22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Installé dans l’ancien Couvent de la Visitation de la ville et situé en plein cœur de centre de Romans-sur-Isère, le musée de la chaussure abrite une collection unique, toutes époques et géographies confondues. Se faisant l’écho de la production romanaise autour du travail du cuir et de la chaussure, la collection invite au voyage à travers les âges et les civilisations, des origines à nos jours, de cet objet du quotidien.

Comme un miroir des sociétés passées et présentes, d’ici et d’ailleurs. Une sandale égyptienne, une chopine européenne inconfortable ou encore des mules féminines révolutionnaires… la palette de chaussures du musée de Romans est d’une richesse stupéfiante. Autant d’objets sur lesquels nos yeux peuvent s’étonner, s’émerveiller, se questionner.

Des murs chargés d’Histoire
D’autant que le lieu d’accueil de la collection, porte en lui l’imaginaire d’événements historiques. Au départ Couvent de la Visitation, fondé au début du XVII°, il abritait les sœurs Visitandines. Chassées du couvent en 1905 (loi de la séparation de l’église et de l’État), il devient tour à tour hôpital militaire et école supérieure de jeunes filles avant de devenir, en 1971, l’un des musées les plus réputés autour de la chaussure. Pour autant, il ne s’agit pas du premier musée en la matière que la ville drômoise ait connu. Déjà, dans les années 1950 et initié par Marie-Madeleine Bouvier, un musée d’art et des traditions avait constitué une petite collection de chaussures. «C’est à la fin des années 60, au regard de l’histoire romanaise de la chaussure que la ville a été approchée pour acquérir une collection d’exception, la collection d’un homme passionné de chaussures : Victor Guilen» raconte Sandrine Ruinaud, responsable du service des publics du musée.

La chopine est liée à l’apparition du talon haut.

Objet de recherche
 Toute sa vie durant, ce passionné de chaussures n’a eu de cesse de chercher et de collectionner toutes sortes de chaussures : historiques, géographiques etc. Une collection dont la ville est devenue propriétaire et qui fait «la base» de ce qui est présenté au public. Le musée de Romans a également bénéficié de dons et de dépôts du musée de Cluny à Paris. Ainsi, sont conservées dans l’enceinte du musée pas moins de 20 000 chaussures. Et seulement 10% sont présentées sur le parcours de visites, dans la mesure où seulement 2 000 objets sont exposés. «Ce qui indique que nous avons de très, très grandes réserves, qui nous rappellent que l’objet chaussure  est toujours un objet de recherche» souligne, sourire enthousiaste aux lèvres, Sandrine Ruinaud. Des chercheurs, scientifiques, universitaires, designers et créateurs sont régulièrement accueillis dans le musée pour «se nourrir de nos collections». Récemment, une chercheuse espagnole est venue consulter la collection pour une étude autour de la chopine.

Des mules féminines révolutionnaires. 

Aliénation des femmes
Aujourd’hui perçue comme une curiosité, la chopine n’est plus l’objet du quotidien qu’elle représentait en Italie ou dans la péninsule ibérique. Liée à l’apparition du talon haut, c’est à la Renaissance qu’elle se porte pour «indiquer la classe sociale à laquelle on appartient». Pour autant, la chopine demeure un objet d’aliénation des femmes. En effet, chaussées de chopine, les dames ne pouvaient se déplacer à leur guise – le port de ces chaussures impliquant l’accompagnement de deux domestiques ainsi qu’une démarche instable – et exercer les activités telles que la danse, mal vue d’un point de vue religieux. Faite de liège, de bois ou de métal, puis recouverte de cuir, de brocart ou de velours, l’usage des chopines est définitivement abandonné au XVII°, parce que considérées comme dangereuses. 

De même en Chine où les chaussures (ou botillons( témoignent des contraintes imposées aux femmes. Pendant plus de mille ans, le bandage des pieds des petites filles était imposé. «Aujourd’hui, nous parlons de mutilation : l’objectif étant d’éviter au pied de grandir, on n’hésitait pas à casser les métatarses. Un pied de femme chinoise ne devait pas dépasser 7,5 cm» rappelle Sandrine Ruinaud. Et d’ajouter : «La femme chinoise est forcément oisive, c’est-à-dire mécontrainte : elle ne peut pas se déplacer, ni supporter le poids de son corps sur ses petits pieds». Interdite en 1912, la pratique a pourtant perduré dans les campagnes chinoises jusque dans les années 1950.

Les pieds des femmes chinoises ne dépassaient pas 7,5 cm. 

La plus ancienne pièce du musée
La pièce la plus ancienne de la collection  du musée, quant à elle, est entreposée à l’étage : il s’’agit d’une sandale égyptienne âgée de pas moins de 3 500 années.
 «Et elle n’est pas sans rappeler une chaussure que vous portez» me lance, comme une devinette, la responsable des relations avec le public du musée. «C’est la tongue!» s’exclame-t-elle. Tongue, sandale ou encore chaussure ouverte, celle qui est exposée au musée est faite de fibre de papyrus. Poussant en abondance sur les bords du Nil, la ressource est exploitée entre autre pour la fabrication de chaussures : le papyrus est coupé, séché et tressé. 

Cette sandale égyptienne est la plus vieille pièce du musée. 

«Ce qu’il faut retenir, c’est que depuis l’Antiquité, on a inventé les trois formes de chaussures qu’on connaît actuellement. La chaussure ouverte, donc la sandale. La chaussure fermée, le soulier. Et puis, il existe une troisième forme qui est la botte. C’est un soulier avec une protection sur la jambe.  En fonction des altitudes, on va porter tel ou tel soulier». Et parmi les chaussures fermées, on remarque un usage surprenant des escarpins…«Étymologiquement, un escarpin, c’est une chaussure décolletée sur le dessus du pied. D’ailleurs, l’escarpin n’est pas genré : les hommes en portent!».  Car l’escarpin peut aussi être plat ou à talons. Une utilisation des plus étonnantes pour les Françaises et les Français, contrairement aux européens du sud :  «Je fais souvent le test avec les groupes de touristes C’est assez marrant parce que quand je parle d’escarpins à des Espagnols ou des Italiens, ils me disent que c’est une chaussure comme une ballerine». Autant d’anecdotes et de connaissances sur la chaussure qui en font percevoir une autre dimension. 

Lisa Fégné – L’Echo Drôme Ardèche pour Réso hebdo écho

INFOS PRATIQUES : 
Ouvert en août du lundi au samedi de 10h à 18h et les dimanches et jours fériés de 14h30 à 18h 
Contact : 04 75 05 51 81 / musee@ville-romans26.fr
Adresse : Portail Roger VIVIER – Rue Bistour – 26 100 Romans-sur-Isère 
Tarif normal : 7,5€


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Face à la crise énergétique, l’entreprise Charles & Alice, tout comme de nombreux industriels, a décidé de diversifier ses sources d’énergie. Ainsi, la société drômoise à opter pour les énergies renouvelable, et notamment l’énergie solaire, pour ses sites drômois et vauclusien.

Le site de production de Monteux, en Vaucluse, acquis par l’entreprise en 2021, est désormais doté de 1178 modules photovoltaïques, posés notamment sur des ombrières et des bâtiments de stockage. Installés sur 2200 m², ces panneaux solaires permettent d’éviter jusqu’à 34 424 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de la consommation électrique de 124 foyers.

Charles & Alice a également opté pour l’énergie solaire sur son site d’Allex, dans la Drôme, avec l’installation de 1 328 modules photovoltaïques sur une surface de 2 419 m². L’énergie produite sur l’année par ces panneaux représentera la consommation électrique de 129 foyers par an, soit l’équivalent de 35 676 tonnes de CO2 économisées par an.

« Nous sommes en recherche constante de solutions pour parvenir à réduire notre consommation et notre empreinte carbone », a affirmé Fabien Ployon, directeur industriel de Charles & Alice. Depuis 2018, le groupe a installé 7 600 m² de panneaux photovoltaïques, ce qui représente une réduction de 86 tonnes d’émissions de CO2 par an. Ces installations représentent 10% des besoins en électricité de l’entreprise.

V.A.


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Alors que 109 000 foyers Vauclusiens, pour un total de 351 000, sont éligibles à la prime carburant, seuls 50 488, soit 46% d’entre eux, en ont fait la demande, à la date du 13 février.

Un nombre qui peut paraître relativement faible compte tenu du contexte économique, mais qui est dans la moyenne du pourcentage de demandes dans les départements limitrophes. En effet, le pourcentage de demande parmi les foyers éligibles en Vaucluse est supérieur au même pourcentage dans les Bouches-du-Rhône (38%) et les Alpes-de-Haute-Provence (40%) mais inférieur dans les départements de la Drôme (49%), du Gard (49%) et de l’Ardèche (52%).

Foyers éligibles prime carburant par département

Pour rappel, le délai pour effectuer la demande d’indemnité de carburant de 100€ sur impots.gouv.fr a été prolongé d’un mois, soit jusqu’à la fin du mois de mars. Cette aide de 100€ est l’équivalent d’une remise de plus de 10 centimes par litre pendant un an pour un automobiliste moyen (12 000 km par an avec un véhicule consommant 6,5L/100km).

Au total, sur l’ensemble du territoire, 5,17 millions de demandes ont déjà été effectuées et le nombre d’indemnités versées ou en cours de versement est de 3,3 millions. A noter qu’un petit nombre de paiements sont en attente du fait de l’absence de RIB du bénéficiaire.

Pour rappel, le temps de traitement entre le remplissage du formulaire et le versement de l’indemnité est en moyenne de 10 à 14 jours.

Pour effectuer votre demande d’indemnité carburant, cliquez ici.


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Ce samedi 17 décembre, la commune de Nyons va accueillir la 22ᵉ édition de la Fête de l’Olive Piquée et des vins du terroir. Cette célébration aura lieu sur la place de la Libération sud et à Olive & Sens, la maison des Huiles d’olives et des Olives de France.

Comme chaque année, l’olive noire de Nyons AOP sera mise en lumière par le Syndicat de l’Olive de Nyons et des Baronnies, France Olive et leurs partenaires.

Toute la journée, les visiteurs pourront profiter de démonstrations culinaires mais aussi de dégustations. Ils découvriront également la préparation traditionnelle de l’olive piquée lors de cette journée conviviale et festive.

Le programme

Toute la journée, Nyons accueillera un marché présentant les produits du terroir tels que les produits oléicoles de Nyons AOP, les Côtes du Rhône Villages Nyons AOP, des huîtres, des clémentines de Nulès, et bien d’autres saveurs pour réveiller vos papilles.

À 11h, sur la place de la Libération, aura lieu l’inauguration de cette fête par la Confrérie des Chevaliers de l’Olivier. Celle-ci donnera ses conseils tout l’après-midi, de 14h à 17h lors de l’animation du piquage d’olive. Un atelier cueillette sera organisé dans une oliveraie à 14h30. Le départ se fera sur le parvis de la Maison des Huiles d’olive & Olives de France et chacun pourra repartir avec sa barquette d’olives à l’issue de l’atelier. De 15h à 16h30, vous pourrez voter pour vos olives piquées de Nyons AOP préférées. La gagnante, qui sera annoncée à 17h, remportera le prix des consommateurs.

À Olive & Sens, à 11h45, vous pourrez assister à une rencontre entre le butternut, les olives noires de Nyons AOP et la crevette, avec Alexandra de l’Institut du Monde de l’Olivier. À 14h, l’ancien chef de l’Auberge de la Valloire (à Épinouze), Jean-Jacques Galliffet, proposera une recette salée autour des olives noires de Nyons AOP et des produits locaux. À 15h30, Christophe Malet, du restaurant D’un goût à l’autre (à Nyons) partagera sa recette de Choc’Olive, un biscuit et une mousse aux olives noires de Nyons AOP. Deux ateliers créatifs pour tout public, à partir de 6 ans, auront lieu deux fois dans la journée. Un atelier vannerie autour de l’olive de 10h à 12h et de 14h à 17h, et un atelier pour créer votre figurine de Noël de 10h30 à 11h30 et de 16 à 17h. Enfin, vous pourrez profiter d’un massage à l’huile d’olive entre 10h à 12h ou entre 14h à 17h.

V.A.


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Ce dimanche 11 décembre, dès 9h30, les trufficulteurs donnent rendez-vous au public sur la place de l’Esplan pour le traditionnel marché aux truffes noires du Tricastin. Il aura lieu tous les dimanches jusqu’à la mi-mars 2023.

La Confrérie du ‘Diamant Noir et de la Gastronomie’ et les trufficulteurs accompagnés de leurs chiens défileront en musique, avant de procéder à la bénédiction des chiens truffiers devant la Cathédrale. Ensuite aura lieu l’ouverture officielle du marché et la signature de la Charte Qualité Truffe par les Chefs restaurateurs de tout le territoire du Tricastin.

Tous les dimanches jusqu’à la mi-mars 2023 de 10h à 12h30, les Chefs proposeront à tour de rôle une dégustation d’une de leurs créations à la truffe. Il sera également possible de déguster des truffes fraiches et des ravioles du Royans, accompagnées de vins du territoire.

Les deux jours de marchés qui auraient dû avoir lieu durant les fêtes de Noël et du Jour de l’An auront en réalité lieu les vendredis 23 et 30 décembre.

V.A.


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Tout le mois de juillet, la ville de Nyons a vibré au son de différents styles musicaux lors de plusieurs concerts gratuits organisés dans le cadre du festival ‘Nyons Festiv’été’. Et les festivités ne sont pas encore terminées puisqu’il reste encore sept concerts au mois d’août.

Send me love letters assurera un concert de rock demain, le jeudi 11 août à 21h sur la place du Dr Bourdongle. Le quatuor propose un rock sombre et brutal auquel se mêle la voix sensible de la chanteuse, et joue principalement des musiques en anglais.

IS4tet donnera un concert sur la place Jules Laurent le samedi 13 août à 21h. Les spectateurs pourront écouter le quartet se réapproprier la musique mêlant jazz et éléctro du groupe ‘Knower’ composé de Louis Cole et Geneviève Artadi, et y apporter sa vision, sa touche instrumentale et improvisée.

Les Invendables proposeront un concert de musique soul et du blues sur la place Buffaven le lundi 15 août à 21h. Avec leur look des Blues Brothers, ils interprètent les titres des plus grands : Otis Redding, James Brown, Wilson Pickett, Sam and Dave, Arthur Conley… Voyage immédiat vers Memphis, le berceau du rhythm & blues.

Ensemble vocal du Delta vous fera voyager dans le temps à la Maison de Pays le mardi 16 août à 21h. Dirigé par Coline Serreau, le groupe vous racontera en chantant les moments clefs de l’histoire de la musique occidentale.

Iuteurki vous emmènera tout droit vers New York le jeudi 18 août à 21h sur la place Jules Laurent. Vivement influencé par les sons New-Yorkais des années 1970 aux années 1990, le trio vous proposera un concert mêlant funk rock et folk.

LGMX assurera le concert du samedi 20 août à 21h sur la place du Dr Bourdongle avec une musique des plus surprenantes puisque le son des cuivres s’associeront aux beats. Le groupe propose une réelle fanfare psychoactive électro-stimulante et déconstruit l’électro, la techno, la house et la psytrance à l’aide des trombones, saxophones et autres instruments à cuivre.

Lady Swing Project clôturera le festival le mardi 23 août à 21h au Théâtre de verdure. Marie-Paule Coutens, entourée de trois musiciens, délivrera son répertoire de jazz et de soul, accompagnée de quelques notes de musique brésilienne.

Pour en savoir plus sur le festival et sa programmation, cliquez ici.

V.A.


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Les étudiants de BTS Analyses agricoles, biologiques et biotechnologiques du lycée Pétrarque à Avignon ont visité l’unité de méthanisation Méthavéore à Etoile-sur-Rhône dans la Drôme.

Près de 30 étudiants ont pu découvrir le site, mais également les différentes étapes permettant de créer du digestat pour amender naturellement les sols agricoles ainsi que du gaz vert à partir de la méthanisation de déchets organiques. Ainsi, les étudiants ont pu mieux comprendre les différentes perspectives agronomiques, écologiques et économiques de ce processus, qui copie et améliore le vivant.

Cette visite a été menée par Carine et Olivier Courtial, qui sont à l’origine du projet Méthavéore qui s’est concrétisé en 2015. Au départ, les deux agriculteurs souhaitaient produire eux-mêmes des fertilisants naturels pour leurs terres. Finalement, le projet a évolué vers la production d’énergies vertes. Méthavéore est le premier site du département à injecter du biométhane dans le réseau GRDF et permet aujourd’hui de chauffer l’équivalent de 4500 foyers.

V.A


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Le Ceder (Centre pour l’environnement et le développement des énergies renouvelables) vient de devenir officiellement l’opérateur du service public de la rénovation énergétique en Drôme et Vaucluse.

Dans ce cadre, de nouvelles permanences ‘Information énergie’ ont vu le jour afin de mieux répondre aux attentes des citoyens en matière de promotion des énergies renouvelables et d’éco consommation qu’assure le Ceder depuis 1981. Ainsi, si les 6 conseillers du Ceder, membre du réseau Faire accueillent déjà le public par téléphone du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h (sauf mardi matin et mercredi) au 04 75 26 22 53 ou 04 90 36 39 16, des techniciens sont également disponibles pour accompagner de la réflexion à la réalisation de votre projet (projet, liste d’artisans labellisés, aides financières, choix du matériel) à :

Suze-la-Rousse : lundi (1er du mois) après midi
Orange : mardi (1er, 3e et 5e du mois) matin
Vaison-la-Romaine : jeudi (1er, 3e et 5e du mois) après midi
Valréas : jeudi (2e et 4e du mois) après midi
Donzère : lundi (3e du mois) après midi
Nyons : mercredi (2e et 4e du mois) matin
Saint-Paul-Trois-Châteaux : jeudi (2e et 4e du mois) matin
Dieulefit : vendredi matin
Buis-les-Baronnies : jeudi (1er, 3e et 5e du mois) matin
Montélimar : lundi matin et vendredi après midi

Détail des lieux et horaires des permanences sur le site www.ceder-provence.org


Romans-sur-Isère : Un musée où trouver chaussure à son pied

Plusieurs offices de tourisme, implantés en Drôme, Vaucluse, Gard et Ardèche, ont souhaité créer une carte touristique commune. Une mutualisation des moyens qui permet de découvrir un territoire dans son intégralité.

Pour cette saison estivale 2021, l’Office de tourisme intercommunal Provence Côté Rhône (dont le siège est situé à Bollène), l’Office de tourisme Drôme Sud Provence (Pierrelatte), l’Office de tourisme Porte Sud Ardèche (Le Teil), l’Office de tourisme Du Rhône Aux Gorges de l’Ardèche (Bourg-Saint-Andéol), l’Office de tourisme Provence Occitane (Bagnols-sur-Cèze), la Communauté de communes Aygues Ouvèze Provence (Camaret-sur-Aigues), l’Office de tourisme Pays d’Orange Châteauneuf-du-Pape (Orange), et l’Office de tourisme de Montélimar Agglomération (Montélimar), ont décidé de jouer collectif. Ces différentes structures ont en effet travaillé ensemble à la création d’une carte touristique commune.
Ce sont ainsi tous les territoires qui se situent de part et d’autre du fleuve Rhône qui sont mis à l’honneur. « Cette carte, c’est une grande nouveauté. Nous sommes arrivés à fédérer 8 offices de tourisme des régions avoisinantes afin de développer un support touristique interdépartemental. L’idée est montrer les points d’intérêts situés sur les deux rives du Rhône. En moins d’une heure, le touriste peut faire le plein de découvertes », confirme souligne Marc Rousseau, président de l’Office de tourisme Drôme Sud Provence, à l’initiative de cette collaboration.

À la découverte des richesses du territoire
La carte, éditée à plusieurs milliers d’exemplaires (et que l’on peut aussi télécharger gratuitement sur les sites internet des offices de tourisme concernés), s’étend ainsi de Vallon-Pont-d’Arc aux contreforts des Baronnies, et de Châteauneuf-du-Pape à Cruas. Les différentes curiosités y sont indiquées, à l’instar des points de vue, des villages perchés, etc.
Des thématiques communes sont aussi évoquées, à l’image des produits du terroir (huiles d’olive, fromages de chèvre, nougat…), des sites inscrits à l’Unesco (grotte Chauvet, théâtre antique et arc de triomphe d’Orange), l’œnotourisme ou encore les randonnées. « Pour nous, il s’agit de montrer la Vallée du Rhône dans son intégralité. Un touriste ne va pas rester cantonner à son hôtel ou dans sa chambre d’hôtes. Il va vouloir visiter le territoire dans lequel il séjourne », note encore Marc Rousseau.

Il est possible de télécharger gratuitement cette carte touristique interdépartementale sur https://www.drome-sud-provence.com/pratique/brochures-et-plans.

https://echodumardi.com/tag/drome/page/2/   1/1