24 juillet 2024 |

Ecrit par le 24 juillet 2024

Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Les professionnels de santé en Vaucluse ont recensé dans un document tous les lieux de dépistage rapide de la Covid-19 dans les villes et villages du département.

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Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Emmanuel Macron a été testé positif au Covid-19. « Ce diagnostic a été établi suite à un test RTPCR réalisé dès l’apparition des premiers symptômes » a indiqué l’Élysée dans un communiqué publié ce jeudi 17 décembre. Comme le montre notre infographie (voir ci-dessous), Emmanuel Macron rejoint la liste déjà longue de chefs d’État et de gouvernement qui ont attrapé le coronavirus depuis le début de l’épidémie.

Le cas le plus médiatisé à ce jour est très certainement le diagnostic de Donald Trump. Le président américain avait annoncé le 2 octobre que lui et sa femme, Melania Trump, avaient contracté le virus, l’obligeant à suspendre ses voyages en pleine campagne électorale et à passer trois nuits à l’hôpital militaire Walter Reed. Boris Johnson, le premier ministre britannique, a été la première grande personnalité politique à rendre public son infection au Covid-19, c’était le 27 mars dernier. Johnson a été hospitalisé pendant une semaine et a passé trois nuits en soins intensifs avant de pouvoir reprendre son poste le 27 avril. Le président du Brésil, Jair Bolsonaro, a également annoncé cet été qu’il avait contracté la maladie, tout comme le président polonais, Andrzej Duda, plus récemment en Europe.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

 


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

 

Dans sa dernière vidéo, le professeur Didier Raoult aborde l’apparition de cette ‘2e vague’ qui serait lié à la transmission du virus au vison avant que celui-ci, après une rapide mutation liée à la densité de l’élevage intensif, n’infecte à nouveau l’homme avec une forme qui n’a plus rien à voir avec celle de mars dernier.

« Ces virus ont des capacités de mutations extraordinaires leur permettant aussi d’infecter d’autres animaux », rappelle le patron de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-infection. Un danger d’autant plus grand que dans le cas d’un regroupement très dense de mammifères, comme un élevage, le risque est que le virus s’y développe très rapidement.

« Les mutations s’y accumulent et l’on risque de voir arriver un nouveau mutant qui viendra nous infecter et créer une nouvelle épidémie et pas une deuxième vague d’une même épidémie », poursuit Didier Raoult dont les équipes ont identifié un ‘variant 4’ du Covid-19 dont les premiers cas sont apparus dans le Sud de la France et surtout au Danemark.

« Les gens qui s’occupent de ces animaux ont été infectés, répandant ainsi la maladie. »

« Cela pose une question car c’est un pays qui compte un grand nombre d’élevages de visons. Des animaux proches du furet, espèce qui sert de modèle expérimental dans cette maladie, qui ont été victime d’épidémies épouvantables qui ont engendré un très grand nombre de virus variant au Danemark et en Hollande. Et les gens qui s’occupent de ces animaux ont été infectés, répandant ainsi la maladie.

« Le virus est passé de l’homme au vison et du vison à l’homme. Pour l’instant, les cas qui ont été décrit au Danemark sont sporadiques. Cependant, dans l’état de ce que nous voyons, nous redoutons que notre ‘variant 4’ qui a commencé par la France et le Danemark avant d’envahir toute l’Europe soit venus des élevages de visons. On verra s’il a des séquences qui ressemblent à cela mais les racines profondes de ce que nous constatons nous confortent dans cette idée. »

« Ces mutations permanentes risquent de poser des problèmes d’efficacité des vaccins. »

En France, il existe 4 élevages de visons : 1 où les animaux ont été abattus puisqu’ils ont été atteints par le virus et 3 qui sont sous haute surveillance. Au Danemark, entre 15 millions et 17 millions de visons ont été tués. Des mammifères qui vivent dans des conditions de densité d’élevage très (trop) importante favorisant l’apparition d’épidémie et une vitesse de mutation des virus.

« Cela ne veut pas dire que ces mutations sont associées à plus de gravité, Cela abouti même souvent à moins de gravité. Par contre ces mutations permanentes risquent de poser des problèmes d’efficacité des vaccins. »

Abordant enfin les difficultés que rencontre toujours l’IHU pour soigner les gens, Didier Raoult a précisé qu’en Italie, le Conseil d’Etat, a autorisé de pouvoir soigner les patients avec l’hydroxychloroquine. « Il va être difficile désormais de nous poursuivre pour avoir soigné les gens avec l’hydroxychloroquine en nous accusant de charlatanisme. »

« Une situation de fascisme. »

Poursuivant, il assure que « l’Etat ne veut pas que nous traitions les personnes âgées alors qu’il y a 2 études spectaculaires qui démontrent que l’on divise par 2 la mortalité grâce à l’association hydroxychloroquine et azithromycine. On nous dit, ‘nous n’acceptons pas vos études car elles ne sont pas randomisées’. J’ai appelé le ministère pour savoir et on m’a dit de redéposer une étude. Alors on redépose une étude pour recevoir une réponse du CPP (Comité de protection des personnes) qui est carrément une lettre d’insultes dans laquelle ils disent que les 3 investigateurs principaux n’ont pas fait de recherches cliniques. Et si vous regardait ce CPP, ils ont fait 3 publications à eux tous et ils parlent de gens qui ont 250 publications de recherches médicales. »

« Il y a maintenant une sorte d’argument d’autorité que je n’avais vu que dans les situations de fascisme. Vous vous rendez compte le type vous dit ‘vous n’êtes pas capable de faire ça’ alors qu’ils n’ont rien fait de scientifique de leur vie ! Il faudra bien à un moment donné faire mesurer la capacité à analyser la science par nos pairs, c’est-à-dire les gens qui sont de notre niveau », conclu le scientifique phocéen.

« On nous empêche de faire de la recherche médicale sur toutes les molécules qui ne sont plus rentables. »

« On ne peut pas demander à des gens qui n’ont jamais fait de recherche d’évaluer la qualité et la pertinence de la recherche des gens qui passent leur vie à en faire. On est là dans une décision d’autorité, qui n’a pas lieu d’être en science. C’est un problème gravissime si ces gens ont le droit de nous empêcher de faire de la recherche médicale. Et cela s’applique en particulier sur toutes les molécules qui ne sont plus rentables.

Aujourd’hui, toutes les propositions sur des molécules anciennes dans ce pays sont rejetées par des gens dont la formation scientifique n’est pas comparable à celle des demandeurs.


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Générez votre attestation dérogatoire de déplacement mise en ligne du mardi 15 décembre 2020 en cliquant ci-dessous.

Depuis ce mardi 15 décembre il n’est plus nécessaire de remplir une attestation de sortie en journée. En revanche, il reste impératif de se munir de ce nouveau document entre 20h et 6 heures. 

Les motifs valables ? 

Les motifs valables ? Ils s’égrènent pour raison professionnelle, motifs familiaux impérieux, mission d’intérêt général, raisons médicales, personnes en situation de handicap et leur accompagnant, besoins des animaux de compagnie.

Pas de couvre-feu le 24 décembre

Il ne sera pas nécessaire de se munir de ce document le soir du réveillon de Noël, jeudi 24 décembre car le couvre-feu ne sera pas en vigueur, contrairement au réveillon du Nouvel An, jeudi 31 décembre où, sauf urgence, il sera interdit de sortir de chez soi de 20h à 6 heures. Si invités il y a le sac de couchage pourra être requis.

En cas de contrôle

L’attestation devra être présentée, en cas de contrôle, sur papier ou smartphone. En cas de sortie injustifiée, les contrevenants encourent une amende de 135€, voire 375€ en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l’avis de contravention.


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Alors que de nombreux offices de tourisme restent fermés au public jusqu’au 7 janvier prochain, l’office de Tourisme du Pays des Sorgues en Provence va mettre en place une permanence à compter du samedi 19 décembre au dimanche 3 janvier de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30. Une décision motivée par « l’envie de montrer notre solidarité envers les commerçants et les artisans du marché de Noël » a indiqué l’équipe de l’office dans un communiqué.


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Si la plupart des annonces concernant les futurs vaccins anti-Covid se sont focalisées à juste titre sur leur efficacité, les contraintes de distribution et de stockage ainsi que leur coût sont d’autres facteurs clés pour leur déploiement à grande échelle dans le monde. Certains vaccins nécessitent par exemple d’être conservés à basse température, comme celui de Moderna (-20 °C) et Pfizer-BioNTech (-70°C), alors que d’autres peuvent être stockés à des températures normales de réfrigération, soit entre 2 et 8°C, comme celui développé par l’université d’Oxford et AstraZeneca.

Le prix est bien sûr un autre facteur important. Une dose du vaccin de Moderna devrait coûter autour de 31 euros (37 dollars), tandis que Pfizer et BioNTech ont annoncé un prix avoisinant 17 euros la dose (20 dollars). Mais le plus abordable des candidats-vaccins est sans nul doute celui d’Oxford-AstraZeneca, dont le prix d’une dose se situe à environ 3 euros (4 dollars). Ce dernier a été testé avec une efficacité de 70 %, certes inférieure aux autres candidats cités, mais qui peut être portée à 90 % selon le dosage. Son coût et sa facilité de distribution en font un candidat sur lequel sont fondés de grands espoirs.

Car si plusieurs gouvernements ont annoncé l’intention de distribuer gratuitement les vaccins anti-Covid à leurs citoyens, comme la Belgique et le Japon, cette option est loin d’être envisageable pour toutes les économies du globe. Des vaccins moins chers et qui restent stables à des températures plus élevées devraient donc jouer un rôle crucial pour mettre fin à la pandémie dans certaines régions du monde.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

L’IRSEA (Institut de recherche en sémiochimie et éthologie appliquée) vient d’identifier un groupe de molécules capables d’inhiber la réplication du Covid-19.

« Aux termes de 6 mois de recherche, nous avons réussi à identifier un groupe de molécules, dont l’une avec nos partenaires istréens d’Azur isotopes, capables d’inhiber la réplication du virus, confirme le docteur Patrick Pageat. Nous atteignons 99,9% de réduction de la production de particules virales in vitro avec des doses significativement inférieures aux doses qui font apparaître les premiers effets toxiques. »

« Il s’agit d’un nouvel espoir. »

« Ces travaux font l’objet de dépôt de demandes de brevets européens dont les premiers rapport de recherche sont positifs, poursuit le fondateur de cet institut de recherche privé vauclusien créé il y a 25 ans. Il s’agit d’un nouvel espoir dans la lutte contre le virus, mais aussi contre certains coronavirus pathogènes pour des animaux domestiques comme le chat, le porc ou les bovins. »

L’institut, dédié à l’étude du comportement des animaux et de l’homme, de leurs interactions et tout spécialement de leur communication chimique, entend désormais nouer des accords avec des entités capables de l’aider à mener les travaux de validation clinique de ses recherches.

« Une nouvelle arme contre la pandémie »

« Il s’agit maintenant d’apporter au plus tôt, mais avec le souci de la sécurité sanitaire et environnementale, ces nouvelles armes contre une pandémie dont les conséquences sanitaires mais aussi sociétales et économiques sont devant nous », poursuit Patrick Pageat.

« Nous espérons aussi pouvoir apporter notre expérience dans la conception de nouvelles stratégies de conception d’outils thérapeutiques, intégrant rapidité, efficacité et respect de l’ensemble du Vivant », insiste le responsable de ce laboratoire qui a fait de la réduction du recours à l’expérimentation animale une priorité grâce à des méthodes bio-informatiques et d’approche pharmacophore utilisant de très lourds calculs par ordinateur.

« Ces résultats ont été obtenus dans le plein respect des règles éthiques et de la philosophie de notre institut de recherche. C’est le fruit des recherches et de l’implication d’une équipe pluridisciplinaire et internationale, totalement indépendante et uniquement financée par le fruit de ses travaux via les redevances sur ses brevets. Aucune influence d’aucune sorte, hors des délibérations et discussions entre les scientifiques impliquées, n’a orienté notre travail. »


Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Spécialisée depuis 30 ans dans l’emballage innovant dédié à la chaîne du froid, ‘Isovation’ est installée en Zone de Courtine à Avignon. Son ADN : l’isotherme, à base de polystyrène capable de préserver la même température des produits transportés dans le monde entier. 30% de son chiffre d’affaires proviennent du secteur agro-alimentaire (caviar, glaces, entremets, saumon, bûches de Noël) et 70% de celui de la santé (vaccins, greffons, insuline, sperme).

« Nous avons environ 500 références à disposition, mais nous proposons des solutions sur mesure, adaptées à chaque client avec des boîtes connectées dont nous pouvons suivre le trajet du point A (expédition) au point B (livraison), contrôler la température, quelles que soient les saisons, le climat ou la durée du voyage », explique le PDG, Philippe Carles.

Développement à l’export et R&D

Agé aujourd’hui de 54 ans, cet entrepreneur dynamique a repris la société en 2012, après avoir navigué dans la grande distribution (Auchan-Le Pontet, Leclerc, Hyper-U) et avoir été directeur commercial d’Isovation à partir de 2010.

Depuis qu’il est à la tête de cette PME de 13 salariés, il ne cesse de la développer à l’export (Maroc, Espagne, Amérique du Sud, Caraïbes, Suisse, Moyen-Orient, Italie, Benelux, Hongrie, Roumanie, Pologne), de prospecter de nouveaux marchés (République Tchèque, Allemagne), avec un bureau d’études interne en R&D (Recherche et Développement) qui a mis au point des emballages recouverts d’aluminium, 100% recyclables, livrés à plat et démontables pour gagner de la place lors du stockage et des voyages, et donc réduire le bilan carbone. Toujours dans un souci de respect de l’environnement, il travaille avec des fournisseurs proches d’Avignon, pour favoriser les circuits courts, comme ‘Vitembal’ à Remoulins et ‘Sirap-Gema’ à Noves.

1er prix de l’emballage innovant et prix Eco-responsabilité de la CPME

La responsabilité sociale, c’est l’un des axes de travail de Philippe Carles avec des décisions prises collectivement avec son équipe, même si c’est lui qui tranche à la fin après avoir écouté tout le monde. « Je suis là aussi pour améliorer le bien-être de chaque salarié. Quand on a de bonnes conditions de travail, on est plus impliqué dans l’entreprise, plus motivé. »

Au fil du temps, Isovation a collectionné les trophées. En 2016, à Casablanca, 1er prix de l’emballage innovant au CFIA (Carrefour des fournisseurs de l’industrie agro-alimentaire) pour des boîtes de vaccins pour animaux, devant des concurrents indiens, chinois ou marocains. Grâce à cette reconnaissance, il a pu enlever des marchés en Afrique où les TIAC (Toxi-infections alimentaires collectives) représentent un véritable enjeu de santé publique qui ne peut être résolu que par une maîtrise de températures contrôlées par les emballages spécifiques de Courtine, en partenariat avec le laboratoire pharmaceutique suisse Roche.

Plus récemment, d’autres récompenses ont été décrochées en 2020 : ‘Prix éco-responsabilité » de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) et celui de la ‘meilleure innovation Emballage et Conditionnement’ au salon mondial du transport et de la logistique à Paris pour un container d’un quart de palette qui peut être embarqué en avion.

Dans les starting-blocks pour livrer les vaccins…

Avec l’arrivée imminente des vaccins anti-Covid, Philippe Carles a fait le tour de la Préfecture de Vaucluse, du Grand Avignon, de l’Agence Régionale de Santé (ARS), des hôpitaux, des laboratoires d’analyses, de l’aéroport pour proposer ses services et ses emballages isothermes qui peuvent conserver le froid à -80° grâce à de la carboglace. « Je suis prêt, avec mon équipe à fabriquer deux fois plus de containers, à travailler avec l’entreprise de transports Chabas pour les livraisons dans tout le département. » Il est en liaison régulière avec le Préfet Bertrand Gaume et les présidents des intercommunalités du département.

« J’anticipe au maximum, mais il me faut des délais pour recruter du personnel supplémentaire, le former et réussir à fabriquer les volumes nécessaires. J’attends leur feu vert pour intensifier la chaîne de production et livrer les vaccins en temps et heure à toute la population. »

Avec la crise sanitaire Isovation a perdu une grande partie de ses exportations, les avions étant cloués au sol. En revanche, certains restaurateurs ont pratiqué le ‘click & collect’ et ont livré leurs repas en scooters, avec des sacoches isothermes mises au point par Philippe Carles. « Cela n’a pas totalement compensé nos pertes, mais un peu rééquilibré nos comptes. Notre chiffre d’affaires tournait autour de 3M€ en 2019, nous en avons perdu quasiment un tiers en 2020 » constate le PDG. Il avait offert un séjour à Rome pour tous ses salariés et leurs conjoints à l’occasion de l’anniversaire de la société (30 ans)… Il espère que ce n’est que partie remise en 2021 avec la fin de la crise et le rebond de l’économie.

L’équipe d’Isovation lors du 30e anniversaire de l’entreprise cet été.

Covid-19 : où faire un test de dépistage rapide près de chez soi ?

Face à la crise du Covid-19, le Grand Avignon engageait au printemps dernier un plan de soutien à l’économie locale à hauteur de 1,7 M€, conjuguant des mesures immédiates d’aides aux entreprises impactées par la crise sanitaire et des mesures destinées à accompagner la reprise.

Au mois d’avril, le Grand Avignon a décidé d’abonder les fonds spéciaux créés par les Régions Sud et Occitanie pour un montant de 435 000 € afin de renforcer leur action sur le territoire de l’agglomération. Des enveloppes de 308 000 € pour le Fonds Covid-Résistance Région Sud et de 127 000 € pour le Fonds L’OCCAL Région Occitanie ont été dédiées à ce soutien qui prend la forme de prêts ou de financements d’investissement. Au 30 octobre 2020, 131 entreprises ont été accompagnées et financées grâce au Fonds Covid-Résistance et 910 000 € ont été engagés sur le territoire du Grand Avignon, tandis que 143 entreprises ont pu être accompagnées et financées par le Fonds L’OCCAL.

108 000 € dédiés à l’offre de services aux entreprises
Destiné à amplifier le développement d’une économie locale plus durable, plus solidaire et respectueuse de l’environnement, le plan de soutien du Grand Avignon se décline en trois principes.  L’agglo consacre tout d’abord une enveloppe de 108 000 € afin de développer l’offre de services aux entreprises avec la mise en place d’ateliers, d’événements et de services post-crise proposés gratuitement et organisés au living lab ‘le 9’.

92 000 € mobilisés pour l’appel à projets ‘Court-circuit’
Le Grand Avignon souhaite également donner la priorité à l’économie de proximité et à l’emploi. Avec tout d’abord, l’appel à projets ‘Court-circuit’ entre le Grand Avignon (60 000 €) et la Ville d’Avignon (32 000 €), destiné à dynamiser l’économie sociale et solidaire. 8 dossiers ont été retenus en 1ère phase de sélection, pour un montant de 66 500 €. 14 dossiers ont été reçus lors d’une seconde phase de sélection, dont l’analyse est en cours pour un montant de 25 500 €, soit 92 000 € mobilisés. Avec le soutien à la monnaie locale la Roue ensuite, et le lancement d’une campagne de communication destinée à développer son usage sur le territoire avec une bonification du change. Le Grand Avignon souhaite par ailleurs accompagner les producteurs alimentaires locaux, et maintenir les subventions attribuées aux bénéficiaires de l’appel à projets 2019/2020, destiné à soutenir les filières stratégiques et traditionnelles du territoire, ainsi que l’entrepreneuriat, l’emploi, l’insertion et la formation.

196 000 € consacrés au soutien de l’activité touristique
Troisième principe stratégique, le soutien à l’attractivité de la destination Avignon Tourisme (196 000 €) avec le dispositif ‘Les Nuits gagnantes’ lancé au début de l’été pour dynamiser les réservations touristiques estivales ou encore la mise en place de nouveaux dispositifs d’accueil touristique comme la mutualisation du dispositif d’accueil mobile ‘Summer truck’. Actuellement, les équipes des Offices de Tourisme du Grand Avignon et d’Avignon planchent sur une campagne de promotion touristique de la destination Avignon pour la saison 2021.

1 052 entreprises exonérées de CFE
Une dernière mesure propose une exonération de la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) pour certaines entreprises particulièrement affectées par la crise, au titre de 2020. D’un montant de 800 000 €, ce dégrèvement, conformément à la loi, est accordé aux entreprises petites et moyennes des secteurs du tourisme, de l’hôtellerie, de la restauration, du sport, de la culture, du transport aérien et de l’événementiel. 867 entreprises du Grand Avignon côté Vaucluse et 185 entreprises côté Gard ont déjà bénéficié de cette mesure.

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