Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Plus de cinquante jours après le second tour des élections législatives anticipées, déclenchées par la dissolution de l’Assemblée nationale par le Président de la République, la France a de nouveau un Premier ministre. Après avoir écarté la candidature de Lucie Castets proposée par le NFP, Emmanuel Macron a finalement choisi Michel Barnier ce jeudi 5 septembre.
Mais le choix d’un Premier ministre n’était pas la seule pression qui pesait sur le chef de l’État. La Cour des comptes a en effet appelé la présidence de la République à la « vigilance » fin juillet, après la publication de son dernier audit. L’institution épingle la gestion du palais de l’Élysée en 2023, et appelle à des efforts « significatifs ». En cause : un montant record de charges — 125,5 millions d’euros — qui a créé un déficit sans précédent de 8,3 millions d’euros. Les dépenses de déplacements et de réception ont à elles seules atteint 21 millions d’euros sur l’année (elles étaient de 13,3 millions l’année précédente).
Comme le montre notre infographie, basée sur les rapports annuels de la Cour des comptes, les dépenses de la présidence de la République n’avaient pas dépassé 112,6 millions d’euros depuis 2009, sous Nicolas Sarkozy. Si les coûts lors de la présidence de ce dernier étaient légèrement plus élevés que sous son successeur, François Hollande, les finances de l’Élysée étaient restées à l’équilibre. Depuis 2009, elles n’ont été en déficit que trois fois : en 2017, 2018 et 2023.
De Valentine Fourreau pour Statista
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Selon la récente étude menée par OpinionWay pour Orisha Distribution, les Français montrent un engouement renouvelé pour les bars, cafés et restaurants cet été, malgré le contexte économique incertain. Voici les principaux enseignements de cette enquête qui traduit un optimisme grandissant quant aux sorties estivales.
Un retour en force dans les établissements
88% des Français prévoient de fréquenter les bars, cafés et restaurants cet été. Ce chiffre témoigne d’une vitalité remarquable avec 14% des répondants qui envisagent d’y aller plus souvent qu’à la même période l’année précédente. Cette hausse est particulièrement marquée chez les jeunes de moins de 35 ans, dont 24% prévoient de s’y rendre plus fréquemment, affirmant ainsi leur attachement à ces lieux de convivialité et de détente.
Une fréquentation augmentée malgré la conjoncture
L’étude révèle que les intentions de sorties dans les établissements sont en hausse de 3 points par rapport à 2022. Les catégories socio-professionnelles supérieures et les jeunes sont les plus enclins à maintenir ou augmenter leur fréquentation. En particulier, 70% des CSP+ anticipent une fréquentation similaire ou supérieure à celle de l’été dernier.
Des dépenses raisonnées mais présentes
Les Français, tout en exprimant leur intention de fréquenter ces lieux, montrent une tendance à rationaliser leurs dépenses. Le budget moyen alloué aux bars et restaurants reste significatif avec des prévisions de dépenses atteignant en moyenne 159€ pour les restaurants et 55€ pour les bars et cafés chaque mois. Les jeunes et les hommes en particulier sont plus enclins à dépenser des sommes importantes avec des budgets moyens plus élevés que leurs homologues.
Les jeunes apparaissent plus enclins à dépenser des sommes importantes dans les cafés et bars : 14% des moins de 35 ans prévoyant un budget mensuel supérieur à 100€ contre 7% seulement des 35 ans et plus.
Les Jeux Olympiques en toile de fond
Bien que seulement 17% des Français envisagent de suivre les Jeux Olympiques de Paris 2024 dans ces établissements, une majorité exprime leur attachement aux bars et restaurants pour des raisons culturelles et sociales plutôt que sportives. Ces lieux demeurent des symboles de l’art de vivre à la française et jouent un rôle crucial dans la création de liens sociaux.
Les jeunes se montrent plus intéressés par le suivi des compétitions olympiques et paralympiques dans les bars, cafés et restaurants. En effet, 30% des moins de 35 ans prévoient de regarder ces événements dans ces lieux contre seulement 13% des 35 ans et plus, et 9% des plus de 50 ans.
Les Franciliens, peut-être plus exposés à la communication autour des Jeux Olympiques, sont également plus enclins à fréquenter ces établissements pour suivre les épreuves. 24% des habitants de l’Île-de-France envisagent de regarder les compétitions dans les bars, cafés et restaurants comparé à seulement 15% des habitants du reste de la France.
Cette troisième édition de l’enquête ‘Les Français et les restaurants, cafés et bars’ met en lumière un optimisme durable et une fréquentation en hausse malgré les défis économiques. Les bars, cafés et restaurants s’affirment comme des piliers incontournables de la vie sociale française, prêts à accueillir les consommateurs pour un été sous le signe de la convivialité et du partage.
« Les bars, cafés et restaurants s’affirment comme des piliers incontournables de la vie sociale française, prêts à accueillir les consommateurs pour un été sous le signe de la convivialité et du partage », souligne Caroline Casaleggio, Directrice Executive Orisha Distribution.
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Le Teenage Lab de Pixpay, la carte de paiement des ados copilotée par les parents, vient de dévoiler l’édition 2024 de son baromètre ‘Les habitudes de consommation des ados’. On y découvre que les adolescents de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur sont les deuxièmes plus dépensiers après les Corses, avec 110€ dépensés mensuellement en 2023, la plus grande part étant dédiée aux fast food avec 16,21% des transactions.
Dans la région voisine, en Occitanie, les dépenses mensuelles sont évaluées à 101€. Au niveau national, malgré l’inflation, les jeunes n’ont jamais autant déboursé puisqu’ils dépensent près de 97€ par mois, c’est 20% de plus que l’année précédente (80,4 €), et c’est plus qu’en Italie et en Espagne où le montant est compris entre 51 et 57€ par mois. C’est à McDonald’s que les adolescents dépensent le plus, suivi d’Apple et de la SNCF.
V.A.
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Comment se préparent les Français pour financer la rentrée scolaire ? C’est la question que Yomoni, leader de la gestion d’épargne en ligne, a posée à 958 parents. Une enquête qui dévoile d’importantes difficultés financières pour cette rentrée 2023, le tout dans une ambiance très anxiogène de la part d’une grande majorité de Français.
Une rentrée scolaire qui rime avec «cher»
Pour plus de 94% des Français, la rentrée scolaire 2023 sera sous le signe des dépenses. En effet, pour 57%, ce début de mois de septembre est synonyme de fortes dépenses et pour 37% de dépenses moyennes. Seulement 6% n’ont pas cet avis économique difficile.
Des budgets qui grimpent…
Les budgets diffèrent en fonction du cursus scolaire suivi par l’enfant. Ainsi, pour 42% des parents ayant un enfant en maternelle, le budget de la rentrée scolaire sera compris entre 200 et 300 euros, tout comme ceux en élémentaire à 39%. Au collège, l’enveloppe grimpe pour 35% des familles et est comprise entre 300 et 400 euros. Plus les études avancent, plus c’est élevé ! Ainsi, au lycée, le budget tourne autour de 400 et 500 euros pour 41%. Enfin, les parents d’universitaires explosent les compteurs avec un budget compris entre 1 000 et 1 500 euros à plus de 43%.
Classement des dépenses les plus lourdes
Parmi tout ce qu’il faut acheter à la rentrée, ce sont les outils informatiques qui pèsent le plus lourd pour 44% des Français. Ils sont bien loin devant les fournitures scolaires à 38%, les vêtements à 35% ou tout ce qui concerne la nourriture avec 31%.
Où sont les sous?
Pour trouver l’argent nécessaire à cette rentrée scolaire 2023, 74% des Français vont directement piocher dans les économies réalisées tout au long de l’année. 9% risquent de souscrire un prêt bancaire ou étudiant afin d’y faire face et 8% vont devoir travailler en complément, tout au long de l’année ou bien lors d’emplois saisonniers. Enfin, 5% bénéficieront d’aides diverses et 4% vont récupérer de l’argent sur d’autres postes. À noter, que les Français rechignent à demander de l’aide financière à des proches (0,2% de répondants).
Pour les 74% des Français qui vont piocher dans les économies réalisées au cours de l’année, c’est d’abord le compte courant qui sera débité à plus de 66%, bien loin devant les livrets à seulement 24%, l’assurance-vie à 8% ou le PEA à 2%.
Moins de vêtements neufs pour 2023
Même s’il est très difficile d’économiser à la rentrée, 57% des Français vont essayer de limiter leurs dépenses sur les vêtements et plus de 32% sur les fournitures scolaires. 21% pensent diminuer le budget consacré aux sorties et 19% aux activités extra-scolaires.
Des promos et du recyclé
Pour tout ce qui concerne les achats de fournitures scolaires, 41% des Français vont d’abord privilégier les produits neufs et moins chers et plus de 32% utiliseront les affaires dont ils disposent déjà, comme celles de l’année précédente ou déjà en leur possession. 16% vont également opter pour des produits d’occasion et 11% de chanceux s’orientent sur du matériel neuf et haut de gamme.
Cours financiers dès le primaire?
À la question « Selon vous, faudrait-il apprendre à l’école à bien gérer ses dépenses, ses finances et son argent en général ? », les Français sont unanimes : « Oui » à plus de 87% ! Dans le détail, 72% en sont totalement convaincus et 15% un peu.
Une rentrée… stressée!
Les vacances n’auront pas été totalement réparatrices pour une grande majorité de personnes. En effet, plus de 89% des Français avouent se sentir « stressés » pour cette rentrée 2023 et 9% se disent « inquiets ». Seulement, 2% se déclarent totalement zen pour commencer cette nouvelle année scolaire.
Ars: peut mieux faire?
L’allocation de rentrée scolaire (Ars) est versée aux familles démunies ayant au moins un enfant scolarisé âgé de 6 à 18 ans et est destinée à financer les dépenses de septembre. Pour cette année 2023, le montant de l’Ars est de 398,09€ par enfant âgé de 6 à 10 ans, 420,06€ par enfant âgé de 11 à 14 ans et 434,60€ par enfant âgé de 15 à 18 ans. Même si son montant a été revalorisé de 15%, 58% des Français l’estiment insuffisant et 41% suffisant.
En résumé :
Les 3 postes les plus lourds : informatique, fournitures et vêtements.
74 % des Français vont piocher dans leurs économies annuelles : le compte courant à 66 % et les livrets à 24 %.
Les 3 postes où les Français vont essayer de limiter leurs dépenses : les vêtements, les fournitures et les sorties.
41 % vont acheter les produits neufs les moins chers et 32 % vont réutiliser leurs anciens produits.
89% des Français se sentent stressés pour cette rentrée 2023.
58% trouve l’allocation rentrée scolaire insuffisante.
79 % des Français ressentent l’effet de l’inflation sur leur budget dédié au matériel scolaire.
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Alors que les vacances d’été arrivent à grands pas pour les parents et surtout pour leurs enfants et adolescents, le Teenage Lab de Pixpay, la carte de paiement des 10-18 ans copilotée par les parents, s’est interrogé sur les habitudes de consommation de la jeunesse lors de cette période estivale et dévoile ici les enseignements de son étude exclusive*. Pour illustrer ces chiffres, nous proposons le témoignage d’une famille cliente de Pixpay, dont le programme et l’organisation pour cet été 2023, est un bel aperçu de ce que sont les vacances chez les familles françaises.
Vacances: plus de budget, mais pas forcément plus de dépenses
Les vacances sont pour les ados synonymes de loisirs, de découvertes et parfois d’une indépendance grandissante. Les parents sont ainsi plus enclins à gâter leurs enfants lors de cette période. Ainsi, en juillet/août les adolescents voient leur budget mensuel augmenter de 40€ en moyenne sur l’année à 46€. Mais quelles folies financent-ils avec cela ?
Premier constat, ils dépensent moins souvent (5 transactions par mois contre 6 en moyenne le reste de l’année), mais déboursent des sommes plus importantes, puisque leur panier moyen passe de 14€ durant l’année scolaire à 16€ en juillet/août.
Pic de sorties pour les ados pendant les vacances? Non. Pic d’ordi? Oui!
Autre observation plus étonnante, plus que tout le reste de l’année, juillet/août représente une période d’achat en ligne pour les adolescents. En effet, alors que les transactions sur le web représentent 20% du total des dépenses des 10-18 ans pendant l’année, ce taux passe à 25% en juillet/août.
Sans vouloir faire dans les clichés, il semblerait, que pendant l’été, les adolescents soient plus devant leur smartphone qu’à jouer dans le jardin. Preuve en est : Google entre dans le top 5 des marchands préférés des ados pendant l’été.
Des dépenses pour se déplacer multipliées
Autre analyse cette fois-ci plus logique, les dépenses en matière de transports explosent pendant l’été. SNCF réalise 18% de ses transactions annuelles auprès des 10-18 ans sur les seuls mois de juillet/août. Quant aux alternatives plus « bon marché », elles deviennent pendant l’été les meilleures alliées des adolescents. Blablacar réalise 18% des transactions de l’entreprise ont lieu en juillet/août, et gagne ainsi 9 places dans le classement des enseignes les plus consommées par les ados pendant les vacances d’été. Un constat décuplé chez Flixbus qui grimpe de 61 places dans ce même classement sur la période.
Côté tourisme, une poignée d’adolescents ont la chance de quitter la zone euro. En effet, sur les mois de juillet/août, 6% des transactions se font dans une autre devise que l’euro. Soit deux fois plus que le reste de l’année.
Alimentation en berne et mode en tendance
Autre poste de dépenses qui profite de la période estivale : la mode. En effet, on observe une augmentation des achats faits par les adolescents chez leurs marques préférées comme Shein et Zara. Ainsi, 22% des dépenses des ados en matière de vêtements & accessoires ont lieu pendant les vacances d’été. Une tendance qui peut être expliquée par les soldes de juillet et la préparation de la rentrée fin août.
A l’inverse, les marques de la grande distribution pâtissent de l’absence des adolescents qui viennent pendant l’année chercher un déjeuner entre midi et deux et/ou des sucreries à la sortie de cours. Les enseignes citadines comme Monoprix, Franprix et Carrefour City chutent respectivement de 4, 12 et 10 places au classement des marques plus consommées par les ados. On peut aisément comprendre que les jeunes préfèrent profiter de la bonne cuisine de leur grand-mère plutôt que de manger des sandwichs triangles.
Témoignage d’une famille utilisatrice de Pixpay Julie mère de Johanna 12 ans et Joshua 14 ans (Versigny, Oise)
« Cette année mes ados partent en colonie sportive dans le Sud-Ouest, 10 jours en juillet. Nous allons ensuite en Corse en famille, puis ils finissent leurs vacances chez leurs grands-parents en Bretagne. Pour les mois de juillet/août, nous doublons leur argent de poche mensuel de 30 à 60€. Que ce soit en colonie, avec nous ou chez leurs grands-parents la quasi-totalité des dépenses ne sont pas à leur charge, cela leur permettra de pouvoir se faire plaisir à eux et aux copains/copines. Depuis près de 2 ans que nous utilisons Pixpay pour nos deux ados, nous avons constaté deux gestions de leurs finances très différentes. Joshua c’est la fourmi ! Il conserve tout dans son coffre-fort et ne dépense que le strict minimum. Il a aujourd’hui des centaines d’euros de côté. Sa sœur a plus de mal à épargner. Elle profite à fond de son argent de poche. La connaissant, elle va acheter plein de petits souvenirs pendant ses vacances et va faire le plein de glaces et de boissons fraîches sur la plage. De notre côté, l’application Pixpay nous permet de suivre leurs dépenses à distance, de leur faire un ajout en instantané en cas de besoin. Nous avons également bloqué certaines catégories de marchands comme les bars tabac. »
*étude réalisée sur la base de 7,9 millions de transactions réalisées par les utilisateurs français de Pixpay du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022.
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Montants des dépenses des vacanciers français et étrangers, dynamisme des transactions étrangères, lieux de villégiature privilégiés par les juilletistes, palmarès des régions & villes où les touristes dépensent le plus, retour des touristes étrangers… Pour la 3e année consécutive, la fintech SumUp dresse le panorama des dépenses des vacanciers en France durant la période estivale, en s’appuyant sur plusieurs millions de transactions réalisées via ses solutions de paiement dédiées aux commerçants, PME (Petites et moyennes entreprises) et indépendants.
Si le volume des affaires est à la hausse : +4,2% par rapport à l’année dernière, le panier national qui est à 35,2€ a baissé d’environ 5%. Sans surprise les américains sont ceux qui dépensent le plus.
Après une reprise post-pandémie sur les chapeaux de roue favorisée par des températures records, le secteur du tourisme est en pleine renaissance. Toutefois, à l’heure où les vacances d’été sont sous le signe de l’inflation et que des restrictions budgétaires affectent le portefeuille des Français, un bilan touristique s’impose.
L’hôtellerie et la restauration restent les moteurs du tourisme D’après la fintech SumUp, l’activité des commerçants français est en hausse de 4,2% en juillet 2022. Cette croissance, dont quelques régions sortent particulièrement gagnantes, est portée par les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du tourisme et des loisirs.
Dans le détail Hôtellerie (+11,5% au niveau national). L’Île-de-France (+50,9%) et la région Grand Est (+38,3%) affichent un fort dynamisme.
Restauration (+6,5% au niveau national). Le Centre-Val de Loire (+20,8%), suivi de la région Provence-Alpes-Côtes d’Azur (19,9%) sortent du lot. Cannes, avec une hausse de +130,6% de son activité, est la ville qui tire le plus son épingle du jeu.
Tourisme (+5,4% au niveau national). La Corse est en tête (59,5%) suivie de l’Île-de-France (41,1%) à contrario des Hauts-de-France (-10%) et de la région Pays de Loire (-13%) qui sont en bas du classement.
Loisirs & Divertissement (+2% au niveau national). C’est en particulier dans les régions Centre-Val de Loire (+45,5%) et Grand Est (+ 20,8%) puis respectivement dans les villes de Nice (+17,7%), Paris et Lyon (tous deux +12%) que l’on note la hausse la plus significative.
Cependant le panier moyen est en baisse Il est passé de 35,20€ à 33,60€. En Restauration : les vacanciers ont généralement moins dépensé pour se restaurer dans les grandes villes françaises. Seule Marseille sort du lot (+4,7%, 20€,) vs Paris (-13%, 24,9€) et Cannes (-15%, 22,7€) occupent le haut du palmarès. Quant à Lille (-15%, 15,6€) et Strasbourg (-10%, 14,5€), elles ferment le classement.
Hôtellerie : le Centre Val de Loire sort du lot avec une hausse forte de son panier moyen: +9,2%, 90,5€. Cependant, la tendance générale est à la baisse. Les régions Grand Est (-38%) et Île-de-France (-26,6%) sont les moins bien loties.
Loisirs et Divertissement: Marseille se distingue avec une hausse significative de son panier moyen (+22%, avec un panier moyen de 31€). A contrario, Nice enregistre un panier moyen record de 52€ mais une hausse de seulement 3,2%.
Qui sont les étrangers qui achètent le plus ? Dans le secteur du tourisme, le top 5 des vacanciers qui dépensent le plus est :
les américains (20,3% des dépenses par carte étrangère vs 10% en 2021)
les belges (17,3% vs 27,5% en 2021)
les britanniques (14,1% vs 12,6% en 2021)
les hollandais (10,9% vs 16,4% en 2021)
les allemands (7% vs 6,4% en 2021)
Les régions qui bénéficient le plus de cette dynamique sont : +166% en Bretagne ; +148,6% en Ile-de-France ; +95,3% en Corse ; +87,2%, dans les Pays de la Loire et +77,7% dans les Hauts de France.
Les sources de l’enquête Montants des dépenses des vacanciers français et étrangers, dynamisme des transactions étrangères, lieux de villégiature privilégiés par les juilletistes, palmarès des régions & villes où les touristes dépensent le plus, retour des touristes étrangers… Pour la troisième année consécutive, la fintech SumUp dresse le panorama des dépenses des vacanciers en France durant la période estivale*, en s’appuyant sur plusieurs millions de transactions réalisées via ses solutions de paiement dédiées aux commerçants, PMEs et indépendants.
Sumup SumUp accompagne les commerçants, indépendants et micro-entreprises à démarrer, gérer et développer leur activité avec succès. Grâce à sa “Super App”, SumUp propose aux commerçants un compte et une carte d’entreprise gratuits, une boutique en ligne, des outils de facturation ainsi que des solutions de paiements physiques et à distance parfaitement intégrés aux terminaux de cartes et aux caisses enregistreuses de SumUp. SumUp, fintech internationale a été Fondée en 2012, travaillant avec plus de 4 millions de petits commerçants sur plus de 35 marchés dans le monde. Le Groupe s’est engagé́ à reverser 1 % de ses revenus nets en faveur des causes environnementales, éducatives et entrepreneuriales. MH
Les dépenses de l’Élysée ont fortement augmenté en 2023
Selon une étude menée par Sunday, solution de paiement par QR code lancée en avril dernier, sur 5 000 additions payées au restaurant lors du réveillon du 31 décembre, c’est en Provence-Alpes-Côte d’Azur que l’on a constaté les plus fortes dépenses par personne. Ainsi en Paca, chaque convive s’est acquitté d’une addition de 82€. Arrive ensuite Auvergne Rhône Alpes avec 74€ par personne alors que la moyenne nationale s’établit à 51€ et à 50€ chez nos voisins d’Occitanie. Par ailleurs, les Français ont été 2,6 à se retrouver à la table d’un restaurant contre 3, en moyenne, en Paca. C’est dans les Haut-de-France que l’on observe les plus grandes tablées avec 4,5 personnes. Côté pourboire, lors de cette soirée de passage en 2022 ces derniers ont doublé par rapport à la moyenne du mois de décembre. La région la plus généreuse en pourboire fut Paris avec 6€ laissés en moyenne contre 4€ pour la région Sud.
Une addition de… 7 909€ Lors de cette soirée, c’est à Paris que l’on trouve le record pour une addition avec un montant de… 7 909€. Pour Paca, c’est dans les Alpes-Maritimes que se trouve la ‘douloureuse’ plus importante avec 1 839€. Largement devant Auvergne Rhône Alpes (1 056€ à Lyon) et surtout Occitanie (498€ en Haute-Garonne). « Après une année difficile pour les Français, nous pouvons constater grâce aux données collectées par notre solution de paiement qu’ils ont eu à cœur de laisser de côté leurs soucis et se retrouver, explique Victor Lugger, co-fondateur de Sunday. Créé en avril 2021 par les fondateurs du groupe de restauration Big Mamma, cette solution de paiement comptant désormais plus de 1,1 millions d’utilisateurs à travers le monde permet de régler son addition en moins de 10 secondes.
Hausse du panier moyen et des pourboires « Sunday a pu aider les restaurateurs à améliorer les protocoles sanitaires et à respecter au mieux les gestes barrières grâce notamment au paiement sans contact, poursuit Victor Lugger. Et pour les convives, finis les calculs d’apothicaire, nous les aidons à calculer de la manière la plus précise la somme à payer par chacun, chose essentielle lors d’une sortie entre amis comme c’est le cas pour les diners de réveillon. Ils ont pu se concentrer sur ce qui étaient le plus important pour eux, partager de bons moments entre amis. » Sunday, qui a ouvert des bureaux à Paris, Londres, Madrid et Atlanta après une levée de fonds de 20M€ en avril dernier puis une seconde de 85M€ en septembre, compte plus de 1 500 partenariats avec des restaurants. Des établissements où la rotation est maintenant plus rapide de 10% avec une hausse de 12% du panier moyen ainsi qu’une augmentation de 40% des pourboires pour le personnel.