21 novembre 2024 |

Ecrit par le 21 novembre 2024

Quand les blouses font leur retour à l’école…

En ces périodes difficiles et compliquées on se surprend à penser que c’était mieux avant. Que l’on vivait plus facilement, avec une certaine forme d’insouciance, sans peur du lendemain. Et on se prête à regretter les temps passés…

La certitude que le monde tournait mieux avant a toujours existée. Les psychologues ont une explication assez simple. Dans le présent on est plus sensible à ce qui va mal (normal on le vit) et à contrario notre mémoire privilégie toujours les bons aux mauvais souvenirs. Logique. A cela, on pourrait ajouter le côté anxiogène de nombre de médias, qui ont une très forte propension à en rajouter bien au-delà du raisonnable. Aujourd’hui, beaucoup de nos moyens d’informations (sauf l’Echo du Mardi évidemment) font du catastrophisme un vrai fonds de commerce.
Les psychologues ont également observés que ce caractère passéiste était plus répandu chez les séniors. C’est d’ailleurs peut-être à cela qu’on reconnaît les vieux restés jeunes ! Mais au fond précisent-ils aussi, tout cela pourrait aussi être vécu comme l’espérance en des jours meilleurs. Nous voilà rassurés !

On préconise également de replanter des arbres dans les villes

Mais, si le présent n’est pas pire que le passé pourquoi avons-nous cesse, aujourd’hui d’y faire référence ou de remettre au goût du jour des idées, des pratiques anciennes ?
Les exemples sont multiples. Tenez, commençons par la rentrée scolaire. De très nombreuses écoles se sont portées candidates pour le retour de la blouse. On suivra de ce point de vue l’expérimentation lancée à Châteaurenard. Du côté des collèges l’usage des téléphones portables sera interdit dans l’enceinte des établissements. Place aux vrais échanges et à la balle au prisonnier ! Au printemps 2025, les consignes des bouteilles en verre feront également leur retour dans les magasins. Enfin ! De nombreuses communes incitent les foyers, qui le peuvent, à s’équiper de composts pour leurs déchets organiques. De quoi faire sourire nos aïeux. On préconise également de replanter des arbres dans les villes. Il a fallu du temps à certains pour comprendre pourquoi « les anciens » avaient planté des platanes dans les rues de nos villes et villages de Provence !

Jamais les boulangers n’avaient compté dans leurs rangs autant d’anciens directeurs financiers ou informatiques

Prenez aussi le domaine culturel. Comment expliquer ce retour étonnant du disque vinyle dans une période où tout se dématérialise ? Pourquoi les tournées des vedettes des anciennes gloires de la chanson ou de la musique font-elles salles combles ? Et c’est pas fini, comment expliquer ce regain d’intérêt pour les métiers manuels autrefois considérés comme des voies de garage ? Jamais les boulangers n’avaient compté dans leurs rangs autant d’anciens directeurs financiers ou informatiques. On pourrait aussi parler du grand retour de la pratique du vélo, de la photo argentique, des polaroïds, des anciens jeux vidéo, ou encore du choix incroyable de Citroën de réutiliser son logo vieux de 100 ans…etc…

Bref, le passé est plus que jamais présent. S’il peut améliorer notre quotidien alors conjuguons-les. C’est sans doute la meilleure façon de conjurer un futur bien incertain …


Quand les blouses font leur retour à l’école…

La Ville de Carpentras a entrepris depuis le mois de mai 2024 des travaux d’extension et de rénovation au sein de l’école élémentaire François Jouve. Les aménagements prévus qui comprend la création d’une salle polyvalente, de deux nouvelles classes et une reprise de la toiture se termineront en janvier 2025. 

La Ville de Carpentras a placé l’été 2024 sous le signe des travaux au sein de sa commune. Après les travaux d’élargissement qui ont démarré sur l’avenue pont des fontaines, la municipalité poursuit son engagement dans les écoles de la ville. C’est l’école élémentaire François Jouve qui est désormais au centre de l’attention et qui subit depuis le mois de mai 2024 des travaux d’extension et de rénovation. 

Depuis 2017, la Ville entreprend de nombreuses actions d’élargissement au sein de cet établissement. Pour accueillir plus de projets pédagogiques, l’école François Jouve a vu deux nouvelles classes et deux nouveaux enseignants s’ajouter au dispositif initial de la structure. En 2018 c’est un dédoublement des classes de CE1 qui a permis à l’école d’héberger plus de 250 élèves répartis en 15 classes. Pour permettre leur accueil, des modules préfabriqués ont été installés dans la cour de récréation mais ils ne pouvaient être qu’éphémères. C’est pour cette raison que des travaux de rénovation et d’extension sont actuellement menés. 

Crédit Photo : Ville de Carpentras

Une nouvelle salle polyvalente et une reprise de la toiture  

Concrètement, le chantier qui a débuté en mai 2024 et qui s’achèvera en janvier 2025, comprend une extension de 145m2 afin de créer une salle polyvalente, tout en répondant aux attentes de la communauté éducative. Le bâtiment principal de 168m2, va être rénové avec une reprise de la toiture et un aménagement de deux salles de classe de 38m2 va être effectuée et d’un réfectoire afin d’améliorer les conditions d’usage. 

Depuis mai 2024, les ouvriers ont commencé à réaliser les fondations de l’extension et monté les murs. Depuis juillet, la toiture et les menuiseries sont installés. Ce projet est estimé à un montant de 660.000 €. Il est financé grâce à l’aide d’une subvention de la préfecture de la région PACA : l’opération DSIL. Une seconde aide financière devrait se joindre à la première et elle proviendrait du fonds vert France Relance.  Plusieurs autres établissements de la ville de Carpentras vont subir des travaux durant cet été 2024. 


Quand les blouses font leur retour à l’école…

Depuis le 19 juillet, l’école maternelle Mizé Pouzol, située à Carpentras, subit des travaux. Un chantier qui s’inscrit dans le cadre du programme estival de rénovation des écoles de la Ville. Les travaux s’achèveront le jeudi 1ᵉʳ août.

L’absence des élèves et du personnel au sein des établissements scolaires pendant l’été permet à la Ville de Carpentras d’effectuer divers travaux d’aménagement et de rénovation. À l’école maternelle Mizé Pouzol, qui compte 126 élèves répartis en sept classes, la Ville a prévu de procéder à l’insonorisation et l’isolation thermique de la salle de motricité.

Pour ce faire, un faux plafond phonique va être installé pour améliorer l’acoustique et réduire le bruit. Ainsi, le plafond va être abaissé de quelques mètres, ce qui va permettre une meilleure isolation thermique, et donc une réduction de la consommation de chauffage en hiver. L’éclairage, quant à lui, va être remplacé par des LED. Le projet, qui s’achèvera le jeudi 1ᵉʳ août, a coûté 18 681€, financé par la commune.

Plusieurs autres écoles de la ville vont également bénéficier de travaux durant l’été comme des poses de pergola et végétaux, ou encore des travaux d’extension et de rénovation.


Quand les blouses font leur retour à l’école…

Le mardi 18 juin 2024, l’usine Orano Melox qui se trouve à Chusclan a inauguré son Campus des Métiers du Recyclage, soutenu par le plan France Relance. Un lieu de formation et de renforcement des compétences pour les employés de la firme. C’est un pas important pour l’entreprise française qui est la seule à recycler des combustibles usés pour produire un composant mélangé d’uranium et de plutonium.

Orano Melox, usine française spécialisée dans la fabrication de combustible nucléaire MELOX poursuit son évolution. Seule structure à recycler le plutonium qui se forme dans les réacteurs des centrales électronucléaires équipées de réacteur à eau sous pression, Orano Melox possède désormais son propre campus de formation, inauguré le mardi 18 juin 2024. France Relance a participé à ce projet en le finançant à hauteur de 4,6 millions d’euros.  

Un lieu de formation et d’apprentissage

Ce campus des métiers aura pour but d’accélérer la formation et la montée en compétences des personnels sur site afin d’améliorer l’utilisation du procédé qui permet la fabrication des combustibles MOX, principale activité de l’entreprise. C’est sur un espace de plus de 1000m2, non radioactif et équipé en outils physiques et numériques que les 800 membres du personnel Orano Melox ainsi que les sous-traitants pourront venir apprendre et s’améliorer.

La fabrication des combustibles Mox requérant un procédé de haute technologie, ce lieu permettra une avancée considérable dans la formation et l’apprentissage des nouvelles pratiques et des mesures de sécurité, en mouvance permanente. Orano Melox ne compte pas s’arrêter en si bon chemin puisqu’un nouveau bâtiment du même acabit devrait voir le jour en 2025. En attendant ce premier campus a permis de dispenser 10.000 heures de formation avec l’aide des 20 formateurs qui ont été référencés en interne et qui ont formé à eux seuls pas moins de 250 personnes.


Quand les blouses font leur retour à l’école…

L’Ecole Supérieure des Arts du rire (ESAR), voulue par Frédéric et Mélanie Biessy et rêvée par Jérémy Ferrari ouvrira ses portes en septembre 2024 dans les locaux de la Scala Provence.

« L’Humour est un Art à part entière qui prend tout naturellement sa place dans le projet Scala initié en 2018, date de l’ouverture de la Scala Paris, nous déclare en ouverture le directeur Frédéric Biessy. Si le projet ‘lieu de formation’ a toujours été présent dans le projet Scala, je n’avais pas encore rencontré la bonne personne en l’occurrence le futur directeur artistique de cette école : l’humoriste Jérémy Ferrari qui coche toutes les cases et qui s’intéresse à la transmission entre artistes. Je ne voulais pas faire une école de plus. Cette école devait être utile, accessible à tous, diplômante et professionnelle. » C’est le sens de la venue de Geneviève Meley-Othoniel, conseillère artistique, formatrice et enseignante universitaire, pour compléter ce triumvirat.

Une école unique en France qui croise formation initiale et formation continue

C’est ce qui a séduit Geneviève Meley-Othoniel, qui reprend exceptionnellement du service en tant que directrice générale – elle était jusqu’en septembre 2020 conseillère scientifique au Haut-conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur – et qui a été enthousiasmée par cette singularité : une école où on confond le milieu de la formation initiale et de la formation continue, bref, un croisement des publics, et ce dans un théâtre ! Elle vise une vraie reconnaissance de cette école par la création du Diplôme professionnel d’artiste-humoriste. L’inscription dans le cursus universitaire master/doctorat car la création est aussi un acte de recherche. La recherche de bourses pour les plus démunis est prévue (une dizaine sur une promo de 52).

Pour faire partie des 52 élèves choisis pour intégrer la première promotion de l’ESAR, une sélection en 3 étapes qui se veut à la fois exigeante et souple

Exigeante car il s’agira d’attester dans son CV d’une pratique artistique en théâtre et humour mais souple car tout est possible si on prouve sa motivation et détermination.

Et il en faudra de la détermination : si on est pré-sélectionné sur CV, il faudra adresser une vidéo d’un numéro d’humour pour la scène, dont le candidat est l’auteur et l’interprète, d’une durée de 5 minutes. A l’issue du visionnage, 70 candidats seront retenus par Jérôme Ferrari pour participer à un stage de 2 jours à l’issue duquel un jury d’admission retiendra les 52 heureux élus. Pas de limite d’âge, dérogations possibles, aménagement spécifiques des admis en situation d’ handicap. On ne s’interdit rien dans la sélection : tel est le leitmotiv de Jérémy Ferrari qui évoque souvent son absence de diplôme malgré son succès d’humoriste et de producteur à la carrière internationale.

Personne ne sortira de cette école sans être prêt à jouer tout en ayant trouvé sa propre personnalité artistique

Et pour cela une formation en 2 ans : 30h par semaine d’enseignement la première année sur le site de la Scala Avignon, 15 heures la deuxième année à La Scala Paris avec un dispositif d’insertion professionnelle reposant sur des représentations publiques des travaux à raison de 3h hebdomadaires. Pas de formatage mais un enseignement de qualité, complet : du théâtre, de l’impro, de la rhétorique, de l’écriture, du sport, des masterclass mensuelles, des scènes ouvertes à la Scala pour tester les sketchs, une équipe de 6 professeurs permanents passionnés qui interviendront régulièrement 2 jours par semaine, de nombreux intervenants professionnels de l’humour.

Au-delà de la direction artistique portée par Jérémy Ferrari, la transmission des enseignements est assurée par des artistes ou des acteurs du monde universitaire

Notamment Greg Romano (écriture), Jacky Matte (improvisation), Jean-Christophe Pare (jeu corporel), Émilie Weiss (théâtre), etc. Des personnalités présentant une carrière ou des travaux faisant autorité sont sollicitées, notamment Cynthia Fleury, Arnaud Tsamere, Vincent Dedienne, etc.

Les inscriptions sont ouvertes

La clôture des inscriptions est fixée au 14 avril 2024 dernier délai.
Tout dossier incomplet ne sera pas traité. Le dossier de candidature est à adresser par mail à contact@lascala-esar.fr
Dossier à télécharger sur le site https://lascala-esar.fr

Rentrée de la promotion 2024/2026 :
• À Avignon, du 30 septembre 2024 au 20 juin 2025
• À Paris, du 29 septembre 2025 au 19 juin 2026


Quand les blouses font leur retour à l’école…

Installé depuis 2022 dans les locaux de l’ancienne gare de Monteux, le musée de l’école d’autrefois vient d’être inauguré en présence de Christian Gros, maire de la ville, Annie Jozefiak, présidente de l’association ‘Les Amis du musée de l’école d’autrefois’, Lucien Stanzione, sénateur de Vaucluse, Annie Beaufour, inspectrice de l’Éducation Nationale et des représentants du Conseil municipal.

Ce musée, dont l’accès est gratuit pour les Montiliens, se veut un lieu de conservation, de valorisation et d’exposition d’un patrimoine de près de 200 ans d’histoire de l’école. La Ville est en charge de sa gestion, c’est-à-dire tout ce qui concerne l’organisation des visites et les tâches administratives, et l’association ‘Les Amis du Musée de l’école d’autrefois’, quant à elle, y organise des animations telles que des dictées, des ateliers de calligraphie, ou encore des escape games.

Au sein du musée, vous pourrez découvrir des objets, des photos, du mobilier d’écoliers, le tout mis en scène afin de vous faire faire un véritable bond dans le passé. Pour les visites libres, le musée est ouvert le premier mercredi et le premier samedi du mois de 10h à 12h et de 14h à 17h d’octobre à mars, et de 10h à 12h et de 14h à 18h d’avril à juin.

V.A.


Quand les blouses font leur retour à l’école…

La commune de Mirabeau a décidé de construire un groupe scolaire pour remplacer l’ancienne école, qui était une passoire énergétique. Le projet, dont les travaux ont débuté en juin 2021, s’est enfin achevé et 153 élèves ont pu faire leur rentrée dans la nouvelle école le 4 septembre dernier.

L’ancienne école de Mirabeau, en plus d’être un bâtiment ancien très énergivore, ne répondait plus aux normes de sécurité et d’accessibilité PMR (personne à mobilité réduite). Ainsi, le projet d’un nouveau groupe scolaire est né, il permet d’augmenter la capacité d’accueil des élèves et de répondre au développement démographique du village.

La nouvelle école, appelée « Mirabeau » en hommage à Honoré-Gabriel Riqueti Comte de Mirabeau, le célèbre aristocrate révolutionnaire qui vécut au Château de la commune, est composée de sept classes, trois maternelles et quatre élémentaires (aménageable pour accueillir quatre autres classes) mais aussi d’un centre aéré. Ce groupe scolaire est situé dans l’écoQuartier de la zone des Espinasses regroupant une structure d’hébergement pour personnes âgées et 23 logements sociaux réalisés par Grand Delta Habitat.

Une école plus écologique

Ainsi ce projet répond à des enjeux précis, notamment liés au respect de l’environnement. La nouvelle école a ainsi obtenu le label ‘Bâtiment durable méditerranéen (BDM) Or’ qui traduit la volonté des acteurs du projet de construire un bâtiment conçu, réalisé et entretenu de façon respectueuse de l’environnement, en assurant des consommations énergétiques minimum et un confort optimal pour les enfants et l’équipe enseignante.

En plus d’être inséré dans un écoQuartier, le groupe scolaire dispose d’une enveloppe performante, de protections solaires efficaces et d’une bonne gestion de l’inertie, de matériaux biosourcés, de systèmes simples et éprouvés et d’une sur-ventilation naturelle estivale.

Une sobriété architectural pour un meilleur confort

Le bâtiment en L est doté de préaux lumineux intégrés au bâti, des ‘respirations’ en façades qui offrent une transparence cour – préau – paysage valorisante, de matières lourdes qui respirent la pérennité et d’isolants biosourcés en majorité. Toutes ces configurations permettent un meilleur confort en été comme en hiver.

Les salles de classe sont protégées du soleil de l’après-midi, le béton permet une meilleure inertie thermique, les nombreuses ouvertures permettent des apports solaires gratuits en hiver, le plancher peut être chauffant comme rafraîchissant. L’espace récréatif, quant à lui, est séparé par un aménagement paysagé bien ombragé. Le groupe scolaire détient également un système de récupération et de stockage des eaux de pluie pour l’arrosage. Le parking et la cour de l’école, quant à eux, dispose de revêtements perméables.

Près de 6M€ d’investissement

Ce projet a nécessité un budget total de 5 860 000€, dont 1 335 000€ ont été financés par l’État, 1 116 000€ par la Région Sud, 253 000€ par le Département de Vaucluse, 300 000€ par la CAF, et 2 860 000€ par la commune de Mirabeau.

La phase d’études et de concertations a débuté en 2019 et s’est achevée en 2020. Les travaux, eux, ont commencé en juin 2021. L’objectif d’ouvrir la nouvelle école à la rentrée scolaire 2023 a été atteint, puisque 153 élèves ont pu y faire leur rentrée le 4 septembre dernier.

V.A.


Quand les blouses font leur retour à l’école…

La ville de l’Isle-sur-la-Sorgue s’investit dans les écoles primaires pour offrir des espaces d’observation et de découverte de la nature, et ainsi favoriser la biodiversité.

Tout au long de l’année et progressivement, le pôle ‘Environnement et cadre de vie’ installe des espaces naturels qui interagissent entre eux et dont la richesse est marquée par la diversité de la faune, de la flore et des micro-organismes. Ces espaces sont composés d’hôtels à insectes, de composteurs et/ou de potagers. Dernière création en date : un potager réalisé par le service des ‘Espaces verts’ à l’école élémentaire Lucie Aubrac qui accueille déjà un hôtel à insectes et un composteur.

D’autres équipements sont par ailleurs installés : des hôtels à insectes à l’école élémentaire Jean Beys, à l’école élémentaire René Char, à l’école primaire de Petit-Palais et dans les écoles maternelle et élémentaire du centre ainsi que des composteurs à l’école élémentaire René Char, et, prochainement, à l’école élémentaire Jean Beys. Une occasion pour les enfants d’apprécier la nature, d’apprendre à la respecter et de mieux la protéger.

L.M.


Quand les blouses font leur retour à l’école…

L’Imca (Institut des métiers de la communication audiovisuelle) est désormais bien installé à Sorgues. Implanté place des Corps-Saints à Avignon depuis 1995, l’Institut présidé par Alain Glasberg et dirigé par Nayma Diaf était trop à l’étroit dans ses 200m2 de locaux en intra-muros.

Après Arles, Nîmes, Avignon, c’est à Sorgues qu’une nouvelle page s’écrit. Toute l’équipe de l’IMCA s’est mobilisée pour accueillir ses convives à l’inauguration de ses nouveaux locaux. Au programme : présentation, information, diffusions, visite, démonstrations au studio, fond vert, régie, captations… La structure spécialisée vient ainsi de rejoindre le boulevard Roger-Ricca où son équipe de près d’une dizaine de permanent et d’une quinzaine d’intervenants y enseignera les métiers de l’audiovisuel, de l’écriture de scénario dans un espace de 500m2.

Lire aussi : L’Imca va quitter Avignon pour Sorgues

L’Imca forme une centaine de personnes par an lors de sessions plus ou moins longues allant de quelques jours à plusieurs mois. Ses formations dans l’audiovisuel, polyvalentes et généralistes, permettent notamment d’acquérir les bases indispensables pour ensuite aborder les innovations technologiques dans le secteur de l’audiovisuel (la webvidéo, images embarquées, réalité augmentée, mapping, 360°, hologramme, son directionnel). Depuis sa création, l’Imca a formé plus de 2 500 professionnels de l’audiovisuel. Retour en photos de l’inauguration.

Crédit photo: IMCA
Crédit photo: IMCA
Crédit photo: IMCA
Crédit photo: IMCA

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