19 avril 2025 |

Ecrit par le 19 avril 2025

Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

Le Département de Vaucluse et le Parc naturel régional du Mont-Ventoux réalisent jusqu’à mi-octobre des travaux visant à restaurer la plateforme des Tempêtes, au sommet du Géant de Provence.

A 1 850 mètres d’altitude, la plateforme des Tempêtes, à laquelle les visiteurs accèdent en empruntant une route située juste avant le col du même nom, présentera d’ici quelques semaines un tout nouveau visage. Ce chantier viendra compléter les aménagements du Mont Ventoux réalisés par le Département de Vaucluse à partir du printemps 2020 et achevés fin 2021.

L’objectif de ce chantier haut perché est de renaturer cet ancien site militaire en nettoyant les lieux, en reconstituant un sol, puis en semant des graines adaptées aux conditions du site.

Les trois phases de travaux

  1. Début septembre : un grand nettoyage du site a eu lieu, réalisé dans le cadre d’un chantier d’insertion de l’Université Populaire du Ventoux. L’occasion de passer le site au peigne fin en récupérant à la main plusieurs mètres cubes de gravats, d’asphaltes, de bouts de ferraille. Ces détritus constituent une source de pollution pour le sol et près de 2 500m2 ont été nettoyés, plus de vingt ans après la démolition du bâtiment militaire qui a longtemps occupé l’aire.
  2. Vendredi 29 septembre : entrée en service d’engins mécanisés afin d’enlever les amoncellements de gravats. Autre temps fort de cette étape, la remise en état du pierrier en étalant plus de 300m2 au sol naturel récupéré lors des travaux conduits sur la partie sommitale du mont Ventoux en 2020 et en 2021. Cette étape permettra de reconstituer un sol viable pour l’étape suivante.
  3. Intervention finale sur ce chantier en octobre ou novembre : le semis de graines adaptées à l’altitude qui ont été prélevées ces dernières années sur le sommet même du Ventoux, à l’image de la Campanule et du Myosotis des Alpes. Une opération effectuée en lien avec le Conservatoire Botanique National Alpin, organisme public dédié à la connaissance et la préservation de la flore et des végétations. Plusieurs centaines de milliers de graines, prélevées ces trois dernières années non loin de là, seront prochainement semées en tenant compte des conditions météorologiques, cette dernière opération devant, en effet, être réalisée juste avant un épisode de pluie pour fixer les graines semées au sol.

Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

La ville de Carpentras et le comité écologique Comtat-Ventoux organisent la 2ème édition de la fête de l’arbre le samedi 30 septembre et le dimanche 1er octobre.

Programme 
Samedi 30 septembre – centre-ville 

  • 15h au livre Gourmand ( 17 rue des Halles, Carpentras)
    Lecture du conte « C’est mon arbre » d’Olivier Tallec
  • 16h à l’Inguimbertine
    Projection du documentaire « Irréductibles », réalisé par Olivier Dubuquoy. Visio conférence avec le réalisateur.
    « Irréductibles est une histoire d’hommes et de femmes qui ont gagné des batailles qui semblaient perdues d’avance. Blocage de centrale nucléaire, sabotage pour mettre fin à des pollutions en mer, ZAD pour protéger la forêt… parfois dans la non-violence, parfois dans la clandestinité, tous ont en commun d’être victorieux dans leur lutte ».
    Tout public – entrée libre et gratuite, sans réservation. Durée de la séance : 52 min.
  • Vente de livres sur le thème de l’arbre et de la nature dans les librairies : Horloge, Gulliver, Livre Gourmand.
  • Participation de commerçants du centre-ville.
Olivier Dubuquoy, réalisateur du documentaire « Irréductibles » © DR

Dimanche 1er octobre – au forum des patrimoines (79 place du 25 août 1944)

  • 10h, 11h, 14, 15h et 16h : cinéma et atelier patrimoine l’homme qui plantait des arbres
    Avec Mélanie Chardon, médiatrice du patrimoine de la CoVe
    A l’occasion de la Journée de l’arbre à Carpentras, les visiteurs pourront découvrir ce court-métrage d’animation créé par Frédéric Back, d’après la nouvelle de Jean Giono. L’histoire d’un berger provençal qui consacre sa vie à planter des arbres dans un paysage désertique et, de ce fait, le transforme et lui permet de renaître à la biodiversité.
    Tout public – entrée libre et gratuite, sans réservation. Durée des séances : 40 min.

Dimanche 1er octobre – Berges de l’Auzon

  • De 10h à 18h :
    • Petit marché de produits locaux
    • Artisanat
    • Buvette et petite restauration sur place : présence de Food Trucks
    • Présence et stands des partenaires : Parc Naturel Régional du Ventoux – Office National des Forêts – Ligue de Protection des Oiseaux, LPO Ventoux – Comité Ecologique Comtat-Ventoux – Label Vers – Le Naturoptère – La Mairie présentera le permis de végétaliser – Librairie Gulliver.
    • Concert : démonstration orgue de barbarie avec Clémence à la voix et Michel à l’orgue.
  • 10h à 12h et 13h à 17h : Balade à poney avec le centre équestre le Poney Rouge
  • 10h à 17h : Stand Librairie Gulliver. Rencontres et dédicaces avec Mathieu Bertrand pour son album « La sève de nos vies ».
  • 10h à 18h : Atelier sur le travail du bois, animé par Label Vers
  • 10h à 18h : Théâtre déambulatoire « Les Fêlées du Tronc »
  • 11h30 : Flûte et accordéon avec le duo Bolton
  • 14h à 17h : Atelier de dessin et d’expression « dessine-moi ton arbre », animé par Isabelle Roth, Professeur d’arts plastiques
  • 14h à 18h : Grimpe d’arbres avec Sous la Cîme
  • 15h : Balade botanique et conférence « découverte des arbres (et arbustes) en milieu urbain et quelles essences résisteront ou disparaîtront face au dérèglement climatique ? », par Michel Valério, responsable des parcs et des espaces verts de l’INRAE d’Avignon
  • 17h : La bande à Koustik. Concert dessiné par Mathieu Bertrand
Les Fêlées du Tronc © DR

Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

La Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue vient de créer un nouveau plan intitulé « L’Isle à pied » mettant en avant les points d’intéret du territoire et la distance à pied qui existe entre eux afin d’encourager la population et les visiteurs à opter pour une mobilité douce.

Ce plan ‘L’Isle à pied’ a été élaboré grâce a travail des membres du comité Ambassadeurs Isle-sur-la-Sorgue Village-monde et plus particulièrement du pôle Mobilités & Cadre de Vie, en partenariat avec la Ville. Selon une enquête sur la mobilité des personnes réalisée par la Ministère de la Transition écologique en 2019, 23,9% des déplacements locaux sont effectués à pied et 2,6% à vélo.

Ainsi, ce groupe d’ambassadeurs et de L’Islois s’est fixé comme mission de stimuler l’aménagement de voies destinées aux déplacements doux sur différents axes de la ville grâce à la création de ce plan. La marche à pied présente de nombreux bénéfices tels que la réduction des émissions de gaz nocifs, des bienfaits sur la santé, une réduction du trafic, la gratuité des déplacements et des économies sur les frais de carburant, une autonomie dans la décision des horaires de déplacements, ainsi qu’une opportunité de découvrir et redécouvrir la ville.

Le plan propose donc plusieurs itinéraires, plus ou moins longs (le temps de trajet est estimé à la vitesse de 5km/h, soit un peu plus de 80m/min) reliant différents lieux emblématiques de la ville comme la Place de l’Eglise, le skatepark, le musée Campredon art & image, le Lycée agricole La Ricade, le site du Partage des eaux, et bien d’autres. Le plan est disponible à l’accueil de l’Hôtel de Ville ou téléchargeable sur internet.

V.A.


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

La route départementale entre Cucuron et Cabrières d’Aigues, représentant un linéaire d’environ cinq kilomètres, a été inscrite au programme pluriannuel de réfection de chaussées. Au vu de son état général dégradé, le Département de Vaucluse a fait le choix d’utiliser un procédé plus respectueux de l’environnement en réduisant fortement la production des émissions de carbone liée au chantier.

Le chantier, qui est en cours, utilise une technique de « retraitement en place » et à froid des matériaux, substituant le bitume par un liant végétal. Les matériaux de la chaussée actuelle sont rabotés sur six centimètres environ, puis réutilisés immédiatement pour réaliser la nouvelle chaussée. Le fait d’utiliser des matériaux déjà sur place permet de diminuer le transport et donc la pollution atmosphérique. Pour la première fois en Vaucluse, les matériaux recyclés sont mélangés in situ à froid avec une émulsion biosourcée de poix, un produit entièrement végétal issue de la sylviculture.

Le coût prévisionnel de l’opération, réalisée par Eiffage Route Mediterranée, s’élève à 530 000 €, entièrement financé par le Département. Pour les besoins du chantier, la RD189 entre Cucuron et Cabrières d’Aigues est fermée à la circulation pendant toute la durée des travaux, c’est-à-dire jusqu’au jeudi 13 juillet. Les accès riverains sont maintenus.

V.A.


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

A Cavaillon, deux logiques s’affrontent celle de la communauté d’agglomération qui souhaite créer de nouvelles zones d’activités pour soutenir l’activité économique et créer des emplois et de l’autre un collectif regroupant des associations qui s’opposent à la bétonisation et à l’artificialisation des terres agricoles. Deux visions du futur de l’économie et du monde de demain. Qui est dans le vrai ?

C’est l’idée que le développement économique est un facteur de progrès social

A écouter les arguments de chacune des parties elles ont en fait toutes les deux raison. Nous avons ainsi d’un côté, des élus qui souhaitent redonner à cette partie de la Provence un niveau d’activité et de richesse propre à faire reculer le chômage, à faire monter le niveau de vie et à avoir, in fine, d’avantage de moyens pour développer des politiques publiques ambitieuses. C’est l’idée que le développement économique est un facteur de progrès social. C’est ce modèle qui a prévalut depuis la révolution industrielle et surtout ces dernières décennies. On en voit cependant aujourd’hui les limites.

« C’est une folie que de réduire encore les surfaces agricoles »

De l’autre, nous avons des associations regroupant des citoyens très engagés qui considèrent que dans le contexte actuel c’est une folie que de réduire encore les surfaces agricoles. C’est au détriment de la biodiversité, de la perméabilisation des sols, mais aussi du recul des activités agricoles traditionnelles. Avec toutes les conséquences sociales induites. Par ailleurs, ces nouvelles activités développeront immanquablement les émissions de gaz à effet de serre et contribueront au réchauffement climatique. En effet, dans les entreprises pressenties à s’installer dans ces ZAC plusieurs font dans la logistique donc présence et mouvements de nombreux camions.

© Faubourg Promotion / GROUPE IDE

industrielle ou agricole, tel pourrait être au fond résumé la question pour la cité Cavare ? Toujours plus ou toujours mieux ? Tel est le dilemme. C’est une bonne chose que ce débat puisse exister et que les avis puissent s’exprimer et se confronter. C’est le simple jeu de la démocratie. On en a plus que besoin. En définitive ce qui se passe à Cavaillon est un peu au cœur du débat de notre société aujourd’hui. Quel modèle de société voulons-nous ? Cependant il y a urgence à décider.

*
ZAC: Zone d’Aménagement Concerté
ZAN : Zéro Artificialisation Nette


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

Plus de 1 700 défenseurs de l’environnement et des terres ont été tués par des tueurs à gages mandatés par des groupes criminels (ou des gouvernements) entre 2012 et 2021, selon un rapport de l’ONG Global Witness – soit environ un meurtre tous les deux jours pendant dix ans. Comme le met en avant la carte ci-dessus, l’Amérique latine est la zone la plus dangereuse pour les activistes. Au cours de la dernière décennie, plus de deux tiers des attaques enregistrées ont eu lieu dans cette région.

Les pays les plus meurtriers pour les militants écologistes ont été le Brésil (342 meurtres), la Colombie (322), les Philippines (270), le Mexique (154) et le Honduras (117). La recherche a également mis en évidence que les communautés autochtones sont les plus exposées aux violences : elles représentent près de 40 % des victimes, alors qu’elles ne comptent que pour 5 % de la population mondiale.

L’ONG souligne que le contrôle et l’utilisation des terres sont une question centrale dans les pays où les défenseurs de l’environnement sont menacés. Ils ajoutent que les chiffres ne donnent pas une image précise de l’ampleur réelle du problème, en raison de l’absence de presse libre dans plusieurs pays concernés et de l’incapacité de certains gouvernements à enquêter correctement sur ces crimes. « De nombreuses autorités ignorent ou entravent activement les enquêtes sur ces meurtres, souvent en raison de collusions présumées entre des intérêts privés et l’État ».

Ces dernières années, ce sont les conflits liés à l’exploitation minière qui ont été parmi les plus meurtriers. Dans le pays le plus dangereux l’année dernière, le Mexique, « Environ deux tiers des assassinats (54 recensés en 2021) ont été concentrés dans les États d’Oaxaca (sud) et Sonora (nord), tous deux avec d’importants investissement miniers », précise l’ONG.

De Tristan Gaudiaut pour Statista.


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

Ce mercredi 23 mars aura lieu la 4ème édition de la Fête du printemps et de l’écologie, ouvert à tout public. Un ensemble de représentations qui aura pour but de sensibiliser les visiteurs à plusieurs causes.

Organisé par le conservatoire du Grand Avignon, cet événement mettra en lumière la biodiversité, le féminisme, l’antiracisme, et bien d’autres thèmes. Une célébration qui sera ancrée dans l’actualité puisqu’une étudiante ukrainienne en art dramatique et musiques actuelles clôturera la fête en chantant pour son pays natal.

Pour découvrir le programme, cliquez ici.

Mercredi 23 mars. De 13h30 à 20h30. Amphithéâtre Mozart. Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon. 3 Rue du Général Leclerc. Avignon.

V.A.


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

Avec la chaleur qui s’installe un peu partout en France, plusieurs appareils risquent de tourner à plein régime dans les foyers, comme le climatiseur ou le réfrigérateur. Grâce à quelques astuces, il est possible d’éviter les mauvaises surprises sur la facture d’électricité, tout en adoptant une consommation éco-responsable. Le comparateur Selectra a ainsi compilé 7 conseils simples à appliquer chez soi.

1 – Privilégier le ventilateur au climatiseur
La consommation électrique d’un climatiseur est jusqu’à 62 fois plus importante que celle d’un ventilateur. Dans l’idéal, en cas de forte chaleur, il vaut ainsi mieux privilégier l’utilisation d’un ventilateur, à la fois plus économique et plus écologique. Cependant, si l’on possède un climatiseur, deux conseils pour en optimiser sa consommation : l’entretenir régulièrement pour éviter que les filtres sales n’engendrent une surconsommation inutile ; placer les blocs de façon stratégique : dans les pièces les plus fréquentées, en hauteur et sans aucun obstacle autour, afin que le froid circule au mieux.

2 – Faire attention à l’usage et à l’entretien du réfrigérateur
Un réfrigérateur consomme presque 400 kWh par an en moyenne, tandis que le congélateur en consomme en moyenne 550 kWh. Pendant l’été, le réfrigérateur et le congélateur tournent à plein régime, il est important de penser à effectuer un entretien périodique qui permettra d’éviter d’utiliser de l’énergie inutilement. En plus de vérifier l’état des joints, il est utile de dégivrer la partie freezer tous les 3 mois pour éviter la création d’une couche de glace. Ce dernier réflexe permet de réduire la consommation d’un appareil combiné (réfrigérateur et congélateur) jusqu’à 30%. 

3 – Minimiser l’usage des luminaires

Pour réduire le coût de la facture d’électricité pendant la saison estivale, il est préférable de profiter de la lumière naturelle, en minimisant l’usage des luminaires. Il est également conseillé d’utiliser des LED pour l’éclairage, qui consomment environ 90% de moins que les lampes halogènes et environ 66% de moins que les lampes fluorescentes. Malgré un coût d’achat plus important, les LED sont ainsi vite rentabilisées, d’autant qu’elles ont une durée de vie bien plus longue que les ampoules classiques.

4 – Eviter d’utiliser le sèche-linge
Profiter du soleil et de la chaleur estivale pour étendre le linge à l’extérieur, évitant ainsi d’utiliser le sèche-linge. C’est une bonne habitude à prendre, car le sèche-linge fait partie des appareils les plus énergivores dans un logement, avec une consommation moyenne de 350 kWh/an. En plus d’importantes économies d’énergie, le linge sèche mieux au soleil : ce séchage naturel permet de garder le linge plus blanc et a un effet assainissant.  

5 – Optimiser l’usage du lave-linge et du lave-vaisselle
Pendant la saison estivale, il est important de limiter la consommation d’eau, compte tenu de la faible pluviométrie : il est donc conseillé de démarrer la machine à laver et le lave-vaisselle uniquement à pleine charge, et réglés sur basse température. Ainsi, pour un lave-linge, un cycle à 40°C permet d’économiser 25% d’énergie par rapport au cycle à 60°C. Les lave-vaisselles les plus récents disposent d’une touche « éco » qui peut réduire jusqu’à 45% les consommations d’électricité selon les modèles. De plus, pour économiser davantage, Selectra suggère d’éviter les options prélavage et séchage : il suffit de laisser sécher la vaisselle ou le linge à l’air naturel.

6 – Ne pas oublier les appareils en veille

Selon l’Ademe, 15 à 50 équipements par foyer sont en veille. Si ceux de dernière génération ont désormais réduit leur consommation, appareils divers et consoles de jeux consomment toujours de l’électricité s’ils restent en veille sur leurs prises. C’est ce que l’on appelle la consommation cachée des appareils. On estime que cette consommation représente environ 10% d’une facture d’électricité en moyenne. Il est recommandé de connecter ces équipements à une prise multiple équipée d’un interrupteur qui, une fois éteinte, coupe complètement l’alimentation de tous les appareils qui y sont attachés. Cette solution est utile et rapide surtout lorsque l’on quitte son domicile tout un week-end ou durant les vacances estivales.

7 – Participer à un achat groupé d’énergie renouvelable
En partenariat avec le WWF France, Selectra a lancé sa seconde édition d’achat groupé d’énergie 100% renouvelable. Le principe : jouer sur la force du nombre pour négocier des tarifs de groupe sur une offre d’électricité et de gaz répondant à des critères de développement durable. Plus les participants seront nombreux, plus la force de négociation sera grande ! Préinscription gratuite et sans engagement sur club.selectra.info/wwffrance

L.M.


Ventoux : réhabilitation écologique de la plateforme des Tempêtes

Avec la ‘Lub’ambule’ : le parc du Luberon part à la rencontre de ses habitants. La Lub’ambule, qu’est-ce que c’est ? C’est un outil de mobilisation des publics vers le développement durable, une remorque pédagogique d’information et de sensibilisation pour développer l’appropriation du parc par ses habitants.

‘Lub’ pour Luberon et ‘ambule’ pour ambulant, itinérant. Sa forme et sa couleur ont été bio-inspirées par le coquelicot et la garance des teinturiers. La Lub’ambule sera présente sur les temps forts locaux. Elle proposera des animations aux petits comme aux plus grands, de faire découvrir les produits du terroir, de renseigner sur les missions du Parc et d’aider à la compréhension du territoire à l’aide d’une carte didactique. La Lub’ambule est une réalisation du programme ‘Les relais du parc’, soutenu par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

« Parce que nous sommes tous acteurs et visiteurs sur notre propre territoire, la Lub’ambule servira à faire prendre conscience à chacun de l’intérêt de découvrir, comprendre et défendre les richesses du Parc naturel régional du Luberon. Elle sera l’occasion de faire connaissance, d’échanger avec vous, résidents ou visiteurs, acteurs économiques et culturels, qui faites vivre et qui vivez notre territoire, afin de comprendre vos attentes, vos besoins et vos souhaits d’avenir. »

L.M.

https://echodumardi.com/tag/ecologie/page/3/   1/1