4 décembre 2024 |

Ecrit par le 4 décembre 2024

Carpensud : allier rentabilité et écologie

Ce jeudi 7 novembre, l’association d’entrepreneurs du Comtat Venaissin Carpensud, organise une table ronde au Lycée Louis Giraud, à Carpentras, sur le thème ‘Quelle stratégie pour allier rentabilité et écologie ?’

Dans le cadre d’une démarche de mutualisation inter-entreprises soutenue par la Région Sud et l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), l’association Carpensud, qui regroupe 135 chefs d’entreprises, organise une table ronde sur le lien entre la rentabilité et l’écologie. L’objectif est d’encourager les entreprises du territoire à collaborer et à créer des synergies.

Au cours de cet événement, les objectifs et les enjeux de la démarche d’Écologie industrielle et territoriale (EIT) de l’association seront abordés, ainsi que les événements à venir dans ce cadre. Plusieurs entreprises, ayant déjà pris part à cette initiative, comme Lökki Kombucha, Green Spot Technologies et Citiz, témoigneront lors de la soirée qui se clôturera par un apéritif dinatoire.

Inscription gratuite en ligne.
Jeudi 7 novembre. 19h. Lycée Louis Giraud. 310 Chemin de l’Hermitage. Carpentras.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

La Ville de Vaison-la-Romaine vient d’installer un générateur d’eau atmosphérique mobile et autonome, fourni par la Région Sud et qui restera en place jusqu’au lundi 23 septembre 2024. Cette nouvelle arme révolutionnaire qui permet de produire de l’eau à partir de l’air ambiant va être testée dans la commune vauclusienne après un tour de plusieurs communes de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur lors de l’été 2024.

Le générateur a été installé sur le parking Brassens, à côté de l’Espace culturel. Des équipes de la Ville de Vaison-la-Romaine sont chargés d’effectuer des relevés réguliers qui indiquent la production d’eau quotidienne sur la commune. Alimenté par 14 panneaux solaires, le générateur aspire de l’air et le refroidit pour produire de l’eau par condensation. Elle est par la suite filtrée et minéralisée pour enfin être stockée dans un réservoir qui a une capacité de production qui peut aller de 500 à 600 litres par jour, selon les conditions climatiques. 

C’est la première en France qu’un générateur de cette envergure rentre en action. Une initiative importante voulue par la Région Sud dans le but de lutter contre la sécheresse et qui rentre dans le cadre de son Plan Or Bleu mis en place depuis 2018 par l’institution dirigé par Renaud Muselier. Ce générateur est une nouvelle avancée dans la lutte de la Région Sud sur les questions de la préservation de l’eau sur son territoire, un enjeu majeur pour l’avenir. 


Carpensud : allier rentabilité et écologie

La commune vauclusienne de Beaumes de Venise a fait le choix d’installer le revêtement thermique Climat’Road sur le sol de l’aire de jeux de l’école Jacques Prévert. Développé par Agilis, entreprise d’aménagement urbain et d’équipement routier, filiale du groupe NGE, ce dispositif innovant devrait permettre de limiter l’accumulation de chaleur et de lutter ainsi contre la canicule.  

Face à la vague caniculaire qui s’abat sur le Vaucluse, certaines communes du département ont décidé d’agir. C’est le cas notamment de Beaumes de Venise qui voit certains lieux de la ville particulièrement impactés par cette vague de chaleur comme l’école Jacques Prévert par exemple. Pour faire face à cette problématique écologique, la Mairie de Beaumes de Venise a choisi de tester le revêtement thermique Climat’Road sur les 12 m2 de l’aire de jeux qui se trouve au sein de l’établissement scolaire.

Le revêtement Climat’Road c’est quoi ?  

Développé par Agilis, dont le siège social se trouve au Thor et filiale du groupe NGE, cette solution permet de créer une barrière climatique à travers sa peinture au sol composée à 80% de billes en céramique creuse ce qui limite l’accumulation de la chaleur. Ce système est isolant, technique, conçu à base d’eau spécialement adapté aux usages urbains et routiers. Il agit comme une barrière thermique et s’applique dans de nombreux environnements (les trottoirs, les places, les zones de circulation piétonnes, pistes cyclables, parkings) et sur tout type de support (enrobé, asphalte, béton, fonte, pierre, etc.).

« Des essais ont été réalisés précédemment pour la Ville de Paris et Lyon Métropole et plusieurs communes l’ont déjà déployé : Le Thor, Drap, Limoges. À chaque fois, une différence de 10°C de ressenti au sol a été constatée dès son application, soit un gain en termes de confort direct à proximité des surfaces traitées par Climat’ROAD. » a déclaré Christophe Chevalier, directeur technique Agilis. Ce n’est pas la première solution proposée par l’entreprise Agilis afin de lutter contre la chaluer, un dispositif de béton végétalisé avait été testé l’an dernier au Pontet.

Comment ce dispositif agit-il ?

La solution Climat’ROAD est un revêtement au sol, spécialement conçu pour faire baisser les températures des espaces publics et lutter contre les îlots de chaleur. Le revêtement est appliqué à l’aide d’une machine à peinture en couche fine de 0,5 mm à 1 mm et sa composition lui permet d’agir à la fois comme isolant et réflecteur.

Développé par Agilis, filiale du Groupe NGE, quatrième groupe français de BTP, qui multiplie les initiatives notamment vers la jeunesse du territoire et qui a son siège social à Saint Etienne du Grès, ce dispositif empêche le stockage de la chaleur et permet donc de diminuer sa restitution. Si cette solution s’avère concluante durant ce « chaud » été 2024, la Mairie de Beaumes de Venise devrait poursuivre et étendre cette expérience sur l’ensemble de la cour de l’école Jacques Prévert pour prévenir la croissance des températures prévues dans les années à venir.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

Dans le cadre de son Plan Or bleu qui lutte contre la sécheresse et pour la préservation de l’eau, la Région sud a décidé de se doter d’une nouvelle arme pour remplir son objectif : un générateur d’eau atmosphérique, une première en France ! Cet outil qui permet de produire de l’eau à partir de l’air ambiant est en vigueur depuis le 15 juillet sur le site de la Société du Canal de Provence, à Rians sera ensuite prêtée à plusieurs communes du territoire en période de sécheresse dont Vaison-la-Romaine du 27 aout au 9 septembre 2024. 

Pour la première fois en France, un générateur d’eau atmosphérique mobile et autonome va être installé grâce au concours de la Région Sud qui a fait le choix d’investir dans ce dispositif qui transforme l’humidité de l’air en eau. Ce générateur, dont le développement a été pensé et conçu par la société AirDrink, situé à Bouilladisse (13), fonctionne par un système de condensation. Il est monté sur une roulotte avec un toit en panneaux solaires et de chaque côté des batteries et des réservoirs à eau.

Cette nouvelle « arme » contre la sécheresse rentre dans le Plan Or bleu mis en place depuis 2018 par la Région Sud qui prend très au sérieux les questions autour de la préservation de l’eau sur le territoire. Avec la dotation de ce générateur, la Région émet une action concrète pour faire face à cette problématique d’avenir. 

Préserver l’eau grâce à l’air vauclusien ?  

La production et l’efficacité du générateur dépend de la température et du taux d’humidité du secteur ou de la zone dans lequel il se trouve. D’une capacité nominale de 500 à 600 litres par jour, cette nouvelle technologie ne mesure pas plus d’1 mètre 20, peut fonctionner avec les batteries chargées au max pendant 15h d’affilée et produire 350 litres d’eau par jour. 

Une phase d’expérimentation vient de démarrer sur la région sud afin de tester la productivité des générateurs dans des conditions climatiques des différentes zones du territoire. Ces endroits ont été méticuleusement choisis selon leurs caractéristiques géographiques et climatiques. L’idée était de choisir un panel de conditions différentes, du littoral aux zones montagneuses en passant par les terres. 

Ainsi, ce nouveau générateur sera présent en terres vauclusiennes du 27 aout au 9 septembre à Vaison-la-Romaine. Ça sera la dernière halte pour ce dispositif qui est actuellement sur le site de la Société du Canal de Provence, à Rians jusqu’au 29 juillet, il ira ensuite à Briançon du 29 juillet au 9 aout puis à Bormes-les-Mimosas, du 12 au 26 aout avant de terminer son voyage dans le Vaucluse. À l’issue de cette phase d’expérimentation, ce générateur d’eau atmosphérique sera gratuitement mis à disposition des communes et aux EPCI qui manquent d’eau en période de sécheresse dès 2025. 


Carpensud : allier rentabilité et écologie

Une opération importante de dépollution de la Durance est en cours de puis le 8 juillet 2024 dans le but de permettre le retrait de nombreux dépôts sauvages dans la rivière qui se jette dans le Rhône. Cette initiative a été mis en place par le syndicat mixte d’aménagement de la vallée de la durance (SMAVD). 

Le SMAVD poursuit sa mission de protection de la Durance et de ses habitants. Depuis le 8 juillet 2024, une opération de dépollution d’envergure est en cours afin de retirer et de limiter le nombre de dépôts sauvages au sein du cours d’eau vauclusien. Pour permettre la réalisation la plus sécuritaire et efficace possible, la commune d’Avignon va intervenir pour limiter l’accès à la zone des véhicules légers qui causent bien souvent des incivilités dommageables. 

Une opération de restauration de la franchissabilité piscicole sur les seuils en Durance avait été initiée au préalable avec une restructuration de la digue palière. Avec ces actions, le SMAVD poursuit son objectif d’offrir un cadre de vie sain et durable aux habitants du bord de la Durance. Depuis plusieurs années, la rivière est encombrée par des dépôts de plusieurs nature (pneus, amiantes, déchets BTP, déchets ménagers). Les voiries attenantes vont désormais faire l’objet dans les prochains jours de mesures de gestion limitant les accès à ces secteurs vulnérables.

Les déchets collectés sont traités

Tous les déchets collectés à travers ces opérations sont traités dans les filières adaptées à savoir : 30 tonnes de déchets ménagers et industriels banals, 5 tonnes de pneus et 3 tonnes de plaques d’amiantes.

Sur plus de 6km, l’entreprise SABATIER Marius qui se spécialise dans les opérations de nettoyage et de collectes a entrepris de nombreuses actions et interventions pour le compte du SMAVD afin de dépolluer la zone souhaitée. La collecte des dépôts sauvages a duré plus d’une semaine et a mobilisé 4 opérateurs, un camion benne et un tractopelle sous la houlette d’un garde du SMAVD. Le coût global de l’opération est d’environ 33 000 € TTC.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

Le vendredi 5 juillet, un potager partagé a été inauguré en plein cœur du campus Jean-Henri Fabre qui fait partie de l’Université d’Avignon. Initiative agroécologique et environnementale, ce projet, tutoré par les étudiants vauclusiens, vient renforcer la politique écologique menée par Avignon Université.

Une idée qui a germé des esprits des étudiants de la Licence Professionnelle Transition agroécologique des territoires. Ce vendredi 5 juillet 2024, un potager partagé a été inauguré sur le campus Jean-Henri Fabre, institut Agrosciences, Environnement et Santé de l’Université d’Avignon.

Le baptême de ce nouvel espace s’est fait en présence d’Anick Dubois, vice-présidente représentant Joël Guin, président du Grand Avignon, de Céline Bourgeois, vice-présidente déléguée à la transition environnementale d’Avignon Université, de Séverine Suchail, co-responsable de la Licence professionnelle Transition agroécologique et de Georges Linarès, président d’Avignon Université.

Une initiative environnementale et éducative

Le potager partagé sera désormais sous la responsabilité et la gestation des étudiants de la licence qui assureront un suivi régulier à travers une nouvelle unité d’enseignement et d’ouverture (UEO). Largement soutenue par l’association Les Jardins du Colibri qui se bat pour faire entrer la nature en ville, Avignon Université a souhaité à travers ce projet « imaginer une agriculture durable » pour ses occupants.

L’objectif est d’accompagner le parcours des étudiants dans leur volonté de devenir des citoyens engagés dans la transition environnementale. Ce potager qui s’étend sur une parcelle de 500m2, s’inscrit dans la politique de sensibilisation et de formation des étudiants aux enjeux environnementaux, climatiques et sociétaux. Il relèvera également un grand défi pédagogique puisque sa mise est en place devra sensibiliser les étudiants aux bonnes pratiques agricoles, respectueuses de l’environnement et également inciter à la production sans apport d’éléments chimiques de synthèse ni techniques qui peuvent nuire à la biodiversité.

Un rôle social et culturel   

Pour assure la pérennité et le bon fonctionnement de ce potager, des mesures de durabilité, d’autonomie et de respect de l’environnement seront imposées. Un forage a également été créé afin de pouvoir arroser régulièrement la parcelle et des techniques de paillage seront également mis en place pour réduire la consommation en eau, une donnée importante, qui plus est sur le territoire vauclusien.

Différentes techniques agroécologiques seront expérimentées par les étudiants : la culture en lasagne avec une alternance de pelouse, paille, compost et broyat végétaux qui permet de réduire l’arrosage et favorise la qualité microbienne du sol, ou la culture en spirale, qui conduit à cultiver un grand nombre de plantes aromatiques sur une petite surface et constitue un habitat pour la faune auxiliaire.

Le potager partagé d’Avignon Université revêtira également un rôle social en alimentant tous les étudiants avec des légumes sains et locaux, ce qui assurera une qualité nutritive sur les différents sites de la faculté. Si l’inauguration a eu lieu en ce 5 juillet, le potager a déjà assuré ce rôle en produisant 80 laitues qui ont été récoltées fin mai. Une récolte d’oignons et d’échalotes est prévue très prochainement.

Sur le plan culturel, ce potager devrait être reçu comme un lieu de manifestation autour des thématiques de l’environnement durable et comme un espace de convivialité et de vie au sein de l’Université d’Avignon.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

Le lundi 3 juin 2024, Christian Gros, président de l’agglomération des Sorgues du Comtat et Christine Leuthy, directrice régionale Sud-Est de Citeo ont signé une convention pour une durée de 3 ans qui a pour but de prévenir l’abandon de déchets sur les espaces publics. Cette initiative rentre dans la politique territoriale voulue par les Sorgues du Comtat qui s’engagent en faveur de la protection de l’environnement et la promotion d’un mode de vie durable.  

Une étape importante et un engagement commun pour le bien-être de tous. Voilà comment résumer la signature de la convention qui s’est déroulée le lundi 3 juin 2024 entre l’Agglomération des Sorgues du Comtat et la structure Citeo. En s’associant sur plusieurs années (3 ans renouvelables) avec une entreprise spécialisée dans le recyclage des emballages ménagers et des papiers graphiques, l’entité dirigée par Christian Gros marque sa volonté de mettre les problématiques environnementales et écologiques au cœur de ses priorités.

Un plan sur 3 ans

La convention signée par les deux parties prévoit un plan de lutte contre les déchets abandonnées dans les espaces publics des communes de l’agglomération. Cette alliance qui devrait couvrir une partie des couts d’opération de nettoiement que les déchets engendrent a un cout total de plus de 460.000 euros, elle prévoit plusieurs mesures phares étalées sur les années 2024-2025-2026.

En premier lieu, une cartographie claire des « points noirs » en déchet abandonnés du territoire, un renforcement des moyens de nettoiement, une lutte contre les gestes d’abandon accompagnée d’une sensibilisation et d’une mobilisation des publics avec des opérations de ramassages. Un déploiement de campagnes de communication qui intègre les différentes problématiques du territoire et un nouveau moyen de captation et de caractérisation des déchets suivront dans une deuxième phase.

Les défis écologiques au cœur de l’engagement contre les déchets abandonnés

L’amélioration du cadre de vie, la préservation de la biodiversité et la protection de l’environnement sont au cœur du défi écologique dans lequel la Communauté d’Agglomération Les Sorgues du Comtat s’engage. Dans le défi de transition écologique, la question des déchets et de leur réduction est un axe stratégique, il s’intègre dans l’affirmation des 3R pour Réduire, Réutiliser, Recycler.

La lutte contre les déchets abandonnés dans l’espace public est donc un enjeu majeur pour l’Agglo qui l’a inscrite dans son Programme Local de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (PLPDMA) et est au cœur de la Stratégie Propreté que l’intercommunalité a engagé avec tous les acteurs publics, privés et citoyens du territoire. Une exposition photo nommée « Sortez de l’ombre, voyez la vie en couleurs. Soyez le relais du bon geste ! » constituée de photographies exclusives de Cyril Cortez pour sensibiliser aux déchets abandonnés a accompagné la signature de cette convention. Elle rentre dans le cadre des initiatives de sensibilisation à la propreté dans l’espace public.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

L’usine, le bon, la brute et le truand est un documentaire de Marianne Lère-Laffitte suivant l’histoire d’une lutte collective pour sauver une usine de papier près de Rouen. Il sera projeté ce lundi 3 juin au cinéma Le Vox à Avignon, et sera suivi d’un débat en présence de la réalisatrice.

Chapelle-Dorblay est la dernière usine à fabriquer du papier journal 100% recyclé en France. Fermée depuis 2019, la papeterie centenaire est désormais menacée de démantèlement. À sa place, un site de production d’hydrogène est prévu. Alors que les 217 salariés ont perdu leur emploi, trois delégués du personnel, deux ouvriers syndiqués et un cadre sons étiquette se battent pour sauver la papeterie de la fermeture. Vont-ils réussir à sauver leur usine ?

C’est ce dont il est question dans le documentaire L’usine, le bon, la brute et le truand. Réalisé par Marianne Lère-Laffitte, ce film est sorti au début de l’année 2024. Il fera l’objet d’une projection et d’un débat à Avignon ce lundi 3 juin, en présence la réalisatrice, ainsi que de l’Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne (Attac) de Vaucluse. L’occasion d’évoquer des sujets d’actualité comme la relocalisation industrielle, l’environnement et l’écologie.

Lundi 3 juin. 20h30. Cinéma Le Vox. 22 Place de l’Horloge. Avignon.


Carpensud : allier rentabilité et écologie

Le Pacte civique et la Communauté ‘Les entreprises s’engagent’ en Vaucluse présentent la comédie interactive ludique Sobriété à tous les étages écrite et jouée par la compagnie Reflet Théâtre autour du thème de la sobriété énergétique ce vendredi 31 mai à Avignon.

Cette représentation sera suivie d’une table ronde avec des acteurs locaux du territoire et des entreprises membre du club tels que le Grand Avignon, Biovence, Citeos, Ecomin, GSE ou encore Wayatech. Ces derniers partageront leurs approches et expérimentations en matière de sobriété en entreprise.

Cet événement est organisé à destination des chefs d’entreprise, managers et salariés de TPE, PME et grandes entreprises, ou tout autre personne souhaitant changer de regard sur l’importance de la sobriété dans le contexte écologique actuel.

Vendredi 31 mai. De 14h à 17h. 105 Rue Pierre Bayle. Avignon.

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