22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Cowool ouvre sa résidence grenobloise

Cowool, la résidence née à Avignon qui allie coworking et coliving, vient d’ouvrir un nouvel espace à Grenoble.

Un an après l’ouverture de son espace coworking et coliving à Avignon, Cowool ouvre les portes de sa nouvelle résidence Grenobloise. Située à quelques mètres du centre commercial Grand’Place, de la patinoire PoleSud et d’Alpexpo, la résidence dispose de :

  • 94 « flex apparts » équipés (individuels ou en colocation),
  • 50 postes de travail en coworking et bureaux privatifs,
  • espaces de réunion, événementiel et séminaire,
  • espace restauration avec frigos connectés et vue sur les montagnes,
  • espaces partagés (salles de sport, salle de cinéma, laverie, etc.).

Cette résidence est la troisième ouverte par Cowool, après Avignon et Cergy. D’autres espaces ouvriront prochainement à Villeneuve d’Ascq, Lille et Toulouse, où deux résidences sont prévues.  

Lire également : « Cowool : quel est le bilan un an après ? »


Cowool ouvre sa résidence grenobloise

Le 3 janvier 2022, Cowool, la résidence qui allie coworking et coliving, ouvrait ses portes. Un an après, quel est le bilan ?

Cowool, c’est la résidence qui allie coworking et coliving, un concept inédit en Vaucluse. Situé 25 avenue Mazarin, l’espace de 4 500m2 comprend 98 « flex appartements », 17 bureaux privatifs, un open space de 280m2, un espace restauration de 160m2 et une multitude de services : espace fitness, espace gaming, studio audiovisuel, salle de cinéma, salon de lecture, atelier cuisine, boulodrome, potager… Tout cela mit à la disposition des « coworkers » et des « colivers ».

Ouverte depuis le 3 janvier 2022, la résidence, qui réinvente la façon de travailler, vient de souffler sa première bougie. L’occasion de faire le bilan de cette première année avec Anne Audrey Beraud, directrice du site avignonnais. « Le bilan va au-delà des espérances et des objectifs qu’on s’était fixé, explique-t-elle. On est fière d’avoir pu développer ce concept à Avignon ».

Elle poursuit : « que ce soit en termes de taux d’occupation, de communauté, de comment les personnes vivent le Cowool, parce que ça se vit, cela va au-delà de nos espérances ». Pour la directrice du site, cette première année est un succès : « on a rempli notre pari de pouvoir faire vivre cette résidence et que ça marche. On est super content parce que certains étaient sceptiques d’avoir un concept comme celui-ci à Avignon, parce qu’on se dit ‘Avignon ce n’est pas une grande ville’. Donc on est ravi de ces résultats ».

Lire également : « Cowool : un concept inédit avec Avignon en chef de file »

Entre 85 et 95% de taux d’occupation

Avec un taux d’occupation qui oscille entre 85 et 95%, pour la partie coliving, l’objectif est atteint selon Anne Audrey Beraud : « on est monté en puissance. Tous les mois, on prenait au moins 15% de taux d’occupation. Maintenant, on sent qu’on a atteint nos objectifs, qu’on a notre rythme de croisière. Notre taux d’occupation oscille entre 85 et 95%, mais c’est constant ».

Sur sa partie coliving, la résidence propose des tarifs dégressifs. Ainsi, pour une durée de 6 mois, durée moyenne d’un séjour, le tarif est de 720€ charges comprises (eau, électricité, wifi), auxquels s’ajoute la taxe de séjour. Pour ce prix, le résident a accès à un appartement totalement équipés et à la quasi-intégralité des services de la résidence (espace fitness, gaming, jardin, boulodrome, etc.) hors parking (payant).

L’une des particularités de la location des « flex appartements » est la simplicité d’accès. En effet, aucun revenu, ni contrat de travail n’est demandé pour accéder à ces appartements design contrairement aux logements plus traditionnels, qui nécessitent l’élaboration d’un dossier. « On facilite l’accessibilité au logement », se félicite la directrice du site.

Concernant la partie coworking, là aussi, c’est un succès avec l’entièreté des bureaux privatifs occupés au mois de décembre 2022. « On est full également sur les bureaux. Après, l’open space reste complètement accessible pour ceux qui n’ont pas besoin de bureau », précise-t-elle.

Jusqu’à 17 nationalités présentes

Les colivers, nom donné aux personnes louant un flex appartement, représente 20% de la clientèle de Cowool Avignon. Une clientèle venue des quatre coins du monde : « ce qu’on a constaté, c’est qu’on a par moments 17 nationalités différentes : Brésil, Australie, Etats-Unis, Nouvelle Zélande… On ne s’attendait pas à avoir cette richesse en termes de culture et d’échange », explique Anne Audrey Beraud. « Ça va au-delà de nos espérances parce qu’on se posait la question de savoir quelle clientèle on allait recevoir et, c’est ce qu’on aime, c’est très éclectique ».

A l’inverse, sur la partie coworking, les 80% restants, la clientèle est majoritairement composée de Vauclusiens. « On va avoir des startups, des jeunes entrepreneurs, des sociétés », précise la directrice du site.

Ainsi, entrepreneurs, étudiants, cadres supérieurs, hauts dirigeants, nomades digitaux se côtoient et échangent au sein de la résidence, qui revendique cette mixité : « c’est ce qui est top. Un cadre sup. va pouvoir échanger avec un étudiant et un jeune entrepreneur actif avec un senior. C’est ce qui crée toute la richesse de Cowool. C’est génial cette mixité, ce lien social avec des profils de client qui ne se seraient jamais parlé ou rencontré », explique Anne Audrey Beraud.

Un concept ancré localement

« L’intérêt de Cowool est de pouvoir s’appuyer sur les forces vives du territoire », explique Anne Audrey Beraud. Composé d’une équipe de quatre personnes qui se consacrent entièrement au bon fonctionnement de la résidence, le site fait appel à une dizaine de prestataires locaux qui s’occupent notamment du ménage, de la technique et de la cuisine. La résidence, qui souhaite aller encore plus loin en 2023, est également en partenariat avec « Semailles », l’association maraîchère de réinsertion qui se situe sur la ceinture verte.

« Je ne peux pas encore tout dévoiler, mais on veut s’inscrire dans la synergie du festival. Là, on y travaille, on a des pistes, on a plus que des pistes… On veut vraiment s’inscrire dans le territoire et s’appuyer sur tout ce qui se fait localement », explique la directrice du site, qui reste évasive sur le sujet. Alors, animation(s), Tiers-lieu ? Il faudra attendre l’été pour découvrir cela.

En plus de vouloir s’inscrire dans la synergie du festival, la résidence souhaite poursuivre les animations déjà mises en place au cours de la première année : « les animations sont hyper importantes chez nous. En septembre, on a fait des lives musicaux. Pendant 3 jours, on a fait un petit festival électro. En décembre, on a fait un atelier bûche et un petit marché Noël ».

Le « Christmas Food village » a réuni tous les jeudis de décembre quatre artisans qui venaient présenter leurs produits : « on a été hyper étonné, ça a beaucoup plu à nos Cowooler ».

Les prestataires employés par Cowool assurent notamment l’espace restauration © Morgan Palun.

« Ça avance comme les investisseurs le souhaitent »

Cowool Avignon a été pensé comme un pilote : « c’est hyper formateur, on découvre, on test et ça, c’est génial » s’enthousiasme la directrice. Depuis quelques mois, une autre résidence a ouvert ses portes à Cergy et d’autres ouvriront prochainement à Grenoble, Lille et Toulouse, où deux résidences sont prévues. « Le développement est bien lancé, ça avance comme les investisseurs le souhaitent », poursuit Anne Audrey Beraud.

Chacune des nouvelles résidences bénéficiera des enseignements tirés de celle d’Avignon. « Je ne dirais pas qu’on a eu de gros échecs. On n’a pas eu de grosse désillusion, ce sont plutôt des rajustements. Ce qui va être intéressant avec le développement de Cowool, c’est que ça dépendra du marché des uns et des autres ». Le Cowool Avignon bénéficie de la saisonnalité forte du festival, là où celui de Cergy est entouré d’un vivier d’entreprise qui crée de l’intérêt et du tôt d’occupation.

Si chaque Cowool est unique, une chose est essentielle et doit se retrouver dans chacune des résidences selon la directrice du site d’Avignon : l’esprit. « Ce qui m’a vraiment frappé, c’est l’esprit Cowool, le mindset, la communauté. Vous avez des relations avec vos clients qui sont tellement plus profondes » confie la directrice du site. « En un an, si j’ai une chose à retenir de Cowool, c’est ça, c’est cet esprit ».  

Le bilan de la première année d’existence de Cowool Avignon dépasse donc les attentes de sa directrice, reste à voir si le succès sera également présent pour les autres sites qui ouvriront prochainement.


Cowool ouvre sa résidence grenobloise

Le 3 janvier dernier, l’espace de coworking et de coliving Cowool ouvrait ses portes aux entreprises, aux particuliers, aux voyageurs ainsi qu’aux Avignonnais. Qu’en est-il quatre mois plus tard ?

Si concept du ‘vivre ensemble’ n’est pas encore très répandu en France, Cowool a bien prouvé que c’est possible, mais surtout, que cela fonctionne ! Lors de l’inauguration de l’édifice qui vient d’avoir lieu, son équipe a pu partager son expérience durant les prémices de ce projet innovant, ainsi que l’avenir imaginé pour ce nouveau modèle de vie hybride.

L’inauguration du Cowool ‘pilote’. ©Morgan Palun

Situés au 25 avenue Mazarin, les 3700m2 de Cowool repensent la façon de partager mais aussi celle de travailler. Bureaux individuels, bureaux partagés, salles de réunion, appartements ou encore salle de sport, tout a été mis en place afin que les personnes de passage à Cowool s’y sentent bien, comme à la maison pour ceux qui le souhaitent, ou au contraire, le lieu peut aussi constituer un endroit pour s’évader de la vie routinière. « Beaucoup de personnes qui travaillent de chez elles viennent à Cowool pour casser leurs habitudes mais aussi pour distinguer leur lieu de vie de leur lieu de travail », explique Anne-Audrey Beraud, directrice de Cowool Avignon.

Des ‘cowoolers’ de tout horizon

Que ce soit du côté travail ou du côté habitation, Cowool présente un panel diversifié de clients. Si l’entreprise pensait toucher un public plutôt vauclusien durant les premiers mois, la réalité en est tout autre. Parmi les occupants des espaces de coliving, comme pour ceux de coworking, on peut retrouver 15 nationalités différentes.Toutes les langues se mélangent.

Il est voisin du centre commercial Cap Sud, pourtant, Cowool donne l’impression de faire le tour du monde. « Le principe de coliving se base sur la mixité des personnes qui consomment ce genre de mode de vie, explique Gui Perdrix, expert en coliving et directeur de l’association Co-Liv. On mélange des individus de différents milieux et de différentes classes sociales, mais sans faire de distinction entre les uns et les autres. » Ainsi, l’italien se mélange à l’anglais, à l’espagnol, ainsi qu’à bien d’autres langues étrangères, mais le français est également bien présent dans les espaces, notamment les bureaux.

…mais aussi des locaux

En s’implantant à Avignon, Cowool voulait participer à l’économie avignonnaise et vauclusienne. C’est pourquoi l’édifice accueille de nombreuses entreprises et structures locales au quotidien. Agences de communication, sociétés de location d’hébergement, autoentrepreneurs ou encore le club de handball d’Avignon, Cowool démontre une fois de plus la diversité au sein de ses cowoolers.

« C’était très important pour nous de créer une synergie avec les entreprises et les travailleurs du coin, développe la directrice de l’établissement. C’était tout aussi primordial d’ouvrir nos portes à d’autres structures comme le club de handball de la ville car c’est ça l’esprit Cowool, c’est de mélanger différents milieux, qu’ils soient professionnels ou non. » Ce principe de mixité est l’un des aspects les plus attirants du lieu. Les libertés qu’offre Cowool sont également un argument phare pour attirer la clientèle.

Un des bureaux que peuvent occuper les entreprises et autres structures, qu’elles soient vauclusiennes ou non. ©Morgan Palun

Une nouvelle façon de vivre moins contraignante

« Pas de cash, pas de clef, pas de contrat », c’est l’une des devises de Cowool. Contrairement à un hébergement classique, obtenir les clefs d’un ‘flex appart’ est relativement facile. Aucun revenu n’est demandé et il n’est pas nécessaire d’avoir un certain contrat de travail pour vivre dans un appartement Cowool, contrairement à un hébergement plus traditionnel qui nécessite de remplir un dossier assez conséquent.

De plus, la périodicité du séjour peut être adaptable aux envies et aux conditions de chacun. Si la plupart des séjours durent en moyenne entre 3 et 6 mois, les cowoolers peuvent également rester seulement quelques jours ou bien toute l’année s’ils le souhaitent, alors qu’une location classique est généralement saisonnière, dure une année scolaire ou plus. « L’absence de contrainte est un atout majeur de Cowool, confie Laurent Teisserenc, directeur du groupe immobilier HPC Capital et fondateur du concept Cowool. Aujourd’hui, le marché du coworking et coliving est assez étroit mais il risque d’exploser d’ici peu grâce à ce genre d’atout qui va attirer de plus en plus. »

Un exemple de ‘flex appart’ que l’on peut retrouver à Cowool. ©Morgan Palun

Les bienfaits du coliving

Si le coworking a trouvé sa place en France depuis quelques années déjà, le principe du coliving, lui, est beaucoup plus récent. Pour preuve, le terme de ‘coliving’ n’a été inventé qu’en 2015 et ne possède toujours pas de définition officielle à ce jour. Mais ce nouveau concept du ‘vivre ensemble’ commence à faire son nid et devient une tendance de plus en plus recherchée, notamment depuis la crise du Covid-19 qui a favorisé le sentiment de solitude chez l’individu.

Plusieurs études, principalement étrangères, prouvent que le coliving a des bienfaits sur l’être humain. « Les établissements  coliving n’offrent pas seulement des services d’hébergement de haute qualité, ils fournissent également de la flexibilité ainsi que de l’homogénéité, peu importe où ils se situent », explique la société immobilière américaine JLL dans son étude ‘How can co-living build on today’s student accommodation ?’ (‘Comment le coliving peut s’appuyer sur le logement étudiant d’aujourd’hui ?’)

Quel avenir pour Cowool ?

Si Cowool semble en bonne voie pour devenir un exemple de coliving et coworking en France, l’entreprise ne compte pas s’arrêter là. Pour le moment, l’ouverture de 8 autres établissements est prévue dans les prochains mois. Ainsi, les villes de Cergy, Grenoble, Villeneuve d’Ascq, Nice, et bien d’autres, devraient elles aussi accueillir leur espace Cowool.

D’ici quelques années, l’entreprise devrait posséder une vingtaine d’établissements disséminés dans toute la France. Celui d’Avignon est le Cowool ‘pilote’, c’est sur ses bons et ses mauvais côtés que Laurent Teisserenc et ses équipes vont se baser pour développer les autres espaces au mieux et pour les améliorer au fil du temps. 

De gauche à droite : Gui Perdrix, Laurent Teisserenc, Anne-Audrey Beraud. ©Vanessa Arnal

Cowool ouvre sa résidence grenobloise

Un nouvel édifice hybride révolutionne le marché du ‘coworking’ et du ‘coliving’. Cowool réinvente la vie en société, casse les codes pour promouvoir le vivre ensemble. C’est à Avignon que le premier prototype voit le jour.

Un village en plein cœur de la cité papale. 25 avenue Mazarin, les 3700m2 de Cowool ouvriront leur porte le 3 janvier prochain. Ici, le ‘cowooler’ cherche les clefs de son ‘flex appart’ dans le sac, éteint la lumière du ‘flex office’ avant de partir, s’oxygène en salle de fitness, récupère son linge propre, opère un crochet par la salle de jeux, avant de boire un coup à l’espace lounge avec ses collègues. Le tout dans une ambiance cosy, canapés velours, décoration raffinée et technologie dernier cri.

« Le concept a été déformé, revu à toutes les sauces. Il ne suffit pas de positionner deux fauteuils à l’accueil pour se revendiquer du coliving », nous confie Laurent Teisserenc, à la manette du groupe immobilier HPC Capital (1200 collaborateurs en France) et fondateur du concept Cowool. La résidence est tout bonnement le premier établissement de France à incarner le coliving et coworking dans sa juste valeur. « Nous impulsons un nouvel art de vivre, combinant vie et travail, sphère pro et perso dans un esprit cool, bosseur et partageur », se réjouit Anne-Audrey Beraud, directrice de Cowool Avignon, qui rivalise d’ingéniosité pour sublimer ce nouveau lieu de vie.

L’espace restauration avec frigo communautaire, machine à café, bar, plat du jour à 6,50 euros… Crédit photo : Linda Mansouri

Etats-Unis, pays précurseur

Le terme Cowooling apparait au XXIe siècle pour définir l’expérience inventée par celles et ceux qui vivent ‘Cowool’ au quotidien. Un savant mélange de ‘coliving’ et de ‘coworking’ dans un esprit communautaire, bienveillant et connecté. Le concept voit le jour aux Etats-Unis et contamine aussitôt les pays nordiques comme la Suède. Les ‘workers’ se rassemblent, imaginent de nouvelles façons de collaborer.

Activateurs de créativité, facilitateurs de quotidien, l’offre de services annexes proposés par Cowool en fait sa force. « Ici, les gens changent leur mode de vie perso en expériences collectives », explique Anne-Audrey Beraud. Un simple tour d’horizon confirme ses dires. Tous les espaces sont pensés et designés pour favoriser les rencontres et les synergies, la motivation et le partage. Et in fine être plus productif, trajet en moins avec le ‘flex appart’ à deux minutes.

8 Cowool en préparation

Laurent Teisserenc s’illustre en tant qu’opérateur immobilier depuis de nombreuses années, plus précisément dans la construction et la gestion de résidences hôtelières. « C’est la première fois que nous construisons des bureaux. Nous agrégeons beaucoup d’éléments existants, mais le Cowool d’Avignon est très intéressant dans la mesure où c’est l’établissement pilote, explique Laurent Teisserenc. C’est le premier qui va nous aider à construire le second, ainsi de suite. » Huit résidences Cowool sont en préparation, les prochaines ouvriront à Cergy-Pontoise, Grenoble, Nice, Toulouse, Villeneuve-d’Ascq… Objectif ? Une vingtaine d’établissements Cowool dans l’hexagone.

Avant Cowool, un vieux bâtiment désaffecté qui abrita les établissements Adonis, Yes hôtel ou Mercure. « Il a fallu tout refaire, seuls les murs ont été gardés », précise Laurent Teisserenc. Cowool épargne les difficultés de circulation et de stationnement du centre d’Avignon. A 10 minutes du centre-ville, proche de la gare TGV ou de l’aéroport, à 10 minutes d’Agroparc, proche du Pontet, le tramway à deux pas, autant de facteurs ayant convaincu Laurent Teisserenc d’investir dans ce projet. La résidence est vaste : un open space de 280m2, 17 bureaux privatifs, de 1 à 9 postes, de 12 à 44m2, 4 salles de réunion, la plus grande de 72m2, et une multitude de services proposés.

Bienvenue dans la salle de réunion. Crédit photo: Cowool

Pour vous accueillir, Anne-Audrey Beraud, avignonnaise et figure de l’hôtellerie-restauration haut de gamme depuis plus de 20 ans. Un besoin de renouveau la pousse un jour à candidater à une offre. « J’ai tout de suite adhéré à ce projet novateur. L’investissement pour Cowool est vraiment important, même certains hôtels 4 étoiles ne vont pas jusque-là », nous confie-t-elle.

Petit tour au ‘flex office’ ?

Home office, bureaux privatifs, flex office, espaces de travail partagés, réunions en visio ou brainstorms improvisés, les ‘cowoolers’ inventent l’espace qui leur ressemblent. Espaces de coworking ou événementiels, les lieux s’adaptent aux usages. Chaque salle de réunion dispose d’équipements dernière génération avec un service d’impression à disposition. Ecran Cisco, paperboard digital Samsung flip, écran visioconférence Webex, partage de contenus 4K, « Cowool se veut hyper connecté, répondant au besoin croissant de télétravail », précise Anne-Audrey Beraud.

Cerise sur le gâteau, des cabines individuelles dédiées aux appels téléphoniques fleurissent un peu partout dans l’open space. Jamais bien loin, des espaces ouverts et partagés pour se détendre, se réunir, se restaurer, travailler, collaborer, se concentrer… « Nous avons enrichi un maximum l’expérience avec les espaces partagés. C’est exceptionnel », se réjouit Anne-Audrey Beraud.

Un bureau signé Cowool. Crédit photo : Cowool Avignon

La clientèle ? Elle est protéiforme. Cadres supérieurs, jeunes actifs, entrepreneurs, instituts de formation, sociétés de service à la personne, agences de communication, freelance… « Le Grand Avignon est un véritable réseau d’entreprises, jeunes et dynamiques en pleine croissance. Cowool répond aux besoins des jeunes actifs en recherche de solution souple, soit pour travailler, soit pour habiter. Et qui souhaitent également bénéficier d’un cadre de vie agréable », abonde la directrice. Certains peuvent en effet opter uniquement pour un bureau, une salle de réunion, d’autres peuvent choisir un appartement, ou bien tout à la fois. A noter, l’ensemble des services proposés reste accessible à tous, quelle que soit la formule.

Flex appart’ et souplesse

Le ‘cowooler’ réserve un ‘flex appart’ comme il réserverait une chambre d’hôtel. Exit les paperasses administratives et autres contingences, place à la flexibilité. 93 ‘flex appartements’ totalement équipés sont disponibles, de 30m2 et 5 ‘big flex’ entre 65 et 70m2. Seul ou en colocation, pour un court séjour touristique ou en mobilité professionnelle, les possibilités sont variées.

A l’intérieur du ‘flex appart’, notre œil se plaît dans ce design contemporain et chaleureux, cette bulle de vie ultra fonctionnelle et cosy. Le tarif est quant à lui dégressif. 720 euros TTC par mois (de 1 à 3 mois), 690 euros par mois (de 3 à 6 mois), 650 euros par mois (au-delà de 6 mois). Le tarif comprend alors toutes les charges : eau, électricité, wifi, assurance habitation… Et surtout, l’accès à tous les services. « Lorsque l’on considère tous ces éléments mis bout à bout, Cowool propose un super rapport qualité/prix », juge Anne-Audrey Beraud.

Un ‘Flex appart’ dans toute sa splendeur. Crédit photo: Cowool

Une multitude de services

La force du concept se révèle. En plus d’offrir un cadre de travail et un cocon douillet à la maison, les ‘Cowoolers’ profitent d’une myriade de services. Espace fitness avec cours, jardins partagés, potager, salle de projection cinéma, salle de gaming, salon de lecture, boulodrome, atelier cuisine, laverie-pressing, vélo et voiture électrique, casier connecté, bagagerie, parking, et bien d’autres. Certains services sont en option.

Mention spéciale pour le studio audiovisuel équipé de fond vert, caméras, lumières, permettant de s’épanouir dans les projets audiovisuels. Nichés dans les 180m2 de l’espace restauration, deux frigos connectés proposent une offre salée et sucrée, locale et saine. Le plat du jour ? 6,50 euros. La fontaine à eau est gratuite, les ‘Cowoolers’ peuvent déposer leur Tupperware dans le frigo communautaire, faire couler un café dans la machine dernier cri et bientôt boire une bière au bar.

La girafe a pris ses quartiers 25 avenue de Mazarin. Crédit photo: Cowool Avignon

Ancrage local

Déjà les synergies se réfléchissent, les passerelles se dessinent. « Nous allons collaborer avec les principales institutions économiques implantées sur le territoire : Agroparc, Grand Avignon, Courtine, Créativa, Initiative Terre de Vaucluse. Ils pourraient très bien animer des ateliers dans nos espaces par exemple », propose la directrice. Pour les activités de fitness ou de cuisine, des prestataires locaux ont été privilégies tels que Evexia fitness. Dans la capitale mondiale de la culture, Cowool entend bien s’inscrire dans cette dynamique à travers des partenariats avec le Festival d’Avignon, l’Opéra ou les théâtres.  » Nous pourrions accueillir des journalistes pendant le festival et leur mettre à disposition nos équipements pour travailler dans de bonnes conditions. J’ai trois millions d’idées à la minute », ironise Anne-Audrey Beraud.

Cinq salariés forment l’équipe Cowool Avignon et n’ont qu’une hâte : accueillir les résidents dès le 3 janvier prochain. Beaucoup de sociétés ont déjà réservé et les demandes affluent. « On compte bien se fondre avec les résidents, travailler dans les espaces partagés, vivre en harmonie avec eux. Le lien social est très important. J’ai pour ma part un bureau mais je ne compte pas y travailler », nous confie la directrice. Quand on vous dit que le vivre ensemble forme le ciment de ce nouveau lieu de vie.

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