22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

L’Entreprise solidaire d’utilité sociale (ESUS) Handiwork spécialisée dans l’accompagnement, la formation en situation de travail et l’insertion professionnelle de personnes en situation de handicap, annonce sa première levée de fonds d’un montant de 1,3M€.

L’entreprise gardoise Handiwork a levé 1,3M€ auprès de la Banque des TerritoiresFederal Finance Gestion, France Active Airdie-Occitanie et IRDI Capital Investissement. Cet argent devrait permettre à l’entreprise d’accélérer son développement et accroître son impact sur l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. « Nous nous réjouissons de la confiance de nos partenaires dans notre capacité à atteindre notre objectif qui contribuera, de manière significative, à l’inclusion professionnelle en France des personnes en situation de handicap », ont déclaré Lionel Satouf et Jean-Baptiste Honorin, cofondateurs d’Handiwork.

Depuis sa création en 2017, Handiwork a déjà permis à 500 personnes en situation de handicap de signer un contrat de travail durable au sein d’entreprises de la grande distribution, de la restauration et de la logistique, et a formé près de 2000 personnes issues d’établissements du milieu protégé dans des secteurs d’activité à fort potentiels de recrutement. L’entreprise projette de former 5 000 personnes par an d’ici 5 ans.

Les objectifs d’Handiwork

Aujourd’hui, l’entreprise basée à Bagnols-sur-Cèze emploie huit personnes, réalise un chiffre d’affaires de plus de 2M€, et est présente en Occitanie, Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Auvergne-Rhône-Alpes, Ile-de-France et Normandie. Cette levée de fonds devrait lui permettre de continuer à se déployer sur le territoire national.

Handiwork a pour objectif d’expérimenter ses dispositifs innovants dans de nouveaux secteurs d’activité en tension tels que l’hôtellerie-restauration ou encore l’industrie agroalimentaire, et d’étendre son réseau de partenaires et de clients. L’entreprise a également déclaré s’engager à maintenir un haut niveau de qualité et d’engagement sur les sujets de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et de Qualité de vie au travail (QVT).


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Le groupe Serpe, dont le siège social est basé au Thor, se classe en 82ᵉ position du palmarès des Champions de la croissance 2024, élaboré par Les Echos et Statista. Rachetée en 2009 par le couple Bénédicte et Armand Wiedemann-Goiran, la société existe depuis 1988. D’une PME à une ETI, en seulement 35 ans, Serpe s’est élevée au rang de leader de l’élagage en France et elle est le 4ᵉ acteur national en gestion du paysage.

Lui a un diplôme d’études approfondies (DEA) d’économie, elle a un doctorat en biologie. Parents de sept enfants, Armand et Bénédicte Wiedemann-Goiran ne veulent pas voir grandir ces derniers en ville. Ainsi, dans leur projet de reprise d’entreprise, ils s’éloignent de la capitale et posent leurs valises en Vaucluse, et font l’achat de l’entreprise Serpe, basée au Thor, en janvier 2009. « On cherchait à se rapprocher d’Aix-en-Provence, où Bénédicte a fait sa thèse et où elle a vécu étant petite », explique Armand.

Après avoir été responsable de la communication de Serpe puis vice-présidente, Bénédicte copréside aujourd’hui l’entreprise avec Armand. « On travaille en couple et c’est assez enrichissant d’avoir des points de vue différents, d’avoir chacun ses points forts et des sensibilités différentes, développe Armand. Ça permet d’enrichir les discussions et les points de vue. »

Une entreprise créée il y a 35 ans

Serpe a été fondée en juin 1988 par Paul Rensch, qui l’a développée pour essayer de donner du travail aux jeunes, et de travailler sur tout ce qui gravite autour de l’environnement et de la nature. C’était, à l’époque, une société d’entretien, de restauration du patrimoine et de l’environnement. Jusqu’en 2009, elle était axée sur l’entretien des rivières, le débroussaillage et l’élagage.

Après le rachat il y a 15 ans, de nouveaux métiers se sont ajoutés à ceux déjà existants tels que la phytoépuration et l’entretien d’infrastructures. « On a essayé de développer le bois énergie pendant plusieurs années et finalement, on a arrêté de revaloriser nous-mêmes le bois, ce sont des prestataires qui le font », ajoute Armand.

Une croissance fulgurante

Lorsque Armand et Bénédicte rachètent l’entreprise thoroise, c’est une PME (petite ou moyenne entreprise) de 35 personnes. Aujourd’hui, Serpe compte plus de 1 000 salariés dispersés dans 35 agences un peu partout en France. « On ne travaille pas encore dans le Nord-Est, précise le coprésident. On se laisse 12 à 18 mois pour stabiliser l’entreprise, pour l’instant, on digère les différentes acquisitions, on digère la croissance, on structure l’entreprise, et ensuite, on continuera de se développer. »

« Pour gérer une telle croissance, il faut accepter de prendre des risques et il faut investir. Tout ne marchera pas, mais si on ne le fait pas, on est sûr que ça ne fonctionnera pas. »

Armand Wiedemann-Goiran

Si aujourd’hui le groupe Serpe fait partie des entreprises françaises avec la plus forte croissance, c’est notamment grâce au rachat du groupe CMEVE (Compagnie Méditerranéenne d’Espaces Verts Exploitation) qui a été annoncé en 2020. L’entreprise a également racheté deux sociétés de débroussaillage en rail-route. En tout, Serpe a effectué le rachat de sept entreprises en une dizaine d’années, ce qui l’a propulsée au rang d’ETI (entreprise de taille intermédiaire).

L’entreprise aux cinq valeurs

L’année dernière, le groupe Serpe a célébré ses 35 ans. L’occasion de redéfinir les valeurs de la société. « On les a redéfinies tous ensemble lors d’un séminaire qui a réuni 400 collaborateurs à la Grande-Motte », affirme Armand. Ainsi, les valeurs de l’entreprise sont au nombre de cinq :
•S’engager avec passion en sécurité
•Être soi-même
•Rêver et agir pour demain
•Partager la mission d’excellence
•Travailler en équipe avec la force du groupe

« Aujourd’hui, c’est une chance d’avoir 35 responsables qui portent les valeurs de Serpe, qui défendent le drapeau sur les territoires. »

Armand Wiedemann-Goiran

Serpe se veut une entreprise à l’écoute de ses salariés et qui prône la tolérance. « Il faut que les gens puissent assumer ce qu’ils sont et être bien au travail, explique Armand. Il y a des schémas structurés, notamment le comité social et économique (CSE), ou encore les référents harcèlement. » Du côté des deux coprésidents, il y a aussi l’envie d’être proche des agences, de partager, d’aller au contact des équipes, du terrain, pour être à l’écoute et pouvoir entendre ce dont elles ont besoin. Régulièrement, Bénédicte et Armand se déplacent au sein des différentes agences. « Ça permet de challenger les équipes, d’avoir des retours complémentaires, d’avoir une vue transverse sur l’ensemble de l’entreprise », ajoute le coprésident.

Une partie des collaborateurs du groupe Serpe lors du séminaire des 35 ans à la Grande-Motte. ©Serpe

Une vision 2033 axée sur l’environnement

« En même temps qu’on a redéfini les valeurs, on a écrit la vision 2033 », déclare Armand. Après s’être concentrée sur le développement, la structuration et l’investissement, l’entreprise est prête à vivre une aventure d’une autre nature : l’aventure écologique. « Il y a plein de sujets sur la transition énergétique, sur la sensibilisation à l’écologie que l’on porte et sur lesquels on a envie d’agir », ajoute Armand.

« On ne peut pas tout faire, mais on ne peut pas rien faire non plus. »

Armand Wiedemann-Goiran

Le groupe veut prendre sa part au niveau écologique, en essayant de concilier les contraintes environnementales avec la capacité à travailler au quotidien durant certaines périodes de l’année. « Je pense notamment à la période de nidification, durant laquelle il y a des sensibilités qui font qu’on pourrait être empêchés de travailler, développe le coprésident de Serpe. Et donc la question est : comment réussir à concilier la réalité, la sensibilité, et les contraintes économiques de travailler tout au long de l’année ? Il a des cadres de travaux à créer pour entamer une réflexion sur ces aspects-là. »

Des difficultés de recrutement

Aujourd’hui, les métiers autour de la création et de l’entretien d’espaces naturels sont très concurrentiels. Ce sont des métiers qui ont commencé à se financiariser il y a quelques années avec l’arrivée d’investisseurs qui ont changé la dynamique et l’approche de ces métiers. Même si le groupe Serpe, malgré sa taille, garde un côté familial, de proximité avec ses collaborateurs, il rencontre des difficultés à recruter.

Aujourd’hui, l’entreprise a 130 postes ouverts pour environ 1 000 salariés, ce qui fait 13% de postes à pourvoir. « On rencontre une vraie difficulté à recruter, affirme Armand. On a une équipe de six ou sept personnes qui gèrent tout ce qui entoure le recrutement et la formation, donc on a des choses à travailler sur ce point-là. »

Un nouveau centre de formation interne

Afin de pallier ce problème de recrutement, le groupe Serpe a créé son propre centre de formation interne, Serpe Formation, en 2023. Basé à Bouillargues, dans le Gard, ce centre a formé dix personnes l’année dernière, dont huit ont intégré l’entreprise à l’issue de leur formation, et en forme une trentaine cette année. « Ce centre de formation a pour objectif de proposer un métier, et non pas une formation », explique Armand.

Ainsi, les formations sont axées sur les besoins des agences, pour que les formés apprennent tout en étant dans les conditions de l’entreprise. Trois formations sont proposées : une Prépa-apprentissage pour ceux qui sont loin de l’emploi pour les remettre et les sensibiliser au métier, un Titre professionnel d’Ouvrier du paysage et le Certificat de spécialisation Élagage. Deux nouveaux titres devraient s’ajouter l’année prochaine : Technico-commercial du paysage et le Brevet professionnel en espace vert.

Serpe en Vaucluse

Si le groupe Serpe a de nombreux chantiers dans presque toute la France, dont des contrats avec la SNCF et Enedis, ainsi qu’avec de grandes collectivités comme les Métropoles de Lyon et Montpellier, l’entreprise thoroise agit également au niveau local. En Vaucluse, elle travaille notamment pour le Département, ou encore les mairies de Châteauneuf-de-Gadagne, de Pujaut et de Roquemaure.

En ce moment, plusieurs postes sont à pourvoir dans le département. « On cherche des élagueurs, des ouvriers espaces verts, ou encore des personnes pour le marketing », développe Armand. Si l’entreprise embauche généralement des profils jeunes, elle est ouverte à tout type de profils. Le groupe Serpe est par ailleurs ouvert à l’apprentissage, puisque 10% de ses effectifs sont des alternants. « Premièrement, c’est notre responsabilité sociale de participer à former les jeunes, affirme le coprésident. Deuxièmement, c’est notre goût de former les jeunes. Troisièmement, c’est utile à l’entreprise parce que ce sont les pépites de demain. »

La société Serpe s’est donc bien développée les 35 dernières années, et continue de chercher et de former « les pépites de demain », pour consolider et poursuivre sa croissance, et ainsi garder sa place de leader de l’élagage en France et rester parmi les principaux acteurs nationaux en gestion du paysage.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Après avoir lancé une gamme de soupes froides, l’entreprise cavaillonnaise Kookabarra, spécialiste de la haute pression à froid connue pour ses 40 jus de fruits frais et naturels vendus en CHR (café, hôtellerie, restaurant) et aux particuliers depuis 2021, lance sa nouvelle gamme ‘Brut’, composée de purées de fruits.

Depuis 2006, Kookabarra est le spécialiste du jus de fruit frais de qualité, sain, naturel et aux saveurs véritables. Après avoir lancé les soupes froides cet été, l’entreprise basée à Cavaillon se renouvelle encore une fois et présente une gamme de purées de fruits ‘Brut’.

Vendues en format poche, ces purées de fruits, comme les autres produits de l’entreprise, sont élaborées selon le procédé de la haute pression à froid. « Cette nouvelle gamme de purées de fruits s’inscrit totalement dans la démarche innovante qui fait le succès de Kookabarra », a affirmé Jérémie Marcuccilli, fondateur de Kookabarra. Carotte, fraise, abricot, framboise, pomme, poivron rouge, céleri, poire, ou encore tomate,28 saveurs sont disponibles au fil des saisons pour accompagner les restaurateurs, chefs et barmen dans leurs créations.

Cette nouvelle gamme ‘Brut’ est le fruit de deux ans de recherche et de 1,5M€ d’investissement. Les purées sont composées à 100% de fruits, mais aussi de légumes, locaux. Elles se veulent des produits qui révèlent toutes les saveurs du fruit et du légume frais.

V.A.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

La société Blanelec, spécialisée dans l’installation électrique de commerces, TPE, pharmacie, et cabinets médicaux, mais aussi dans la rénovation énergétique et les bornes de recharges pour véhicules électriques, souhaite se développer. C’est pourquoi elle lève des fonds afin de créer un réseau de franchises.

L’entreprise vient d’annoncer son nouveau projet : elle se lance dans une levée de fonds afin de créer un réseau de franchises. « Blanelec souhaite mettre ses connaissances et son expérience au services des électriciens confirmés qui se tournent vers l’IRVE (Infrastructure de Recharge de Véhicule Électrique) mais aussi le néopro qui se lance dans l’aventure IRVE via une franchise coopérative », a affirmé Jérôme Blanc, président de l’entreprise.

L’entreprise gardoise appelle donc ses partenaires, clients, fournisseurs, et tout autre personne souhaitant participer au développement de Blanelec à contacter la société pour obtenir plus de détails concernant la marche à suivre. Pour réaliser ce projet de levée de fonds, Blanelec a notamment fait appel à la fintech Ayomi, qui devrait permettre de consolider l’objectif de croissance de l’entreprise.

V.A.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Alors que le groupe Europe Linge Service (ELIS) a fait appel à GSE pour construire sa nouvelle blanchisserie industrielle à Rousset, près d’Aix-en-Provence, le groupe spécialisé dans l’immobilier d’entreprise continue son développement à l’international.

Installée dans une zone industrielle en plein développement, à proximité de l’A8, et desservant l’ensemble de la métropole marseillaise, la blanchisserie industrielle commandée par ELIS s’étendra sur 11 000 m2, dont 900 m2 de bureaux. Elle sera équipée de panneaux photovoltaïques en ombrières sur parking, pour une surface globale de 2 645 m2 et une production estimée à 610 MWh par an.

« Ce projet de Rousset est la 6ème réalisation de GSE pour ELIS depuis 2017, après les usines de Toulouse, Aix-les-Bains, Clisson et Saint-Geours-de-Maremne en France et de Barcelone en Espagne, explique Lionel Legouhy, directeur développement chez GSE. Il constitue une marque de confiance forte de la part d’ELIS dans la capacité d’accompagnement de GSE pour ce type de projets industriels complexes et avec de forts enjeux en termes de rapidité de construction ».

La livraison du bâtiment est prévue pour janvier 2024.

En Italie, GSE lance la construction d’un nouveau bâtiment logistique

La construction de ce nouvel ensemble industriel, sur un terrain de 140 000 m2, a été confiée à GSE Italie par P3 Logistic Parks. Le projet comprend la construction d’un entrepôt logistique de 38 000 m2, ainsi que divers travaux de réaménagement urbain. Le bâtiment, qui reposera sur des plots isolés, bénéficiera d’une structure en béton armé préfabriquée, avec un revêtement de sol industriel et des façades en panneaux sandwich soutenus par une ossature métallique.

En ce qui concerne la toiture, c’est un système semi-plat de type Bac-Acier, introduit en Italie par GSE dans les années 90 et aujourd’hui devenu la norme du marché en raison de ses caractéristiques d’isolation thermique et d’étanchéité à l’air, qui sera utilisé. La toiture accueillera également des panneaux photovoltaïques, d’une puissance d’environ 2 200 kW. Le bâtiment vise à obtenir la certification de durabilité BREEAM de niveau Excellent.

L’achèvement des travaux est prévu pour décembre 2023 © P3 Logistic Parks

Le projet comprend également la réalisation de plusieurs aménagements urbains : environ 200 mètres de route seront refaits, avec une révision de la circulation, ainsi que la construction de deux nouveaux ponts routiers. GSE Italie a prévu que le complexe soutienne le développement des mobilités douces en créant un nouvel arrêt de bus et une nouvelle tranche de piste cyclable de 1,1 km, équipée de deux passerelles piétonnes.

« L’attribution de ce premier contrat par P3 en Italie est une immense fierté pour l’ensemble des équipes de GSE Italie, déclare Charlène Castellano, directrice du développement des affaires de GSE Italia. Elle souligne nos valeurs fondamentales telles que la capacité d’écoute, l’anticipation des enjeux et la recherche de la meilleure performance pour atteindre la satisfaction de notre client et des futurs occupants des bâtiments ». L’achèvement des travaux est prévu pour décembre 2023.

GSE poursuit son développement en Espagne

Présent en Espagne depuis 1998, GSE vient de livrer à Merlin Properties, société espagnole d’investissement immobilier, sa nouvelle plateforme logistique dans le parc industriel « Cabanillas Park ! ». D’une superficie globale de 44 637 m2 et d’une hauteur libre de stockage de 11 mètres, ce nouvel entrepôt, situé entre Madrid et Guadalajara, dispose de 67 quais de chargement, ainsi que d’espaces de bureaux sur trois étages de 332 m2 chacun.

Selon Ramón Lázaro, directeur commercial de GSE Espagne : « Toutes les équipes de GSE Espagne sont fières, grâce à leur travail en étroite collaboration avec le client, de livrer à Merlin Properties un actif logistique bénéficiant de conditions idéales pour permettre aux clients finaux d’exercer leur activité dans un environnement optimal ».

Nouvel entrepôt logistique pour MERLIN Properties à Madrid © GSE

L’entreprise vient également de lancer à Masquefa, dans la province de Barcelone en Catalogne, le chantier de G-Park Masquefa, 4ème investissement de GLP, fournisseur mondial de logistique immobilière, dans la région. Ce nouvel ensemble, bâti sur un terrain de 55 452 m2, abritera une plateforme logistique d’une superficie locative brute de 28 828 m2. Le projet disposera de 37 quais de chargement et d’une hauteur de stockage de 12,2 mètres.

Située à un peu plus d’une demi-heure de l’aéroport international Barcelone-El Prat et à 40 kilomètres de la capitale catalane, la plateforme logistique bénéficie d’un emplacement idéal pour la distribution locale et nationale à partir de Barcelone. Visant la certification BREEAM Excellent, le parc disposera d’une installation de panneaux photovoltaïques ainsi que des chargeurs de vélos et de véhicules électriques.

Site du futur ensemble logistique pour GLP à Barcelone © GSE

« Ces deux nouveaux projets témoignent du dynamisme de notre activité en Espagne et de la forte implantation de GSE sur le marché ibérique », souligne Ramón Lazaro. « Le marché de l’immobilier logistique est particulièrement dynamique en Espagne avec une forte croissance ces dernières années, poussée par une demande importante en partie portée par le développement e-commerce ».

GSE mise sur le béton décarboné

Alors que la construction compte parmi les secteurs les plus polluants, le secteur réalisant 23% des émissions de gaz à effet de serre chaque année en France et 38% à l’échelle mondiale, le Groupe GSE a décidé de recourir au béton bas carbone sur l’ensemble des dallages de ses nouveaux projets dès la fin de l’été 2023.

« L’idéal, et nous en sommes conscients, serait de pouvoir se passer totalement du béton, qui reste l’un des matériaux les plus carbonés, dans nos constructions, et le remplacer par d’autres matériaux, comme le bois, analyse Marc Esposito, directeur du Lab GSE. Le fait est que nous ne pouvons pas éliminer complétement l’utilisation du béton dans les chantiers de bâtiments industriels, car cela compromettrait la solidité et la fonctionnalité des structures. Cependant, nous avons la responsabilité de travailler activement à décarboner autant que possible le béton utilisé, afin de minimiser son impact environnemental ».

Le béton représente entre 20 et 25% des matériaux d’un bâtiment, alors qu’il reste très polluant à cause des émissions de CO2 issues du ciment et de ses dérivés. Le béton bas carbone, quant à lui, permet de remplacer le produit le plus carboné du ciment, le clinker, par un matériau tiré de l’économie circulaire à partir du recyclage d’anciens déchets.

Ses caractéristiques techniques s’adaptent aux contraintes des dallages des bâtiments logistiques (dallages industriels et les dallages sans joints) et il ne se dégrade pas dans le temps, bénéficiant de la même qualité que le béton classique. Il affiche moins de 180 kg de CO2 émis par mètre cube, alors que le béton classique peut en créer jusqu’à 280 kg au mètre cube.

Ses multiples avantages permettent de réduire jusqu’à 10% l’empreinte carbone globale du bâtiment. Des résultats encourageants, même si GSE ne compte pas s’arrêter là et espère aller plus loin en développant de nouveaux outils et en utilisant de nouveaux matériaux permettant une décarbonation encore plus importante. Le Groupe a notamment lancé de nouvelles expérimentations sur la construction sans béton, avec de nouveaux matériaux biosourcés.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Après avoir enregistré un chiffre d’affaires record en 2022, la société aptésienne Delta plus, spécialisée dans les équipements de protection individuelle (EPI), poursuit sa croissance et est sur la bonne voie pour battre de nouveaux records.

Au premier trimestre, le chiffre d’affaires du groupe Delta plus a atteint 107,3 millions d’euros, contre 105,7 millions d’euros au deuxième trimestre. Ainsi, la société basée à Apt enregistre un chiffre d’affaires de 213 millions d’euros au premier semestre 2023, ce qui représente une croissance de +4,0% (+8,1M€) par rapport à la même période l’année dernière.

Cette croissance est notamment due à l’intégration de l’entreprise mexicaine Drypro en juillet 2022, qui a généré un effet de périmètre positif (+1,8%) qui représente un impact de +3,6M€ sur le chiffre d’affaires. Si en Europe, le chiffre d’affaires du premier semestre 2023 (105,3M€) est en repli de -1,9% par rapport aux six premiers mois de 2022 (-2,1M€), le chiffre d’affaires réalisé hors Europe au premier semestre 2023 (107,7M€) est en augmentation de +10,2M€ (+10,4%) par rapport à 2022.

Cette hausse hors Europe se traduit par la forte inflation dont a été témoin l’Argentine. La filiale du groupe dans ce pays d’Amérique du Sud a connu une forte croissance de son chiffre d’affaires au premier semestre, qui a augmenté de +18,6M€ (+304%). En dehors de l’Argentine, la croissance organique du chiffre d’affaires Hors Europe s’élève à +2,1% au premier semestre 2023. La dynamique dans les zones Moyen-Orient et Asie-Pacifique est quant à elle restée positive tout au long des six premiers mois de l’année.

V.A.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Anthony Zilio, président de la communauté de communes Rhône Lez Provence, s’engage pour l’emploi sur le territoire, qui couvre les communes de Bollène, Lamotte-du-Rhône, Lapalud, Mondragon et Mornas. Ainsi, 50 acteurs du territoire se sont réunis le 27 juin dernier pour une table ronde au sujet du développement de la formation sur le bassin de Rhône Lez Provence.

Élus locaux, du Département de Vaucluse, de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse, représentants des organismes de formation ou des principaux employeurs du territoire, se sont rassemblés le 27 juin à Bollène dans un but unique : répondre aujourd’hui aux besoins des entreprises et anticiper ceux de demain.

De nombreux sujets ont été abordés tels que les métiers en tension, la mauvaise connaissance du secteur industrie, les chantiers actuels et à venir du nucléaire, ou encore les offres de transports et de logements à adapter. Chacun a pu prendre la parole durant cette table ronde.

Un état des lieux précis va être dressé dans les prochaines semaines afin de développer l’emploi et donc le territoire. Une fois cet état des lieux réalisé, un comité technique piloté par Anthony Zilio viendra soutenir l’installation d’une nouvelle offre de formations, répondant à la demande pour de jeunes formés qui seraient employables immédiatement au niveau local.

V.A.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

Le jeudi 1er juin, la CCI de Vaucluse organise des réunions avec l’agence RisingSud à destination des entreprises de tous secteurs d’activité ayant un projet de développement.

Vous avez un projet ? Pour vous transformer, vous exporter, accélérer votre croissance ou encore trouver des partenaires, cette agence d’attractivité et de développement économique de la région Sud propose de vous accompagner lors de ces réunions.

À propos de RisingSud

RisingSud est l’agence d’attractivité et de développement économique de la région PACA. Son objectif est de créer des opportunités pour renforcer l’économie régionale.

Le programme des réunions

Risingsud pourra vous guider dans votre développement par des accompagnements concernant votre recherche de financements européens, votre levée de fonds ou encore votre recherche de partenaires business et technologiques.

Infos pratiques

Inscription en ligne gratuite mais obligatoire. De 8h30 à 11h. 1er juin. 04 90 13 86 42. lfulgini@vaucluse.cci.fr.


Bagnols-sur-Cèze : l’entreprise Handiwork lève 1,3 million d’euros pour accélérer son développement

L’entreprise Iron Bodyfit, dont le siège se situe à Avignon, est spécialisée dans l’électro-myo-stimulation (EMS). Seulement quelques semaines après l’ouverture d’un nouveau studio à Pertuis, l’enseigne ouvre son 19ᵉ en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, à Grasse dans les Alpes-Maritimes.

L’entreprise renforce donc sa présence dans la région. Elle comptabilise déjà des studios dans les Alpes-Maritimes (Antibes, Cagnes-sur-mer, Le Cannet, Mandelieu-la-Napoule, Nice, Saint-Laurent-du-Var), dans le Vaucluse (Avignon, Carpentras, Cavaillon, Orange, Pertuis), dans les Bouches-du-Rhône (Châteaurenard, Istres, La Ciotat, 2 studios à Marseille, Salon-de-Provence) et dans le Var (Saint-Raphaël).

Pour rappel, la société avignonnaise a enregistré un chiffre d’affaires de 23,5 millions d’euros en 2022 et n’a cessé de croître depuis sa création en 2015 par Hadri Jaffal et Johan Ghu. Elle compte aujourd’hui plus de 140 studios, dont plus de 115 en France.

V.A.

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