistes, producteurs, expéditeurs, détaillants et négociants et que précise Laëtitia Vinuesa, la directrice du site. « La transition énergétique est un axe majeur d’évolution d’ECOMIN, déjà entamé et que nous allons renforcer en 2024. Avec un plan de densification du réseau de bornes de recharge électrique pour les véhicules, une végétalisation du site avec nombre d’arbres et de haies plantés entre les allées et voies de circulation, une installation de panneaux photovoltaïques sur les 100 000 m² de toitures des hangars et sur les 10 000 m² de bureaux. Sans oublier la mutualisation du traitement et du recyclage des déchets. »

Dès cet été, quand le thermomètre affichera plus de 30°c à l’ombre, on devrait donc voir cet îlot de chaleur tendre vers une température plus douce pour les centaines de salariés des entreprises de l’ECOMIN d’Avignon.

Avec leurs remorques, les six vélos de la société livrent plis, colis et marchandises sans pollution ni nuisance sonore. « C’est efficace pour le fameux dernier kilomètre », explique le patron Raphaël Trouiller, qui a bénéficié d’une aide du Réseau Entreprendre Rhône-Durance de 20 000€ et d’une autre de la BPI d’une somme équivalente. Ce qui lui permet d’avoir 4 employés, plus quelques CDD l’été. « Je peux charger 50 kilos à la fois, et mes coursiers parcourent environ 1000 km par mois. »

Son chiffre d’affaires a plus que doublé entre 2021 (60 000€) et 2023 (130 000€), il espère passer à 200 000€ cette année. Mais pour que sa société se développe, se maintienne à flots et soit rentable, il est entré dans l’association ‘Boîtes à vélo‘ qui milite pour « l’essor, la pérennisation de l’entrepreneuriat à vélo en France. » C’est-à-dire, pour que l’utilisation du vélo comme moyen alternatif aux véhicules motorisés en milieu urbain et rural se généralise. « Une mobilité douce », comme dirait Cécile Helle, respectueuse du vivant, d’un environnement respirable, d’une circulation apaisée, d’un encombrement réduit, d’une pratique physique et d’un lien social renforcé. Que demander de plus ?

La Roue Tourne . 135 Avenue Pierre Sémard. ECOMIN – Bâtiment 4. Avignon. 09 51 28 95 12. contact@la-roue-tourne.com


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

La chute des régimes communistes en Europe, démarrée avec l’ouverture du rideau de fer et la chute du mur de Berlin en 1989 et aboutissant à la dissolution de l’Union soviétique (URSS) en décembre 1991, a eu un impact considérable sur les frontières orientales du continent. Alors que plusieurs États s’émancipaient et prenaient leur indépendance, elles furent désormais ouvertes tant aux personnes (délivrance libre de passeports) qu’aux marchandises. L’entrée soudaine dans l’économie de marché changea tout aussi brutalement la société soviétique.

Comme le montre l’infographie ci-dessous, qui donne un aperçu de l’évolution du PIB par habitant d’une sélection de pays d’Europe de l’Est au cours des trente dernières années, ces États qui appartenaient autrefois au bloc de l’Est (ou faisaient partie de l’URSS) ont connu des trajectoires économiques assez variées depuis le début des années 1990.

On constate que ce sont les pays de l’Est ayant rejoint l’Union européenne entre 2004 et 2007 qui affichent la croissance du PIB par habitant la plus élevée sur la période étudiée. Entre 1995 et 2021, le PIB par habitant est par exemple passé de 2 500 à 24 000 dollars courants dans les États baltes (moyenne des trois pays), de 6 000 à 27 000 dollars courants en Tchéquie, de 5 000 à 22 000 dollars courants en Slovaquie, de 3 500 à 18 000 dollars courants en Pologne, et de de 1 500 à 15 000 dollars courants en Roumanie.

Bien que le PIB en valeur absolue de la Russie soit l’un des plus importants au monde (8ème), son PIB par habitant restait nettement inférieur à celui des pays cités plus haut en 2021, soit 12 500 dollars courants. Les deux voisins à la frontière occidentale du géant russe, la Biélorussie et l’Ukraine, affichent de leur côté les progressions de cet indicateur les plus faibles des pays étudiés, avec un PIB par habitant qui ne s’élevait respectivement qu’à 7 500 et 5 000 dollars courants en 2021.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Combien pèse l’industrie dans l’économie des pays européens ?

Bien qu’ayant été l’un des plus touchés par la crise sanitaire, le secteur du tourisme semble être en voie de rétablissement en 2023. D’après les derniers chiffres de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), les arrivées internationales ont atteint 80 % de leur niveau pré-pandémie au premier trimestre 2023 (par rapport au premier trimestre 2019). De plus, l’OMT estime à 235 millions le nombre de touristes internationaux au cours des trois premiers mois de 2023, soit plus du double que le chiffre mesuré sur la même période l’année précédente.

Comme le montre notre infographie, la France conserve son rang de première destination touristique mondiale, arrivant en tête des pays comptant le plus grand nombre de touristes internationaux en 2022, avec plus de 79 millions de visiteurs, soit près du double du nombre d’arrivées comptabilisées en 2020 (41,7 millions). Un niveau qui se rapproche également de celui de 2019, où 90,9 millions de voyageurs internationaux avaient visité l’Hexagone. L’Espagne (71,7 millions de visiteurs) et les États-Unis (50,9 millions de visiteurs) complétaient le podium des pays préférés des touristes étrangers en 2022, devant la Turquie et l’Italie.

Combien pèse le secteur du tourisme dans l’économie ?

Le secteur du tourisme poursuit sa reprise et est en bonne voie pour retrouver ses niveaux d’activité pré-pandémiques. Selon le dernier baromètre de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), les destinations du monde entier ont enregistré quelque 235 millions d’arrivées internationales au premier trimestre 2023, ce qui représente environ 80 % du niveau mesuré à la même période en 2019, juste avant l’impact de la crise sanitaire.

Ces perspectives sont de bon augure pour les économies qui dépendent très fortement du tourisme. Dans les îles tributaires de cette activité, comme les Seychelles et les Maldives, l’industrie du voyage et du tourisme génère par exemple entre 25 % et 33 % du PIB, si l’on se base sur les données d’avant la pandémie (2019). Mais ce secteur représente aussi un moteur important dans des économies plus diversifiées. C’est le cas par exemple de la Thaïlande, où la part du tourisme dans le PIB s’élève à 20 %, mais aussi de certains pays européens, tels l’Italie et l’Espagne (13 % à 14 %). En France et aux États-Unis, deux des trois destinations les plus visitées au monde avec l’Espagne, le secteur touristique contribue à hauteur de près de 9 % au produit intérieur brut.

De Valentine Fourreau et Tristan Gaudiaut pour Statista

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