24 juillet 2024 |

Ecrit par le 24 juillet 2024

Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Conformément à la demande du gouvernement aux établissements d’enseignement supérieur, Avignon Université met en œuvre la stratégie nationale ‘Tester, Alerter, Protéger’ en organisant les 8, 9 et 10 février une campagne de dépistage collectif à destination des étudiants et des personnels de ses deux campus (université et Crous). En cas de résultat positif, des mesures d’accompagnement, y compris médicales, seront immédiatement proposées.

Campus Jean-Henri Fabre (Agroparc) : de 9h30-14h30 au centre dépistage Bioaxiome. L’université fait appel au centre de dépistage installé dans les locaux du Parc des expositions. Un représentant de la cellule de crise sera présent pour l’accueil des étudiants et personnels de l’université et leur passage prioritaire. Bioaxiome réalisera des tests RT-PCR. Un prélèvement avant 12h permettra d’obtenir les résultats dans la soirée, au-delà, les résultats seront communiqués le lendemain.

Campus Hannah Arendt (centre-ville) de 9h-15h à l’annexe du Crous à côté du bâtiment Sud. Le centre sera supervisé par le Service départemental d’incendie et de secours de Vaucluse (SDIS 84) qui effectuera des tests antigéniques permettant une lecture du résultat en 15 minutes.

Les tests seront réalisés gratuitement, sur la base du volontariat et leur durée ne devrait pas dépasser les 30 minutes.

Documents nécessaires pour se présenter : la carte vitale ou le numéro de sécurité sociale, le formulaire administratif qui pourra être complété avant le dépistage (à disposition aux points d’accueil des campus). Pour les personnes ne bénéficiant pas de l’assurance maladie française, le passeport ou la carte d’identité suffira.


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

À l’inverse de millions d’entreprises qui luttent pour leur survie en pleine pandémie, les géants de la tech ont été épargnés par l’impact économique du coronavirus. Mieux encore, ils se positionnent parmi les grands gagnants de la crise. C’est la conclusion que l’on peut tirer des résultats financiers de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, chacune de ces entreprises ayant enregistré une croissance à deux chiffres sur l’ensemble de l’année 2020.

Comme le montre le graphique de Statista, c’est Amazon qui a enregistré la plus forte hausse de son chiffre d’affaires, soit près de 40 % par rapport à l’année 2019. Alors que le succès du groupe de Jeff Bezos pendant la pandémie semble logique, étant donné que de nombreuses personnes se sont tournées vers les achats en ligne pendant le confinement, l’immunité contre la crise démontrée par Apple, Google et Facebook surprend un peu plus. Après tout, ces deux derniers dépendent fortement des dépenses publicitaires, qui ont sensiblement baissé avec la crise, tandis qu’Apple vend des biens de consommation à un prix relativement élevé, ce qui ne l’a pas empêché de réaliser le meilleur trimestre de son histoire pendant les fêtes.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Afin d’accompagner les entreprises dans la gestion de la crise sanitaire, l’Association interprofessionnelle de santé au travail de Vaucluse (Aist 84) organise un webinaire mardi 9 février autour du rôle et des obligations du référent Covid-19 dans l’entreprise.

En effet, pour prévenir les risques liés au Covid-19 et limiter le plus efficacement possible les chaînes de contamination, chaque entreprise a l’obligation de désigner un salarié référent Covid-19. Comment maîtriser les risques, quelles sont les mesures de prévention, comment gérer les cas probables… Deux spécialistes de l’Aist 84 (un médecin et un infirmier) répondront à toutes ces questions au cours d’une conférence en ligne.

Mardi 9 février. 9h à 11h. Pour s’inscrire, cliquez ici


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

La préfecture de Vaucluse vient d’informer que plusieurs cas positifs de Covid-19 avaient été détectés parmi les personnels enseignants et encadrants (ATSEM, AESH) de l’école maternelle Marcel-Pagnol de Valréas depuis le mercredi 27 janvier. Ces personnes et leurs cas contacts ont été placés à l’isolement depuis le vendredi 29 janvier. Parallèlement, 3 classes de l’école maternelle de Valréas suspendent à ce jour temporairement l’accueil des élèves et le protocole sanitaire est renforcé pour les autres classes.

Accueil maintenu pour l’école élémentaire
Dans ce contexte, l’accueil des enfants au sein de l’école élémentaire Marcel Pagnol est également maintenu. L’ARS (Agence régionale de santé) organisera les prochains jours un dépistage auprès du personnel encadrant de l’école maternelle, de l’école élémentaire et de la cantine. Les résultats seront transmis aux personnes concernées d’ici la fin de semaine alors que l’accueil d’une classe de l’école maternelle sera assuré par un enseignant remplaçant, afin de pallier l’absence d’une enseignante.


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Selon l’Organisation mondiale du tourisme, 2020 aura été la pire année de l’histoire du tourisme avec 1 milliard d’arrivées internationales en moins.

Le tourisme mondial a enregistré en 2020 les plus mauvais résultats de son histoire, les arrivées internationales chutant de 74% d’après les dernières données de  l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).

En 2020, à l’échelle mondiale, les destinations ont reçu 1 milliard d’arrivées internationales en moins par rapport à l’année précédente, par suite d’un effondrement sans précédent de la demande et de l’instauration généralisée de restrictions sur les voyages. En guise de comparaison, la crise économique mondiale de 2009 s’était traduite par une baisse de 4%.

D’après l’OMT, cette mise à l’arrêt des voyages internationaux représente une perte de recettes d’exportation estimée à 1 300 milliards de Dollars – plus de 11 fois la perte enregistrée pendant la crise économique mondiale de 2009. La crise menace de 100 à 120 millions d’emplois directs dans le tourisme, dont beaucoup dans de petites et moyennes entreprises. Rappelons que, rien qu’en juillet août, la région Paca a enregistré 1,5 millions de touristes étrangers en moins. Dans le même temps, les hôtels vauclusiens ont enregistré une baisse des nuitées de -17% avant de connaître une nouvelle chute de fréquentation de -37% en septembre.

Des restrictions plus sévères pour mieux rebondir ?

Compte tenu du caractère évolutif de la pandémie, de nombreux pays sont maintenant en train de remettre en place des restrictions plus sévères sur les voyages. Celles-ci comprennent les tests obligatoires, les quarantaines et, dans certains cas, la fermeture totale des frontières, autant d’éléments qui pèsent sur la reprise des voyages internationaux. Parallèlement, le déploiement progressif d’un vaccin contre le Covid-19 devrait aider à rétablir la confiance des consommateurs, contribuer à l’assouplissement des restrictions sur les déplacements et permettre, progressivement, à la situation des voyages de rentrer dans l’ordre dans le courant de l’année.

« Beaucoup a été fait pour rendre possibles des voyages internationaux sûrs, mais nous sommes conscients que la crise est loin d’être terminée, explique Zurab Pololikashvili, secrétaire général de l’OMT. L’harmonisation, la coordination et la numérisation des mesures de réduction des risques liés à la COVID-19 au niveau des voyages, notamment le dépistage, le traçage et les certificats de vaccination, sont fondamentales pour promouvoir des voyages sûrs et pour préparer le redressement du tourisme quand les conditions le permettront. »

Un redressement en 2022

Concernant les perspectives de redressement pour 2021, l’OMT constate que près de la moitié des personnes interrogées (45 %) estiment les perspectives plus favorables pour 2021 que pour l’an dernier, 25 % tablent sur des résultats comparables en 2021 et 30 % s’attendent à de plus mauvais résultats.

« Il semble y avoir une dégradation des perspectives globales de rebond en 2021, poursuit l’OMT. 50 % des personnes interrogées s’attendent maintenant à ce que le rebond ne se produise qu’en 2022, alors qu’elles étaient 21 % en octobre 2020. L’autre moitié des personnes interrogées continue de tabler sur un rebond potentiel en 2021, mais elles sont moins nombreuses que dans l’enquête d’octobre 2020 (79 % comptaient sur un redressement en 2021). Quand le tourisme reprendra, le groupe d’experts de l’OMT s’attend à une augmentation de la demande d’activités de tourisme de plein air et de nature et à ce que le tourisme interne et les expériences de voyage où l’on prend le temps (‘slow travel’) suscitent un intérêt accru.

 


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Sous le coup de la pandémie de Covid-19, l’économie française a subi une récession massive en 2020 avec une chute du produit intérieur brut de 8,3 %, selon la dernière estimation publiée par l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) vendredi 29 janvier. Sur l’ensemble de l’année, la récession est toutefois légèrement moins forte qu’anticipée par l’institut, qui prévoyait un plongeon compris entre 9 % et 10 %. L’économie française a mieux résisté au deuxième confinement cet automne, avec un recul du PIB de 1,3 % au quatrième trimestre, essentiellement pénalisé par la baisse des dépenses de consommation des ménages, alors que l’investissement et le commerce extérieur ont poursuivi leur redressement.

Comme l’illustre l’infographie de Statista, qui retrace l’évolution du PIB en France depuis 1960, l’ampleur de la crise économique causée par la pandémie de coronavirus et le confinement est sans commune mesure avec les autres crises survenues depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En comparaison, la seconde plus forte baisse annuelle de production économique connue sur cette période correspond à la crise financière mondiale de 2008, qui avait engendré une contraction du PIB de 2,9 % l’année suivante dans l’Hexagone.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

A partir du lundi 1e février, le Grand Avignon et Orizo mettent en place un nouveau service de transport vers les centres de vaccination de l’Hôpital d’Avignon, de SOS Médecins Avignon et du Forum aux Angles.

Ce service transportera les personnes depuis leur domicile jusqu’aux centres de vaccination du Grand Avignon par des petites navettes sur réservation au 0800 456 456. Les réservations peuvent s’effectuer jusqu’à 2h avant le déplacement et pourront se prendre jusqu’à 6 semaines après, pour le rendez-vous de la 2ème injection. Il est prévu une arrivée 10 à 15 minutes avant le rendez-vous de vaccination et un retour 45 minutes après.

Le tarif est le prix du ticket 1 voyage à savoir 1,40 € le voyage, soit 2,80 € l’aller-retour en vente auprès du conducteur et sur l’appli Orizo. Un accompagnateur est autorisé pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.

Le service fonctionne sur réservation du lundi au samedi (hors jours fériés) et s’adapte aux horaires d’ouverture des centres de vaccination du Grand Avignon. Le standard Allobus est accessible du lundi au vendredi de 7h30 à 18h et le samedi de 9h à 12h.


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Après trois semaines de dépistage, les infirmiers et les pharmaciennes de Mazan ferment les portes de la salle de l’Allée. 160 personnes ont pu être dépistées et les cas positifs ont été suivis et isolés de façon efficace. Il est toujours possible de se faire dépister par les infirmiers en libéral ou dans les pharmacies du centre-ville.

Cette action a été organisée par le conseiller municipal Stéphane Claudon, infirmier de profession, et soutenue par la Ville. Aujourd’hui, le maire Louis Bonnet répète qu’il se tient prêt à organiser un centre de vaccination sur Mazan dès qu’il recevra le feu vert des autorités sanitaires.


Covid-19 : une campagne de dépistage pour les étudiants et le personnel d’Avignon Université

Sur les 667 900 décès constatés en France en 2020, 6 303* l’ont été dans le Vaucluse dont près de 9% par le Covid. Si ce bilan est à la hausse de 4,95% dans le département, ce nombre apparaît très contrasté selon les tranches d’âge. En effet, si les plus de 85 ans payent le plus lourd tribut (+11%), on dénombre largement moins de morts chez les moins de 65 ans vauclusiens.

L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) vient de dévoiler les premières données concernant le nombre de décès survenus en France entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020 (voir détail en fin d’article). Si ces données provisoires sont susceptibles d’évoluer encore, elles permettent de dresser un premier état des lieux de la mortalité département par département. Ainsi, le Vaucluse a totalisé 6 303 morts, toutes causes confondues, en 2020. C’est 4,95% de plus qu’en 2019 (6 003 décès) et 7,3% du plus qu’en 2018 (5 874 décès).

Le Vaucluse s’en tire plutôt bien par rapport aux autres départements de la région : +12% pour les Bouches-du-Rhône, +11% pour les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes. Idem avec les départements limitrophes : Ardèche (+16%), Gard (+9%) et Drôme (+7%). En Paca, seuls le Var et les Alpes-Maritimes (+4%) font un peu mieux.

C’est également mieux que la moyenne nationale (+9%) et très loin des 6 départements métropolitains (Seine-Saint-Denis, Haute-Savoie, Seine-et-Marne, Haut-Rhin, Savoie et Essonne) ayant connu les plus forts excédents de décès (au-delà de +20%).

« Le Covid représenterait 9% des décès vauclusiens. »

Si les travaux de l’Insee ne détaillent pas encore les raisons de ces décès, les bilans de l’ARS (Agence régionale de santé) permettent d’évaluer le nombre de morts attribué au Covid-19 en Vaucluse depuis le début de la crise sanitaire estimée au 7 mars dernier. Ce chiffre est compris entre 558 (450 à l’hôpital et 108 en Ehpad) et 581 (455 en hôpital et 126 en Ehpad) selon que l’on arrête le bilan au 29 décembre ou au 5 janvier (ndlr : l’ARS publiant des points hebdomadaires). Dans le premier cas de figure, le coronavirus serait donc à l’origine de 8,85% des décès dans le Vaucluse en 2020 et 9,22% dans le second.

Par ailleurs, bien que l’Insee n’ait pas encore communiqué l’âge des victimes du Covid-19, son bilan général permet déjà de tracé les grandes tendances de la mortalité dans le département.

Ainsi, les Vauclusiennes sont davantage mortes (+6%) que les Vauclusiens (+4%) en 2020. Egalement, ce sont les 85 ans et plus qui ont connu la plus forte hausse de la mortalité (+11%). Ces augmentations sont moins marquées chez les 65 à 74 ans (+4%) et les 75 à 84 ans (+3%). Petit scoop : la mort toucherait donc davantage les personnes âgées et les plus fragiles !

« La mortalité des moins de 65 ans en forte baisse. »

Dans le même temps, la mortalité des Vauclusiens des moins de 65 est en forte baisse : -9% pour les 50 à 64 ans. Elle est carrément en chute libre chez les 0 à 24 ans (-30%) et les 25 à 49 ans (-19%), qui semblent avoir bénéficié du confinement pour limiter les accidents de la circulation ou bien encore les accidents du travail.

Une tendance départementale que l’on retrouve à l’échelle nationale puisque, là-aussi, la hausse de la mortalité n’a concerné que les personnes âgées de 65 ans et plus (+10%) alors qu’elle a préservé les autres tranches d’âge (jusqu’à -6% pour les moins de 25 ans).

Autre singularité, ce n’est qu’à partir du 3 novembre dernier que l’on a observait davantage de morts en Vaucluse en 2020 qu’en 2019. Ainsi, malgré l’épidémie de Covid-19, le département a totalisé moins de mort durant les 10 premiers mois 2020 que l’année précédente. Cet écart a commencé à se réduire à partir de la rentrée pour s’accélérer ensuite à l’automne avec l’apparition des nouveaux variants décelés durant l’été. Entre le 1er septembre et le 31 décembre 2020 on a dénombré 2 393 décès en Vaucluse contre 1 891 durant la même période en 2019, soit un écart de 502 personnes.

Retrouvez les chiffres Insee en détail en cliquant ci-dessous :

Combien de Vauclusiennes et de Vauclusiens sont décédès en 2020 ?

A quel âges sont morts les Vauclusiens ?

Où sont morts les Vauclusiens ? 

*A noter que l’année 2020 est bissextile. Elle compte un jour de plus, soit une vingtaine de morts supplémentaires dans son bilan par rapport à une année classique.

https://echodumardi.com/tag/covid-19/page/14/   1/1