21 novembre 2024 |

Ecrit par le 21 novembre 2024

(vidéos) Luberon & Sorgues Entreprendre : la décarbonation au cœur de son action

En France, l’industrie est responsable de 18 % des émissions des gaz à effet de serre. Consciente de l’enjeu, l’association Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE), regroupant 200 entreprises du Luberon, des Monts de Vaucluse et du Pays des Sorgues, en a fait son sujet numéro un. Et pas uniquement pour des motifs écologiques ou climatiques…

Le 8 novembre dernier, une trentaine d’entrepreneurs étaient réunis, au siège de la société Mayoly à L’Isle-sur-la-Sorgue, pour une matinée de travail. Cette réunion, organisée à l’initiative du réseau Luberon & Sorgues Entreprendre et animée par sa coordinatrice Catherine Bézard, pourrait être considérée comme le point départ de nombreux projets d’envergure qui engageront l’avenir des entreprises du réseau. L’enjeu est de taille, il s’agit d’accompagner et d’aider des entreprises volontaires sur la voie de la décarbonation. Dans ce domaine le partage d’expériences est essentiel. Mais pas que… Il s’agissait également pour les entreprises du réseau de pouvoir être intégrées au « Pacte industrie / décarbonation », financé par l’ADEME. Ce programme, fort d’une dotation de 49 M€, court jusqu’en 2026. Il a pour ambition d’apporter du conseil et des financements aux entreprises qui souhaitent s’engager dans la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre. Les entreprises du réseau ont jusqu’au 15 décembre pour répondre à cet appel à projets lancé par l’agence nationale.

La décarbonation n’est pas encore une contrainte réglementaire, faisons-en une opportunité, Laura Dos Santos

La décarbonation n’est pas encore une contrainte réglementaire faisons-en une opportunité résumait Laura Dos Santos, Directrice de Mayoly, une des pilotes du projet décarbonation, lors de son intervention. « La décarbonation, c’est bon pour la rentabilité et la compétitivité de l’entreprise » a-t-elle ajoutée. Produire tout au partie de sa propre électricité permet de faire des économies substantielles et de renforcer son indépendance. Un exemple : Theus Industries, une entreprise de chaudronnerie qui fabrique des cheminées haut de gamme, a investi dans des panneaux photovoltaïques. Elle a réduit de 2/3 sa facture d’électricité et son investissement (400 K€) sera amorti en 4 ans. Cela sans compter avec les augmentations attendues des coûts de l’énergie carbonée. Si décarbonation peut rimer avec des baisses de factures énergétiques c’est aussi un vecteur d’image positif pour l’entreprise, que ce soit auprès de ses clients ou de ses futurs collaborateurs.

Le premier retour d’expérience de l’entreprise Mayoli dans la décarbonation

L’entreprise est spécialisée dans la gastroentérologie et en dermo-cosmétique, elle fournit des terres thérapeutiques à l’industrie pharmaceutique (dont le célèbre SMECTA)
Première étape : établissement du bilan carbone, celui de l’entreprise correspond à celui d’une ville de 10 000 habitants sur une année. L’expérience a montré que les entreprises les plus petites n’étaient pas forcément les moins polluantes.
Pour l’entreprise la production d’eau chaude et de vapeur et le traitement de l’air.
Deuxième étape : définition d’objectifs : moins 50 % d’émissions de CO2 en 2030 et 55 % au-delà avec les intrants
Troisième étape : valider la démarche et les moyens
Quatrième étape : s’engager
Dans cette phase une trentaine de pistes ont été dégagés et plusieurs actions ont d’ores et dejà été mises en œuvre : recours à l’électricité verte, utilisation du fret ferroviaire pour la liaison Avignon / Paris (90 % d’émissions de CO2 en moins), utilisation du gaz pour produire de la chaleur

La décarbonation cocherait ainsi toutes les cases, ou presque…

Mais la décarbonation ne serait pas uniquement une bonne affaire pour l’entreprise elle-même, ce serait également la possibilité de dégager des moyens pour revaloriser les rémunérations des salariés. « C’est un juste retour des efforts demandés aux collaborateurs » affirme Laura Dos Santos, Directrice de Mayoly. Pour rester sur ce volet social certaines entreprises réfléchissent à mettre gracieusement à disposition de leurs salariés les surplus d’électricité produits grâce à leurs propres installations.

La décarbonation cocherait ainsi toutes les cases, ou presque… C’est bon pour la planète, c’est bon pour l’entreprise et ses salariés. Mais alors qu’est-ce qu’on attend, serait-on tenté de dire ? Surtout qu’aujourd’hui outre l’ADEME, de nombreuses collectivités apportent leurs soutiens à la transition énergétique des entreprises. « Entre les économies dégagées et les subventions obtenues on peut presque financer nos projets » reconnaît un chef d’entreprise.

La force d’un réseau

C’est également sans compter avec l’apport du réseau des entreprises Luberon & Sorgues Entreprendre. « Le partage de nos expériences et nos réalisations, c’est notre meilleure veille technologique » précise Catherine Bézard, coordinatrice du réseau LSE. Dans ce domaine le retour d’expériences est essentiel. Ainsi, tous les membres du réseau suivent avec beaucoup d’intérêt la prochaine installation d’un concentrateur solaire par l’entreprise le Coq Noir, fabricant de condiments et sauces. Cette entreprise, également installée à L’Isle-sur-la-Sorgue, a besoin de produire de la chaleur dans la confection et la préparation de ses produits. Des visites et des échanges sont au programme du réseau pour suivre la mise en œuvre de ce projet.

Cette idée d’économie circulaire peut également fonctionner entre les entreprises elles-mêmes. Ainsi au sein du réseau un projet de partage d’énergie est également à l’étude. Exemple : dans certains de ses processus de fabrication Mayoly utilise de puissants sécheurs dont la chaleur n’est pas récupérée, alors que certaines entreprises en ont besoin. Un réseau de chaleur pourrait ainsi être constitué associant plusieurs producteurs et consommateurs. Un exemple parmi d’autres qui illustre la pertinence du « faire ensemble ».

Le réseau Luberon & Sorgues Entreprendre

Fort d’une expérience d’une vingtaine d’années et née de la fusion de deux réseaux, Luberon Sorgues Entreprendre est une association présidée par Christopher Baudrier (GECO-IT) et Laura Dos Santos (MAYOLY), vice-présidente et Hélène Felix (HEFEJE HOLDING), vice-présidente.

Le réseau regroupe 200 entreprises du Luberon des Monts de Vaucluse et du Pays des Sorgues. Il est animé par Catherine Bézard.

Cette association se fixe pour mission :
➢ D’encourager la coopération interentreprises pour accompagner les transitions écologique, numérique, sociétale et faciliter la prospective
➢ De favoriser les échanges entre entrepreneurs et les soutenir dans leurs problématiques
➢ De participer au développement économique durable du territoire
➢ De porter la voix des entreprises et défendre leurs intérêts communs auprès des institutions et des pouvoirs publics
➢ De s’impliquer dans les projets de développement économique menés par les acteurs publics et apporter la vision des entrepreneurs
➢ De faciliter la relation avec les institutionnels

Contacts :
https://luberonetsorguesentreprendre.fr/
06 84 03 52 52
info@luberonetsorguesentreprendre.fr


(vidéos) Luberon & Sorgues Entreprendre : la décarbonation au cœur de son action

Le coq noir, entreprise agroalimentaire spécialisée dans le condiment, s’engage dans la décarbonation via une technologie d’énergie solaire à concentration. Objectif ? Supprimer 75% du gaz servant à son procédé de production d’ici avril 2025.

L’entreprise Le coq noir, basée à l’Isle-sur-la-Sorgues (84), 70 chemin des Jonquiers, spécialisée dans les condiments, sauces et autres aides culinaires a fait le pari de l’énergie solaire pour alimenter l’étape clef de sa production : la cuisson et la stérilisation de ses produits. Dès le printemps 2025, la construction de sa centrale solaire à concentration produira 75% de la vapeur utilisée par l’usine au cours de l’année, réduisant les émissions du site de 180 T de CO² par an.

Son fonctionnement ?
Un fluide caloporteur s’écoule en circuit fermé entre le champ solaire, le stockage thermique et l’évaporateur. La centrale solaire à concentration produira ainsi une vapeur à 170°C pour la cuisson et la stérilisation des produits.

« La vapeur ainsi produite par la centrale solaire
est consommée en priorité par l’usine, la chaudière existante servant d’appoint. Cette technologie novatrice permet d’avancer dans la décarbonation de l’industrie agroalimentaire française, alors qu’aujourd’hui trop peu de solutions existent pour produire une chaleur renouvelable à ces niveaux de températures,’ précise un responsable de la PME isloise.

Pourquoi ce choix ?
«Ce choix de la chaleur solaire est clé pour le développement de l’entreprise Le Coq Noir, assure Thibault de Leusse, directeur général le Coq noir. Il nous permet de poursuivre nos objectifs de décarbonation et d’accéder à la transition du monde agroalimentaire. Avec la signature de ce contrat, c’est également un choix de souveraineté économique et énergétique en diminuant sensiblement notre dépendance au gaz et à la volatilité de l’énergie fossile. Nous souhaitons diminuer toujours plus notre impact sur l’environnement mais en maitrisant nos coûts pour rester accessible à tous nos clients…»

Les chiffres clés
855 m² : surface au sol utilisée pour les capteurs solaires dans le champ Le coq noir ; 500kW : la puissance moyenne de l’installation ; Un contrat d’achat d’énergie d’une durée de 20 ans. Financement pris en charge en intégralité par Alto solution avec le soutien de la Région Sud ; Prix fixe de l’énergie pour Le coq noir sur la durée de vie ; Durée des travaux : 4 mois ; Réduction jusqu’à 180 T de CO² par an ; Réduction de plus de 55% des émissions de CO2.

La centrale solaire à concentration
La 1re pierre de la centrale solaire sera posée en septembre 2024 pour une fin des travaux en décembre de la même année. Les premiers essais de mise en service auront lieu entre janvier et mars 2025 pour une livraison en avril de la même année.

En savoir plus
Le Coq noir est un fabricant de condiments, sauces et aides culinaires inspirés du Monde depuis 1979. L’histoire commence sur l’Ile de la Réunion pour arriver à L’Isle-sur-la-Sorgue. Sur le chemin, la découverte d’épices, des évolutions et de la passion. Le tout dans un respect profond des personnes, du territoire et de la planète.

Le coq noir
Ce sont 40 références en GMS (grandes et moyennes surfaces), la seule marque de soja Bio issu de l’agriculture française, 450 tonnes de produits par an, 60% de matières premières françaises, 3 000 points de vente tous réseaux confondus.

Alto Solution
Cette entreprise aixoise a mis au point une technologie unique d’énergie solaire à concentration. Alto Solution a développé un collecteur solaire à concentration, pour produire de la chaleur entre 100 et 400°C, et ainsi répondre à plus de 70% des besoins industriels. La chaleur est produite de manière totalement décarbonée et renouvelable. « Nous produisons de la chaleur solaire jusqu’à 400°C pour remplacer les combustibles fossiles dans l’industrie pour cela, nous avons mis au point une technologie d’énergie solaire à concentration unique et innovante qui augmente les performances des centrales, tout en réduisant les coûts de construction. Notre objectif ? Favoriser la transition énergétique. Parce que le monde consomme 3 fois plus de chaleur que d’électricité, nous visons, dans un premier temps, les usages industriels où, plus de 60 à 80% des besoins énergétiques sont sous forme de chaleur, notamment dans l’agro-alimentaire, la chimie & pharmaceutique, le papier, le textile, » précise un des responsables d’Alto Solution.


(vidéos) Luberon & Sorgues Entreprendre : la décarbonation au cœur de son action

Le petit train touristique de l’Isle-sur-la-Sorgue, qui se charge de faire découvrir la ville aux touristes avec un trajet de 35 minutes, roule désormais au HVO, un biocarburant 100% renouvelable et certifié durable.

Soucieux de réduire son impact environnemental et de limiter son empreinte carbone, le petit train touristique de l’Isle-sur-la-Sorgue vient de passer au HVO. Produit à partir de matières premières végétales, résiduelles ou de déchets, notamment issus de l’agriculture, ce biocarburant peut être utilisé comme alternative au diesel sans avoir besoin de modifier le moteur.

Mis en œuvre par la société carpentrassienne des Voyages Arnaud, le petit train réduit ses émissions de CO2 d’au moins 70% et de particules fines de plus de 85%, diminue le bruit et les odeurs de son moteur, et contribue à améliorer la qualité de l’air de la ville.

Le petit train circule du 3 avril au 2 novembre, au départ du 3 Avenue des Quatre Otages (35 minutes ; arrêt de 10 minutes au Partage des Eaux).
Du lundi au mercredi et le vendredi et le samedi : 10h, 11h, 12h, 14h, 15h, 16h, 17h, 18h.
Le jeudi : 15h, 16h, 17h, 18h.
Tarif plein : 7€ / Tarif pour les 4 à 12 ans : 5€ / Gratuit pour les moins de 4 ans.


(vidéos) Luberon & Sorgues Entreprendre : la décarbonation au cœur de son action

Les échanges de données permanents, gérés par des data centers, ont un impact significatif sur l’environnement. C’est pourquoi les acteurs des industries culturelles et créatives d’Avignon et ses alentours ont décidé de s’allier et de créer le projet ICC H2 Digital, qui devrait donner naissance à un centre de données 100% énergie renouvelable dans les prochaines années qui devrait contribuer à leur décarbonation.

C’est au 5 Route de Lyon à Avignon, aux portes du centre-ville, que le premier centre de données numériques 100% énergie renouvelable, nommé ‘L’arbre’ fonctionnant à l’énergie solaire et à l’hydrogène vert, devrait sortir de terre d’ici 2027. Ce bâtiment devrait permettre la décarbonation des industries culturelles et créatives, en particulier pour la création des images numériques, qui est enjeu majeur pour les studios d’animation et de jeu vidéo.

Ce mardi 30 janvier, les acteurs d’ICC H2 Digital se sont réunis à la Scierie, où un format pilote du projet, EcoBio H2, a été mis en place et est déjà opérationnel, pour présenter le projet. « C’est une vraie fédération des acteurs des industries culturelles et créatives », affirme Julien Deparis, directeur de l’École des nouvelles images.

Vidéo réalisée par les étudiants de l’École des nouvelles images.

Des acteurs locaux majeurs

Le consortium est composé d’acteurs majeurs des industries culturelles et créatives au niveau local : le studio arlésien TNZPV qui est le plus grand studio de la Région Sud, les studios Circus et La Station Animation implantés à Avignon, ainsi que le studio Ellipse Animation, leader européen de la filière, qui pourrait bientôt s’implanter à Avignon, mais qui a déjà un pied dans le Vaucluse puisqu’il est à l’origine des films 3D réalisés pour les simulateurs numériques du Parc Spirou Provence à Monteux.

Ce projet, ce sont aussi des acteurs de la formation comme l’École des nouvelles images, à Avignon, la Villa créative d’Avignon Université, et le Conservatoire national des arts et métiers Paca. Enfin, il y a également deux acteurs de la filière numérique : ZenT, gestionnaire de projets spécialisé en éco-conception, et H2 Digital, à l’origine du projet pilote EcoBio H2.

Un projet en accord avec la transition écologique 

Le centre de données EcoBio H2 de la Scierie a donc fait de l’œil aux écoles et studios de production d’Avignon. « Nos studios et écoles sont des grands consommateurs du numérique, qui est une filière très polluante, explique Julien Deparis, dans un contexte où la transition écologique est un enjeu majeur de notre société, on ne peut qu’envisager des solutions pour se décarboner. »

« Les ordinateurs sont 56 fois plus puissants aujourd’hui qu’il y a dix ans. L’innovation numérique a un impact significatif sur l’environnement. »

Julien Deparis

Le numérique représente plus de 2% des émissions de dioxyde de carbone dans le monde, ce qui équivaut à l’empreinte de l’aviation civile. Ces émissions sont dues à trois facteurs : la fabrication des équipements (écrans, serveurs de calculs, etc), le calcul intensif informatif, et la diffusion de contenus (plateformes de streaming, etc). En 20 ans, il y a eu énormément d’évolution, qui génère de plus en plus de pollution. Par exemple, le film d’animation Shrek 1, sorti en 2001, a demandé 5 millions d’heures de calcul. C’est 10 fois moins que Shrek 4, sorti en 2010, qui en a nécessité 50 millions, soit l’équivalent de 25% de la consommation en énergie de la ville d’Avignon. Toy Story 4, sorti en 2019, lui, a généré 216 millions d’heures de calcul.

Une réglementation pour réduire les impacts écologiques du numérique

Ce centre de données a donc pour objectif de réduire l’empreinte carbone des secteurs du cinéma d’animation, du jeu vidéo et de la postproduction numérique qui induisent une consommation importante en ressource énergétique. Au niveau national et européen, la réglementation évolue d’ailleurs en ce sens.

Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) a déjà mis en place une éco-conditionnalité. Depuis le 31 mars 2023, le CNC demande aux bénéficiaires d’aides à la production de remettre un bilan prévisionnel ainsi qu’un bilan définitif des émissions carbone engendrées par la production de leurs œuvres. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, le dépôt de ce double bilan carbone conditionnera le versement des aides à production du CNC. Cette mesure permet notamment d’accompagner les studios dans leur transition environnementale.

Un centre de données unique au monde

Pour le moment, l’objectif est de pouvoir augmenter la capacité du centre pilote de la Scierie, doté d’une puissance de 10 kW aujourd’hui, qui ne permet pas encore une utilisation intensive. Le centre de données ‘L’arbre’ devrait quant à lui naître d’ici 2027 et augmenter cette puissance à 100 kW. Pour ce faire, les acteurs d’ICC H2 Digital ont déposé le dossier de leur projet auprès de France 2030, dont la réponse devrait être annoncée d’ici le mois de mars.

« On n’a aucune connaissance d’un data center HPC (haute performance de calcul) équivalent dans le monde.« 

Jérôme David, fondateur de ZenT

Ce centre de données fonctionnera à l’énergie solaire et à l’hydrogène vert produit au sein même du centre. Il devrait pouvoir alimenter les besoins en journée, stocker l’hydrogène et être doté d’un système qui permet de récupérer la chaleur émise par les équipements informatiques pour chauffer les lieux voisins, l’eau, etc. Avec ‘L’arbre’, les acteurs du projet ICC H2 Digital visent une division par deux de la consommation électrique pour les calculs intensifs, une division par dix de la consommation électrique des postes de travail, et une division par quatre de l’utilisation du matériel informatique grâce à la mutualisation des ressources en un seul lieu.

Ce projet 100% local, soutenu par la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC), la Région Sud, la préfecture de Vaucluse, le Département de Vaucluse et son agence du développement Vaucluse Provence Attractivité, le Grand Avignon ainsi que la Ville d’Avignon, représente un atout majeur pour l’attractivité du département auprès des entreprises et pour la création d’emplois.


(vidéos) Luberon & Sorgues Entreprendre : la décarbonation au cœur de son action

Le GEPE (Groupement des entreprises de Pertuis et ses environs) propose un webinaire sur la ‘décarbonation de l’industrie’ ce mardi 6 juillet de 14h à 16h. L’inscription à cette visio-conférence à lieu ici, les personnes inscrites recevront un lien ainsi que les instructions nécessaires pour rejoindre la conférence. Ce webinaire s’adresse aux collectivités territoriales, entreprises déjà impliquées dans un projet de stratégie Pia (Stratégie d’accélération pour l’innovation). Objectif ? Diffuser l’information et dialoguer sur le fond et les modalités des appels à projet à venir.

Infos pratiques : Confirmation de votre participation sur gepe@gepe.fr ou par SMS au 06 43 34 54 91. L’intervention aura lieu à la pépinière d’entreprises innovantes 139, rue Philippe de Girard à Pertuis.
M.H.

https://echodumardi.com/tag/decarbonation/   1/1