Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Ce mercredi 22 juin, le Conservatoire de Carpentras ouvre ses portes le temps d’une journée pour vous faire découvrir les univers de la musique, de la danse ainsi que ceux d’autres pratiques artistiques à travers diverses rencontres.
Au programme : découverte des lieux qui accueillent plus de 500 élèves en musique et en danse chaque année, échange avec les enseignants du conservatoire, découverte des différentes disciplines enseignées. En prime, les visiteurs pourront conclure cette journée en assistant à un concert des professeurs à 18h.
Mercredi 22 juin. De 10h30 à 12h00 et de 13h00 à 19h00. 77 rue Cottier. Carpentras.
V.A.
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Avec ‘Mademoiselle’ la chorégraphe Axelle Loubette traite de la lutte féministe contre le sexisme.
Danser pour dénoncer la manière dont les différences entre les sexes sont instrumentalisées pour devenir sources de discrimination et de hiérarchie. Les quatre danseuses de la compagnie portent le propos de la pièce par une danse puissante, cassant les clichés d’une danse dite « féminine ». A la fois actrices et victimes de toutes sortes de situations sexistes, à la fois réalisatrices et objets de fantasmes vidéos, elles seront simultanément le miroir des oppresseurs et les activistes d’un monde nouveau sans discrimination de genre
Samedi 18 juin. 20h. Dimanche 19 juin. 17h. 8 à 17€. Théâtre de l’Oulle. 19, place Crillon. Accès par la rue de la Plaisance. Avignon. 09 74 74 64 90
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Avec ‘Faune’ du chorégraphe Pontus Lidberg et ‘Who dreams us’ de Carolyn Carlson, l’Opéra nous offre sur un plateau 2 créations spécialement conçues pour le corps de Ballet du Grand Avignon.
En septembre 2021, Emilio Calcagno a pris la direction du corps de ballet de l’opéra du grand Avignon afin d’insuffler une ligne plus contemporaine tout en s’appuyant sur le style néo-classique du ballet. Durant la saison 2021/22, des chorégraphes à la renommée internationale ont été invités à créer des pièces inédites pour les danseurs : Carolyn Carlson, Pontus Lidberg, Kaori Ito, Martin Harriague.
Who dreams us ? Est ce que quelqu’un rêve pour nous ? Après ‘The Tree’, telle est l’interrogation posée par la chorégraphe Carolyn Carson qui, fidèle à sa manière de travailler n’a pas de réponse mais lance librement sa proposition aux 10 danseurs ( 5 hommes/5 femmes) du corps de Ballet. A eux d’improviser durant 5 semaines de résidence autour du thème du rêve, universel et intime, inspiré de ‘L’Analyse des rêves’ de Carl Jung.
‘Faune’ de Pontus Lidberg, un hommage à Nijinski Celui par qui le scandale arriva lors de la représentation ‘L’Après-midi d’un faune’, en 1912 ne pouvait que passionner le chorégraphe Pontus Lidberg qui propose à 5 danseurs du Corps de Ballet ( 3 hommes et 2 femmes) de jouer et d’ improviser autour de la personnalité de Nijinsky sur Prélude à l’après-midi d’un faune de Claude Debussy.
Au delà de la danse… Si on se demande ce qui peut bien réunir sur un même plateau la légende vivante Carolyn Carson, le mythique Nijinsky et le chorégraphe suédois Pontus Lidberg, nous aurons assurément la réponse lors de ces 2 représentations exceptionnelles. Le public avignonnais en a eu un avant-goût avec la répétition publique mardi dernier où une séance de travail de Faune a été présentée.
Samedi 11 juin. 20h30. Dimanche 12 juin. 16h. 6€ à 40€. Opéra Grand Avignon. 4, Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Le Centre Chorégraphique de Développement National ( CCDN) d’Avignon nous invite à une rencontre avec Nach, la krumpeuse.
On ne présente plus Nach, artiste associée du CDCN que l’on a pu voir lors des Hivernales précédentes. Elle s’exprime par le ‘krump’ danse non violente mais néanmoins puissante , née dans les années 20 au cœur des quartiers pauvres de Los Angeles. Dans son nouveau projet, elle rassemble ici des danseuses de tous horizons qui se retrouvent autour du mouvement krump, des femmes qui « ont décidé de s’emparer de leur corps et de revendiquer ce qui s’y passe, ce qui y entre ou ce qui en sort ». Lors de cette rencontre, Nach va nous dévoiler un extrait de son nouveau spectacle issu d’une résidence aux Hivernales.
Mercredi 8 juin. 19h. Gratuit sur réservation. CCDN/Les Hivernales. Rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 82 33 12. accueil@hivernales-avignon.com
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Les Hivernales proposent des rendez-vous avec les guérilleres de Marta Izquierdo Munoz et la ‘Débandade’ d’Olivia Grandville pour la poursuite des Hivernales.
Une soirée tout en contraste samedi soir. A 18h, seule sur le plateau du CDCN, la chorégraphe Anna Massoni nous a enchantés. A 20h30,14 danseurs sur la scène de l’Opéra nous en ont mis plein les mirettes mais …..
Les thèmes étaient pratiquement similaires : le groupe et l’individu, le solo et le collectif. Comme entendu dans la foule présente -L’Opéra affichait complet- « Il en faut pour tous les goûts» et effectivement le Lovetrain2020 d’Emmanuel Gat n’a pas déçu ceux qui s’attendaient à ce que c’est : une comédie musicale populaire, dans l’univers pop-rock des Tears for Fears avec beaucoup de sons, de couleurs, de costumes….et d’agitation. Des vibrations certes mais peu d’émotions.
Le solo d’Anna Massoni, lui, nous a emmenés dans une multitude de territoires, de rencontres d’anecdotes, d’histoires, de personnages. Avec ‘Rideau’ la danseuse/chorégraphe interroge avec sincérité la place de l’individu dans l’espace, dans son rapport à l’Autre qui est absent mais oh combien suggéré ! Cette quête faite de silence et de crépitements, de musique et d’applaudissements, de bascules, suspensions et renversements, de noir et de lumière, d’apparition et de disparition derrière le grand rideau noir du CNDC en a ravi plus d’un. Assurément Anna Massoni a quelque chose à dire et sait nous le dire. Bravo l’artiste !
Vers une danse engagée Cette création constitue le second volet d’un diptyque sur des groupes féminins dont IMAGO-GO (2018) constitue le premier volet. Avec ‘Guérilleres’ Marta Izquierdo s’intéresse aux femmes engagées dans la guérilla. Comment se crée une communauté à l’image des Amazones ou des groupes féministes ? Comment se préparent-elles aux combats, aux luttes ? Mardi 8 février. 18h. 9 à 17€. Théâtre des Halles. Rue du Roi René. 04 32 76 24 51. www.theatredeshalles.com
La suggestive ‘Débandade’ d’Olivia Grandville s’interroge sur les masculinités Comment allez-vous les hommes ? Telle est la question qu’elle a pu ou aurait pu poser à ses sept danseurs venus de tous les horizons pour essayer de cerner la question trouble de l’identité. La conception du spectacle alliant danse, musique, texte, prises de paroles, images forme une multiplicité de points de vue qui tente à défaut d’une réponse une compréhension de la nouvelle génération. Mardi 8 février. 20h30. 7 à 23€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64. www.lagarance.com
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
Volutes de la chorégraphe Wendy Cornu Une proposition chorégraphique qui invite le public regarder la musique et écouter la danse. Jeudi 3 février.19h30. 11 à 22€. Théâtre Benoit XII. Rue des Teinturiers à Avignon.
Nulle part est un endroit de Nach, artiste associée du Centre Développement Chorégraphique National. Une conférence dansée à travers le Krump, danse née dans le ghetto de Los Angeles dans les années 2000, conçue et interprétée par Nach. Vendredi 4 février. 19h30. 9 à 17€. Théâtre des Carmes. Place des Carmes à Avignon
Rideau, un solo d’Anna Massoni qui nous révèle l’Autre et l’Absent en creux. Samedi 5 février. 18h. 9 à 17€. CDCN. 18 Rue Guillaume Puy à Avignon.
Le Lovetrain2020 d’ Emmanuel Gat sur la scène de l’Opéra promet une symphonie de sons et de couleur , une sorte de «comédie musicale»pour avec 14 danseurs Emmanuel Gat ? Vu au Festival d’Avignon en 2018 sur la scène de la Cour d’Honneur avec Story Water : rencontre avec de merveilleux danseurs et l’Ensemble Moderne de musique contemporaine. Avec Lovetrain2020 le chorégraphe poursuit, ici, son exploration des points de rencontre entre la chorégraphie et la musique, entre le visuel et l’auditif. La musique est ici l’univers des Tears for Fears, groupe pop rock britannique formé dans les années 80 par Roland Orzabal et Curt Smith et affilié au mouvement New wave. Samedi 5 février. 20h30. 5 à 30€.Opéra Grand Avignon. 4, rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr Tout le programme : Les hivernales.
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
L’histoire ? Eté 1936, en Espagne, alors que Bernarda Alba, sévère et toute puissante matriarche décède, quel sera le destin de ses 6 filles cloîtrées, dans une Espagne gangrénée par la guerre civile, tiraillée entre tradition et modernité. L’Autre Scène de Vedène donne à voir et entendre ‘Andando’ (En avant !) une magnifique œuvre de Frederico Garcia Lorca. Elle devait être jouée à Opéra confluence en juin 2019, elle le sera finalement à Vedène mardi 7 décembre à 20h30.
Frederico Garcia Lorca, le grand artiste espagnol plutôt connu comme poète et écrivain il était aussi dramaturge, prosateur, peintre, pianiste et compositeur. Né dans la province de Grenade en 1898 il sera fusillé en Août 1936 à 38 ans à peine, emporté par la guerre d’Espagne. Sa vie et son œuvre ne pourront être évoqués qu’à la mort de Franco, en 1975. Il était proche de Luis Buñuel (réalisateur et scénariste espagnol) et de Salvador Dali (peintre, sculpteur, graveur, scénariste et écrivain catalan). Voilà pour vous donner un aperçu du grand homme.
Ce qu’on verra et entendra ? Andando est une proposition de concert théâtral réunissant cinq comédiennes chanteuses et trois musiciens, autour de la poésie de Federico Garcia Lorca et sur la musique de Pascal Sangla. À travers ces figures féminines, toutes issues de l’œuvre de Lorca, c’est Federico lui-même qui se raconte. Textes de Federico Garcia Lorca ; Mise en scène, adaptation et traduction de Daniel San Pedro et Composition et direction musicale de Pascal Sangla. Spectacle chanté en français, arabe et espagnol.
Andando Pour les filles, après l’enterrement et la fête, vient le temps du départ, l’invention de vies nouvelles. Dans le village, on entend les bruits de guerre. Il faut choisir son camp. Cinq partent, une seule demeure dans cette maison bien trop grande, incapable d’imaginer sa vie autrement, autre part, et choisissant le camp des fascistes (Camélia Jordana). Une s’engage dans la résistance et prend les armes . Une autre émigre en Amérique pour travailler dans la troupe de Margarita Xirgu (ce qu’avait prévu Federico, s’il avait vécu) (Audrey Bonnet). La mystique de la famille, d’une sensualité gourmande, choisit d’entrer dans les ordres (Estelle Meyer). Une devient une grande figure intellectuelle engagée et féministe (Johanna Nizard). La dernière, amoureuse absolue, part pour chercher l’Amour, l’unique chose qui compte (Aymeline Alix). Dehors, les bruits de la guerre civile commencent à se faire entendre. Ils vont bousculer les espoirs et les rêves de cette fratrie de femmes. Il va falloir aussi choisir son camp. Résister, fuir ou collaborer.
Note d’intention «Et si nous commencions l’histoire à la mort de Bernarda, interroge Daniel San Pedro, pour la mise-en-scène, l’adaptation et la traduction. Si tout commençait par une veillée funèbre. Leur mère morte, qu’adviendrait-il de ces filles, de ces femmes ? La porte de la maison s’ouvrirait enfin et chacune d’elle pourrait s’emparer de sa liberté. Tout deviendrait possible comme lors de ce printemps 1936. J’ai toujours eu envie de travailler sur la guerre civile. C’est un moment fondateur pour le peuple espagnol mais qui reste encore aujourd’hui l’objet de nombreux tabous, de non-dits et de secrets de famille. En m’attachant aux filles de Bernarda, je voudrais raconter des destins différents. Je voudrais m’interroger sur notre capacité à résister, à nous engager. Je me souviens ainsi du cousin de ma mère qui, aux premiers jours de la guerre, avait été dénoncé par des voisins jaloux et qui, pour échapper à la milice, avait sauté du camion qui l’emmenait devant les murs du cimetière de Zamora, pour y être fusillé, puis s’était caché pendant des semaines le long des berges. Il vécut caché chez lui, au nez de ces voisins, jusqu’à la mort de Franco.»
En savoir plus Andando est tiré de ‘La casa de Bernada Alba’ écrite en 1936 et donné, pour la 1re fois à Buenos Aires en 1945. Une œuvre qui fait écho à la triste fin de Frederico Garcia Lorca –sans doute le plus grand poète espagnol du XXe siècle- qui un mois de juillet -qui marque le début de la guerre civile en Espagne (1936-1939)- rentrera à Grenade, malgré les avis de tous ses amis. Arrêté, juste un mois après, le 18 août 1936, il sera fusillé le lendemain à l’aube et jeté dans une fosse aux côtés d’un instituteur et de deux anarchistes.
La guerre civile La guerre civile a fait environ 500 000 victimes sur 24 millions d’habitants. Parmi elles, 230 000 personnes (nationalistes ou républicaines) ont été exécutées. Les thèmes récurrents du dramaturge ? La liberté, l’amour, la mort, l’engagement politique et les voyages.
La Casa de Bernarda Alba Dans un petit village Andalou, au milieu des années1930. Acte 1: À la mort de son mari, Bernarda Alba a forcé ses cinq filles (Angustias, Magdalena, Amelia, Martirio et Adela) à pleurer pendant 8 années consécutives. Au milieu de cet environnement oppressant, Adela (la plus jeune de toutes les filles) apprend qu’Angustias, la sœur aînée, va épouser Pepe el Romano, avec qui Adela a des relations secrètes. Acte 2 : La Poncia découvre la relation entre Adela et Pepe el Romano. Acte 3 : Adela se rebelle et revendique son droit d’être l’épouse de Pepe el Romano. Bernarda lui tire dessus et dit qu’il l’a tué bien qu’il ait raté son coup. Désespérée, Adela s’enfuit et s’enferme prête à se suicider.
Grâce à eux Textes Federico Garcia Lorca ; Mise en scène, adaptation et traduction Daniel San Pedro Composition et direction musicale Pascal Sangla ; Scénographie Aurélie Maestre ; Costumes Caroline de Vivaise ; Lumières Alban Sauve ; Création sonore Jean-Luc Ristord ; Chorégraphie Ruben Molina ; Maquillages et coiffures David Carvalho Nunes ; Assistant à la mise en scène Guillaume Ravoire ; Assistante scénographie Clara Cohen ; Assistante costumes Magdalena Calloc’h.
Avec Aymeline Alix ; Audrey Bonnet ; Camélia Jordana ; Estelle Meyer ; Johanna Nizard Et les musiciens ; Violon (Solo improvisé) Liv Heym ; Piano (en alternance) Pascal Sangla, Donia Berriri ; Guitares, luth (Solo improvisé), percussions, contrebasse M’hamed el Menjra. Spectacle chanté en français, arabe et espagnol Durée du spectacle : 1h30 Durée estimée de la musique : 1h15.
Les infos pratiques Mardi 7 décembre. 20h30. 30€. L’Autre scène à Vedène. Sur un texte de Federico Garcia Lorca, adapté par Daniel San Pedro dans une version théâtrale, mêlant musique traditionnelle espagnole, danse et théâtre dans laquelle nous redécouvrirons Camelia Jordana dans un autre registre que celui de la chanson de variété. Avenue Pierre de Coubertin. 04 90 31 07 75La billetterie de L’Autre Scène est ouverte uniquement les jours de spectacles, 45 minutes avant le début des représentations. https://www.lautrescene.com/page/infos-pratiques. Billetterie ici.
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
C’est une première en France, voici que l’Opéra offre à vivre la création de cette chorégraphie de Radhouane El Meddeb et la composition originale de Matteo Franceschini avec les danseurs de la compagnie cubaine MiCompañia dirigée par la chorégraphe Susana Pous Anadon sur une composition originale de Matteo Franceschini inspirée par la Messe du Requiem en ré mineur (KV. 626) de Wolfgang Amadeus Mozart, et interprétée par l’Orchestra Haydn di Bolzano e Trento, sous la direction musicale de Jean Deroyer.
Le compositeur Matteo Franceschini Matteo Franceschini écrit des opéras, des œuvres symphoniques, chorales et de musique de chambre et réalise des performances et installations sonores. Il entretient un lien intime avec la musique de Mozart. Il sait entendre ses suggestions, ses silences, ses ‘puissances inentamées’ –dixit Gérard Mayen Critique Danse-. La messe des Morts de Mozart restitue, ici, un hymne à la vie, à la célébration d’un autre futur.
Le chorégraphe Radhouane El Meddeb Nous l’avions déjà rencontré en 2017 lors de sa création au Festival d’Avignon avec «Face à la mer, pour que les larmes deviennent des éclats de rire». Depuis, Radhouane El Meddeb continue d’explorer les héritages et les continents. Il choisit, ici, d’appréhender le monde des vivants et adresse la musique de Franceschini aux jeunes interprètes deMiCompañia, que dirige Susana Pous à La Havana.
Le Requiem (Siá Kará) de Radhouane Et Meddeb et Matteo Franceschini «Siá Kará» entend-on dans les rues de la capitale cubaine. «Arrête de te plaindre». Place à la rencontre, au toucher, aux déplacements, à cette rencontre entre ondes et corps : il faut avancer entre rites et modernité. Ici le chœur vocal est remplacé par un chœur chorégraphique transcendant les rapports humains. Dimanche 21 novembre. 18h. De 5 à 30€. Opéra Centre-ville Avignon. 04 90 14 26 40. operagrandavignon.fr www.hivernales-avignon.com
Carpentras : découverte du Conservatoire lors d’une journée portes ouvertes
‘Les nuits de l’Inde’ proposent de découvrir le danseur Mohanapriyan, en tournée exceptionnelle en France, qui donnera un spectacle de cette danse indienne sacrée Tamoul, la plus ancienne du pays : le Bharathanatyam.
Son apprentissage est très long et difficile. Bharatha (bha-ra-tha) est composé de trois syllabes faisant référence à : bavam (l’expression du visage), ragam (la musique et le rythme) et thalam (rythme imprimé par la main ou par le karuvi).
En savoir plus
Shiva accomplit la danse cosmique de la destruction et de la création de l’univers. Celle-ci symbolise le renouvellement périodique du monde, en un rythme infini de dissolutions et de naissances.Pour les hindous, la danse est plus ancienne que le monde lui-même car c’est précisément en dansant que Shiva créa le cosmos et notre Âge, en prenant cette posture au moment de la création, posant le pied droit sur la tête du démon primordial, Apasmârapurusa, symbole d’ignorance et de cécité, et le tue.
Soroptimist
La soirée est organisée, à l’initiative des Soroptimist, au profit de la Maison d’Agathe, créée à Pondichéry pour accueillir, actuellement, 17 orphelines.
Les infos pratiques Les nuits de l’Inde. Vendredi 12 novembre 2021 à 20h. 15€. Réservation ici. Théâtre de l’Etincelle, place des Etudes à Avignon. MH