Ayant été déclarés comme «non essentiels», le spectacle vivant et la culture en général ont été des victimes collatérales de la gestion de la crise sanitaire. Les mois ont passé et on peut dire aujourd’hui que la création artistique n’est pas morte, même si de nombreux artistes, entreprises et projets ont bu la tasse. Les premiers bilans des manifestations comme le festival d’Avignon montrent que le public a été au rendez-vous. Enfin une bonne nouvelle !
Les organisateurs du Off n’hésitent pas à dire que 2023 aura été l’année de tous les records. 1491 spectacles dont 466 créations, 1270 compagnies, 2 millions de billets vendus et près de 27 millions de CA. Voilà pour les chiffres. Pour le In le bilan est également largement positif. Bref, nous pourrions y voir là une occasion de se réjouir et de faire la démonstration que la culture et le spectacle vivant sont en définitive essentiels à la vie. Et bien non. On va trouver quelques chose qui ne va pas.
En effet, l’année prochaine avec les JO qui se tiendront en France (pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire), le festival d’Avignon sera avancé d’une semaine. Catastrophe et que n’avons-nous pas entendu ? Comment ferons les comédiens pour faire garder leurs enfants ? Comment s’organiser pour la mise en place dans les lieux scolaires libérés le 28 juin ? Comment se loger fin juin ? On en appelle à la mise en place d’un fond de solidarité pour compenser le manque à gagner de la première semaine.
Demander des aides dans la perspective d’une éventuelle déconvenue dont on ne sait rien pourrait déjà être en soi critiquable. Pas sûr que les collectivités appelées à mettre la main à la poche puissent financer par anticipation des hypothétiques pertes de fréquentation et de CA.
Même si les questions posées sont totalement légitimes et compréhensibles, ont-elles leur place ici et maintenant ? Ne pourrait-on pas avant tout savourer cette victoire de la culture ? Et battre en brèche tous ceux qui considéraient la culture comme non essentielle ? Pourquoi faut-il aller chercher systématiquement ce qui ne va pas comme si le bon fonctionnement n’était plus la norme. Le négatif n’est plus l’accident qui vient perturber le positif, il devient l’élément de langage dominant et récurrent. Ca en devient fatiguant. Peut-être que l’année prochaine nous pourrions voir dans l’un des spectacles du Off une pièce sur ce thème. Ce serait sans aucun doute le moyen d’en rire !
Le spectacle vivant n’est pas mort
La dernière création de La Compagnie Déraïdenz est fascinante
Située depuis 2020 sur l’Ile de la Barthelasse à Avignon, la Compagnie Deraïdenz – ou plus précisément le Pôle Théâtre et Marionnette – définitivement implanté et connu sur Avignon, poursuit ses partenariats et ses recherches esthétiques en présentant un spectacle d’une grande beauté au Théâtre Golovine, lieu dédié à la danse.
Théâtre de l’étrange Face au mur de pierre du théâtre, le rouge s’étale au sol, creux et bosses de dentelle et de tissus. On devine la vie sous ce fatras de couleur telle une matrice ou au contraire un champs de ruine et de guerre sanguinolent. L’arrivée d’une frêle danseuse (Marion Gassin) toute en joie de découverte et de mouvement sur une musique de Baptiste Zsilina achève de nous intriguer.
Une mise en scène sensible des émotions Dans un cheminement étrange au ras du sol, la découverte de son double se fait peu à peu. Une étrange créature surgit, au visage de Joconde qui nous sourit et nous défie. La réalisation de cette marionnette est confondante de réalité mais aussi de mystère. La mise en scène de Léa Guillec privilégie la lenteur et la révélation, des actions et des émotions diverses qui affleurent : peur, joie, colère. Ce corps à corps féminin nous ravit. Il révèle une urgence de reconstruction, tout en douceur même si la route est semée d’embûches. On est ému mais on rit aussi des situations ou postures incongrues et des réactions de la danseuse face à son double. On a du mal ensuite à s’extraire de cette bulle protectrice dans laquelle on nous a enveloppés.
InKarnè. Jusqu’au 27 juillet. Relâche les 17 et 24 juillet. 20h15. 8 à 16€. Théâtre Golovine. 1Bis, Rue Sainte Catherine. Avignon. 04 90 86 01 25. www.theatre-golovine.com
Le spectacle vivant n’est pas mort
Ce mercredi 28 juin, le Conservatoire de Carpentras organise une journée portes ouvertes. Cette journée ouverte au public sera rythmée par divers prestations artistiques données par les élèves du Conservatoire.
L’occasion de rencontrer les enseignants et le personnel, de visiter les bâtiments, mais aussi de découvrir l’ensemble des offres de formation et les modalités d’inscription. Pour rappel, la campagne de préinscription se terminer ce vendredi 30 juin.
Mercredi 28 juin. De 9h à 21h. La Charité. 77 rue Cottier. Carpentras.
V.A.
Le spectacle vivant n’est pas mort
Quelles sont les activités sportives préférées des Français ? La dernière enquête du Consumer Insights de Statista donne un aperçu des sports les plus pratiqués dans le pays. En tête de liste, on trouve la randonnée, pratiquée au moins occasionnellement par 42 % des Français interrogés au cours de l’année écoulée, suivie par la course à pied (28 %), le vélo (26 %) et la gymnastique de forme : fitness, aérobic, cardio, etc. (25 %).
Sport professionnel le plus suivi dans l’Hexagone, le football complète le top 5 avec 21 % de pratiquants occasionnels, juste devant la natation et la plongée (19 %). Parmi les autres activités physiques les plus appréciées des Français, on peut également citer le tennis, le basketball, la danse et le yoga.
Sports professionnels :Quels sports sont les plus suivis par les Français ? Si la popularité du tennis est en perte de vitesse dans certains pays (comme aux États-Unis par exemple), ce sport reste toujours très populaire en France. Selon les enquêtes du Consumer Insights de Statista, le tennis est le deuxième sport professionnel le plus suivi par les Français, assez loin derrière le football et juste devant le rugby.
Sur les quelque 3 900 amateurs de sport interrogés dans l’Hexagone, 36 % ont déclaré suivre des compétitions de tennis professionnel, contre 33 % pour le rugby. Le ballon rond trône largement en tête, étant suivi de près ou de loin par 72 % des répondants. Derrière ce trio de tête, deux sports sont au coude-à-coude : le basketball (29 %) et le cyclisme (28 %), le dernier cité devant notamment une bonne partie de sa popularité au Tour de France.
Plusieurs soirées où les enfants du CP au CM2 restitueront le travail mené pendant toute l’année scolaire avec l’aide de leurs professeurs et des intervenants de l’École Municipale de Musique et de Danse seront organisées à Sorgues. Les classes CHAM et les professeurs de musique accompagneront chaque spectacle de chants.
Vous pourrez y assister le 16 mai au pôle culturel puis du 22 mai au 2 juin à la salle des fêtes.
Infos pratiques Gratuit sur réservation au Pôle culturel. 16 mai à 19h au Pôle culturel – Salle de spectacle. Du 22 mai au 2 juin à 19h à la Salle des fêtes- Entrée libre. 04 86 19 90 90.
Le spectacle vivant n’est pas mort
A la veille de la clôture du 45e festival des Hivernales, l’embellie qui s’annonce dans le spectacle vivant se confirme pour ce moment fort de la danse en hiver « Nous sommes sur un petit nuage… » Des mots tout simples pour commencer le petit entretien que nous avons pu mener entre deux plateaux des Hivernales avec sa directrice Isabelle Martin-Bridot.
Au fil de la programmation, avec l’équipe du Centre de développement chorégraphique national ( CDCN) nous avons tous réfléchi à la situation globale et économique, en étant conscients que les gens allaient être confrontés à des difficultés financières et que le spectacle vivant viendrait sûrement après. Mais dès décembre le public a répondu, avec des réservations immédiates, moins tardives que d’habitude. Nous l’espérions – l’embellie était déjà amorcée lors du festival Off 2022 avec une très bonne fréquentation – il y a une vraie envie du public de retrouver les salles, un véritable engouement pour se faire du bien, ensemble.
Quel est votre public? Bien que nous n’ayons jamais fait une étude spécifique de notre public, on peut dire qu’il est essentiellement local, des avignonnais, des vauclusiens. Il y a des professionnels mais aussi des habitués qui prennent des vacances exprès afin de suivre nos stages par exemple. En ce qui concerne les jeunes, on fait le plein dans le cadre des Hivermômes avec les scolaires car il y a un travail de fond tout au long de l’année. L’atelier parent/enfant animé par la danseuse Lisa Miramond qu’ils ont pu retrouver ensuite et dans le spectacle « Une échappée » a, également, très bien marché. Tous les spectacles affichent complets.
Des incontournables dans la programmation ? En tant que directrice artistique, je voyage beaucoup, je défriche, je ne programme que ce que j’ai vu. Mais je reste fidèle à nos artistes compagnons tel Mathieu Desseigne-Ravel ou Nach – en collectif cette année – et j’invite toujours un artiste associé. Cette année Massimo Fusco a carte blanche pour investir Le Grenier à Sel avec toute l’humanité et la générosité qui le caractérisent. J’essaie d’ imaginer une programmation dans laquelle tout le monde va pouvoir trouver une porte d’entrée. Il y a des spectacles plus exigeants, qui nécessitent peut-être des avertissements, des jauges plus intimes, des spectacles plus populaires à voir en famille. Je dois ensuite convaincre des partenaires pour certaines co-réalisation.
Les partenariats, opportunité et nécessité… Il y a des partenaires qui viennent nous solliciter et à qui nous répondons avec plaisir : je pense au Théâtre du Train Bleu qui nous a rejoint cette année pour les séances scolaires avec toujours présent l’auditorium Jean Moulin du Thor. Mais il y a des projets de taille comme Moebius ou Magnifiques que nous n’aurions pas eu les moyens de programmer sans la coréalisation de L’Opéra Grand Avignon ou la Scène Nationale de la Garance . Ces grandes formes nécessitent des grands plateaux et un nombre optimum de spectateurs. Mon rôle sera alors de les convaincre de l’intérêt artistique. La navette bus qui a été mise en place depuis septembre par le Grand Avignon pour se rendre à l’Autre Scène de Vedène est plus qu’ appréciable.
Comment travaillez vous ? Notre CDCN fait partie d’un réseau de 13 scènes nationales ( dont 1 en Guyanne). Nous ne sommes pas seuls. Et je ne suis pas seule : avec mon équipe je soumets, on discute beaucoup, on se réunit en séminaires mais ce qui nous guident dans tous les cas ce sont les missions auxquelles nous devons répondre en tant que Centre de Développement Chorégraphique National : diffuser, accompagner les artistes et sensibiliser tous les publics. Tout ce travail collectif se traduit ensuite par un investissement autonome de chaque membre de mon équipe. Et pour le festival des Hivernales nous pouvons compter sur nos bénévoles passionnés qui répondent toujours présents.
Quelques indiscrétions pour le Off 2023 ? Nous gardons le format d’une dizaine de jours inclus dans les dates du Off. Outre les 7 compagnies que nous programmerons au CDCN, notre artiste associé Massimo Fusco fera une petite incursion à la Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon pour présenter une version en binôme de Corps Sonore avec le performeur Fabien Almakiewicz.
A ne pas manquer ce week-end de clôture
La Lévitation Réelle de Camille Boitel et Sève Bernard Spectacle gratuit de 15 minutes sur l’espace public. Pour ce nouveau projet, créé pour l’espace public, Camille Boitel, acrobate, danseur, bricoleur d’un cirque théâtral, chorégraphique et musical, s’entoure de porteurs et voltigeurs. On perd son poids et on tente de le ramener au sol, mais le vertige de ne plus pouvoir toucher terre est terriblement contagieux. La lévitation réelle convoque l’acrobatie au service de jeux d’équilibre et de déséquilibre perpétuels pour une envolée surréaliste. Une prouesse technique avec l’air de ne pas y toucher. Samedi 18 février.11 h.11 h 30.12 h. rue Portail Matheron et Samedi 18 février. 14h.14h30.15h. Place Saint-Didier.
Se faire la belle + Pode ser 2 solos de Leïla Ka, deux déflagrations, deux coups de poings lancés dans le vide, deux flèches acérées tirées contre ce qui, de l’intérieur ou de l’extérieur, empêche. Une pulsion vibrante, sombre et vive. Une jubilation de la danse, du mouvement comme acte impérieux de libération. » Piano Panier. Samedi 18 février. 16h. 12€. Théâtre des Carmes. Place des Carmes. Avignon. 04 90 11 46 45
Sweat Baby sweat de Jan Martens Un duo d’amour, hymne à la lenteur et à la sensualité des corps. Dans différents langages de mouvements tels que le butoh, le yoga ou l’acrobatie de cirque voire de danse rock’n’roll , 2 personnes s’accrochent l’une à l’autre. Samedi 18 février. 18h. 5 à 22€. CDCN. 18 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 11 46 45. hivernales-avignon.com
Collectif ES On connaît tous le karaoké où chacun pousse la voix sur les tubes les plus improbables. Le Collectif ÈS nous invite à son grand Karaodance avec des écrans géants, des clips originaux et son vidéomathon. Samedi 18 février. 21h30. 5 à 22€. La Scierie. 15 boulevard Saint-Lazare. Avignon. 04 90 11 46 45. hivernales-avignon.com
Le spectacle vivant n’est pas mort
En réponse au Magnificat de Bach, le chorégraphe Michel Kelemenis veut nous communiquer la joie de cette découverte
Il s’agit de chorégraphier l’œuvre musicale monumentale de Bach dans un grand geste choral. Amoureux du mouvement et des danseurs, Michel Kelemenis accorde à la musique un place essentielle tout en offrant à ses interprètes un grand espace de liberté.
Magnifiques et lumineux pour une «éphémère éternité» Ils seront 9, magnifiques et lumineux, pour inventer un hymne à la jeunesse. Leur danse est énergique, enthousiaste et surtout libre. Une création à ne pas manquer. Mercredi 15 février. 20h. 7 à 22€. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr Billeterie Les Hivernales hivernales.notre.billeterie.com
Le spectacle vivant n’est pas mort
Vous serez des détectives le temps de ce spectacle dansé du chorégraphe Denis Plassard pour un public familial à partir de 8 ans le vendredi 10 février à 20h30 au Pôle Culturel de Sorgues.
Ce qui vous attend Un Cluedo chorégraphié avec 7 suspects, 7 reconstitutions et 1 coupable. Sept danseurs ont été convoqués à un stage de reconversion. Le directeur du stage a disparu. Un des danseurs est coupable. Les spectateurs sont invités à mener l’enquête… Dans les 7 reconstitutions différentes et loufoques, le coupable est le seul suspect qui refait toujours exactement la même chorégraphie. Saurez-vous le démasquer?
Le chorégraphe Denis Plassard Formé en danse classique et contemporaine au Conservatoire de Lyon, Denis Plassard a créé en 1990 son premier solo `Propos’ qui donnera son nom à sa Compagnie un an plus tard. Passionné par la transmission et l’invention de processus d’intervention auprès de différents publics, il lui tient à cœur de partager et rendre la danse accessible au plus grand nombre.
2 ateliers gratuits pour les 8-12 ans et les plus de 12 ans Le samedi 11 février, soit le lendemain de la représentation `Dans le Détail’, 2 ateliers gratuits sont proposés en lien avec le spectacle pour les élèves de l’Ecole Municipale de Musique et de Danse de Sorgues. Ces ateliers permettront aux enfants de comprendre la démarche du chorégraphe et les processus utilisés afin de créer cette énigme dansée.
Planning des ateliers : – 9h30 à 11h : 8-12 ans – 11h à 12h30 : plus de 12 ans et adultes
Nadège Salas
Vendredi 10 février à 20h30 au Pôle Culturel. 285, avenue d’Avignon. Sorgues Salle de spectacle. Tarifs : 10€. Pass famille et étudiants (sur présentation d’un justificatif) : 5€. Réservations : 04 86 19 90 90
Le spectacle vivant n’est pas mort
Les Hivernales ? Le grand rendez-vous des amateurs de danse Pendant 19 jours, du 31 janvier au 18 février, les Hivernales nous proposent un moment privilégié de rencontres et de pratiques autour de talents émergents ou confirmés. Fort de son implantation tout au long de l’année, auprès d’un public fidèle, adulte mais également jeune public et scolaires (plus de 1700 scolaires attendus), le Centre de Développement Chorégraphique National ( CDCN) fait le pari de nous étonner – voire de nous déstabiliser- par une danse vivante et joyeuse.
Les HiverOmomes commencent le 31 janvier Avec de nombreuses séances scolaires et également des spectacles à voir en famille. Pour les tout-petits dès 3 ans, « Une échappée » de Julie Nioche les entraînera dans un univers féerique plein d’humour et de poésie. Samedi 4 février. 15h. 6 et 9€. CDCN. 18 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 11 46 45. La chorégraphe Marie Barbottin propose quant à elle « La chambre d’eaux » une fable contemporaine dès 6 ans, adaptée du texte « La chambre d’O » de Catherine Verlaguet. Mercredi 8 février.14h30. 6 et 9€. Maison pour Tous Monclar. Le Totem. Avenue Monclar. Avignon.
25 équipes artistiques pour 39 représentations réparties dans plusieurs lieux du département Grâce à des partenariats pérennes et à la confiance des institutions, la danse sera partout : dans la rue, les musées, les théâtres, le cinéma en Avignon, à Vedène, à Cavaillon, au Thor, à Rasteau.
Elle sera également multiple: solo ( avec la performeuse Ruth Childs) duo ( Infinité du chorégraphe Yvann Alexandre , Nice Trip de Mathieu Desseigne-Rael et Michel Scweizer, The Gyre à la limite de l’hypnose avec Angela Rabaglio et Micaël Forentz et Jan Martens qui nous livre un lent duo d’amour) collective ( Magnifiques en réponse au magnificat de Bach, Attitudes habillées de Balkis Moutashar) circassienne ( Moebius spectacle de haut vol) musicale (hommage rendu par Maud Le Pladec aux musiciennes oubliées).Une carte blanche est également prévue avec l’artiste associé de la Saison 2023 des Hivernales : Massime Fusco.
Carte blanche à l’artiste associé Massimo Fusco Artiste associé oui mais pas seul. En effet sa Compagnie Corps Magnétiques comprend une constellation d’artistes – Fabien Almakiewicz, Doria Belanger, Vanessa Court, Marine Chesnais et Vincent Bruno – qui interrogent notre rapport au monde en général et à la nature en particulier. Massime Fusco a choisi d’explorer les frontières du mouvement avec d’autres champs artistiques que la danse pour nous proposer des parcours sonores et visuels. Il investit pour cela le splendide lieu du Grenier à sel pour nous offrir une expérience immersive totale : « Corps sonores », salon de massage et salon d’écoute à la fois. Samedi 11 février. 11h et 14h. Dimanche 12 février. 11h et 15h30. Samedi 18 février. 11h et 14h. Entrée libre mais jauge limitée et réservation indispensable. Grenier à Sel. Rempart Saint-Lazare. Avignon.
C’est à la Collection Lambert que le performeur Fabien Almakiewicz nous proposera sa métamorphose « Phasmatodea » Samedi 11 février. 14h et 16h. Entrée libre sur réservation.5 rue Violette. Avignon.
La vidéaste Doria Belanger approche la notion d’énergie avec son projet « Joule »et avec «Suzanne », Vanessa Court nous transportera dans différents paysages sonores. Entrée libre de 11h à 18h le WE. 14h à 18h la semaine. Grenier à Sel. Rempart Saint-Lazare. Avignon.
Enfin, en partenariat avec le Cinéma Utopia, le projet « Habiter le Seuil » de Marine Chesnais et Vincent Bruno va nous plonger en apnée dans les profondeurs marines à la rencontre de la baleine à bosse. Samedi 11 et 18. 16h. Dimanche 12 février. 11h.Grenier à Sel. Rempart Saint-Lazare. Avignon.
Un moment festif avec Karaodance : soyons tous et toutes des artistes performeurs ! Des playlists à danser pour délivrer l’énergie de l’instant T ! Un équipement sonore, un écran, des clips originaux pour plonger dans une mise en scène de soi-même le temps d’une chanson. Prendre la liberté de partager nos mouvements, de dévoiler nos idées physiques, de créer nos propres performances en live. Samedi 18 février. 21h. 11 à 22€. La Scierie. 15 boulevard du quai Saint Lazare. Avignon.
Du 31 janvier au 18 février 2023. De 9 à 22€. Boutique réservation. De 10h à 18h. 3-5 Portail Matheron. Avignon. 04 90 11 46 45. hivernales-avignon.com