La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
France Travail, la Mission Locale Jeunes Grand Avignon, Cap Emploi 84, la DDETS et l’UMIH 84 s’allient pour répondre au défi majeur que représente le recrutement dans le secteur de l’hôtellerie-restauration en proposant un restaurant éphémère à l’Académie Vaucluse Provence (anciennement le Campus de la CCI), un espace de rencontre entre recruteurs et demandeurs d’emploi et de mise en pratique pour ces derniers.
Le mercredi 23 octobre, la Brasserie Franck Gomez de l’Académie Vaucluse Provence à Avignon se transformera en brasserie éphémère où une douzaine de demandeurs d’emploi deviendront serveurs. Ce jobdating inversé ciblé sur les métiers du service en salle leur permettra de recevoir, eux, les recruteurs, et non l’inverse.
Pour la première fois, ce jobdating aura lieu durant l’après-midi. Les candidats pourront mettre en pratique leurs compétence et savoir-être en préparant le service du midi. Ils découvriront les métiers du secteur de l’hôtellerie-restauration et pourront transformer cette expérience en opportunité de formation ou d’emploi. Une douzaine de chefs d’entreprises ou recruteurs seront présents pour évaluer les aptitudes et qualités des candidats. Le grossiste Metro, à Avignon, qui est partenaire de l’événement, fournira produits de qualité, issus de circuits courts, et tabliers.
Les candidats seront accueillis dès 8h15, puis se verront attribuer leur tenue et leur binôme, à savoir un tuteur de l’école hotellière, à 8h45. Le restaurant éphémère ouvrira ses portes à 12h. Puis, la partie jobdating débutera à 14h30. Les candidats s’installeront chacun à une table et les recruteurs feront le tour des candidats pour leur proposer leurs postes à pourvoir.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Nous sommes invités à la Fédé BTP à l’occasion d’une réunion du Pole prévention OPP BTP 84 (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Autour de la table, les acteurs de la filière BTP et les services de l’Etat. Objectif ? Améliorer la prévention et la sécurité des conditions de travail du BTP au moyen de la communication, de l’information, de l’assistance opérationnelle et des conseils juridiques. Une initiative vauclusienne unique en France.
Autour de la table ? Thomas Jurczyk de l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) ; Olivier Audoly ingénieur conseil de la Carsat Sud-Est (Caisse d’assurance Retraite, santé, travail) ; Olivier Cousi, directeur du CFA Florentin Mouret (Centre de formation des apprentis) ; Cédric Bosse, en charge du service économique de la Capeb Vaucluse (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et représentant des artisans du bâtiment ; Yann Le Cam, directeur de l’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse et émanation du Conseil départemental) ; Françoise Lesauvage, responsable de l’Unité contrôle DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités), inspection du travail et Emilie Pascal, responsable de l’Unité de contrôle DDETS, tous conviés à se retrouver tous les trimestres, à l’invitation d’Emmanuel Méli, secrétaire général de la Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics de Vaucluse.
Ce qu’ils ont dit
Françoise Lesauvage, Responsable de l’Unité contrôle DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités), inspection du travail. «Ce qui est important dans ces réunions débutées en 2018, c’est que nous sommes différents acteurs qui œuvrons au quotidien sur le terrain pour la prévention et la sécurité des travailleurs du bâtiment, entame Françoise Lesauvage. Nos compétences, qui se complètent et se croisent, nous permettent de toucher les mêmes publics, qui sont cependant différents, selon les organismes que nous représentons. Notre problématique ? Pour le Ministère du travail, le BTP est une branche qui attire particulièrement l’attention du fait de la dangerosité des métiers et des possibles accidents du travail.»
Le travail sécurisé «Ce qui nous interpelle ? Le travail dissimulé qui est en lien étroit avec la santé et la sécurité. Il est difficilement quantifiable car il intervient sous diverses formes. Il peut s’immiscer dans la sous-traitance, même si celle-ci n’est pas du travail dissimulé, mais lorsqu’elle est organisée en cascade, elle fait appel à des entreprises qui sont peut-être moins vertueuses, moins équipées et plus modestes, cette ‘organisation’ finissant par nuire aux salariés en matière de statut social, de santé et sécurité.»
Ce que j’aimerais aborder «La règlementation du Code du travail évolue, notamment au niveau des solidarités des maîtres d’ouvrage. C’est là que le Pôle de travail suscite autre chose qu’un travail règlementaire parce qu’on est persuadés, en tant que professionnels, que ce qui est décidé en amont de la définition du cahier des charges a un impact sur la manière dont le chantier sera réalisé et dans l’organisation des entreprises et de leurs salariés. Lorsque le maître d’ouvrage décide, sur un chantier, de créer un lot zéro pour y inclure la sécurité, les moyens de protection collectifs, les voies et réseaux, cela évite que la responsabilité individuelle de chaque entreprise soit la seule mise en cause. Notre communication auprès des donneurs d’ordre est donc, là, essentielle.»
Olivier Audoly, ingénieur conseil de la Carsat Sud-Est (Caisse d’assurance Retraite, santé, travail) «Le BTP une des activités qui connaît la plus forte sinistralité, notamment en ce qui concerne les maladies professionnelles qui impactent beaucoup l’humain et aussi en termes financiers pour les entreprises, induisant des enjeux sociaux en cas de blessure, de handicap et de décès. Comment la personne blessée ou handicapée va-t-elle pouvoir vivre après l’accident ? Que va devenir sa famille avec cette perte de ressource et de travail… Effectivement, l’objectif de nos réunions est aussi d’essayer de réduire les accidents du travail de façon directe ou indirecte.»
Avez-vous observé une différence notable sur le terrain depuis 2018, date de la création de votre cellule de partage d’informations ? «Les facteurs économiques influent aussi beaucoup sur la vie des entreprises. La période Covid a infléchi les chiffres qui étaient tout de même régulièrement à la baisse, même si l’activité a subi une forte sinistralité. Aujourd’hui ? Les entreprises sont en difficulté et la prévention des risques reste un des premiers volets à passer à la trappe lorsqu’il s’agit de répondre à un appel d’offre et de faire des économies. La prévention est la partie invisible de la filière BTP, rejoignant aussi la problématique du moins disant. Quelle que soit l’activité de l’entreprise, il n’y a rien de plus terrible que de faire une enquête sur un accident grave ou mortel. Face au drame, il y a cette détresse des gens sur le chantier…»
Pour conclure ? «La philosophie et les décisions du maître d’ouvrage jouent un rôle déterminant en termes de prévention. C’est aussi à lui de mettre en place la structure, l’organisation et les moyens nécessaires pour que les entreprises puissent intervenir dans les meilleures conditions. La responsabilité des accidents n’est pas uniquement due aux entreprises, elle l’est aussi, parfois, à la mauvaise organisation d’un chantier ou à des prises de chantiers à des prix anormalement bas.»
Cédric Bosse, en charge du service économique de la Capeb Vaucluse (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et représentant des artisans du bâtiment «Les drames qui voient le jour nuisent à notre image, au secteur d’activité et concourent à délaisser les métiers du BTP. Le Pôle prévention nous permet de travailler ensemble, de faire passer les messages, notamment lorsque de nouvelles entreprises sont créées. Nous avons également participé à un forum sur l’amiante tous ensemble, à Monteux, en 2018, ce qui nous avait permis d’être à la fois nombreux et représentatifs.»
Emmanuel Méli, secrétaire-général de la Fédé BTP 84 «Nous sommes les premiers et les seuls –à notre connaissance-, en France, à nous être réunis –acteurs de l’action de bâtir et institutionnels- autour de la sécurité et de la santé. Mais pour répondre à votre question sur le travail dissimulé, je dirais qu’il n’y a pas vraiment de tailles d’entreprises privilégiées pour la sous-traitance dissimulée et que ce phénomène peut toucher tous types d’entreprises. Je pense notamment aux entreprises qui se sont engouffré dans la pose de panneaux photovoltaïques pour profiter de la manne fiscale. Elles se créaient du jour au lendemain sans aucune forme de professionnalisme, de formation et de notions de sécurité.»
Concernant nos actions ? «Nous les mettons chacun en œuvre face à nos publics spécifiques et commun. L’idée de ces réunions ? Partager les remontées d’information et mutualiser les actions de communication, également développer notre présence au sein de réunions, de forums, sur les réseaux sociaux, afin d’intervenir le plus largement possible.»
Une initiative de l’OPPBTP «La création du Pôle prévention santé est une initiative de l’OPPBTP –organisme de prévention- qui souhaitait participer à une communication plus transverse puisque nous sommes l’une des rares filières à posséder sa propre mutuelle et assureurs. Si la Fédération et la Capeb sont un peu les ambassadrices des fédérations, il reste un public qui n’est adhérent nulle part et n’a pas toujours accès aux informations professionnelles. La Carsat est aussi là parce qu’il n’y a pas que le côté gendarme et sanctions car la majorité de nos actions sont la prévention, l’audit, et l’anticipation.»
A quels risques sont exposés les salariés du BTP ? Pour le bâtiment, il s’agira des troubles musculo-squelettiques (TMS) suivis de chutes de hauteur ou de plain-pied. Pour les travaux publics, il s’agira du risque d’enfouissement, notamment lors de la création de tranchées. Les autres risques ? Les diverses addictions dont peuvent être porteurs les salariés tels que la drogue et l’alcool.
Innovation et organisation du travail «Nous constatons trop de précipitations dans la préparation du chantier et des offres anormalement basses. Lorsque l’on est à moins de 40 à 50% du coût de revient, il y a forcément des économies faites sur le personnel et la sécurité. A propos de l’innovation et de la lutte contre la pénibilité, les exosquelettes –pour lutter contre les TMS, troubles musculosquelettiques- commencent à faire leur apparition avec la mise en place du Lean management qui intègre l’organisation des chantiers. Concernant le travail en hauteur, nous avons l’exemple d’une entreprise spécialisée dans la couverture qui a investi dans un drone pour effectuer la prise de photos et vidéos. Cela permet au technicien de moins monter sur le toit, d’aller beaucoup plus vite dans la prise des côtes et de sécuriser son travail avant d’intervenir. En digitalisant son métier, il minimise le risque d’accident, tout en gagnant du temps et donc de la productivité.»
La féminisation de la profession «Nous tenons beaucoup à la féminisation de la profession. Celle-ci se révèle plutôt importante dans la partie ‘back office’ et administrative. Sur les chantiers, les femmes œuvreront majoritairement dans le second œuvre comme la peinture, l’électricité, également le carrelage et montent en encadrement via la formation continue pour devenir conducteur d’engin, cheffe d’équipe, de chantier, conducteur de travaux…»
Olivier Cousi, directeur du CFA Florentin Mouret (Centre de formation des apprentis) à Avignon «Nous sommes là pour former les salariés du bâtiment de demain. Tout part d’une bonne formation à la prévention d’entrée de jeu, ce qui résout déjà beaucoup de problèmes. Car ces futurs professionnels arrivent sur les chantiers avec de vraies notions de sécurité. Au programme ? Des habilitations pour travailler en hauteur, des habilitations électriques… Nous pensons qu’on n’apprend jamais mieux que sur le tas, mais en étant sensibilisé aux risques. Les remontées des apprentis ? Ils nous disent que sur les chantiers ce que nous leur apprenons ne se fait pas toujours, alors nous leur rétorquons que lorsqu’ils seront patrons, ou chefs d’équipe, ils devront faire ce qu’ils auront appris avec nous, devenant ainsi nos relais pour la prévention. Nous avons observé que sur les grands chantiers, la prévention sécurité reste incontournable.» Le CFA Florentin Mouret d’Avignon accueille 1 000 élèves dont 40 filles, tous métiers confondus.
Mon analyse «Plus la prévention est inculquée précocement, dans le parcours professionnel, plus elle se révèle efficace. Ce sera, en tant que CFA, notre contribution à la prévention en souhaitant que dans les 10, 15 ans à venir, tous nos apprenants seront devenus de grands professionnels, voire des patrons, mettant en œuvre ce qu’ils auront appris.»
Emilie Pascal, responsable de l’Unité de contrôle DDETS «Procédez-vous à de nombreux contrôles sur les chantiers ? En 2022 l’Inspection du travail a effectué 475 interventions sur les chantiers vauclusiens. Il est le principal secteur d’activité pour nos agents. En termes de suites ? La moitié des amendes administratives du département concerne ce même secteur. Nous intervenons particulièrement sur l’hygiène, notamment sur les bases de vie. Ce que nous observons en matière de risques ? Les chutes de hauteur sont le 1er risque d’accident mortel, devant le travail illégal –de la dissimulation de l’emploi salarié à un faux statut, un faux autoentrepreneur, un emploi salarié sans autorisation de travail…»
«Concernant nos réunions trimestrielles, l’information que nous partageons au cœur du Pôle prévention, nos différentes missions permettent d’enrichir nos champs de compétence. Si le cœur de notre métier est le contrôle, assorti de sanctions, le volet sensibilisation et information des employeurs et des salariés reste fondamental.»
Yann Le Cam, directeur de l’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse) «La sinistralité touche plutôt les petites entreprises. Notre concertation connait un vrai impact notamment lorsque nous nous penchons sur cet important réseau de petites entreprises. Notre travail principal reste la prévention, même si chacun travaille dans un cœur de métier qui est différent de celui des autres.»
Ce que l’on ne discerne pas ? «Tous les coûts cachés indirects notamment lorsqu’un salarié est en arrêt de travail. C’est aussi un secteur d’activité qui intervient dans l’usure physique de la carrière des salariés, notamment avec les troubles musculo-squelettiques –TMS- ce qui est à prendre en compte lors de l’allongement du nombre d’années de travail, qu’actuellement nous vivons.»
Ce que j’aimerais dire ? «On a tous, dans nos diverses activités, l’occasion d’entrer en contact avec des apprentis, des salariés, des chefs d’entreprise. Il est donc important de véhiculer un message cohérent et complémentaire pour un même objectif. C’est aussi la raison pour laquelle se connaître permet d’orienter les professionnels vers le bon interlocuteur, parce que l’on connaît les missions de chacun.»
Thomas Jurczyk de l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) «Nous sommes un organisme paritaire dont l’objet est de faire de l’accompagnement, de la sensibilisation et de la formation à la prévention. Nos partenaires sont de grandes institutions professionnelles, privées, qui militent pour la prévention, chacun avec des outils et des moyens de communication qui sont propres à leur activité. Nous en sommes le canal central sur le Vaucluse. Nous utilisons nos canaux, lors de campagnes et programmes partagés, sur le territoire de Vaucluse afin de toucher le plus grand nombre.»
La prévention ça coûte ou ça rapporte ? «Nos études prévention et performance mettent en avant que chaque euro investi permet d’améliorer les conditions de travail du personnel, l’organisation du chantier et l’encadrement technique de l’entreprise. Cela induit une meilleure compétitivité de l’entreprise qui s’engage, alors, dans un rendement plus important.»
Pour finir «Ces rencontres trimestrielles nous enrichissent des problématiques de chacun et permettent d’adapter notre discours aux entreprises afin d’approcher du zéro accident de chantier et du zéro arrêt de travail. Une entreprise qui va bien est une entreprise qui n’a pas d’accidents. C’est toute la légitimité de notre action commune.»
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
La CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises du Vaucluse) propose un petit-déjeuner ‘faire face aux difficultés de recrutement’.
Michel Cavagnara, directeur départemental adjoint DDETS 84, Michel Ciocci, directeur territorial de Pôle Emploi de Vaucluse et Lydia Tordjman, déléguée à l’accompagnement des reconversions professionnelles au ministère du Travail seront en charge de l’animation de cette rencontre.
En savoir plus La CPME 84 , l’organisation au service des TPE-PME, commerçants et indépendants, la DREETS PACA UD 84 (Ex DIRECCTE) et Pôle Emploi s’associent pour proposer une nouvelle rencontre thématique. Avec la reprise de l’activité économique à la suite de la sortie de crise du Covid-19, la plupart des secteurs d’activité connaissent des difficultés de recrutement. L’objectif de la rencontre est d’échanger à propos de ces difficultés.
Mardi 14 juin de 8h30 à 10h30, à l’Hôtel Mercure Avignon TGV, 2 rue Mère Térésa à Avignon. Inscription au 04 90 14 90 90 et sur contact@cpme84.com
J.R.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
La réforme de l’organisation territoriale de l’État vise à une plus forte proximité avec les usagers, en privilégiant l’échelon départemental. Depuis le début du mois d’avril 2021, de nouvelles entités départementales interministérielles ont vu le jour : les Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).
Ces nouvelles entités résultent de la fusion des Directions départementales de la cohésion sociale (DDCS) et de la protection des populations le cas échéant (DDPP), des directions départementales déléguées des directions régionales de la cohésion sociale dans les départements concernés, ainsi que des unités départementales des Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (UD DIRECCTE).
La DDETS de Vaucluse est dirigée par Christine Maison, secondée par deux adjoints : Judith Husson en charge du département solidarités (pôle insertion logement, dirigé par Brigitte Plane et pôle insertion sociale et accès aux droits, dirigé par Samira Zaidan). Et Michel Cavagnara en charge du département emploi, entreprises et travail (pôle insertion emploi, entreprises, dirigé par Zara Nguyen Minh et pôle système inspection du travail, dirigé par Robert Lacour). Rattachées au ministère de l’Intérieur, ces nouvelles directions et leurs personnels sont placés sous l’autorité du préfet de département.
Dans le Vaucluse, la DDETS contribue à la mise en œuvre des politiques publiques au cœur de la vie quotidienne des citoyens : logement, cohésion sociale ; emploi et formation professionnelle ; étrangers en France ; prévention et lutte contre la pauvreté et les discriminations. Au sein de la DDETS, l’inspection du travail conserve son système d’organisation et sa hiérarchie propre. La Direction conduit son action au quotidien avec un écosystème de partenaires : acteurs du service public de l’emploi, acteurs socio-économiques, partenaires sociaux, politique de la ville, etc.
Placée sous l’autorité du préfet de région, la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités, DREETS Provence-Alpes-Côte d’Azur est dirigée par Monsieur Jean-Philippe Berlemont. Cette direction devient l’interlocuteur économique et social privilégié au niveau régional pour les entreprises et les acteurs socio-économiques.
La DDETS de Vaucluse est implantée sur deux sites : le site Chabran (Pôle solidarités, 2 avenue de la Folie, 84905 Avignon – Téléphone : 04 88 17 84 84 ) et le site Althen (Pôle entreprise emploi travail, 6 Rue Jean Althen 84000 Avignon – Téléphone : 04.90.14.75.00) Courriel : ddcs-directeur@vaucluse.gouv.fr