Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
La CoVe reconduit sa participation à la 3e édition de la grande fête nationale du vélo et invite tous ses habitants à participer au Défi Mobilité 2023. Les participants qui auront réalisé le plus de kilomètres sur le territoire intercommunal, durant le mois de mai, seront récompensés. Leur participation contribuera aussi à établir un classement des collectivités inscrites au challenge national.
Un concours pour la promotion du vélo Le concours s’inscrit dans la dynamique de promotion du vélo par la CoVe au travers de son Schéma Directeur Cyclable, qui a pour but de développer un maillage cohérent et adapté aux vélos dans le Comtat Venaissin et au-delà. C’est aussi une manière sympathique et ludique d’inciter à la pratique du vélo pour favoriser les mobilités douces. Une initiative soutenue par le Ministère de la Transition écologique et le Ministère des sports.
Le défi mobilité Les 3 plus valeureux participants seront récompensés par des cartes cadeaux de 150€, 100€ et 50€. Le concours est gratuit et ouvert à toutes les personnes physiques habitant le territoire de la CoVe (règlement sur lacove.fr).
Télécharger l’appli Geovelo Pour faire grimper le compteur des kilomètres et montrer l’engagement des habitants de la CoVe, il est nécessaire de télécharger l’application Geovelo sur son smartphone puis de créer un compte gratuit et, enfin, de rejoindre la communauté ‘CA Ventoux Comtat Venaissin’. Ainsi, chaque fois qu’un habitant prend son vélo pour aller faire vos courses, se balader ou se rendre à son travail, il lui suffira d’enclencher l’application qui comptabilisera les kilomètres effectués. Les participants pourront suivre les classements, nationaux et locaux, tout au long du challenge, sur le site de Mai à Vélo (maiavelo.fr). MH
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
La communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove) et la société carpentrassienne Provence Emballages, spécialisée dans la fabrication et la vente de cagettes et de paniers en bois, viennent de signer une convention de partenariat pour la réparation et la revente de palettes récupérées sur les sites intercommunaux.
Ce partenariat, signé pour une durée d’un an et renouvelable 3 fois, entre dans le Plan local de prévention des déchets ménagers et assimilés 2022-2028 approuvé par l’Agglomération en juin dernier. Cette opération de réemploi des palettes a pour objectif de diminuer le volume de déchets collectés en déchetteries, mais aussi de participer au développement d’une filière de réemploi créatrice d’emplois. Ainsi, cela s’inscrit dans une dynamique d’économie circulaire.
Dès à présent, Provence Emballages assure une collecte de palettes, peu importe leur dimension et leur état, par semaine dans les déchetteries de Carpentras, Caromb et Aubignan. Une extension de la collecte pourrait être envisager à l’avenir sur d’autres sites intercommunaux. Une fois les palettes collectées, Provence Emballages les dépose dans son entrepôt, les trie par catégorie, les répare, les démantèle selon les cas, et les revend.
Chaque mois, un tableau de suivi est transmis à la Cove indiquant les quantités de palettes récupérées par gabarit précisant l’état selon trois classifications : réutilisables en l’état, réparables, ou pour pièces. Un test a déjà été effectué en octobre dernier sur la déchetterie de Carpentras. En un mois, 71 palettes ont été sauvées, pour un poids de 0,766 tonnes.
V.A.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
Trois jeunes sous-mains de Justice (personnes placées sous l’autorité de la Justice) ont intégré une opération éducative à la citoyenneté, en nettoyant la nature mazannaise, accompagnés de chevaux attelés et équipés de contenants. 200 kilos de déchets ont ainsi été prélevés de la nature.
Une opération concoctée par le centre d’équihomologie de Mazan, la Protection judiciaire de la jeunesse, la Cove (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin) et Isofaculté (association sportive d’action sociale, thérapie par le cheval).
Objectif L’opération avait pour objectif de sortir les jeunes de leur cadre habituel, de les sensibiliser à la nature en nettoyant les environs de Mazan, de les former au tri des déchets, de les amener à la citoyenneté, de faire de la cohésion de groupe, et, surtout, d’aborder l’équihomologie qui œuvre à la thérapie par le cheval. La formule, appréciée par les jeunes comme par les encadrants, devrait être élargie aux publics TIG (Travaux d’intérêt général).
Trois jeunes de 16 à 17 ans Les trois jeunes âgés de 16 à 17 ans, encadrés par deux éducateurs de la PJJ ont ainsi nettoyé la nature pendant deux heures après avoir été informés des procédures de tri par deux agents de la Cove.
Ils étaient là Marion Vogel, la directrice du centre, a évoqué la réinsertion par la connexion au vivant et l’éloignement de la ville. David Torres directeur de la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse) de Carpentras et Orange a, lui, insisté sur le fait d’accorder des peines intelligentes qui, une fois intégrées, inhibent considérablement la récidive. Le représentant de la Loi a rappelé le travail effectué auprès des jeunes en partenariat avec l’association Isofaculté Cheval nature et santé depuis, maintenant, plus de 10 ans.
Ambiance Côté ambiance, Marion Vogel a apprécié la motivation des jeunes, relevé la bonne humeur du groupe et des véhicules qui doublaient le convoi le sourire aux lèvres et à l’encouragement enthousiaste par de grands signes et sourires.
En savoir plus La PJJ service du Ministère de la Justice et de la préfecture est chargé de l’ensemble des questions intéressant la justice des mineurs, auteurs et victimes, crimes et délits. Il existe 4centres de la PJJ en Vaucluse, à Avignon, Carpentras, Cavaillon et Orange, prenant en charge près de 230 jeunes, avec 150 agents dans le département. Ils sont 9 000 en France.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
Vallis Habitat est devenu Grand Delta Habitat le 1er janvier 2023 faisant de la coopérative le premier opérateur local à loyers modérés en Vaucluse et le deuxième en Région. Dans ce même temps la production suit avec l’inauguration du Clos saint Ambroise à Caromb.
A propos de la fusion de Vallis Habitat (bailleur social du Département) avec Grand Delta Habitat, initiée au printemps 2022 et intervenue le 1er janvier 2023 Michel Gontard, président de la coopérative et Xavier Sordelet, directeur-général s’expriment.
Michel Gontard, président de la coopérative explique : «Ce début d’année marque un tournant dans l’histoire de la coopérative immobilière en rassemblant, depuis le 1er janvier 2023, sous le nom Grand Delta Habitat, les deux principaux acteurs du logement vauclusien. Une décision portée par le Conseil départemental de Vaucluse avec un double objectif : permettre aux demandeurs de trouver une solution habitat adaptée et accompagner les élus dans leurs projets de construction et de réhabilitation. Depuis 57 ans, la coopérative immobilière a su s’adapter face aux contraintes règlementaires et les obligations légales de son secteur d’activité ainsi qu’à l’émergence de nouveaux besoins des habitants et territoires.»
Xavier Sordelet, directeur-général détaille : «Cette nouvelle dimension renforce son ancrage dans le Vaucluse et le Grand Sud où Grand delta habitat accompagne aujourd’hui 188 communes dans leur projet d’habitat social et d’accession à la propriété. La coopérative est présente dans 3 régions: Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes, atteignant désormais un total de 38 689 logements, soit 91 667 personnes accompagnées dans leur parcours résidentiel. Ainsi, Grand Delta Habitat devient le premier opérateur local à loyers modérés en Vaucluse et le deuxième en Région.»
Le nouveau Comité de direction Le nouveau Comité de direction est désormais composé de Xavier Sordelet, directeur-général ; Stéphane Leroy directeur des Relations institutionnelles ; Georges Lemaire secrétaire-général et directeur d’Axédia ; Jérôme Vieudrin directeur des systèmes d’information ; Delphine Miquel directrice des Ressources humaines ; Rémi Benoît Directeur des Affaires juridiques ; Reinaldo da Costa Directeur Administratif et financier ; Jean-Luc Bondon Directeur de développement ; Henri Lemoine Directeur du patrimoine ; Lucas Beaujolin Directeur commercial, transformation et accompagnement du changement ; Véronique Mainharck Directrice des services locatifs ; Rémi Marti Directeur de la proximité ;
Les nouvelles expertises Grand Delta Habitat s’ouvre à de nouvelles expertises comme le développement des projets en copeur de territoire ; la Conduite de nouveaux programmes nationaux de renouvellement urbain (NPNRU) ; la Sûreté et la sécurité des personnes et des lieux de vie ; la Transformation et l’accompagnement du changement et le développement des talents.
Inauguration de la résidence Le Clos Saint Ambroise à Caromb
Grand Delta Habitat vient d’inaugurer la résidence Le Clos Saint Ambroise, chemin de Saint-Amboise, à proximité du centre-ville, à Caromb. Il s’agit de 12 villas jumelées, avec jardinet, garage privatif intégré et une place de stationnement, le tout implanté sur 1 140m2.
Au rez-de-chaussée on retrouve des pièces fonctionnelles : toilette, placard, grande pièce à vivre avec cuisine et séjour regroupés (pour 6 villas) ou séparés. Les espaces nuit à l’étage proposent trois chambres ainsi qu’une salle de bain avec toilette. Les Maisons CMI-Caromb sont le promoteur du projet.
Dans le détail Le chauffage est assuré par une pompe à chaleur air-air qui capte les calories de chaleur présentes dans l’air extérieur pour chauffer le logement, elle est réversible et produit de l’air frais en été. La production d’eau chaude est quant à elle assurée par un chauffe-eau thermodynamique individuel. Les logements répondent à la norme RT 2012 avec un classement énergétique des logements en A et son adaptés aux personnes à mobilité réduite (PMR).
Financement Le coût total s’élève à plus de 2,5M€ dont plus de 1,8M€ issus de la Banque des territoires ; 45 000€ de l’Etat ; 17 000€ de la CoVe (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin) et plus de 139 000€ en fonds propres.
Quelques chiffres Le permis de construire avait été délivré en janvier 2021 pour une mise en location en novembre 2022. 12 villas jumelées constituent la résidence. Il s’agit de T4 d’une surface de 85 à 87m2 pour des loyers hors charges de 397 à 458€. Le loyer du jardin est de 15€ s’il s’agit d’un logement Plai (Prêt locatif aidé d’intégration) et de 20€ si le logement est Plus (Prêt locatif à usage social) auquel s’ajoute le loyer du garage de 30€.
La gestion locative La gestion locative de la nouvelle résidence est assurée par l’agence de Carpentras qui gère actuellement plus de 2 400 logements répartis sur 19 communes : Althen-des-Paluds, Aubignan, Bédarrides, Bédoin, Caromb, Carpentras, Entraigues-sur-la-Sorgue, Le Barroux, Malaucène, Malemort-du-Comtat, Mazan, Monteux, Mormoiron, Pernes-les-Fontaines, Sarrians, Sault, Sorgues, Saint-Pierre-de-Vassols et Vacqueyras.
88 logements sociaux à Caromb en 2024 La résidence Le Clos Saint Ambroise vient compléter l’offre de la Coopérative Grand Delta Habitat sur la Caromb et porte à 76 le nombre de logements sociaux sur la commune. En 2024, ce sont 12 logements supplémentaires qui viendront compléter cette offre locative.
Une gestion de proximité Grand Delta Habitat gère 3 046 logements sur les communes d’Aubignan, Beaumes-de-Venise, Bédoin, Caromb, Carpentras, Le Barroux, Loriol-du[1]Comtat, Malaucène, Mazan, Saint-Hippolyte-Le-Graveyron, Saint-Pierre-De-Vassols, Sarrians et Vacqueyras.
Plus d’offre de logements en tissu rural L’offre locative va s’intensifier sur le territoire de la CoVe avec 236 logements supplémentaires : 43 à Beaumes-de-Venise, 11 à Carpentras, 12 à Caromb, 4 à Loriol du Comtat, 45 à Mazan et 45 à Sarrians.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
Jeudi dernier, la CoVe organisait une balade thermique. L’objectif : comprendre l’isolation d’un logement et les déperditions de chaleur.
A l’heure où le prix de l’énergie flambe et où le réchauffement climatique se fait de plus en plus ressentir, rien de mieux qu’une action de sensibilisation sur le terrain pour comprendre l’isolation d’une maison. Ainsi, jeudi dernier, la CoVe organisait une balade thermique, suivie par une douzaine de personnes.
Animée par la Alte, cette balade était l’occasion de constater in visu les problèmes thermiques d’une habitation afin de comprendre l’isolation d’un logement et découvrir les points faibles entrainant une hausse des factures d’énergie en raison de déperditions de chaleur (défauts d’étanchéité, d’isolation des fenêtres, performance entre une façade isolée ou pas).
J.R.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
La Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove) vient d’inaugurer ses toutes nouvelles installations photovoltaïques disposées sur les toits de l’école intercommunale de Saint-Pierre-de-Vassols et de la crèche Capucine à Caromb. D’ici 2045, le territoire souhaiterait devenir un Territoire à énergie positive (Tepos) en fournissant plus d’énergie qu’il n’en consomme.
Le Plan Climat-Air-Énergie Territorial (PCAET) de la Cove s’inscrit dans les objectifs nationaux qui sont à l’horizon 2030 de réduire les gaz à effet de serre de 40% par rapport à 1990, réduire de 20% la consommation énergétique finale par rapport à 2012, ainsi qu’aboutir à 32% d’énergies renouvelables dans la consommation finale.
Dans le cadre de ce plan, la Cove s’engage dans la sobriété énergétique. Ses objectifs d’ici 2050 sont de diminuer de 47% la consommation énergétique du territoire, et d’augmenter la production d’énergie renouvelable pour passer de 71 Gwh produits en 2015 à 660 Gwh en 2050. Dans cette démarche-là, l’Agglomération a signé un partenariat avec Sud Connect en 2021 dans le but de faciliter le développement des énergies renouvelables sur le territoire avec l’engagement d’un accompagnement d’Enedis pour le raccordement des installations au réseau public de distribution d’électricité.
Des panneaux photovoltaïques sur les bâtiments communaux
En 2019, une étude a été menée sur le territoire de la Cove concernant le potentiel photovoltaïque de son patrimoine et de ses communes afin d’établir quels sont les sites les plus propices à l’installation pertinente de panneaux. La Cove s’est également engagée dans la mise en place de centrales photovoltaïques sur ses propres bâtiments identifiés. En plus de l’intérêt écologique sur le long terme, le photovoltaïque a vocation à réduire la facture des consommations énergétiques de la Cove et à améliorer les conditions des usagers des bâtiments sur lesquels les panneaux sont installés.
À l’issue de cette première étude, huit sites intercommunaux ont été retenus :
L’école de saint-Pierre-de-Vassols (installation pour vente totale de la production)
La cantine de l’école de saint-Pierre-de-Vassols (installation pour vente totale de la production)
La crèche Capucine à Caromb (installation pour vente totale de la production)
Le parking du personnel de l’Hôtel de communauté (installation pour vente totale de la production)
Les bâtiments I&J Marché Gare (installation pour vente totale de la production)
Le centre de transfert des déchets à Loriol-du-Comtat (installation pour vente totale de la production)
La crèche Les Ptits Mousses à Carpentras (installation pour vente totale de la production)
L’Hôtel de communauté (installation pour l’auto-consommation)
Le coût total des travaux concernant les projets d’installation pour vente totale de la production est estimé à 1 816 332€, dont 474 820€ ont été financés par l’État et la Région Sud a apporté un soutien financier de 4 137€ pour l’étude des structures. La Cove prévoit de produire l’équivalent de l’énergie électrique annuelle consommée par près de 280 foyers.
Certains bâtiments sont déjà équipés de panneaux, thermiques ou photovoltaïques, depuis plusieurs années, tels que les ombrières du parking des véhicules de la CoVe à l’Hôtel de Communauté où est produit annuellement l’équivalent de la consommation électrique de 120 foyers, le site de La Combe à Caromb, ainsi que le camping intercommunal Le Brégoux à Aubignan. La crèche Capucine à Caromb et celle des P’tits Mousses à Carpentras disposaient déjà de panneaux thermiques pour leur production d’eau chaude.
L’école intercommunale de Saint-Pierre-de-Vassols et la crèche Capucine à Caromb
Les premiers panneaux photovoltaïques ont commencé à être installés l’été dernier et viennent d’être inaugurés. Les travaux pour ceux de l’école de Saint-Pierre-de-Vassols ont débuté en juillet dernier et se sont achevés en octobre dernier pour un coût total de 20 750€. Les recettes annuelles sont estimées à 2 095€.
Concernant les travaux des panneaux de la crèche de Caromb, ils ont débuté en août dernier et sont en cours d’achèvement pour un coût total de 50 864€. Les recettes annuelles sont estimées à 5 441€. Ces installations ont été réalisables grâce à cinq entreprises : Inéo, Enedis, Opte, Dekra, et CSPS BECS.
3 projets communaux sont à l’étude dans les villages pour l’installation de centrales photovoltaïques : sur les vestiaires du plateau sportif au Barroux, sur le centre culturel et sportif de Saint-Didier, et sur le parking de la Boiserie à Mazan.
Les représentants de la Cove et les élus du territoire lors de l’inauguration à Saint-Pierre-de-Vassol. DR
V.A.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
La difficulté de trouver un lieu de stage, notamment pour les élèves vivant dans des familles en difficulté et ne disposant pas d’un réseau social à activer dans ce cadre, est un constat partagé par la CoVe et ses partenaires, l’Etat, l’Education nationale et la ville de Carpentras. De ce constat est né le projet d’un accueil collectif de stagiaires à la CoVe.
Un des stages scolaires pour lequel la CoVe est le plus sollicitée est celui de 3e dans le cadre du stage d’observation obligatoire à accomplir pour le cursus pédagogique. Si pour bon nombre d’élèves trouver un lieu de stage ne pose pas de problème, pour d’autres la recherche d’une entreprise d’accueil est plus compliquée et relève parfois du parcours du combattant.
Le projet mit en place par la CoVe cible trois collèges de la cité éducative de Carpentras : Raspail, Daudet et Fabre. Les établissements scolaires sont chargés de repérer les élèves en difficulté dans leur recherche de stage et de constituer les groupes. Comme pour tout stage, des conventions sont signées par la CoVe avec les collèges concernés.
3 sessions d’accueil collectif
Trois sessions ont été définies pour cette première expérimentation d’accueil collectif de stagiaires :
du 28 novembre au 4 décembre 2022 pour les élèves du collège Raspail.
du 12 au 18 décembre 2022 pour les élèves du collège Daudet.
du 23 au 29 janvier 2023 pour les élèves du collège Fabre.
Pour chaque période de stage, la CoVe accueillera deux groupes de quatre élèves maximum, soit au total une offre de stage collectif pour 24 élèves. La semaine de stage consistera en un parcours de découverte dans différents services de la CoVe à raison d’un demi-journée dans chaque service.
Au sein de chaque groupe sera désigné sur la base du volontariat un élève « reporter » pour réaliser des photos de leur parcours de découverte des métiers. Des éléments qu’ils partageront pour le rapport de stage qu’ils pourront travailler lors de la dernière demi-journée à la CoVe.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
La communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (CoVe) organise une conférence débat sur le thème ‘Un parent tout seul ça n’existe pas’, mercredi 12 octobre à 18h , avec Sophie Marinopoulos, psychologue, psychanalyste et spécialiste de l’enfance et de la famille.
Les questions sur la parentalité et les relations enfants-parents sont nombreuses auprès des professionnels encadrants des structures (crèches, LAEP…). Chaque enfant, chaque parent est unique et de nombreux aspects entrent en ligne de compte comme l’environnement, le style d’éducation ou encore le comportement de l’un et l’autre. Il n’y a pas de solution miracle sur la parentalité idéale, mais l’objectif est le même pour tous les parents : le bien-être de l’enfant.
Convaincue de la nécessité de soutenir et d’accompagner les parents dans leur parcours parental, la communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (CoVe) s’est engagée dans un projet ambitieux qui leur est destiné, ‘Le Phare, la Maison des familles’ avec la volonté d’offrir aux parents un site où ils trouveront un accueil, un soutien et une orientation face aux multiples questions que pose le fait d’être parent.
Pour accompagner cette réflexion sur la place de la parentalité dans notre société, la CoVe accueille Sophie Marinopoulos, psychologue, psychanalyste, spécialiste de la famille et fondatrice du concept d’accueil solidaire et d’écoute des familles ‘Les Pâtes au Beurre’, dans le cadre d’une conférence grand public sur le thème ‘Un parent tout seul ça n’existe pas’, le mercredi 12 octobre à 18h, à la salle de la Boiserie à Mazan.
Etre parent, être une famille, c’est être en lien
Lors de cette conférence, Sophie Marinopoulos invitera à s’interroger sur : Comment soutenir le parent dans son lien à son enfant ? Comment grandir ensemble ?
Cette conférence questionnera l’importance de prendre soin des liens familiaux et la nécessité d’ajustement permanent des parents, des professionnels et des institutions face à ce nouveau défi sanitaire qu’est la santé relationnelle dans une société au rythme sans cesse accru.
Cette intervention sera l’occasion pour Sophie Marinopoulos de rappeler à quel point la santé des relations est centrale dans le développement psycho-affectif de l’enfant et un enjeu déterminant pour le bien-être et pour une société pacifiée.
Psychologue et psychanalyste, spécialiste de l’enfance et de la famille, Sophie Marinopoulos est la fondatrice du service d’accueil psychologique des liens parents-enfants ‘Les Pâtes au Beurre’. Elle participe à de nombreux colloques nationaux et internationaux pour penser les politiques publiques de la famille. Elle est membre du comité d’interface périnatalité petite enfance de Santé Publique France. Elle est nommée par le président de la République parmi les 18 experts à la Commission des 1000 jours, chargée d’orienter les axes de la politique Publique des 1000 Premiers Jours. Elle est l’auteure du rapport ministériel ‘Une stratégie nationale pour la santé culturelle, promouvoir et pérenniser l’éveil culturel artistique de l’enfant de la naissance à 3 ans dans le lien à son parent’ et de nombreux ouvrages dont ‘Dites-moi à quoi il joue, je vous dirai comment il va’ et ‘Ecoutez-moi grandir’ aux Editions Les Liens qui Libèrent.
Conférence-Débat ‘un parent tout seul ça n’existe pas’, avec Sophie Marinopoulos, psychologue et psychanalyste, mercredi 12 octobre à 18h à la Boiserie, 150 chemin de Modène, Mazan – Accès libre et gratuit – Plus d’information sur www.lacove.fr.
J.R.
Cove, Mai à vélo, un mois pour adopter la petite reine
Le futur outil de coopération visant à assurer un dialogue permanent entre les territoires du Bassin de vie de la cité des papes et ses 520 000 habitants déjà concernés.
Après une nouvelle réunion qui s’est tenue le 12 septembre dernier, le futur Pôle territorial du grand bassin de vie d’Avignon rentre dans sa dernière phase d’élaboration. Pour cela, les 8 EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) concernées (les Communautés d’agglomération du Grand Avignon, des Sorgues du Comtat, de Luberon Monts de Vaucluse, du Gard Rhodanien, de Comtat Ventoux Venaissin et les Communautés de communes du Pays des Sorgues et des Monts de Vaucluse, du Pont du Gard et de Vaison Ventoux) sont amenés à délibérer officiellement dans les prochaines semaines pour engager officiellement la création de la structure. Situé dans les locaux pontétiens de l’Aurav (Agence urbanisme Rhône Avignon Vaucluse), c’est un arrêté de la nouvelle préfète de Vaucluse qui devrait ensuite valider formellement la naissance du ‘Pôle territorial’ dans le courant du premier semestre 2023. L’initiative prendra la forme d’un Syndicat mixte n’ayant n’a pas vocation à devenir une nouvelle structure administrative et s’appuiera sur l’Aurav pour son animation.
Plusieurs mois de réflexion Comme nous l’avions évoqué dans nos colonnes, cela fait plusieurs mois que cette démarche « de coopération pour renforcer l’attractivité du territoire et mettre en œuvre des projets communs » a été lancée.
Constatant que ce territoire dépasse largement les périmètres institutionnels (3départements, 2 régions, 2 zones scolaires, 3 CCI)ces collectivités entendent ainsi dépasser ces freins administratifs en ayant pour objectif de mener une réflexion sur les possibles synergies, articuler leurs politiques territoriales et être en capacité de porter ensemble des actions communes.
« Je crois qu’il faut d’abord apprendre à travailler ensemble en portant des projets collectifs utiles pour l’ensemble de nos territoires comme le transport par exemple, expliquait en janvier dernier Joël Guin, le président du Grand Avignon qui vient de valider la création du Pôle territorial lors de son dernier conseil communautaire. Je suis convaincu que c’est par ce biais là que nous poserons les bases d’un avenir commun. »
Les travaux continuent En attendant, les travaux entamés par les EPCI membres du Pôle vont se poursuivre autour des 4 premières thématiques de coopération déjà identifiées. A savoir :
Faire converger les politiques de mobilité.
Articuler les orientations de développement et d’aménagement de l’espace.
Harmoniser les politiques de gestion des déchets.
Définir une vision commune de la prévention du risque inondation.
« Les déplacements quotidiens de toutes natures, les nombreux échanges entre ses habitants et ses activités, les complémentarités économiques, les richesses naturelles et patrimoniales exceptionnelles font du grand bassin de vie d’Avignon un vaste territoire partagé qui dépasse les périmètres institutionnels, explique le Grand Avignon. Les différentes intercommunalités qui le composent relèvent ainsi de nombreux défis communs, notamment en matière d’attractivité et de rayonnement, de développement et d’aménagement, de revitalisation des centres villes, de gestion des déchets, de transition écologique ou de positionnement régional. Ainsi, certaines réponses à ces enjeux ne pourront être pleinement opérantes sans vision globale et sans coopération, à la bonne échelle. »
La porte reste ouverte Bien évidemment les autres intercommunalités voisines sont invitées à se joindre à cette ‘dynamique’ où l’absence des EPCI du Nord des Bouches-du-Rhône est particulièrement visible. « Chaque chose en son temps », précisait en début d’année Joël Guin qui rappelait que la démarche est « ouverte aux autres intercommunalités souhaitant être associées à la formalisation de l’outil le plus pertinent pour piloter cette coopération inédite. »