Orange Les Vignes : des jeux d’eau tous les mercredis de l’été
Tous les mercredis de juillet et août, de 10h à 12h et de 15h à 18h, des structures gonflables et des animations aquatiques sont mis à disposition au centre commercial d’Orange Les Vignes.
Quand arrivent l’été et les vacances, les jeux d’eau sont prisés par les petits et grands enfants. C’est amusant, ça rafraîchit et c’est toujours drôle d’arroser les autres ou de se jeter sur les boudins d’un toboggan aquatique.
Pour allier le plaisir des enfants et le shopping, le centre commercial d’Orange Les Vignes met en place , tous les mercredis de juillet et août, de 10h à 12h et de 15h à 16h, des structures gonflables et des animations aquatiques sur le parking en face de JardiPassion.
Animation gratuite et à partir de 3 ans.
J.R.
Orange Les Vignes : des jeux d’eau tous les mercredis de l’été
L’été est là et les vacances approchent à grand pas. La baignade et les sports nautiques sont des activités extrêmement populaires durant la période estivale. Chaque année, l’Agence européenne pour l’environnement publie son évaluation de la qualité sanitaire et environnementale des eaux de baignade. Quels sont les meilleurs endroits pour « piquer une tête » en Europe ?
Avec plus de 95 % des sites jugés de qualité « excellente », l’Autriche, Malte, la Grèce et la Croatie arrivent en tête pour la qualité des eaux de baignade sur le Vieux-Continent. En France, environ 76 % des sites ont obtenu cette distinction en 2021 (sur plus de 3 300 surveillés), un score correct bien qu’il soit inférieur à la moyenne de l’Union européenne (85 %). Dans le détail, 15 % des sites restants présentent une eau de « bonne » qualité, 4 % étaient classés en niveau « suffisant » et 3 % « mauvais ». Dans les pays voisins, la proportion de sites de qualité « excellente » varie de 66 % au Royaume-Uni (données de 2019) à 90 % en Allemagne.
Si les résultat semblent particulièrement mauvais pour la Pologne, il est important de noter que plus du tiers des sites de baignade n’ont pas pu être évalué dans ce pays en 2021, d’où l’obtention d’une faible part de sites de qualité « excellente » (moins de 50 %). Sur les eaux de baignade étudiées, près de 71 % étaient tout de même « excellentes » – soit un score plus élevé que les deux autres pays en queue de classement, la Slovaquie (50 %) et la Hongrie (60 %).
Orange Les Vignes : des jeux d’eau tous les mercredis de l’été
Selon la définition de l’ONU, « lorsqu’un territoire prélève 25 % ou plus de ses ressources renouvelables en eau douce, on considère qu’il est en situation de stress hydrique ». À l’échelle mondiale, en 2018, seulement un peu plus de 18 % du total des ressources renouvelables en eau douce étaient prélevées. Mais à l’échelle régionale cependant, certains territoires connaissent déjà de graves problèmes de pénurie d’eau. Dotés d’un climat naturellement aride ou semi-aride, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient présentent les niveaux de stress hydrique les plus élevés et subissent déjà de plein fouet les effets du changement climatique. Ailleurs dans le monde, certains pays d’Asie centrale et du Sud, mais aussi d’Amérique latine et d’Europe (Espagne, Italie,…) sont déjà classés en niveau de risque « élevé ».
Comme le montrent les projections du World Resources Institute pour 2040, la raréfaction des ressources en eau est malheureusement amenée à s’aggraver. Un rapport de l’Economist Intelligence Unit indique que « l’urbanisation galopante, la croissance démographique, le changement climatique et le développement économique exercent une pression sur les systèmes d’approvisionnement en eau ». Selon les prévisions, 44 pays seront confrontés à des niveaux de stress hydrique « extrêmement élevés » ou « élevés » à l’horizon 2040. Comme l’avertit ce rapport, « dans le même temps, l’élévation du niveau des mers place un nombre croissant de territoires, notamment en Asie de l’Est et du Sud-Est, dans une situation de risque accru d’inondations, pouvant submerger les systèmes d’assainissement et polluer les sources d’eau potable ».
Orange Les Vignes : des jeux d’eau tous les mercredis de l’été
Le préfet coordinateur de bassin Rhône Méditerranée vient de sortir 8 communes vauclusiennes du classement en ‘Zone Vulnérable aux nitrates’. Il s’agit de Bollène, Lamotte-du-Rhône, Lapalud, Mondragon, Lagnes, l’Isle-sur-la-Sorgue, Saint-Didier et Saumane. De fait, les agriculteurs de ces territoires ne sont donc plus soumis à la réglementation ‘nitrates’. « Cette nouvelle délimitation prend en compte le travail important fourni par les agriculteurs depuis plusieurs années, se félicite Georgia Lambertin, présidente de la Chambre d’agriculture de Vaucluse. Beaucoup d’entre eux se sont engagés vers la certification HVE ou en conversion Bio. Une fois encore, les agriculteurs vauclusiens peuvent être fiers de s’être adaptés aux enjeux sociétaux et environnementaux actuels. En ajustant leur façon de travailler, ils s’engagent dans le développement durable de leurs activités pour exercer leur métier : nourrir la population avec des produits sains et de qualité. Cela nécessite des adaptations et une formation tout au long de la vie. La Chambre d’agriculture est à leur coté et à leur écoute. Tous ces efforts sont payants et je remercie tous les agriculteurs qui se sont engagés pour que cette nouvelle délimitation soit possible. Sachons pérenniser ces acquis. Continuons dans cette dynamique pour une agriculture toujours plus vertueuse, pérenne et résiliente, capable de préserver la qualité de l’eau, un de nos biens les plus précieux. »
Encore 7 communes concernées Une zone vulnérable délimite un territoire sensible aux pollutions par les nitrates et sur lequel s’applique une réglementation particulière pour les exploitants agricoles. C’est la qualité de l’eau et notamment les teneurs en nitrates qui déterminent si une commune ou partie de commune entre dans le classement. En Vaucluse, les eaux souterraines, nappe Miocène et nappe alluviale des plaines du Comtat montrent encore des teneurs en nitrates élevées et 7 communes autour de Carpentras (Aubignan, Carpentras, Loriol-du-Comtat, Mazan, Monteux, Pernes-les-Fontaines et Sarrians) restent ainsiclassées en zone vulnérable. Sur ces territoires, les programmes d’actions nationaux et régionaux actuels continuent de s’appliquer jusqu’à leur révision en 2022.
Une victoire importante pour les agriculteurs « La sortie du classement en zone vulnérable de 8 communes du département est une victoire importante : grâce au travail de la Chambre d’agriculture et à la rigueur des agriculteurs, nous avons pu influer sur ce classement, qui représente une réelle contrainte pour les agriculteurs, insiste André Bernard, président de la Chambre régionale d’agriculture Provence-Alpes-Côte d’Azur et ancien président de la chambre vauclusienne. Depuis plus de 20 ans nous travaillons à montrer qu’il y a certaines anomalies dans le classement de communes vauclusienne en zone vulnérable et que l’origine agricole des nitrates n’est pas démontrée. L’origine des contaminations est très probablement partagée avec les nombreuses stations d’épuration et assainissements individuels du territoire. Il est difficile d’imaginer sortir totalement le Vaucluse des zones vulnérables, mais nous nous attacherons à vérifier que les points de contrôles et les analyses sont bien représentatifs du territoire et que l’origine des nitrates est démontrée. J’appelle les agriculteurs des communes concernées à poursuivre leurs efforts pour monter que l’agriculture sait se remettre en question quand c’est nécessaire. Sur ce secteur le travail effectué ces dernières années par les producteurs hors-sol par exemple est fantastique et les progrès immenses. »
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Organisation non-gouvernementale (ONG) Volubilis propose, en partenariat avec MAJ, une formation à destination des professionnels de l’aménagement, lors des 14e Rencontres euro-méditerranéennes, les 25 et 26 novembre prochains. Il s’agira de comprendre les enjeux de l’eau et les réponses innovantes apportées par les territoires méditerranéens pour mieux les adapter.
À qui s’adresse la formation ?
Aux professionnels de l’aménagement du territoire et des projets urbains : urbanistes, paysagistes, architectes, agronomes, géographes, agents des collectivités locales ou des services de l’État, membres des CAUE (Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement), Agences d’Urbanisme, Parcs Naturels Régionaux, enseignants, chercheurs…
En savoir plus
Le référent est Sébastien Giorgis architecte, paysagiste-concepteur et Urbaniste SFU (Société française des urbanistes). Les intervenants sont : Thierry Paquot philosophe ; Riccardo Petrella politologue et économiste ; Chantal Aspe sociologue ; Akiça Bahri ingénieure agronome ; Agence de l’eau ; la Compagnie nationale du Rhône, la SMAVD (Syndicat mixte d’aménagement de la Vallée de la Durance) ; Icomos (Conseil international des monuments et des sites)…
Les infos pratiques
Durée : 2 jours. Tarif : 750€ en présentiel (Déjeuners et place de cinéma inclus). Théâtre des Halles rue du Roi René à Avignon. Prise en charge : Demande à effectuer rapidement auprès de Pôle Emploi ou de votre organisme de formation : FIP PL, Uniformation, OPCO EP et Atlas. Volubilis. 8, rue Frédéric Mistral à Avignon 04 32 76 24 66. Inscription ici. contact@volubilis.org
Volubilis
Volubilis œuvre à tisser des liens de culture, d’amitié et de partage de connaissances entre les hommes et les territoires d’Europe et de Méditerranée sur les questions de la ville et des paysages contemporains. Elle contribue à l’initiation, la sensibilisation et la formation des élus, professionnels et citoyens, curieux et passionnés, autour d’une approche pluriculturelle permettant de dépasser les clivages entre science et art, nature et culture, connaissance et action, sensibilité et savoir, sur un territoire aussi vaste que le pourtour méditerranéen.
Tous concernés
Volubilis mobilise ainsi, chaque année, un réseau de plusieurs centaines d’acteurs, qu’ils soient élus, professionnels ou citoyens, passionnés par les questions d’aménagement des territoires, de l’urbanisme, des paysages, de l’architecture et de l’environnement. Le réseau est constitué de chercheurs, enseignants, agents territoriaux, entrepreneurs, représentants associatifs, artistes (plasticiens, photographes, comédiens, musiciens…), habitants, etc.
Agrément
Volubilis possède un agrément régional de protection de l’environnement depuis 2014. Membre du réseau des Clubs Français de l’Unesco depuis 2017, l’association de loi 1901 créée il y a 23 ans, est désignée Centre de Ressources Régional pour les paysages, l’environnement et l’aménagement des territoires par la Région SUD Provence-Alpes-Côte d’Azur. MH
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L’édition 2021 de l’application gratuite ‘Qualité rivière’ des Agences de l’eau est disponible sur smartphone (Android, IOS) tablette et sur PC depuis cette année. Elle informe sur la qualité écologique des eaux des 363 points de surveillance des rivières de Provence-Alpes-Côte d’Azur et sur les espèces de poissons qui s’y trouvent.
Et pour ceux qui aiment se jeter à l’eau, l’appli renseigne en temps réel sur la qualité bactériologique des eaux de baignade grâce aux données du ministère de la Santé. Vacanciers, pêcheurs, amateurs de sports d’eau.
Quand praticité rencontre ludicité
L’application ‘Qualité rivière’ permet de repérer facilement l’état des cours d’eau ainsi que les espèces de poissons vivant dans nos rivières. A la maison, depuis le bord de l’eau ou en embarcation, vacanciers, pêcheurs, kayakistes et randonneurs peuvent accéder aux données de la rivière la plus proche ou d’une rivière de leur choix en tapant un code postal ou le nom de la commune. Une carte interactive affiche la qualité de la rivière sélectionnée : en ‘très bon état’ (couleur bleu), en ‘bon état’ (vert), en ‘état médiocre’ (orange) et parfois en ‘mauvais état’ (rouge). La présence du picto ‘poissons’ vous signale également quelles espèces que vous pourrez apercevoir ou pêcher.
L’application s’adresse à tous les publics et propose des jeux et des quiz pour tester ses connaissances sur l’eau, ou encore connaître les comportements à éviter. La qualité des cours d’eau peut aussi être comparée sur 3 ans permettant ainsi de voir les efforts accomplis par les acteurs des territoires pour restaurer les rivières et lutter contre les pollutions.
Un simple clic !
Une journée au bord de l’eau ou d’une descente en kayak vous tente ? L’application gratuite permet de se jeter à l’eau en toute sécurité. Pour chaque site de baignade, vous disposez de données sur la qualité bactériologique des eaux. Ces données, issues du ministère de la Santé, sont actualisées régulièrement et disponibles en temps réel sur l’application pour smartphone et tablette (et le seront très prochainement sur la version PC).
Les lieux de baignade sont classés selon un pictogramme et un code couleur indiquant la qualité sanitaire des eaux surveillées pour se baigner sans risque pour la santé : qualité excellente en bleu, bonne qualité en vert, qualité suffisante en jaune et insuffisante en rouge.
5 millions de données accessibles
Chaque année, plus de 5 millions d’analyses sont réalisées sur 1 600 points de surveillance dans les bassins Rhône-Méditerranée et de Corse. L’agence de l’eau coordonne et rassemble les données d’organismes partenaires tels que les Dreal et l’Office français de la biodiversité pour les poissons. La connaissance et la collecte de données sur l’état des milieux aquatiques font partie des missions fondamentales de l’agence de l’eau. Toutes ces données sont disponibles sur le site internet : www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr et www.corse.eaufrance.fr
L.M.
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En Provence-Alpes-Côte d’Azur, 21 bassins versants et nappes souterraines sont en déficit d’eau. 5 départements sur les 6 de la région ont pris des arrêtés sécheresse en 2020.
A l’occasion de sa journée d’échanges sur le partage de l’eau, l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a réuni plus de 200 participants (collectivités, représentants du monde agricole et économique) pour faire le point sur la disponibilité en eau dans le sud du bassin Rhône-Méditerranée et sur les stratégies adoptées pour gérer collectivement une ressource en tension. Des plans de gestion de la ressource en eau (PGRE) sont très largement engagés, en concertation avec tous les usagers de l’eau. Ils les incitent en priorité à économiser l’eau.
Des ressources inégales
Les études révèlent un manque d’environ 35 millions de m3 pour satisfaire l’ensemble des usages sur ces territoires et laisser un débit suffisant dans les rivières pour préserver la qualité de l’eau et la vie biologique.
La ressource en eau est relativement abondante en Provence-Alpes-Côte d’Azur, mais très inégalement répartie. Les 2/3 proviennent du système Durance-Verdon qui fournit les secteurs moins dotés comme le littoral (Marseille, Toulon) grâce aux grands aménagements hydrauliques, tel que le canal de Provence. Mais ils ne peuvent suffire à satisfaire en permanence l’ensemble des besoins en eau.
En cas d’inaction, avec le dérèglement climatique et la croissance démographique (d’ici 2030, une augmentation de la population de 500 à 600 000 habitants est prévue – source Insee), les situations de crise vont se multiplier. A l’horizon 2050-2070, le débit moyen des principales rivières de France devrait diminuer d’au moins 10 à 40 %.
Agir collectivement
Pour éviter de dégrader l’état des rivières et des nappes, il faut gérer collectivement la ressource en eau. Construits en concertation entre l’ensemble des usagers du territoire, ces projets de territoire visent à garantir un partage équilibré entre les besoins des différents usages (eau potable, irrigation, industrie…) tout en laissant un volume d’eau suffisant dans les rivières et les nappes pour leur bon fonctionnement et leur bon équilibre. Le Territoire de PACA compte désormais 19 plans de gestion de la ressource en eau, déjà adoptés ou en cours d’adoption sur les 21 à élaborer. Cela représente un gain potentiel de 35 millions de m3 d’eau économisés ou substitués.
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En 2020, la municipalité de L’Isle-sur-la-Sorgue lançait l’opération ‘Jardinons nos rues’ qui traduit sa volonté de renforcer la présence du végétal en ville en incitant les habitants à jardiner. À l’instar de précédents chantiers tels que la réfection du chemin de l’école d’agriculture et de la rue Denfert-Rochereau ou la création du skate-park, la Ville poursuit ses aménagements en associant sol et végétal à ses projets urbains.
L’école de musique, lieu de vie
Au fil des années et des créations de classes et sections, le nombre d’élèves est passé de 80 en 1972 à plus de 400 aujourd’hui. Organisant plus de 50 concerts à l’année, l’école de musique est un lieu de vie partagé ouvert au public. Sa cour constitue aujourd’hui un îlot de chaleur. D’une superficie de 623m2, elle est composée de 548m2 d’enrobé et de seulement 75m2 d’espaces verts, dont 27m2 de pelouse. L’enjeu est de taille : renaturer le sol pour améliorer le cadre de vie et favoriser le cycle de l’eau.
Rafraîchir la ville
Fin juin, la Ville lance des travaux de désimperméabilisation et de végétalisation de la cour de l’école de musique située au Bassin. Objectifs : retrouver un espace perméable qui laisse l’eau de pluie s’infiltrer, contribuer à la recharge de la nappe et au rafraichissement estival de la ville qui renoue un peu plus avec la nature. Le chantier a été retenu dans le cadre d’un appel à projets de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse.
Mode d’action
Le projet consiste à désimperméabiliser la totalité de la cour en retirant l’actuel enrobé pour mettre en place un revêtement perméable et végétaliser la cour en prenant en compte les usages. Egalement dans le projet, la plantation de 10 arbres supplémentaires et de 185m2 d’espaces verts plantés d’essences variées et adaptées et gérer les eaux pluviales à la parcelle par la création d’un puits perdu de 54m3 (21,6 m3 de volume de stockage utile) et de noues paysagères (bassin de pluie).
Pour s’inscrire dans la continuité, des végétaux d’essences variées et adaptées seront plantés. Une composition d’arbustes, vivaces et couvre-sols variée d’une hauteur d’1,5 mètres environ viendra agrémenter le pourtour de la cour et offrira des couleurs et senteurs aux usagers tout au long de l’année. Cette cour, autrefois « ilot de chaleur » deviendra alors un « îlot de fraîcheur ».
Aménagements complémentaires
Du mobilier urbain et des aménagements complémentaires viendront parfaire le projet. Le site sera embellit et adapté grâce à un éclairage led, des assises en bois, des corbeilles à papier, une borne fontaine, un accès PMR permettant l’accès à l’établissement depuis l’entrée, la réalisation d’escaliers depuis le cours Fernande Peyre où une ouverture (portail) sera créée et la mise en place d’un espace scénique pour les concerts
Les travaux de génie civil et végétalisation sont pris en charge à hauteur de 70% du montant par l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (hors éclairage, mobilier et autres embellissements). Le reste du projet est pris en charge par la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.
Orange Les Vignes : des jeux d’eau tous les mercredis de l’été
Étant donné qu’environ 80 % des déchets plastiques qui finissent leur course dans l’océan y sont transportés par les cours d’eau, de nombreux experts estiment que concentrer les actions au niveau des fleuves et des rivières est l’une des solutions les plus efficaces pour lutter contre la pollution marine.
Un rapport publié par EarthWatch Europe a révélé que plus de 37 % des déchets retrouvés dans les cours d’eau européens sont des déchets plastiques directement liés à des produits de consommation courante. Parmi ces déchets plastiques, les plus répandus sont les bouteilles en plastique (14 %) et les emballages alimentaires (12 %), qui représentent ensemble plus du quart des plastiques collectés. On retrouve ensuite les mégots de cigarette (9 %), puis les boîtes alimentaires à emporter, les cotons-tiges et les gobelets.
En 2019, le Parlement européen avait validé l’interdiction des plastiques jetables, comme les pailles, couverts et cotons-tiges, à compter de l’année 2021. En France, l’interdiction a pris effet le 1er janvier et cette dernière sera totale à partir du 1er juillet, puisque les stocks commandés avant 2021 pouvaient encore être écoulés jusqu’à cette date. La législation validée par le Parlement européen a par ailleurs fixé pour les pays membres un objectif de collecte de 90 % des bouteilles en plastique d’ici 2029.